12/06/2016
Raie Pi
rodolphe bresdin
Un lymphocyte cuit et maudit, non sans humour, les frêles et pâles agneaux qui bêlent frais émoulus par le plan lopin ou ils contractent le mystère, et se noient, bien souvent, dans les vacuités filandreuses de l'espoir et les lacets de lassitude, avant d'avoir pu vérifier expérimentalement la transparence moutonneuse a gros bouillon, de la misère consciente que la foi projette de dépasser, sans dépasser pourtant ses souffrances, pourtant présente et oubliées, et de faire de la chair qui bat, matière a transparence, un espoir pour une civilisation vouée a la félicité suprême qui est l’œuvre de l'esprit, un don qui se bâtit, fleur de verre de ce jardin ou la terre c'est moi; un sang d'encre coule de la tige brisée du miroir qui ouvre ses corolles au gouffre du scintillement; l'esprit, suspendu sans distinction au cœur même de la logique hésitant a travers tout, est cette cassure qui remet tout en place, tout autrement, parce que l'histoire précède le temps, l'histoire comme verbe, verbe du lien rompu dont tout homme désire contempler la ruine pour s’éblouir de la révélation ; le lien avait été rompu, certes, sans doute, mais lequel au juste ? A tout prendre, la pire fracture de la Station, afficherait bien clairement la direction a prendre, identique a celle du dernier vœux dont on voudrait qu'il soit a nouveau le seul et premier, pour que l'on puisse fractalement trembler d'une plénitude acquis dans le temps, par le désir et a travers ses souffrances ; elles sont la limes intérieure de la réflexion qui grandit sous la férule du soucis né de l'amour frelaté de soi, amour sitôt né sitôt fané, tombant décrépitude de soi et tourne en inquiétude bourgeoise a six mois de vie ; grossesse des douleur enfonce sa tête dans un liquide sans voix.... et parfois, si complètement, elle se submerge, se brise en milles complications insolubles, qu'il est impossible qu'elle puisse rendre cohérent son rapport transparent a un dieu hanté d'autant de réflexion ; le tourbillon de peur qui visualise l'objet du désir par l'attention soutenu, cherche a contempler l'impossible réification supprimée ; logique et cœur disposent de l'attention comme d'eux même ; les organes se scrutent et échangent des regards de ligaments ; c'est le muscle de la certitude de l'esprit ; il apprend toute une vie a croire et a comprendre sa réalité, et touche au terme de l’éducation chaque fois que la sensibilité se brise et que l'ordre des concept se renverse, et que le Mur de Frise apparaît, cote mal taillée, mélange douteux de finitude et d'infini, observé entre deux translations psychosomatiques forcé par les douze heure de boulots jours, et qu'il doute du dernier gadget comme s'il supprimait sont dernier objet ; sa pensée tout a coup se cabre et se retourne, la lutte déformes le rayonnement unidirectionnel, et les lettres commencent a creuser le temps sans fond, d’où l'esprit remonte, revient a lui-même, tenant entre les mains, les bornes d'un vœu qui sont, au sens religieux, pierre et prière de la réalité objective de ce qui depuis le commencent est objectivement, néant : la matière de l'esprit ; la détonation résonne souffle, son, explosion, qui loin d’être platement isomorphique, dessine fractalement les colombages des champs, et les strates d'airs porté par d'indéchiffrable colline de fumées qui jouxtes le Mur des agonies contre lequel rebondit l’écho Palmaire de l'Apnée.
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10/06/2016
Reset
Martin Georg Oscity
L'équilibre du diaphragme maintenu par les rivets du psychopompe dépendait du délais des couveuses stellaires a ébruiter, dans le restant des étoiles une incantation perpendiculaire au disque. À l'immense avaloir de terre accordeonique et lumineuse, qui éclatait comme l'instant, sous l'arc repartie dans le temps, les sédiments du chaos apparent lutter contre les forces du souvenir, dont parfois le refoulement, jaillissait de la roche comme un arbre cosmique fendu a travers le néant astreignant à teinture d'iode, les grise étoffes de la mousson du mercure; la trisection fougère mie, porte en terre lumineuse la tête diluée d'un cerf mort en télépathie ; la décomposition du Requiem couvrit les larges périodes de la vie de l'instinctif projet du cardiogramme d'œuvre chantée ; l'humeur tremblante des premières paupières, des premières sources du texte, des failles immense comme le désespoir capable d'absorber la totalité du temps, et dans ce gouffre, partout les traces de la première littérature relative aux choses dernières, de l’Antiquité mise a jour.
