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27/04/2015

idem

 

Image:Dan Perjovschi

 

 

La rituelle expérimentale de la méthode liturgique ajoute au dictionnaire les maux non suggérés des crimes fondant l'insouciance ; voit la baille du chaos ontologique, remuer le mur croulant de soutènement, l'embrouille de la différence ontologique qui absous le laid fleuve de la création. A la mort nous arrachons l'art divin de produire l'Instant, hic et maintenant écoute par-delà l'espace infini, la symphonie des grumeaux levant a la cuisson de l'amour qui s'accorde en se feuilletant ; ce silence de dieu partout présent pendant que son verbe s’évide du réel plus que signifiant, nous habite au-delà du bonheur d'un être apprenant a se connaître échappé du verbe, c'est une joie pas surhumaine, mais sublime humainement qu'aucune physique ne prend en compte puisqu'elle s'en tient a son fantasme de système ; or l'Un n'est pas le système, l'un implique une systématisation de la sensibilité qui s'informe d’elle-même par le monde écoulement qui la traverse et lui échappe parce que la conscience en sa valeur éternelle, a besoin de cette ignorance qui nous habite comme nous l'habitons d’êtres aimés.... la mystique quantique et son chœurs relativiste dualisent ce qui était maintenu caché dans l'unicité impensée du newtonisme( ainsi que la conscience de la chair participative de l'Instant, la sensibilité participe a la révélation de sa plastique noétique que la technique explore en ses formes réifiées et conscientes); mais il faut allez plus loin dans la brisure pour articuler les plans solipsistes en une metastructure qui signifie autrement le réel, capable de dire que le réel pour l’éthique, c'est ce qui vient du verbe au cœur, et que donc le réel en sa valeur éminente et tangible est une production du Verbe ; or cela est plus inintelligible encore que la naissance de l’éternité dans le temps, plus insondable que la vitesse absolu du temps dont la fragmentation décompose le sentiment de continuité, tout en etant raccord avec l'intention évidente de l'amour qui se vide de son être pour en communiquer a un autre sa substance ; l'important c'est que la manière de dire une telle chose, la manière d'organiser les signifiants et les symboles autour du signifié toujours transcendant, ici, réel en chair, ici et maintenant, c'est de faire paraître a celui qui est créer par amour que la différence ontologique entre lui et le créateur est un paradoxe insurmontable rationnellement, qui peut se dissoudre dans la foi qui entend le chant sémantique de l'amour a travers la saturation des plans possibles de l’égarement. Signifier non pas que ou ça est je dois advenir, mais que d’où ça vient je ne puis le comprendre quoique l'étant. Telle est l'ignorance fondamentale, celle qui est aussi la connaissance de dieu, et qui est a disposition a chaque instant dans le système probabiliste du monde qui la maintient en suspend, ouverte et offerte aussi bien a la reprise qu'au refoulement. Il revient a chacun de faire guincher et grincer la différence ontologique entre le créateur incréé et la créature, le monde n'est que le produit de cette différence, il est le flou réel de l'instant insignifiant ou tout est confondu pour que l'appel se fasse entendre dans toute l'immense étendu du néant, la possibilité du signifié s'ajustant des progrès du discernement délabyrinthant jusqu'aux merveilles de la féminité du scintillement, son abandon résistant, sa clôture ouverte et malléable a la pression, qui jette le dévolu de sa fragilité consciente au risque de toutes les déformations. Rilke a raison de dire que la parole vraie vient au monde après cette entière gestation plastique de sa forme informe, la contraction de l'univers a lieu dans le ventre des femmes et c'est pour cela qu'on le croit big bang un instant, parce qu'on redouble cette perception primordiale dans l'instant de l'univers qui par définition ne peut pas nous renvoyer une image éternelle de l’éternité, sinon sous la forme de pub de vacance a la plage; la femme qui parcours toutes ses formes de la détresse des image contenant si peu du reflet éternel, deviennent déesse, qui étoile le désir en se couvrant... étant couverte, l’archétype de tout réalisme, de toute choséité du monde... la femme révèle la manière dont les êtres viennent au monde, elle est révélatrice de la révélation, elle est l'organe médiumnique de la vision de l'acte... son redoublement sans lequel il n'y a pas trace possible de son concept sur terre.... l’être sans lequel nous n'aurions aucune vision de l'Acte créateur, aucune chance de ramener nos problèmes théoriques et éthiques aux secousses de la tellurique différence ontologique qui nous sépare et nous rattache a lui, et au-dessus de laquelle nous ignorerons comment jeter un pont, a jamais investi de ciel par cette ignorance bienheureuse de la vision de l'acte de création, de conception dont la femme est le sujet qui comme tel devient objet de suggestions, séductions, induisant un paralogisme dans la contemplation, un faux infini, autant que dans l'oraison, une tentation qui concatène l’éternité dans le temps en introduisant la possibilité de la continuité de l’évidence s’évidant jusqu'à la mort de sa propre vision, la limite de notre connaissance, de tous les ages de l’être, nous manque absolument en son contenu objectif mais pas idéalement, l’éternelle félicité de l'instant, c'est par la femme qu'elle se repropose a la conscience sous la forme d'un être qui en dispose dans la limite de notre ignorance ; aimons nous pour toujours, marions nous a notre ignorance pour la vie et que l'objet mystique, se révèle a travers son vêtement que la mathématique ne pourra jamais tricoter, même en cigogne dérivative l'unité vivante de la créature au créateur, comme le transcende l’éthique, bravant l'inconscient spirituelle de la carence esthétique des physiciens qui veulent égaler solipsistement la sensation de l’être a l'univers de son absence ou il se disent entre eux que tous est relatif au sens du continuum espace temps ou se convertie les sidérurgiques vallées de la Ruhr en automobiles flambants neuves sortant des discontinuités sémantiques convertissant la matière en usine d'engrais, (l’énergie que suppose la durée de l'exploration d'un seul grain de poussière, englobe toute la durée de l'existence de l'humanité sur terre, elle est aussi vieille que la conscience et que le temps et la curiosité, c'est l’énergie éthique, l'amour, qui est le refoulé et l'impensé de la constante convertibilité de l'énergie en matière de plans pour se caser), et que s'il reste quelque éternel signifiant a échanger, ils ne seront pas théologique, mais forcement imbéciles si la vérité pure n'est que pour dieu seul, et la confession usant de la révélation de ses reflet, retrace la route de l'uni-vers de la dissolution de la différence ontologique, ou tournent dans les fantasmes de mondes parallèles des films sur la production courante d’énergie pour les nouveaux explorateurs de monde supra céleste, dehors sémantique, qui efface notre présence au moment ou le piège se referme cajolant sur l’éternel tourment... O réveille toi mon frère ! Socrate se détourna résolument de l’étude de la physique, pour se consacrer a l’éthique qui disait mieux la réalité du monde aux êtres renversés par une de leur vraie parole que la laborieuse et douteuse conscience scientifique de l'impossibilité d'aucune représentation qui ramène comme l'ethique pourtant, bord a bord l'ignorance et la connaissance parfaite de l’être détrompé, sachant qu'il y a justement absolument rien d'essentiel a apprendre sur l’être que la physique puisse nous apprendre.... ça ça serait de l'ironie digne de communiquer éternellement par le secret, mais qu'elle se mêle a tous le cinéma et le désir de prolonger infiniment la perception en créant un monde de la sensation continuée par le renouvellement physique des apparences et l'intention en ressort lessivée et excitée, lucide a peu de frais, dans un monde étriqué et d'une autre matière que soulager du vide de l'existence par le signifiant l'origine verbale et spirituelle de sa réalité non verbal, certitude roulée dans le corps psychique de mauvais acteurs ignorant en quel sens la pièce inconnue qu'ils jouent progresse spirituellement et, en quel sens, c'est la chair qui se révèle souffle et mesure du savoir qui se soulage de lui-même éternellement. Sans l’éthique la physique n'est plus qu'une ontologie fantasmée. Mais par l'ethique l'existence du monde est le reflet de l'image de dieu. La physique ne peut pas tenir compte de cette amputation première, celle de l'image invisible de dieu, dans son silence incarné, elle débute au-delà de cette abolition subjective et se prétend objective et sans présupposée. Le sens de ce qu'elle découvre n'en a aucun, puisque elle se fonde sur le rejet de la subjectivité, du reflet de l'image de dieu qu'est pourtant le monde ou elle entend discerner toutes les voies.

