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25/08/2013

Position de réalité

« Lorsque Galilée fit rouler ses boules sur un plan incliné avec une accélération déterminée et choisie

par lui-même, ou que Toricelli fit porter à l'air un poids qu'il savait être égal à celui d'une colonne

d'eau à lui connue, ou que, plus tard, Sthal transforma des métaux en chaux et celle-ci à son tour en

métal, en y retranchant ou en y ajoutant certains éléments, alors ce fut une nouvelle lumière pour

tous les physiciens. Ils comprirent que la raison n’aperçoit que ce qu'elle produit elle-même d'après

ses propres plans, qu'elle doit prendre les devants avec les principes qui déterminent ses jugements

suivant des lois constantes, et forcer la nature à répondre à ses questions, au lieu de se laisser

conduire par elle comme en lisières ; car autrement nos observations faites au hasard et sans aucun

plan tracé d'avance ne sauraient se rattacher à une loi nécessaire, ce que cherche et exige pourtant la

raison. Celle-ci doit se présenter à la nature tenant d'une main ses principes, qui seuls peuvent

donner à des phénomènes concordants l'autorité de lois, et de l'autre l'expérimentation, telle qu'elle

l'imagine d'après ces mêmes principes. Elle lui demande de l'instruire, non comme un écolier qui se

laisse dire tout ce qui plaît au maître, mais comme un juge en fonctions, qui contraint les témoins à

répondre aux questions qu'il leur adresse. La physique est donc redevable de l'heureuse révolution qui

s'est opérée dans sa méthode à cette simple idée, qu'elle doit chercher (et non imaginer) dans la

nature, conformément aux idées que la raison même y transporte, ce qu'elle doit en apprendre, et dont

elle ne pourrait rien savoir par elle-même. C'est ainsi qu'elle est entrée d'abord dans le sûr chemin de

la science, après n'avoir fait pendant tant de siècles que tâtonner.  » E. Kant préface a la « critique de la raison pure »



Pour dire les choses le plus bêtement du monde, la logique du désir est un langage brouillé, immiscé dans le redoublement simple de la raison qui structure notre sensibilité fractalement angoissée, qui se complet dans l'identique ; le désir y est forcement refoulé parce que  le redoublement simple de la raison « déforme » la transcendante répétition du désir, qui est la réalité de l'Individu ; la stimmung de l'être qui est réel en se transcendant, prend alors des formes monstrueuses ; tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour ou tu en mangeras, tu mourras certainement ; ce qui interdit de devenir l'être éternel que chacun est, et le motive a se forger un moi illegitime ; ce qui manque alors a l'esprit refoulé, ce n'est pas seulement une langue paradoxale qui dit l'être surmontant le néant, mais aussi et surtout, la distance réelle d'un interlocuteur secret, ou la logique du désir reprend son droit a être la logique d'un être qui se sait être le secret d'un autre dans l'icogito des apparences trompeuses qui deviennent vraies a mesure qu'il se detache de leur sens immediat dans le simple redoublement de la raison.



L'oeil baroque décharge les tensions refoulées des eaux peu claires de l'intention pourtant limpide en soi.







24/08/2013

Ontologie fractale d'un être transcendant

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23/08/2013

Les combats de l'imagination

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