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30/11/2014

Free Hugs

Coiffe d'ivrognes boucles le saint art de mourir et la conscience de l’être paraît qui donne a la beauté son nom. Il y a multitudes de mois possible dans l'année qui filent la salaison tout au bout du mystère poisonneux ; ici la fumée éteint l'incendie hors de son cadre ; ce qui est vraiment éteindre la peur dans les eaux salvatrices du mystère. Soit que la chair se détermine résolument en un geste d'une inconscience folle, soit qu'elle se dilate et s'impose comme un symbole qui réduit l'angoisse au mystère apaisant de la mort, sacrifie a esculape ! comme un point abyssale de contact entre l'intelligence et la chair, barbare gouffre de bonté, sente pavée d'oubli des solutions, irrésolue scientifiquement, irrépressiblement déterminé a l'infaillible, c'est la foulée, le mont gravit, du poil hérissé en son Nom tenu secret. Sans cette transcendance du Nom tout est sous verrou et sous clef. Au vingt heure, les brèves de l'inactualité. La lecture décroche le branché, et l’harmonie homme femme, fondée sur leurs complémentarités pharmaceutiques, comme il est noté dans le Banquet de Platon, sèche comme un cadre se brise s’écaille pour une mue nouvelle, une nouvelle union, asexuée, de l'intelligence et de la chaire, qui rend son cors au temps, et a la guerre, cette forme vivante d'identité dialectique et camouflée, de l’égalité des deux sexes devant le tout puissant qui repose peut-être a tes yeux aguerrie, sous l'apparence du thuya mort prés de la machine a café, ou dans le gobelet qui s’éveille peu a peu, en rêvant des couche profonde de la terre, de la source pétrolifère dont le sommeil l'empli, puisqu'il n'a pas éblouit de sa forme imparfaite les blancs cercles de sa neige magnétique dont elle remonte la route en plastique mourant.

 

Maintenant il age les ténèbres sans passion ; la mort de la matière, brise son reflet sous nos yeux vivant de nous sans notre consentement ; il pends a ses cheveux, la mémoire des pierres et les nattes des galaxies fouettent ses bleues d’échine; le miroir du pas encore a cesser d’être ; et si l'instant de la dernière nuit de l’époque luit encore et a jamais a l’intérieur du visible, c'est désormais comme invisible qu'elle est devenu son insensible conscient ; insensible est le dos du salut, qui déchiffrent vos visages comme un aveugle les traits d'une statue ; insensible est le sillage dans le temps, la trace que laisse l’être qui doit tout emporter ; l'oubli de ce pas nourrira nos travers, et obstruons l'avenir de l’éternité en ne voulant pas que du fond de la subjectivité, le passé luise comme la lumière dans l'univers ; du fond d'un gouffre d'insensibilité ou s’absente le trou de la présence si facilement refoulée, ce presque rien a prendre ou a laisser, de l’entière chaleur de son Son Nom transcendant, filet devenu chaire, extrait du conflit intelligible, maillé de rire reprisant les tragiques rumeurs des trous de verres dialectiquement équivalent ; abyssale beauté ! de vers luisants.

 

28/11/2014

P.Reverdy

Loin des voix
Le moulin d'écume tourne à rebours
Le sanglot des sources s'arrête

Laisse là

La peau de la folie au touchée sacré ne se refuse rien sinon de gruger la vérité ; parler c'est vomir de la lumière qui tient la route, clouer les semelles péchés aux calices de nulles part, a la boue de l’éveil a la saveur de l'être, au goût du je ne sais rien d’où pro-vient la réalité, que seul la langue flaire et respire comme une clef sa serrure a ton matou caché, inaccessible forteresse d’érotisme barricadée, caoutchouté hiboux maillé, cailloux choux genet de sente disparue, tombé dans l'oubli des vases extatiques, par ou jette l’œil le cerf, sur le timbre des hémisphères réunie en fougères de toutes les folles violences meurtrières, les horreurs du carnage de cordes éblouit, effacèrent toutes mes complications, réglèrent en une seconde le résumé de la vie, révélant par la même, l'essentiel a la chose même, une certaine teinte incongrue de tachycardie, la réelle virginité du sphinx resplendir d'un oubli nouveau, post-moderne, effaçant du terne éclat de la vie les fins imposées par le savoir; libérer le savoir de dieu, pauvres gladiateurs aigris! a quelle onde du bord de champs de bout du monde trempent tes lèvres ? Vois le spectacle invisible dissoudre l'amer, et la douceur rendue des armes qui s'envolent, flambent comme le symbole violent du rapt a tout est fini.

Mais la première fois qu'une prof de dessin me demanda d'aller laver mon croquis je ne compris pas que tout effacer était nécessaire pour voir la réelle beauté. Or depuis, les lois sont devenues quantiques ; elles sont sans être ; elles sont une occasion ; un rien nécessaire ; aussi légères a porter que lourde a analyser. Ce n'est que bien des années plus tard que je parvins a me libérer de certaines interrogations liées a la complexité de mon lien avec ma propre culture, qui elle-même ne cessait de se complexifier alors que, me semblait il, mon éducation ne me permettait pas de la comprendre, ni de me comprendre, et prendre possession de moi; certaine interrogations mirent des années a se formuler en moi et a trouver leurs objets aporétique de civilisation ; mais en quittant le berceau de l'humanité, je ne trouvais rien d'autre que le règne d'une immuable loi.