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11/03/2015

Note : physique et subjectivité : l'incommensurabilité

 

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Photo: Camille Philibert-Rossignol

On dit que la physique quantique met a mal le réalisme commun, mais a t-on jamais penser qu'elle révélait simplement l'incommensurabilité entre l’extériorité et la subjectivité ? A t-on jamais simplement penser qu'il pourrait très bien ne pas y avoir de commune mesure entre la subjectivité et l’extériorité ? De sorte que ce qui semble un paradoxe aux physiciens et met a mal le sens commun du réalisme, se trouve être le signe d'un schisme au contraire plein de sens pour l'esprit religieux qui s'attend pas a ce qu'une continuité s’établisse entre l’intériorité et l’extériorité, mais au contraire s'attend a ce qu'un abîme les sépare, sans lequel point d'esprit c'est a dire de rapport indirect ?

L'impasse ouverte

 

Photo: Camille Philibert-RossignolIMG_8069.JPG

 

Les variations de Constance, ne laissaient pas le soleil traîner ses épines au dessus de l'amer bobine du magnétoscope, quand il se couchait en bénédiction dans l'émotion de la présence de la réflexion incarné du miroir impalpable... la main a travers l'esprit passait, et empoignait la mort qui couvait ses défaillance pavé dans les champs de cécité magnétique des intentions gazeuse et non transcendante... pression et dépression de l'impression draguaient les grands fonds diamantaire de la subjectivité du néant réduit a rien ou se lève l'astre du souffle sonnant, mais convertie en espace temps, par toutes les fenêtres de limailles nous voyions la mort surtout ramener son filet de conception, raclant sur les carbones silencieux les rayons brisés de l’herméneutique emprise d'une langue prise a la gorge de son dessin; la mort en suspension magnétique est la première silhouette de l'appel, la limite de l'intelligence, les confins de la réflexion d’où reflux l’éther du transport des cendres des démonstrations au centre de la preuve palpitante de la somme animale dont la peau en systole zoom sur l'innombrable zoon du frère éclairant... l'impasse des miettes ajoute au nombre des nombres ses livres au crayon du phénol extrait des huiles lourdes du goudron des gaz remontant des symptômes de l'engorgement des cieux et l'accrescente amibe se dissous au contacte de ce qui la fortifie sensiblement dans les paradoxes de Zénon, qui marquent la distance imbibée de lumière du continu espace-temps de la réflexion; l’épiderme en transit permanent n'est qu'un rapport herméneutique dont les versions politique et financière, économique et psychanalytique ne soldent pas les compte du verbe incandescent ; triste matière des sous-produit étriqués de la parabole religieuse... et vous voulez interpréter le plus grand par ce qui est moindre que Luit ? … étrange dialyse en effet, des saigneurs de la terre qui sont l’opium du peuple, et l'asile de l'ignorance physique... la langue du cœur éclatant, la plus haute pensée qui puisse organiser les membres de tes mouvements, n'a rien a voir avec cette ciguë de mots et de chiffre que vous faites boire a chaque fibre de vos ligaments... car le premier soucis est la dernière consolation, entre elles, copule le tout de l'espace temps sans lequel la conscience éternelle se palimpseste et se perd dans la ténébreuse confusion d'un monde qui doit passer en un clin d’œil pourtant... ainsi fi de savoir si le monde a ou non un commencement... fausse question, pauvre querelle... c'est éthiquement qu'il te faut résoudre le problème savoir si en ce bref instant tu as ou non aimer un être éternellement.

 

10/03/2015

L'esprit habitant l'etre que l'on habite.

 

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Les voies chimiques de la société sont des précipités éthique du corps spirituel d'un être qui n'est qu'un geste, germant parmi les crocus sauvages d'autres origamis de nus yoga préhistorique et feuillus entre les tuiles rose de ton corps réunies dans les taux de concentration de la terreur armée du nihil des vertiges pendus au lare foyer du dieu; la poupée poétique dilue les saturnes contorsions de l'horreur dans des bains d'absurde gorgées de soleil ; indistincte et assoiffée elle abreuve de ruines la possibilité même de penser, de passer a travers l'opacité de l'hylé sauvage, en liant l'image de la jungle au reflet harmonieux des ficelles du demeuré secret ; entre temps les apparitions primordiales du sensible se dilatent, poisseuse vérité sortant du puits couverte d'apparitions, toutes réfléchies au toucher; aux bout des doigts l'effet de la réflexion touche au boucle de la pensée, comme une mère caresse la tête blonde du nouveau né; et plus tard, dans des écarts de temps rapportés a lui-même, porté par l'onde elle tracera sur les névés de l'albumine insignifiante, les nervures des feuilles de l'arbre invisible du ressuscité ; sous ses yeux, a ses pieds, l'intelligence du perçu reflux comme la sève spirituelle sans coaguler la source sigillée de la souche empruntant les distances discrètes de la puissance créatrice retracée; c'est assez ! Souvent trop peu de dune escaladée, de danses méphistophéliques, de lianes carbonifères, aux branches prèles d'une certaine somme d'actes autorisant l'interdit qui s'annulent, se contredisent en croix de souffle habité ; restent les demeures célestes de l’éthique, la dignité et la clarté ; l’évidence coruscante des chutes de limpidité ou se terrer n'est jamais ficelle.