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17/07/2013

Cène

Mais, parfois, Sweepgen plein de juments a l'écurie ruait aux portes cloutées. Les sabots baignaient dans l'amer, secouaient tout un ciel de vaste champs et de prairie verdoyante ou courir et se reposer, retombaient en éclaboussures de boues dans les filets resserrés du désespoir. Il débordait pour des riens, comme une effluve pleine a craquer de brasier soudain en crue se vrille, frappée de torves cavalcades et ronces flammes qui, refoulées un instant, dévoraient le bois et les clôtures de l'invisible ; son coeur alors engloutissait sa substance sans s'établir dans sa transparence, mangeait son terme sans rien rogner, émargeait l'amour d'un désir de langue qui resonnait comme un airain, et qui sans elle, se retournait en haine pour se dévorer de dépit et gisait comme un alphabet en désordre tombé du livre aux signes inversés, comme une épave mauve, tachetée de lavis stellaires ensanglantés et lamentables, au fond des cales marines ; que restait-il des cavalcades chevauchant leur propre cavale en toute liberté? Que restait-il du coursier emporté jusqu'au terme formé par le coeur tout contre lui-même ? Si l'existence de la page ou le souvenir pouvait relire son intention éternelle manquait? si la connaissance du besoin de la langue manquante n'apparaissait? Si les coordonnées christiques de la position de réalité dans le miroir ou le coursier se rejoint manquaient? S'il disparaissait de selle ou moment de se fondre en lui-même, n'était ce pas pour s'apparaître tout autrement une fois le désir accomplit ? Dans un autre cadre ou les permisses n'étaient plus les mêmes puisque l'écurie avait sauter en éclat sans rien dévoiler sinon que la conservation  de ce souvenir formé dans le commencement de l'éternité dans le temps, etait de nature eternelle? Et que le paradoxe du rapport a la realite redoublé le rapport de la cène qui donne a rompre l'image de soi et a partager le vin de l'amour de dieu dans l'image accomplit. Et A cette pensée, l'anesthésiée papillon, sentait d'autres ailes sous ses sabots de lymphe ; et le désir en son vide se figeait, se caillait comme la membrane d'un nouvel oeil formé autour de l'iris aveugle du manque, et du néant qui reste quand tout est accomplit ; plus lourde qu'un cocon de plomb, le coursier sentait la porte se refermer derrière lui, alors qu'il plongeait vivant et redoublé en lui-même dans ce qui avait été la sonde de la densité du malheur sensible qui l'avait pétrit et broyé dans un tourment propre aux retournements de situation. Alors rejaillissait un cheval neuf, éclot directement de la dépouille expirante du parfait et total dégoût qui marque l'essor entier du désir et qui le laissait presque mort, mais enjoué et heureux ; rattaché a tout par un éclaircissement profond qui lazurait son âme d'une sorte d'illumination, un épanouissement de signes renversés, paradoxalement emporté par l'édifiante paix de la déconstruction.

Rappelle toi Abel



Vous demandez, face au croches d'or du gazeux poison, une part justifiée d'horizon, une portée pour le granuleux herpes? Mais empesé des balancements de la justice, vos mains vachement raclées du si fonds, disparaissaient sous le make-up tendu d'avance d'inquiétude. Le si tu le respires comment? Tu l'inspires par le nez et l'expires autrement? Sans sentir ton coeur trembler mais battre seulement? Le trait mal pané de la très pâle trépanation transpire en dix long mois plus de mie de verbe qu'en un instant...? vas y tousse un peu pour voir? La voie qui demande, s'abîme et s'anime dans la vision de sa perte, qui fait qu'elle demande en priant avec un accent lyrique propre a l'acoustique finie de l'échos du témoignage, et demande que la nature de dieu dont elle est aussi faite, ne l'anéantisse pas vivante, mais que melé dans un accord heureux, elle puisse par des remerciements éternels, par une redondance, qui rend grâce de recevoir la grâce de rendre grâce,  trouver le repos en Lui.

