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06/03/2015

Teichoscopie

 

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Bramons frères l'obscur faux bon de nos goitres asséchés par l'aride liquidité du diamant subjectif, l'eschaton ruisselle par l'intestin grêle du fondement le long des murs du shéol, ou s'effondre nos mots dans la vapeurs d'une syntaxe gamahuchée par les informations du wake ; en vérité je te le dis mon corps s'est débiné pendant mon sommeil, entre les turbulences d'attention, il s'est enfoncé dans sa propre voix dénuée de rigueur, et la moelle qui l'a absorbé comme une mollesse de chair, le rend nouveau a la onzième heure de l'aube, enfanté des sueurs froides de la grammaire véridique de l'effroi du saint axe; tout autre parole est dénuée de réflexion, un sac d'aspirateur pour la poussière des os transformée en crête d’océan, raclure d’écume sous rageuse et cutané arraché par les ongles de l'outre de ma peau; le ventre est une oreille, le foie un tympan qui a faim des murmures des vagues sensations d'outre ressac ou flottent encore les os de la vie et de la mort indistinctes; un héron béquille l'eau croupie d'un téton de bec planté au vase renversé du mur ouïr; écoutez frères ! comment pluton raisonne, comment assainir l'eau vaseuse des sentiment, en renonçant a tout attache terrestre, les yeux et les poumons déplaceront les murs de l'intelligence céleste, reculeront les limites du dicible jusqu'aux confins de l'indescriptible jusqu'au terme de la progression de la langue étouffé par le coup de lapin, le coup derrière la nuque des réflexions coupables qui progressent a reculons jusqu'au terme précipité du commencement; nos mots sont les pores de l'esprit, et ton corps l'organe définitif de la langue transcendée par la trajectoire de la syntaxe du mammifère parlant de son partage et de Celui qui a tout posé; l’époque est a la dévoration de la langue par elle-même, par manque d'amour, de bénédictions tissées de soie; mercure au ciel couvre chef comme une glousse ses œufs dont l'albumine remonte le long d'un rêve en suspension dans les gaz acide de la skepsis jusqu'au présent de la kénose du tsimtsoum ; viens frangin ! Il n'y a plus rien a espérer de ce monde ! Il y a un monde a traverser ! Au bout de son impasse, a travers son mur de contention contradictoire, observons les batailles de la réflexion interstellaire délivrer l'organe du corps spirituel du sens transcendé des terrestres fragments de son met de systèmes étiolés, et lève ton verre de vie éternelle en l'honneur des convives invités au consommation contradictoire du festin consanguin qui passera en un clin d’œil; ses restes ont cartesiennement disparus au passage de l'abstraction qui les a chassé d'un revers de main, en brassant les sensations du cœur pur de ton nouvel organe noétiquement transparent et déployé.

 

05/03/2015

Traluire

 

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Voici, la langue sous la langue, le temps de la pensée dans les boyaux de chair, les portes de l’éternité claquent en bataille et cisaillent comme une bouche tous les voyages aux pores de l’épiderme qui sont les forges intempestives de l'inactualité; l'astre au pore interdit glisse sur son axe, brille et scintille comme un flou dans l’appréhension directe, s'atomise le sentiment immédiat, transforme la chair en pensée qui rompt le rapport a soi et révèle l'esprit éblouit par les milliards de pores de la mer pensée interrogée par la lumière; l’œil en passoire, au seuil des sphères, s'effondre dense comme un coupable allégé du poids de sa réalité injustifiée, fait d’être chair sans esprit c'est aussi parler, mué en avenir de gloire au souvenir des souffrances relues; la chair est un mode d'approche du texte verbe, ou le sentiment désespéré se transforme par la lecture en une joie infinie ; le sentiment incorporel de la chair incorporée n'est d'abord qu'un confus désir, qui transe pose l'esprit en lumière langue ouverte par culpabilité interposée; grosse angoisse engrossée, la plus haute pensée comme d'une grossesse passionnée, une inflexion charnelle, du malgré soi, l'amour de la pensée, l’être omniprésent a luit, obsessionnellement entièrement ajourée, imitant les pores de l’épiderme de manière réfléchie, éthique qui ainsi donne corps a l’élément in-substantiel de l'esprit qui louvoyait dans la chair électrique, la totalité désormais organisée par l'infini de l'idée, devenu l'élan du geste éthique réfléchie, chair habitant l'esprit de sa raréfaction éthérée, âme et chair transposées parce qu'elles sont une totalité a la manière du tout et de ses parties au regard d'une complète pensée d'un être incarnant l'idée d’être éclairé par ce qui Luit... de Lui en qui nous avons l’être et le mouvement, Sa lumière tombe en chair, et la chaire éclaire de notre présence l'iris de ses yeux matérialisés qui scrutent, sculptent et dévorent du fond de notre animalité, la justification réifiée de la chair a l'esprit, comme on dit chair a canon réciproque, présence de l'explosion dans le terrain miné du canevas des obus de tous les motif possible de nos projections entre autres raisons d’exister.

