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30/09/2014

Note

La félicité c'est l’âme de dieu en bénédiction dans la suspension de ta voie repentant l’écho physique de son cœur transcendant, mieux vaut alors qu'un gouffre nous sépare, qu'un abîme gel toute communication, et que dans le kyste de ses dérélictions l’âme s'invente un monde pour laisser entendre sa voie, et qu'elle creuse, couche après couche la matière de ses craintes et de ses tremblements, plutôt que de croire a un christ immédiat, qui serait présent au milieu de ce ciel vociférant de voies sans distances entre elles, ou toutes s'entendent dans l'illusion du fade book qui est pure chimère ... introduit y un seul intérêt vital qui déchire les passions, introduisit y une seule détermination vraie de l’imitation, celle par exemple selon laquelle suivre christ soit punissable d'excommunication … voir de mort sociale et plus si affiliation, et tous fuiront comme des Nicodèmes. La fausse immédiateté de fade book est aussi proche du christ réel que le lion qu'un saint caresse est descendu des chimères. Et quand bien même tous les hommes seraient les plus parfaits des oints quand bien même tous auraient franchis victorieux les épreuves réelles et retrouvés comme les personnages de Flaubert une intégrité qui leur manque et qui les faisaient monstrueux, l’immédiateté du devenir ne serait pas l'air ouverte de la communication immédiate facebookienne qui est juste une supercherie supplémentaire ajouté aux couches du spectacle jouant avec l’irisation des lumières, avec l'idée que la communication instantanée est la même chose que la répétition téléologique de la transcendance dans le corps d'un individu intègre qui prend toujours tous son temps.

Note

Pourquoi avons nous renoncer a croire au pouvoir transfigurant de l'amour ? Pourquoi avons nous transféré ce pouvoir du domaine de l’éros a celui du calcul scientifique et marchand ? Emma meurt des la conception de son amour qu'elle ne croit pas capable de transfigurer Charles ; tous les personnages du roman de Flaubert achoppent devant la tache propre de l'amour ; relever Charles de sa lourdeur inertielle, rendre a Emma le sens suspensif de l’éternité dans le prosaïsme des jours qui ne manquera pas de flétrir aussi de ses malentendus l'opinion qu'elle se fait sur sa passion a propos de Rodolphe en croyant que quelque chose peut échapper a la banalité du temps, a moins d'y être précisément « répété » en sa valeur absolu par le pouvoir de l'amour ; de même qu'Emma ne sauvera pas Rodolphe de son Donjuanisme ; c'est le roman moderne ou plus personne ne sauve personne et ou personne ne comprend pourquoi ; Flaubert écrit le roman de la modernité psychologique, le roman de l'impasse existentielle d'une humanité qui se veut moderne en cessant de croire au miracle, lui substitue les œuvres de pelage a celle de dieu. La modernité est cette impasse de l'amour qui ne croit plus a sa capacité de relever les êtres, qui ne croit plus en lui-même, ou qui substitut les moyens technique de la science et du capital pour réaliser une histoire qu'il ne peut accomplir que par miracle. C'est la modernité même, l'errance dans le malentendu, la décrépitude de la foi devenue non-sens.







29/09/2014

Marine.

