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02/07/2013

Living-zoom

Directement sûr le pavé telle une marre a sa mouillettes mouture  percolée de mie piaillardes d'opium frelaté en Sabot de pain trinitaire sifflant thé déglacé le train trois fois sa rasade et poker surtaxé citron-d'or Casque-scène siréne living-zoom color cuir pardon parfum vers six heures moins fine vin huets uniment venin séjour buée Oedipe-le-Rideau carnassière  larigot du coin a cloche patte dans l'herbe croche jouet a reculons l'a-grandeur du lien identique en tous s'éloigne l'axiome de verité lisible                                                                                                                                             grandit  proximité l'approche entre les mots ouvert la distance réduit se disparaît de lui en moi                                                                     a ma confusion irrésolue invaincu de moi en lui dissoute comme mon ignorance a moi asperge malentendus efface infini distance renoue des liens  étendu toi jour après distendus, ours les raisons des étoiles sans les étoiles et les étoiles sans heurts nichées machines inhabitées de longue date gué de course infatigable of course d'onde courte chaud chalumeau rebouteux né reflet du bichon né coulé au recrutement naval des flammes du Caire jour dernier a jouer catimini sur le Pavé la mer dans un état lamentable de fable végétale chamboulée et boueuse Agitation Terreur Orgasme Refoulé Refilé aux oeuvres du boudin blanc d'avance un espace voie de l'errance lactée au ressac du pas ou pas être ce qu'Il ferme rend aux accros

01/07/2013

Texte en chantier

Pour quel pèlerin lunatique cheminaient les monts par vaux de travers? le ciel? Il semblait l'enjamber ou le porter sur son dos, en escargot bourgeois du chemin, comme Atlas sur qui le poids du monde ne pesait pas plus sur les épaules que l'intensité du désir n'est un fardeau a l'amant qu'il transporte, ou cette nuit la, en rentrant de Rome a Palerme avec le cadavre de son ennemi sur la conscience, il se brisa net pour le pèlerin. Ça lui avait fait du bien de crever la peau de ce salopards, et alors? Qu'y pouvait on faire? Il l'avait fait envers et contre tout. Et maintenant qu'il fuyait sous la lune rousse dans la lumière bleue marine des espaces vierges, il se désintéressai de tout et traversa le maquis comme un poisson de roche se réfugie sous une rocaille. En un instant, sa vie entière s'était nouer aux conséquences éternelles de ce seul acte unique, qu'il tenterait peut être en vain d'enfouir au plus profonds de l'illisible train train ordinaire sans jamais plus pouvoir y échapper. En marchant il engrenait sans fin les raisons qui l'avaient poussé au meurtre ; toutes étaient amplement suffisante pour justifier son acte et cependant aucune ne le satisfaisait complètement ; Mais parce que l'idée avait germait en lui de manière assez forte, elle ne pouvait plus être embrouillée sous quelques remords sans que l'artifice de la joie ne s'évapore comme un masque de glaise au théâtre. Le crime avait été ludique plus que joyeux et sinistre a la fois, comme une joie étouffée qui au loin résonnait comme un sanglot et une plainte; une joie incomplète insatisfaite avait suivit la satisfaction éphémère de la vengeance, et a nouveau l'âme gémissait pour son pain; il traversait la nuit comme on s'infiltre par les trou du gruyère, dans la mie tendre du pain ou le remords du meurtre ne pouvait mordre qu'a pleine dent.