Renifle la fausse couche du prénatal avorton! Apprend nous a Prier si tu veux que je pense a quelque chose d'éternel! Qui demande en priant, enracine une langue dans la vision des souffrances, et donne aussi, une voie a la passion autrement muette comme un animal porté a la haine a l'amour se devorant, et qui, jeté sur la terre du désespérant rapport a l'absolu, voit du sang noir de ses souffrances, éclore l'étirement de la mesure pathétique du point aveugle de la mise au point, de tous les points dont sa certitude est chargée en poids de gloire pour l'éternité de l'esprit disparue pour l'instant dans la réalité du temps.



La mort serait d'être aveugle a cette vue. La voir c'est en mourir. Mais en mourir c'est en faire renaître la vision vaincu.



Mais y'a quoi la'dans? ….ça pue le cadavre ? Con....quoi?...l'odeur congelée jongle avec trois piments rouges arrachés a l'iris des phoques mordus par les lions de mer. Flaire pas ça! la prosopopée du petit jus, le crème, le demi écrémé, l'épopée rabougrie, le chant funèbre des savates du larynx dans les fumigènes des pieds nicklés, mais rappelle toi plutôt l'extinction de voie de la souffrance dans la lenteur du déroulement de la douleur, rappelles toi les phases de la souffrance, la logique de la ruine, l'humiliation nécessaire au langage pour que les images formées dans la douleur recoivent leur poids de sens, rappelle toi de combien d'instants l'instant s'étire dans la langueur de l'angoisse, rapelle toi Abel! quand tu formas le projet de tuer Caïn! rappelle toi ce qu'offre le temps redoublé de matiere opaque a rendre translucide pour faire le point dans l'élongation parachevée en elle-même du coeur dans la course de son projet formé, jusqu'à la transparence, le bon ton de la note personnelle percée comme un roseau ou souffle le vent, et qui rméle son sifflement a celui de la flute, ou qui rend compte comme une lune du témoignage d'autre feu dont l'angoisse est la méche... Ou qu'ils fourrent les morts par ici, quand l'instant a disparu?Ou donc est-ce qu'ils reformulent l'éternel disparition du présent dans le temps, s'il n'y a pas de mort pour recevoir et comprendre cette parole dont la condition est d'avoir la certitude de son éternité, avec bien sur la pluie de tribulation qui vous tombe a l'instant même dessus.

Receleur du présent, l'espace temps? De l'être dénué ne fait pas l'ici et maintenant d'une cache, mais plutôt une anomalie permanente qui a disparue de dessous nos yeux depuis qu'on a appris a user de son libre jeu pour se forger l'illusion d'une puissante civilisation.

Non cache misère, attrape couillon, présents, cerise sur le gâteau et pompom camelot; que nous manque le présent devrait être un sujet de prière; ils nous manque tant que nous n'avons plus de coeur pour en formuler la connaissance de sa valeur ; ou alors sottement sans avoir aussi une expérience de l'idée pathétique que nous évoquons par de grands mots ; si grand qu'on nage facilement dedans, se donne l'air de spéculer, spécule effectivement quand le sens de la langue échappe au désir d'en rapporter les propriétés a la plasticité de la souffrance d'où s'étend le sens du dépassement ; le sens de l'être selon l'air du temps est au saisissement du frou-frou des pom-pom girls, que rien ne manque, aux prises du désir incertain, au chavirement indéfini du désir hors du cadre de l'éternelle certitude qu'il porte en lui comme une voie sans parole, un bruit qui a besoin qu'on l'éclaire pour trouver le repos dans la volonté d'un autre auquel il rend grâce certainement.

15/07/2013

Parabole

A combien « d'Anvers-corps » ? De Bruges a « Orge grumeaux » laide terreur la beauté ; caille laiteuse lune futaie de mousses concubines, entrecoupé de part de l'autre, confondues par le pont-point qui les distingue ; superpose deux images comme par exemple celle de ces sept cercles chevrotant de lumière électrique sur le mur qui forment aussi l'autre image ou ils ne sont plus qu'un reflet oublié mêlée a tes cheveux.



Ou encore? Les félicitations de Dieu pour la compréhension de soi?



