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16/10/2014

Note

Il y a deux mots que je ne peux plus entendre : reforme et responsabilité dont tous « représentant du peuple » use abondamment comme d'un sésame ouvrant les portes du paradis du mouvement éternel de ce très mauvais début de millénaire ou au mieux la fonction politique semble avoir percé le secret de la justification ontologique sans risque qui consiste a déshabiller Paul pour rhabiller pierre d'une parole creuse en permanence ; on appelle reforme et responsabilité, ce qui en est tout le contraire et cet usage de la langue incapable de construire une visée véritablement intentionnelle m’apparaît comme le symptôme au sens psychanalytique d'une réalité historique devenue foncièrement inamovible, enlisé a l’Élysée en raison des crispations et des peurs de ceux qui devraient pourtant être les moteurs du changement et de l'ouverture d'un progrès sémantique dans le temps qui ne peut advenir sans une brisure, une rupture avec les formes imparfaite du passé; mais notre monde ne sait plus ce qu'est le progrès dans la reconnaissance de ses fautes ; la société du spectacle est parfaite en soi et ne supporte aucune critique, c'est fort dommage parce qu'alors elle subi en quelque sorte une révolution copernicienne de taille ou chaque jour ses lois changent et se modifient sans que jamais les données historiques fondamentales ne donnent la moindre impulsion a un progrès sémantique. Cette situation se reflète très exactement dans le chômage de masse qui en tant que symptôme laisse paraître le mal-être inconscient du monde salarié ; qu'on ne me dise pas qu'une femme qui mettrait entre parenthèses son désir de grossesse pour se concentrer sur les travaux insignifiants et vains de la tyrannie étatique instituée par les multinationales soucieuses exclusivement de conserver le règne de leur profit incalculable, ne se soumet pas par la menace et la contrainte a peine voilé de la mort sociale, a une logique de mort et de nihilisme ou le rayonnement du sens qu'elle éprouve dans l’élargissement de son désir a la réalité de sa progéniture est mis en suspend pour le bénéfice d'une forme supérieure donnée a son désir de se réaliser dans une tache aussi puéril et régressive que l’impérialisme du gadget; qu'on prenne un instant la vraie mesure de ce qu'aura été pour nous l'avenir dans un monde ou même un agrégé de lettre serez considéré comme inapte au fonction de vendeur en librairie ; les trois millions de chômeurs ne sont que le furoncle d'une fièvre plus générale qui a envahit tout le corps social et qui ronge toutes les tentatives de trouver dans l'existence une impression d'exister ; il y a cinquante ans, il existait encore un ordre possible de composition du désir élargissant sa forme idéale vers une fin réelle pour se reconnaître et se trouver grâce au sacrifice de soi dans un monde plein de sens; une jeune fille munie d'un cap de secrétaire pouvait faire son chemin dans l'existence c'est a dire progresser ; désormais c'est impossible ; et c'est impossible parce que ceux qui devraient impulser le changement sont les plus réactionnaire au mauvais sens du terme et les plus réfractaires et frileux en matière d'innovation, mais aussi parce que les fins auquelles doit se soumettre l'axe du sacrifice sont absolument indigne du désir d'exister ou font de ce sacrifice une tragie comédie ou l'on verse son sang pour conserver son trône a un vendeur de sandwich et autre boisson gazeuse pas même alcoolisée; alors comme on ne peut pas changer carlos bohn on change les lois et on s'en prend aux chômeurs nouveaux boucs émissaires de l'immobilisme qu'ils n'ont pourtant pas créé ; et les nabo du genre Sharko palpent comme des criminels en col blancs le prix de leur douteuse et sinistre leçon sur l'agora du charlatanisme fixé a des tarifs prohibitifs qui feraient hurler de rire la gratuité du don socratique gage d'une authentique impartialité de circulation de la parole dans le ciment social: on imagine en substance ce qui s'y dit : ne vous inquiétez pas on fera de cette masse humaine gazée socialement de la chair a canon capitaliste payable au grain de riz par heure travaillée ; autrement dit l'avenir est a l'approfondissement du nihilisme le plus cynique, puisqu'on ne doit pas changer l'ordre du monde, puisqu'il faut que rien ne bouge on travaillera a développer la culpabilité des chômeurs … c'est la leur fonction, bouc émissaire de la justification des nantis de la quantité sans qualité.

 

