Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27/02/2015

Isabelle Raviolo

« Les paraboles ne sont pas une manière imagée de présenter des idées pures, mais le seul langage capable de porter les relations de la vie religieuse, paradoxales comme celles du monde sensible. Les paroles et les gestes sacramentels ne sont pas les simples signes de quelque pensée. Comme les choses sensibles, ils portent eux-mêmes leur sens, inséparables de la formule matérielle. Ils n'évoquent pas l'idée de Dieu, ils véhiculent la présence et l'action de Dieu. »

Note

A quel taux de consommation doit on porter la vapeur pour qu'elle brûle toutes les graisses, et lubrifie les pièces mécanique de monnaies ; par chez nous c'est l'argent qui se consomme lui-même énormément, qui file de plus en plus vite ou se reconstitue d'un coup presque miraculeusement...

 

Nietzsche donne la formule d'une sensibilité radicale, mais elle s’appuie sur le mythique éternel retour, et non sur le jugement intérieure de l'amour qui en forme la structure consciente éternellement ; chaque point du temps est envisageable du point de vue de l'amour.

 

La pensée est une force physique brute qui palpite en nous, une passion qui se jette aveugle dans la langue comme la vibration de la corde dans l’âme d'un violon, dans le corps de l'instrument qu'elle parcours sa voie jailli qui enrichit la corde de son bois, elle pourra en partie dire qu'elle est, en partie seulement, pas complètement c'est pour cela qu'elle meuble économique d'une question, ça met en route les pièces de la route.

A combien doit se monter d'apres vous le credits a la nature pour croire en l'existence d'un etre?

Fossile-Foisonnant fouillait les brins de trou noir trouvé entre les bulles de coton supermassif d'origine contrôlée par un collège de fous, quand l'axe accouplé aux vapeurs des demi teintes, lui apparues le long des tirants du store de sa casquette baissée ; les valeurs des particules de gazon et de terre visière baissées, refermaient le livre qui les attributs a des insolites liquidité de l'esprit suivant son flux; et le premier pas au-delà de cette terre fit le sol lunaire des voyages a travers l'oubli de la poussière qui les amasse en capitales du futur grotesques autant qu'arrogantes, aussi miséreuses que sales et sublimes a la fois, selon qu'on voit la coquille s'ouvrir et se refermer sur le mystère couvert de lierre putride des simple appréhension univoque des sensibilité grossière qui psychanalyse au lieu de respirer par les ventouses a jamais dans le dépôt de l’organe incorporé, loin du corps, revient a lancer une expédition au source du Nihil, ou encore, a dessiner un cercle avec des carrés, un cercle , un seul fait d'un geste infini, un trait qui n'en fini pas, mais qui cercle l’intention autour de la question... en régie l'heure et la place de l'accouplement adultère... l'objet de l'ontologie, l’être mis a nu dans la lumière déchirante d'une angoisse qui s'interdit de voir dieu ;nos idées de toute nos sensations …. est-ce de l'art ou du cochon ? lard comme la graisse des béliers, comme le fait qu'ils sont leur propre récompense... ils ne sont que violence au cou, dieu ne les reconnaîtra pas, ils sont leur propre jugement, en détruisant ces idoles, ils se jugent eux-mêmes, ils nient la compassion de dieu, l'existence des homme, l'image de sa création, et ne reconnaissent aux hommes aucune marge d'erreur, aucun possibilité de pécher, de devenir, il refuse l’être au temps, refusent le temps aux êtres, aucun divertissement, ils ne savent rien du déchirement de l’être dans la lumière, ils n'ont des conversion authentique, conversion de la sensibilité dans le concept et inversement, aucune idée, ils ont leur récompense, voyez, ils abattent des statues, encore une fois, ils sont leur propre jugement, de même qu'il ont vécu par le glaive ils périront par lui, et devant dieu, de leur vie ne restera rien, ils seront sous la pierre, sous le boisseau, la lumière ne les aura jamais connu, ils seront ce qu'ils craignent le plus, non pas dieu, mais les statues, qui ne sont que des pierres ou se façonnent la réflexion en dieu pour les esprits vivant.