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09/06/2016
A l'arc
Leon Nikolajewitsch Bakst
Une fourrure d'onde, sous le capot, file en campagne ; elle recouvre les trois bulles d'intention vide qui sécrètent des assises au paternel en gravité; le vent poste l’allégement dans le chant des crasses bleues du laminoir qui moussent et dégradent le fond de scène ; derrière le ravinement de tes dettes de rimmel, les écorces liées aux mouvances fluide de tes tenseurs dialogique reprennent vie et s'hérissent de deux mâchoires pélagiques qui clouent le drugstore aux faillite du fiat et lux; des fées d’écriture tombent du soleil, dans les méandre du sommeil grimaçant qui grimpe par les langues d'ombres qui tremblent face contre sol en tâtant la vacuité de l'astre livide qui bat au rythme des semences de feux d'ou on germé les herbes folles et le cerfs qu'encercle un vertige d'onde, un bois courant dans les cavité stériles des fichiers du béton; le diamètre de la vacuité précède la viscosité de la relecture, l'attention magnétique subitement obstrué au cours du siècle dernier a mesure que l'inflation gastrique de la substance désespérée, sans nom, qui se recouvrait d'illusions interne a la moindre cécité; les briques d'air sont aussitôt ridés et recouvert des traces en braille, des nuées de collision entre envers elle dans la cervelle et le transfert cardiaque de l'image sur le papier de verre sulfurisé; tous le jour l'art des visitations grouille des vers repris au théorème de la vicissitude, et des sagesse venues d’un cadavre exemplaire.
Les livres de casuistique humoristique et de jurice prudence qui décrivent l'odeur de benzène du dissolvant, sont plus insaisissable que l'exigence impossible du livre sacré: leurs pages tournent le regard des feuilles ensevelies sous le vent, et couchent la substance bigote du pognon aux pôles inverses aux variable d'ajustement des contraintes, l'équilibre gracieux qu'offre le prit au rendu, forment des couleurs modèles restées au miroir, comme une saveur sous la langue; un cachet d’athéologie du désir plonge ses branches dans les ligne du fuite de la téléologie désemparées qui écrit et décrit avant tout le baiser; heureux qui a trouver le dénouement du scandale, il soulève la poussière de ses sandales heurtant le grain impalpable de la densité du tain qui trouble le diadème des visibles transparences; du haut Recueil l’écoulement uniforme de la densité, expurge le souffle brûlé; et sous la fontanelle percée, l'angle froid de la lotion de surface trempe ses schiste dans des vases placentaires ; le baptême minéral infuse depuis plusieurs millions d'années, ses acides pétroliers, glissent en rond dans les même méandre d’où ils ont jaillit de l'air, le long d’une mafia dorique qui pénètre jusqu'au secret indicible de l'humidité des songes, qui graphitent des éclats d'orgue de grandeur de la voie éclaircie, raclée, remembrée a la fission.
L'instant perce l’étau de déformation d'une charge pathétique qui tisse au-delà des sphères, l'anneau de la réduction eidétique; le chas mord et ronronne le long d’une surface tragique infiniment ronde sous l’aphérèse d’une passion indépendante de la données liquide. l'écrit poussé par l’impudeur uniforme de ce camélia peut être obtenu procession à d’hypothèses a reluire selon l’épaisseur de la pousse panique et suractivée de l’abscission constellé qui me porte a croire a la réalité disparue des étoiles ; que sont elles devenues ? Rien... histoire, réalité spirituelle d'un organe qui transcende nos états de grimaceries de vers laissant des traces insensées sur cette noix de terre noire d’écran ; j'aime a renverser le désespoir en élan, comme l'indique la paradoxale législation de l'aura... l'existence est l’œuvre d'un art que seule la contemplation sait voir sous les nuées de la contradiction, les leurs fulgurantes de la parfaite inquisition du cœur ; elle tourne comme le disque pronostique d'un échos englobant la dynastie des cubes et les civilisations; des anneaux perpendiculaires du disque se voile a l'approche d'un nuage de gaz des frontières qui conte aux âmes leur migration proche et lointaine
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