 

04/03/2015

Tannerie


L’œuf d'un rêve se brise au dessus de l’océan a jamais tamisé, le jaune au crible laisse luire un quart d'heure le doux feu des températures fœtales descendues au cœur de la langue; aiguise ton entendement, affute ta pensée, déclare la fin des maux; forcement le tissu possède une autre rugosité ; a un mille de résolution optique, on aperçoit nettement les pics d'escarboucles grisâtre supersymétriques coiffant les falaises de ronces ; un groupe d'hommes des sables les traverse ; ils sont couvert d'aurores boréales vagissantes comme des ecchymoses verdâtres autour de leur yeux de marbre; a leur passage les vignes contractent leurs grappes, ce sont les mures constellées du sang photonique tournant vinaigre autour de l'effroi caillé de leur peau d'agrumes et de citrons enfoncés dans le coin des plages ; l'eau leur passe a travers, et coule le béton du couloir industriel, étrange pétale ou pousse les pépinières d'entreprises ; l'insouciance absolue est la quintessence du travail, son œuvre et sa conclusion la plus parfaite, faite d'un vide aussi solide que celui ou s'enfonce les étoiles qui tremblent pourtant au fond de notre pauvre gruyère mental ! milles allées et venues du vide qu’achète la monnaie, ne feront jamais au cœur autre chose qu'un cimetière des carats d'usines paniquées et sacrifiées a la guerre du vert billet; c'est la mort des océans, la mort des forets, la fin du règne de tous les vivants, libre et sentant qui s’organise dialectiquement autour de la boule a billet ; penchez-vous et voyez ! … que non pas, c'est a peine utile... redressez-vous au contraire parce que l'argent est une langue qui a sa mystique propre entièrement nihiliste et c'est a travers elle que nous formons nos organe a la sensibilité de la richesse et de la plénitude... ô suprême couillonnade, dernière confusion, pic monstrueux du démon caché dans ce rien, ce détail... si la félicite est une insouciance parfaite, alors assurément le sentiment de la plénitude du temps ne peut se fonder sur le capital qui est un amas de poussière ou justement la langue dit le contraire de la vérité qui est que dieu est le comment on se rapporte a lui... et notre tolérance envers la richesse, si facile a justifier comme a combattre par de faux arguments qui ne repose sur aucun infini de l'idée est au moins aussi coupable que notre lâcheté envers les barbus égorgeurs de mécréants... pourtant c'est dans la langue de l’argent que nous élaborons et décidons de nous mêmes, de nos libres projets existentiels ou nous nous effaçons a nos yeux, non par mort sacrificielle de Narcisse qui rendrait l'esprit sans trace objective de sa réalité semblable au moi réduit a sa subjectivité, mais pour laisser luire dans la mort de l'esprit les grattes ciel de la puissance fondée sur la catastrophe spirituelle... mon ami court éloigne toi je t'en pris, cette prégnance de l'argent est une prémisse de l'enfer qui grandit a mesure qu'elle devient insensible.... ouvre les yeux sur ce medium ! Cette loupe ou tu t’entre-aperçoit drogué jusqu'au yeux sous les traits mystifiant d'une réalité qui ne repose sur aucun ordre, aucune corps, aucune fusion, interaction permanente de la pensée et du sentiment corollaire, aucun fondement légitime de la réalité de l’être en toi... est-ce bien toi, d'ailleurs quand tu paniques devant les objectifs du mois? …. dans la boule de cristal de ce medium au flux impalpable et éthérée, nos routes sont toutes tracées, effacées, rayées de l'extase et non redoublée en elle... et les suppôts de ce verbe seront assurément inconnu de l'esprit qui n'a jamais rien su de l'argent, qui trouve tout naturel de le faire venir au monde d'une manière absolument inexplicable, insensée, comme vomi du ventre d'un poisson payant le droit d'entré en capharnaüm ce lieu ou selon l'essentielle impensée de la langue de l'argent, les moyens n'importent pas a la fin... souviens-toi, que le contraire est vrai éternellement, et que la fin des temps refermera sur elle-même la conséquence infinie de tes premiers mouvements au jour du jugement.