Note

Ne voyez vous pas que l'univers est l’épiderme de l'esprit parcouru d'onde et de frisson reliant la chair vide des amants ? Nous ne le voyons plus peut-être parce que lorsqu'un monde s'effondre la granulosité de la lumière devient plus instable et semble croiser les confins qui déstabilisent l'entendement, entre l'ipsum et l'atomisation, les positions incertaines de tout commencement réduit le monde qui n'est déjà presque plus qu'a un affolant système d'accidents violents ou en vain le désir cherche les traces possible d'une répétition en lui-même et le mouvement d'un réel progrès sémantique dans l’édification fait défaut. Ère de la beauté mécanisée reproduisant les cellules sémantique de l'avortement herméneute, chemin qui ne mène nulle part, krematoriom en lieu et place du foyer des regards sans vision, totem prophétique du démembrement, tête et jambes coupés, voix sectionnés par la domination du bout de gras dans la gueule des puissance de l'argent roi qui ont en haine la salut de la pensée et tout progrès sémantique formant histoire et chair ontologique ; règne de la virtualité … nous avons hérité d'une violence extrême, d'une haine de ce qu'il y a de plus fragile dans l'humain qui œuvrait dans le monde des bâtisseurs de l’arrogance, d'une violence a la fois séculaire et pressente a chaque instant, créant des vertiges de profondeur sans fin pour le regard perdue dans la contemplation du bouillons de l'inhumain cherchant dans les cendres des chaudière du vide la silhouette des aimés. Elles ne sont jamais apparues autrement que sous la forme idiote du sourire blanc du revendeur de télé. Au-delà de l'histoire, quand un monde prend fin, la continuité historique du redoublement du désir en lui-même nous saute au visage parce qu'il est devenue illisible dans l'alphabet du monde en ruine segmentant toute herméneutique possible ; les confins se confondent, birkenau préfigure l'avenir de nos ressouvenir passant sur la scène de l'histoire impossible comme un défilé de mode absurde et abjecte. Nous sommes né dans un exil bien plus profond et contraignant qu'il peut sembler au observateurs inattentifs ; la sécularisation marchande du monde ni est pas pour rien, l’extrême violence des puissance de l'argent et du nivellement sur lequel elle repose, le lien opérateur entre l’inconscient et la psychanalyse axiale autour de laquelle roule l'ombre des foule comme l'envers des saint rouleaux n'est pas le fait de ceux qui viennent mais l'essentiel héritage d'un échec des générations précédentes a avoir transmuer le désir de l'autre autrement que sous la forme si convaincante du succès palpable de l’aliénation volontaire aux puissance de l'argent ; chose essentiellement risible et absolument indifférente ; nous ne connaissons plus de progrès autre que celui de l'augmentation quantitative du poids de l'angoisse ; et dans l'univers pulvérisé de l'un devenu improjetable les cadre sup de chez google devront mettre en stand by leur désir d'enfanter, pour se concentré sur les taches absolument ridicules puériles et insignifiante au derniers degrés du développement d'instagramm ; tache vaine qui loin de renvoyer en échos le scellement du très cher coagulé dans l'organe cardiaque, ne nous renvoie que notre cri de perdition sans plus personne pour entendre et écouter, mais au contraire, répercutant notre désespoir comme les flûtes du taureau de phalaris, en mélodie qu'ils nous faudra faire semblant d’apprécier pour ne pas être mis a mort socialement instantanément ; là est le prix de votre confort (est-ce ce plaindre que de le dire?); les cercles progressifs de l'inscription dans la vision ont tous été écrasé sous le règne absolu de sainte Croissance des privilégiés ; appartient a la violence tout ce qui est illégitime, tout ce qui ne se justifie pas par le foi; la violence est l'accident généralisé, c'est la matrice essentielle du monde incohérent et sans justification. Nous sommes, je veux dire, ceux de ma génération qui sont né autour de mai soixante-huit les produit non d'une filiation humaine mais d'une machinerie de scène de théâtre ou manque la présence des êtres réels autant qu'un monde comme totalité lisible et visible dans leurs yeux ; nous avons vu le monde leur échapper a mesure qu'il croyaient le dominer, nous les avons vu nous exposer a sa putasserie comme ces mal formé que les grecs livré au vautours et aux corbeaux; nous n'avons jamais été autre chose que des témoins de l'injustice et de leur mauvaise foi, ( mais bien sur le simple fait de le dire nous rend suspect du même vice, voire d'un ressentiment plus profond dont pourtant nous nous défendons) ; œil désincarné apprenant de la manière la plus douloureuse qui soit a n’être rien que les témoins orphelins de l'inutile vanité léguée en forme d'impasse existentielle se surajoutant a l'exil de l'ex-ister s’enfonçant dans le tour du bouillon granuleux de toutes les dimensions du refus de l’arrogance mère de toutes les confusions. L'amour est certainement la chose dont nous avons le plus manqué car dans ce monde illisible tout n’était que compétition, acharnement a la domination, ruse et stratégie de puissance et de pouvoir malin, dénuée de compassion, aucune pitié aucune piété n'ayant plus la force de relever l'univers sombrant dans l'angoisse sans fond de l'insignifiance lustrant le spectacle permanent ou ne règne que les élus de l’indifférence, bête de choix, assassins ontologique de cette humilité sans laquelle l'enfouissement des êtres chers dans le secret de l'esprit ne germe d'aucune lueur intériorisée ; la transmutation de l'aimé dans la lecture du monde qui le rend secrètement partout présent a été substitué par le regne des sans cœur alléché par l'argent ; c'est ce monde là, et cette forme la d'humanité que nous refusons, incapable de comprendre le monde comme la matière ambiguë de la traduction du secret dans sa reformulation consciente ou le secret ne de décante nullement, mais s’intériorise comme tel dans un monde ou tout devient signifiant ; on peut rabaisser la critique a la plainte, et signifier le subjectivisme du critiquant … a qui profiterait ce crime ? …. nous demandons simplement a ceux qui nous précédent : étés-vous bien sur que ce que vous avez bâti soit bien un monde ? Ne s'agit il pas plutôt de votre confort et satiété permanente dont vous avez les plus grand mal a vous défaire ? Et si la question est irrecevable alors je vous en prie je vous en conjure comme un agonisant assoiffé du fluide de la progression sémantique qui a mes yeux définirait ce qu'est un monde comme renvoie du secret détruisant toute utilité et construction de sa manifestation devenu consciente (le secret révélant n’étant pas autre chose que la conscience du mystère et non le fin mot de l’énigme) ne me laissé par mourir dans d'affreuse torture spirituelle, mais visez juste et achevez moi d'un coup sec et qu'on en parle plus.