Pour quel voyage, vers quelle contrée peuplées de nuées nouvelles les montagnes qui grossissaient a chaque pas, griffaient elles l'horizon ou s'avançait l'ombre de cet homme qu'une rage impuissante enveloppait d'ombre plus dense encore au milieu du paysage lunaire? Dans quelle foret profonde l'oiseau avait t-il emporté l'équateur ou il faisait du ciel son nid autour de la pierre pour qu'il se mette ainsi en marche? Quel destin avait t-il lu dans l'écorces des arbres pour qu'il le fuit ainsi? Quel noeud coulissant lui tenaillait les jambes pour que son pas quoique dénuer d'innocence, ne fusse point dénuer de la grâce du repentir? L'imprimeur des vrais récifs, a la lettre lit son esprit perdu en cette pauvre bête qui traverse comme une fourmis le désert en lui ouvrant les bras pour l'appel. Immédiatement le faucon, encore dans la neige sauvage saute de ses poches de descendant, pleines des caractères, déroule du tapis le motif du plan de vol des intentions contraire de l'esprit et du coeur, et vise a vide comme un archer au projet arrêté, les flancs acérés du mont Olympe, ou l'oeil ne discerne sur l'herbe verte et le tendre gazon qu'une foule de pieds nus sanguinolents arrachés aux morts, entre les arbres sciés par la tempête et les silex tranchant du mauvais gré, ou les corps monstrueusement démembrés des mangeurs d'impatience s'éparpillent en touffes de thym et se répandent comme des arbousiers ; disséminés en désordre des blocs mal équarris de marbre rose, sertissent les rives du fleuve cadre qui coule dans la vallée, sombre comme une fureur qu'on distingue sans la comprendre ni le voir ; les feuilles tintent soudain de toutes leur cloches quand les boulons d'une tête éclate et tombe en une pluie d'étoiles sur le sol; et que l'esprit qu'elle contient, en spores, passés inaperçu derrière les carreaux du défi qui se disait courage, se repend et passe outre l'outre crevée, a travers les cendres ranimant une braise insoupçonnée, et tombent en un fracas incessant de chute métallique qui clique comme les diodes d'une puce électronique le game over des pièces montées du monde au premier jour des noces.

Le pèlerin s'assoit prés d'une source qui en cascade se noit dans le vacarme des confusions hurlantes de son torrent en ébullition au fond de la vallée ; il se fige alors dans un silence imprévue lorsque la mécanique du son déraille ; c'est le marteau du tors qui tombe sur la terre et en martel le tympan de chair d'une myriade d'ondes attentives aux chers accents du peuplement des sons qui hantent sa boite cranienne comme des voies désincarnées mais lié a l'énoncé du jugement; il se bouche les oreilles, mais il n'y a rien a faire, les voies remontent de plus loin que de son corps; elles le jugent et appellent, convoquent toute les créatures a se joindre a elles, a se fondrent en un torrent de flammes dans une symphonie riche de toutes les matières de l'univers ne formant plus qu'un seul chant d'accusation dont il ne peut s'échapper ; elles l'écartèlent intérieurement et le précipite vers ce que tout âme craint le plus: le désagrégation de son intégrité. Le torrent au fond de la vallée s'évaporent et recouvre d'écume le mont Fuji ; l'eau tonne la ruine de l'ordre des choses ; le buffle dort au pieds du léopards et le chêne pond des oeufs qu'il émonde dans le nid des oiseaux de pailles ; il n'y a plus de voie pour entendre le chant du marteau; la voie si monstrueuse dénoue tous les fils de son entendement; et le pèlerin s'effondre face contre terre comme un gisant ; les parlants tournent alors le dos a la voie comme un possédé se retourne dans sa camisole des impulsions sans en briser l'ombre, mais jusqu'à s'y briser les os et que la moelles blanchis coule a nouveau dans le sombre chant du couloir de la mort ; l'ombre que le Palais jette sous les pieds du pèlerin plus granuleux qu'une colonne de fourmis mouvante, sur tous les pans de la montagne ruisselle comme une chair sanguinolente difficile a gravir ; partout resplendit son crime sur les sapins les roches et les herbes, tellement silencieux d'ordinaire, tellement terrifiant quand ils donnent de la voie ; les organes déchiquetés du crime rejaillissent des vignes et des champs, comme des hampes atonales, des stèles qu'on ne peut éviter de regarder ou de voir, partout sous les langes bleu, aux creux des mousses ou lézarde le scolopendre a la recherche du soleil des nuits, jusque sous les sapins tombe une neige de chair et de sang ; elle forme des grumeaux de vue hypostasié et éviscérée des yeux d'anciens insecte vivant au fond du gouffre, dont les coeur fascinés par la splendeurs des rushs de la revue des signes du crime savourant éternellement l'instant de sa vengeance, sont pris, comme a jamais figées dans leur saint Barthélémy sans issue et cannibale ; vengeance et joie sont les murs de la prison éternelle ; impossible de les fuir, de passer a travers; ils s'entre produisent et s'entre dévorent éternellement interdisant aux âmes qui en sont prisonnières de fuirent se compiler dans invisible.

