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05/07/2013

hachi-text-ure

De la connaissance des sécrétions abjectes de ton désir hideux naîtrons  les oeuvres de l'amour, de l'intelligence et de la foi  et ton désir angoissé passera de la confusion a la plus extrême transparence de la conscience éternelle fluidifiée dans le sang. Poussiere!

Ton unique voeux n'est il pas de devenir transparent!

Forme n'est pas contenu(e)

Dérègle ta pensée! Le temple ne vit pas! ça pue la dedans! l'alcool a brûler, la peine a penser et l'impudeur du jouir! Tous pourrissements de ton corps de ta pensée et de ta volonté sans désir! Les murs de Berlin pendant la nuit ont glissé sous ta tente ?! La belle affaire tu dors! Saborde pour épargner Ramhala! Rejoue de tes mains le premier acte de la révolution Intérieure, le premier acte de la création!

Brise la ligne vague des écueils ton cimetières aux espérances et tes projets de ciel absurdes, qui ne reflètent rien de la petite difficultré propre a l'amour, en une ligne de fuite droite comme la règle vertigineuse du saut, quand le vent est la mesure! Collabore a l'Oeuvre, récuse l'illusion déformante du mensonge permanent dilapidant l'onde dilatté de la transcendance en monnaie de singe au tout venant ! Chasse ta raison, un seul instant, chasse l'oubli, la valise sans conséquence dérive, offre toi la mer a boire! offre toi la folie! Laisse la lumière s'éloigner, prendre le train, se précipiter en cascades fossiles ; elle court a la tombe qu'elle creuse en toi ; au contraire parfait son oeuvre, bichonne ta folie elle est dangereuse! Le danger est son oeuvre ; suspend la a son propre piège, prend la a son effroi. Ne la craint car elle profite aussi au bien de ceux qui ont un être a aimer, et si tu ne perds pas de temps poète, a ramasser ton reste, ni a le calculer, si ton désir n'a qu'effleuré ces perspectives sans aller jusqu'a les croire entièrement réelles et vraies, autant que leurs variétées avaient flattées et tenter ta certitude de croire en leur realité, si tu chéri la virginté de tes certitudes, accouple toi au ciel et prend le temps de réfléchir et de t'interroger sur l'infini conséquence de tout ce qui se fait, et demande toi ce que vaut ta certitude? Ou si Dieu n'est pas plutôt en train de pourrir en toi tellement ton goût pour cette lèpre fait le délice de ta volonté et si l'oubli, devenu l'ideal de ta conscience ne te dégoûtes pas !?

L'as tu ensemencé de toutes les graines de la terre? C'est en tout cas une riche idée! Mais comme elle est opaque! Opaque et glauque, pleine de rances beautés, d'inquiétantes certitudes, pleines de souvenirs qui masquent la Présence, et de foisonnant calculs qui brouillent tout et avortent de ce monde d'exilées clandestins ou la police des moeurs règne partout en lieu et place de la plus petite bagatelle, la moindre beauté a aimer qu'on poursuit d'un désir infini, qui peut tout bouleverser et intérieurement sévrer les hommes du placebo universel?