 

15/10/2014

Liberté intégrée.

La première mesure du mystère du cercle de l'amour propre qui pourtant bien ficelé s’échappe a lui-même c'est la lune blafarde dans le rond d'un étang qui brasse la mélancolique sérénité … c'est les deux yeux perdu dans le vague regard du cyclope et déjà l'incarné amour propre qui se mue en ce qu'il faut trouver … c'est la même chose l'amour propre et la vérité mais renversé l'un dans l'autre … le mystère c'est ce qui s'incarne a travers cette mue qui apparait sans disparaitre jamais plus ... c'est l'impression profonde que vont chercher les lettres dans le silence des fonds baptismaux de la sensibilité… et c'est de la cendre du cercle premier de l'incandescence que jaillissent les mots éclot de la souffrance a panser mais pas encore libérés d'elle; c'est eux qui jetterons l'assaut du manque au descellement des silhouettes surgies a la surface de la souffrance dans le dépôt du vertige par lequel la douleur sera renversée en notre présence mutuelle... les mots sont comme les bris du cercle premier des fables tombant en germe de catastrophe, la sensibilité percée par la mort innommable, reviendra a elle nommée en kata-strophe,  kata dunamin sur un nuage de lettre plongeant dans le sol des souffrances sensibles au passage du temps, le concept de la nouveauté, l'inespéré concert capable de fleurir d'aube et de recomposer la terre de la sensibilité riante par les vues de l'astronome en redingote d’intérieure examinant le premier pas des astronautes sur le pistil des fleurs harcelé de lune comme l’épiderme sensible a la mort de leur globe de mercure couvrant leur yeux… c'est là, au désert que l'amour propre, sensible a lui-même, satisfait muet puis déchu mystérieusement, comme frôlé par quelque astre étrange et d'invisible gravité, recompose le cercle neuf de l'esprit renaissant de la sensibilité muette en corps parlant avorté du regard veuf a trouver et a définir par le medium du mystère consolant … cette reculade avancée qui fige le temps l'empoigne car il revient a la souffrance de se chercher, de se définir en l'aimé et de se dépasser en le trouvant … toute vérité de concept possède sa vérité d’atmosphère et dans la foule je ne vois rien qu'ombre et néant du spectacle insignifiant … ils sont chacun au bord de la prodigieuse faille et s’épanchent comme cerfs, renards et sangliers assoiffés l'un de l'autre par ce qui s'est effondré en terme d'eux-même sous leur poils lustrés de faune, le tronc des peupliers les salut et se courbent comme des archers tendues par des mains pleine d’écailles et de feuilles, faisant trembler l'eau de l’étang qui s'enfonce au-delà de ce qu'on peut comprendre et imaginer; le faîte trempant dans l'imagination transparente, la sève perds la boule logique et désespère a fond, jusqu'à maudire et noyer le jour de sa naissance dans l’étang, ce qui est une façon de parler, de dire l’être cher surgissant du secret parlant de la chair a la chair intérieurement … une manière organique de désespérer avant de pouvoir faire confiance sociétalement, une épreuve ou en sombrant l'amour propre prépare le risque, élève le possible a la réalité comme un risque initiatique sans lequel toute communauté n'est que chimère d’êtres volubiles et inconstants, une manière de descendre sous le temps pour en secouer les puces intemporelles qui mitent le motifs et de laisser l'amour renaître dans l'espace symbolique de la terre soudainement dévoilée entre les fougères ou la nymphe éprise de narcisse n’était encore qu'un échos aux yeux sourds de son amant … une autre manière de parler et de dire l’avènement d'un monde qui relie la chair des aimants comme ces lourdes pierres millénaires qui criblent le fond de l’étang d'un épiderme chaotique pourtant plus léger qu'un frisson du lien ardent; les perles logées en ce foyer de chair perdue a elle-même, ou prise de se sentiment comme par un mutique vertige isolant, remonte le chapelet d'herbes et de joncs, d'intuition en sentiment, parlant tous de toi, et de l'huître fermée de ton sourire comme un ultime pli sur le silenne insondable, ridule sur le sable mouvant ou le risque prend pieds dans le mystère de la souffrance révélée … c'est que tu es le secret du cœur échappant a toute expression autre que révélée dogmatiquement.