Un instant le pèlerin pense a l'intégrité de Job mais son idée le fait souffrir plus intensément encore d'un regret qui n'a plus de sens dans sa situation a lui. A bout de force, l'imagination en ébullition sur le feu de l'effroi, il perçoit tout autour de lui l'âme de son crime; il voudrait se précipiter dans sa disparition laissant le champs vierge des anciennes horreurs refleurir en chant de grâce et de splendeur pour la vision du champs de mars éternelle; mais son crime a rendu le ciel trop lourd ; son âme est devenu épaisse comme un échos qui le devance partout sans jamais pouvoir lui échapper, ni échapper a ce désir des merveilleuses tentations a portée de mains qui font le ressorts de tous les crimes ; tout a coup le plafond de la nuit s'effondre d'une clarté, comme un oeil qui s'abat sur la terre en soulevant une nuées indéfinie d'oiseaux et de lys dont aucun ne travaillent ; le fracas se fige en un silence d'une hébétude hors du commun, comme une onde de glace transparente ou rouille d'un coup l'articulation des épines aux branches des pins sans âges, la sève du séquoia courent cote a cote avec le serpent dans les hautes herbes ; le joint entre les choses se brise sans réparation possible et la vallée plonge dans une lueur vert de gris qui grignotent les jointures des eaux courantes ; de l'oeil mort éclate une eau lourde de mer morte, plus transparente qu'aucune autre, mais seminalement inutile comme un atome parvenu a une impasse, sans continuité possible ; aucune mécanique, aucune ressort ne jaillit des pierres figées dans le lac mort ; aucun rouage ne transparaît, aucune roue dentelée n'écrête la surface plane du ciel disparu ; aucun ailerons d'anges ne font sur la machine pour la réparer ; elle est morte, comme cassé définitivement ; il n'y a plus ni haut ni bas, ni sente a travers bois qui ne revienne s'enfoncer dans les bras lourd du pèlerin, sous sa peau la dérive des glaces se confond aux veines du tissus que parcours le vent ; et la foret craque d'un bruit sombre et vain parce qu'elle n'a rien a renverser en cette instant bouleversant ; elle qui ouvre le chemin qu'elle dissimule, et ou le pèlerin trouve asile lorsque la sauvagerie éclate comme une seconde nature de l'exczema du monde qu'il ne voit pas réellement en entier ; le jus des morts coule entre les morceaux de ce cloaque et s'étire comme un éther d'absinthe entre le crane et le coeur du pèlerin, jusqu'au volet verts des cieux ; il étire le cloaque en s'étirant dedans jusqu'à y faire reparaître l'issue du ciel ; celle qui peut être le condamne a la pire persécution de la part des hommes ; celle qui se réduit au point, et qui du point efface le plan du désir de la surface du monde, et y trouve , la, de quoi devenir soi ; une file indienne s'étend comme un lézard dans l'herbe, ou sur un mur, passe furtive, dans un contraste beaucoup plus angoissant ; au pic des ténèbres, l'obscurité de tout contraste avec la présence lumineuse, mais indéterminé, de tout ; dans un effort surhumain il se relève et se remet en route, en ouvrant les ténèbres comme des huîtres a la recherche de cette perles ; il avance hagard sans se préoccuper de savoir ou il va ; un instant le ciel sombre rougeoie au zénith sans soleil ; c'est le cerveau d'Odin qui a son tour tombe et fond sur le monde en éclat ; une chouette hulule mais son chant pris a la gorge de celui qui l'entends la prend dans sa glu ; sa mort elle chante; confondu dans non-savoir a la nature d'ou elle chante ; comme elle dans son essence le pèlerin se dissimule et chante maintenant en marchand.