Vu reportage sur Marine ; étonnant le passage du mal être, a l'identification de la cause par le bétonnage idéologique d'une parole déroulant le tapis du motifs des souffrances ; langue devenant motivante ; métaphysiquement parlant, Marine est le fruit du retour de l'impensée ; non pas l’idéologie raciste ou le discours creusant les complexes éternelle de l'identité, mais le retour de l'impensé métaphysique : il n'y a pas de savoir absolu du bien, ou encore l'ironie est ce savoir semblable a un rêve; c'est un golem en train de se former du reflux des marais de la bonne conscience politicienne qui ne laisse que les imprécations de rejet s'exprimer du cœur redevenu inconscient lors de cette pseudo édification ; intéressante les trois phrases sur la place du christianisme dans la société française, venant juste faire exploser le discours anti-crise fondé sur un soi disant développement de la charitas chrétienne bornée au moi incapable de se définir autrement que par les possessions qu'il a sous la mains, et qui comme job lui seront retiré pour qu'ils les espèrent et les reçoivent dans leur identité; c'est la ou la bas blesse (hormis bien évidement le « racisme ordinaire ») ; je veux dire au niveau de l'ontopoietique et de son glissement dans les crispations du langages politique ou la violence »naturel » d'une passion , pas encore entièrement subjective, ne prend que peu conscience d’Elle-même; la ou l'idée de reprendre a son compte dans des mœurs protectrices fondant la politique du quant a soi, l'idée fini d'un risque absolu d'aimer ne colle pas vraiment. Peur de perdre tout. Épreuve quand le sacrifice n'est pas assez grand. Joie du don quand perdant tout on l'attend. Rigolo aussi l'automatisme pavlovien, cette volonté d'engager des énarques ou je sais plus trop quel tronche de premier de la classe pour en faire les cadres du parti ; comme si poser le paradoxe ne relevait pas ipso facto de la tache du poète et en aucune manière du technicien ; proche est lointaine est l'identité en cours de procès historique. Il ne faut pas l'oublier, or c'est précisément ce qu'elle oubli et qui fait d'elle un être, chrétiennement, sans avenir métaphysique, c'est a dire encore sans parole. 

Cela me refait penser a l'actrice de ce matin a la radio; il y a humour et humour ; ceux de Shakespeare et de chaplin et de woddy allen, sont toujours nimbés de mélancolie (comme celui de de funes qui au demeurant était un excellent métaphysicien); parce qu'il sont des focales sur ce qui échappe, des mises a jours du trou dans les limite de la conscience; mais quand l'humour devient lui-même le sérieux, quand il n'y a plus la distance, alors on confond tout et on appelle joie ce qui n'est que souffrance ( ce qui au demeurant est le signe d'une profonde empathie possible, mais qui ne peut "persévérer dans son être" que démoniaquement). C'est un peu le complexe Bardot : on commence ça vie par le don absolu de soi et on fini au FN parce qu'on s'est balancé d'un bord a l'autre de la vie sans tenir ensemble les contraires certainement lié en une puissance supérieure qu'on brule de voir en face.

Bien sur mon cher lecteur tu te demande comment lier ensemble les contraires, comment en faire en outre une praxis ; possède sans posséder et ce qu'on te prends ou ce que tu donnes, tu le retrouveras au centuple dans une identité qui sera plus qu'une crispation avare mais une authentique épiphanie. Relis job.

Une militante fn propose a une femme immigrée une date pour qu'elle prépare un couscous de rue auquel chacun pourra venir goutter; louable intention républicaine, mais inverser pour qui veut intégrer, et peut-être l'inverse eut-il était plus judicieux; ma grand mère est morte, paix a son âme, mais c’était une cuisinière hors pairs qui avez travaillé toute sa vie comme seconde chez un traiteur très réputé de Touraine, mettez la trois jours d'affilé au cuisine avec cette femme et en changeant son palais vous modifierez ses racines. Effectivement tu perds un repas, mais ce que tu gagnes en libre volonté d'identification a ta culture est incomparable. Et si tu fais un tel repas, nomme le festin, et n'offre que ce que tu as de meilleurs a manger; tes plus savoureux fromage sur un nuit saint Georges ou un moncaillous, des ortenlents en sauce avec ces petites pommes de terres en robes des champs; parce que c'est gens te sont étrangers tant que tu n'a aucune origine commune a partager; et qu'on t-il gouter de la France? rien; prépare leur ton plus beau repas et sert leur comme le pain béni de la France, le fruit de la république et les premiers pas laïque dans la miséricorde de dieu, et tu feras les voiles s'envoler. Et s'il ne boit pas de vin.. interroge le sur l'ivresse du paradis et dis lui que les lèvres de nos vignes, ont par nos soins millénaires obtenu le même gout.. assurément il sera tenter.