Partout l'éther, impossible d'y échapper, partout s'étend depuis mon centre d'intérêt, jusqu'à l'image de ma passion, la langue de Dieu; comme un gaz noir, une improbable gaze élastiquement étirée depuis le centre aveugle de mon écran six pouces, a six pouces de sa réflection dans ma cornet, ou l'éclat du soleil aussi recouvre de commotion, les terres fertiles mais desormais disparues de l'acceuil, jusqu'à l'éclosion de la durée nuée transparente du spectre dont on ignore le sexe,, mais qui decouvre d'une langue tombée du ciel, l'image qui le rend commensurable a l'incommensurable, qui se contacte elle-même au pouvoir transcendant qui lui offre la grâce un instant de s'incarner pleine de sens, et pour laquelle premier instant de l'être, est l'éternité de l'amour, informulable séquensage du riz-ohme, entre percé de soi par  la bulle du dépliant routier, qui passe la tête a travers la fenêtre pour mieux se faire souffler dessus, chacun roule encore et toujours se voir, a jamais révolu ,dans la décision de Dieu, quand frôle la tête a grande vitesse une haie de platanes, que s'ouvre la lumière du trou dans l'horizon en gestation de spontanéité granuleuse, et que l'oeil se ferme et s'enfonce dans  le sol le train sensible des illusions dans le tunnel des nuées, quand, a la voiture bar la réflexion prends un dernier Scotch pour rallonger le coeur tout entier, quand son prolixe résumé, son Concept apparaît pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, mais aussi dans le Perriers de ma voisine de zinc, pour laquelle en l'occurence il signifit qu'il précèdera du bouquet son spectre par le silencxe de l'amant auquel elle reve, en touchant de la fane  les terminaisons nerveuses  de l'éclat du felix culpa, quand le chemin du sous-bois se malaxe d'aubépine et de ronce et qu'a chaque nervure d''écorce ondule une nymphe venue t'embrasser  et qui finallement te dévore comme un plat de choix pour la langue qui peut tout.



Pas une image n'éclot sans faire un tour nouveau du désir complet. Toutes sont parabolique.



Dans les balles de l'avenir, l'océan et la pluie prolongeaient l'indéfini cycle de la peur. La terreur en suspens fourbissait l'oeil du néant, en déprimant sur cette aube de soleil détaché, ce port signifiant qui explose, en transitoire goudronné et palmiers, sur la promenade de la langue, qu'il faut remonter, entre autres déflagrations de klaxons et de trajectoires de bolides sous les balcons, tuiles et verriéres en tous genres, jusqu'a son port, sachant qu'il y a bien un musicien en haut des fenetres pour visser a la lune son chant et suivre ces accent mourir dans les rues pietonnaires. La ou de toutes les matières et de toutes les manières possibles, la musique est en permanence traversée et parcourue diversement, du signe de l'exposition effroyable de la bête transparence des racines du verbe a la source de paix.



Ce port caché dans la langue, haché incognito dans le plaisir face a la trouble réalité qu'on ne perçoit pas si on ne marche qu'en s'affairant vers un comptoir de commerce, ce port, disparaît dans les têtes lasses de bourdonner des corridas de Phalaris.



Lorsque le « port » était subitement pris dans une autre langue comme il peut être pris par la brume ou par la glace, la signification ordinaire relevait toute sa contradiction a la signification extraordinaire.



Elle s'élargissait du rare jusqu'aux limites de l'extraordinaire. L'intime transcendait l'univers etait receuillit tout transpercé de partout, la mitée gratis, la cornet sur les os .



Le cadre perdu de vue en révélait un autre bien plus extraordinaire et miraculeux. Fécond de toute la Parole de Dieu, le réel s'épaississait d'au moins une qualité nouvelle ou l'ordinaire disparaissait pour laisser être le miraculeux.



La compréhension humaine de l'incompréhensible Dieu.



Cette langue cachée dans le désir tu aurais put l'inventer?

Quelle prétention sans borne, hors cadre et donc ridicule.

Mais habiter la langue de Dieu,

c'est habiter la langue d'un être

être laisse une trace

être qui est la trace de sa réalité,

une histoire qui n'est que Langue

et en lequelle le corps nage comme un esprit dans son os.