Son pieds a chaque instant jeté dans l'oeil ouvert du ciel, soulevait la poussière du bon pas, qui faisait de lui cet être digne au moins de cohabiter avec les plus étranges sphéres de l'univers scintillant, ou il s'était perdu bien des années avant,lui, en qui mourrait maintenant la tentation de s'emparer directement de la grâce, et que naissait, la suite d'une inclination unique, la certitude faite de sentiment entier, fort de la poussée en lui du surgeon du renoncement, la certitude unique et renversée qui commence et s'ouvre a elle même toujours par le Sesame du regret de n'avoir pas était plus tôt d'une eternité, convaincu que la merveille est partout et nulle part a la fois ; de s'etre laisser berner et abuser par les prétendus savoir que se refilent entre eux a prix d'ors les idiots ; il ignorait alors que cette certitude ne reposait sur aucun d'entre eux et que celui qu'elle contient, semblable a un rêve, est le seul a savoir qu'il n'en est pas un ; 'instant poétique n'indique que l'absence de direction est la direction a prendre, la ou se prolonge pour chacun la chute des merveilles dans les failles de la vie et que la dégradation du beau dans les petites choses de la vie n'en altère en rien la dialectique, mais exige qu'on devienne plus sensible a la manière ont le désir habite son monde ordinaire, se refugie et s'insinu partout,  la ou la lutte contre l'indifference et le silence angoissant demande qu'on fasse rejaillir un peu du comble de la joie ; la ou la faille défaillante se comble de sa mort, chacun s'enroule dans sa mort comme la dame blanche dans son hululement. Ce dévoilement peut faire rire ou enragé qui il comble. Il ne se retourna plus en arrière. Décidé il suivaient le plan projetté depuis les étoiles, qui s'effaca lorsqu'il atteint la vallée.

ce que le pèlerin quittait c'etait la terre devenu objet, cet immense appendice objectif du contrôle et de la maîtrise de soi, de l'incertitude subjective dans la forme de la certitude objective d'un monde jouet entre les mains des bêtes de sommes qui cultivent la terreur et ne renversent d'emotion que comme on tombe d'un sommeil dans un autre, sentimental sans excès surtout pas lié a quoique ce soit pour l'eternité; il fuyait aussi cette sorte la d'objecteurs de conscience. Il voulait retrouver la sauvagerie de la terre première celle ou le mur d'objets ne fait plus écran a la réflexion, obstacle a la liberté d'expression du sentiment, grandeur nature, mais en change le cours de nature morte parce que sous ce ciel scintillant, on s'y voit comme dans un miroir éternel. A la difference des autres miroir dans celui-la on peut y marcher dedans on peut l'emprunter comme un couloir parallèle dans les voix de métro, comme un blanc silence qu'on garde dans le dois et ou l'on échappe a la foule abrutissante un instant ; on s'y restaure et s'y rafraîchit tout entier le sentiment; qui nous éloigne de la sauvagerie sacrée de la terre ; alors qu'elle n'etait pas encore devenu ce lieu d'indifference ou l'angoisse prend des proportion toujours plus grande a la mesure du vide sanitaire que crée l'homme pour bâtir son monde d'ou le sacrée est exclu ; il se ressouvenait de l'indifference des etres entre eux, de leur hargne et de leur méchanceté ; et en fuyant il accélérait le pas, se répétant qu'il ne voulait pas lui comme les autres, et avec les autres, broient l'iniquité comme de l'eau ; il fuyait le froids ou cette ivresse devenait possible dans le silence angoissant des cités pavillonnaires et péri urbaines et les orange de nuit sans bain de lumière plonge les reproductions miniatures dans l'ombre du sommeil des géants.

Un conte avant la nuit; avant de rêver.

La nuit éclairait l'homme maintenant mieux que lorsqu'il courait a découvert ; a l'orée du sous-bois, il s'arrete, il halète essouflé, ; il se retourne semble entendre quelque chose s'approcher, puis se remettant a fuir, il entre dans le couvert du sous-bois; sa marche plus lente semble pénétrer une flaque d'obscures probabilités; et plus il avance plus son pas se ralenti, jusqu'à qu'il s'arrete perdue au milieu du bois alors qu'il prend conscience que la lumière s'évanouit qu'i l'a guider a découvert manque ici et que c'est d'autre feux qui s'allument en lui brûlant les certificats usagées de la certitude d'avant; plus profond mais pas moins lumineuse ; davantage si on tient compte de l'epaisseur de ce que la lumière traverse d'image pour se corroborer dans cette certitude qui vint l'habiter lorsqu'il fut seul au milieu de la nuit.



Il avait déjà connu le fruit du vagin de feu de diane, fuit dans le couvert du bois et s'enfonce en lui comme dans le ventre de Diane ; a la clairière il gémit avec toutes les nymphes ; et le concert emporte sur le bruit d'avant qu'il métamorphose ; l'epaisseur de la nuit des proximité animales et il s'y plonge dans un délice sans fin ; reprends son souffle, sort du bois, et a nouveau se retrouve a découvert; qui fonçait dans son corps de femmes ouverts au éclaboussure de la joie, le fond bleue marine des eaux du ciel lui donnèrent soif ; la gorgée lui emplit de coeur de merveilles sans objet.