Si ils brillent, ils s'evanouiront de tes mains comme des fleurs poétiques qui ne sont qu'un parfum disparu au moment ou on le respire ; si tu en faits des beautés morales leur feu durera plus longtempss ; mais pour qu'ils brillent éternellement, il faut que tu t'en fasse une idée ;  parce qu'ils ne sont que tasseaux de Narcisse affiliés aux limbes de l'apeiron, descendant de la Génération de la Tache Aveugle qui a besoin d'un Redoublement pour se détacher de tout, pénétrer en elle-même et fuir déboulonner par l'ivresse du courage jusqu'a son âme de joie éternellement brûlante ; et avant que tu n'en pinces définitivement pour les ombres malignes,avant que leurs cendres ne se referment dans le lait des constellations, coupe l'ultime cordon ou tu te relie a la terre par un lien bien plus grand encore et demande toi si ce que tu désires n'est pas de la nature de l'oubli du terrestre, de l'illisible aux païens, de nature céleste, qui coule au coeur de leur ténèbres, abrutie, rendre le ton juste, sonné, en extase joindre l'idée a l'être de la pureté qui retire le péché du monde en s'accusant de n'être pas l'auteur d'un tel amour et sous son joug descends en témoigner aux hommes comme le fait tout poéte depuis toujours ; frappe et l'on t'ouvrira! Mais que ton désir soit a la hauteur! Ou alors parait toi même en lui c'est a dire disparaît du monde au moment d'y témoigner de Lui. Alors tes restes terrestres de lune brilleront, placides témoignages de ta collaboration, élément sain du dialogue de ta fable, la folie et les ténèbres riront mais si loin que c'est comme si la raison et toute sa lumière te revenait, progressivement, dans le lent et prolixe travail de l'accouchement,  elles t'étonnerons toujours d'être « ainsi » toutes retourné bizarrement contre-toi même,comme si le ciel habitait en toi a ta place ou détaché de la terre, tu laisses l'oeuvre expurge ton coeur vide,  la mort mise en forme par laquelle tu t'avance dans la lumière de Dieu, ou encore, la double lecture des rapports indirects au prochain, met en oeuvre l'amour de la science des êtres.  Incarcere ton incarnation dans l'accusation et coupable apprend a te reconnaître dans l'amour, car ou naît la connaissance de l'amour, le coupable qui ne se croit pas racheter ne sait rien de ce qu'il prétend connaître, même si l'epaisseur du mal a defracté la lumiere de trop nombreuses fois.

 

 



04/07/2013

Page A

batipsé                            frisosn                patte a patte le poissonneux livre du silence réciproquement croise           du crucifié

Retour sur la Métabasis

Un grand cheval de Trois plein de nefs, d'escaliers, de fer, tourbillonnants comme des aveugles né grouillant dans les grandeurs humaines ; entre les mains du va et vient, plein de bourgeons fanés de boulons et de crampes. A chaque fois que ton coeur s'arrette, qu'il saute un battement dans l'emballement du bonheur copieux, le redoublement approche et te touche intérieurement comme un vertige; et lorsque bien plus tard, emporté, soufllé de confusion, la chandelle distord des disettes la main dans la manne, aux vergers du néant  s'eteind, l'ecchymose fleurit.  Tu n'est plus que sa proie, rendue prise, l'absolument vivante logique de l'images, rendue prise t'en souvient-il? sainT Tu est mort comme un dieu ; n'est-ce pas la, l'expression d'un ressouvenir d'un être qui attend avec la plus entière conviction une vie éternelle dans un monde nouveau? Sale saison retournée en enfance reluire son alphabet d'une eau mise en scène ; au centre du thé le ressouvenir des galeries, des grandes distances ou l'on se perd de vu, aveugle né fondu au noir et a l'oeil ; gagnent alors, les distances nécessaires a l'invasion de l'incompréhensible, prémisse au miracle ; et quand, de loin en loin le vertige rogne jusqu'au coeur blanc des ténèbres ,et qu'il est toute la manifestation des enfers, l'os de Dieu doit enfin avoir la peau de la peur des décoctions nucléaire et la force d'enjamber son cadavre, et l'oubli sans regret des galaxies, et de sa foulée refoulées de sa patrie céleste fouler le Monde nouveau. La source des scintillements s'atomise ; leur déroute est ta route ; tes interprétations des lubies ; les suivre jusqu'à épuisement. Mais a l'extinction de leurs feux,  elles coûteront  le rachat d'Un être . Étrange dimension ou il faut être bon, généreux, et charitable absolument et non, sans discernement comme le voudrait le péché.

Donne tous les noms a ta source pour oublier qu'elle existe ; transforme en vérité du monde la réalité sordide de ta cachette ; cache la derrière les mots de ta logique si tu le peux, pour ton malheur forge toi d'eux une certitude au hasard, d'eux ne naîtra jamais aucune grandeur humaine connaturelle a Dieu.