Mais, reflet de l'image de dieu, présence de l'esprit dans le monde, ne signifie pas reflet de l’éternité dans le monde, mais possibilité éthique du vide cosmologique rendant possible la présence de l'image a elle-même devant dieu, l'accord en soi, et c'est plutôt a cette hypothèse que devrait travailler la science si elle comprenait un peu mieux en quel sens progrès spirituel et dévoilement du transfert réel des quantités dans les échanges de matière représente la qualité d'un être moins présent qu'en devenir chevauchant ses opérations sacrificielles de signifiance au prix de sa vie, la présence impalpable d'un corps descendu du verbe.

Bref intercalaire de faits nomades en leurs physiques de frais volontaires

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Image:Dan Perjovschi

 

 

La rituelle expérimentale de la méthode liturgique ajoute au dictionnaire les maux non suggérés des crimes fondant l'insouciance ; voit la baille du chaos ontologique, remuer le mur croulant de soutènement, l'embrouille de la différence ontologique qui absous le laid fleuve de la création. A la mort nous arrachons l'art divin de produire l'Instant, hic et maintenant écoute par-delà l'espace infini, la symphonie des grumeaux levant a la cuisson de l'amour qui s'accorde en se feuilletant ; ce silence de dieu partout présent pendant que son verbe s’évide du réel plus que signifiant, nous habite au-delà du bonheur d'un être apprenant a se connaître échappé du verbe, c'est une joie pas surhumaine, mais sublime humainement qu'aucune physique ne prend en compte puisqu'elle s'en tient a son fantasme de système ; or l'Un n'est pas le système, l'un implique une systématisation de la sensibilité qui s'informe d’elle-même par le monde écoulement qui la traverse et lui échappe parce que la conscience en sa valeur éternelle, a besoin de cette ignorance qui nous habite comme nous l'habitons d’êtres aimés.... la mystique quantique et son chœurs relativiste dualise qui étaient maintenus cachés dans l'unicité impensée du newtonisme( ainsi que la conscience de la chair participative de l'Instant, participe a la révélation de sa plastique noétique que la technique explore en ses formes réifiées et consciente); mais il faut allez plus loin dans la brisure pour articuler les plans solipsistes en une metastructure qui signifie autrement le réel, capable de dire et de faire entre que le réel pour l’éthique, donc le réel en sa valeur imminente et tangible immédiatement est une production du Verbe ; cela est plus intelligible encore que la naissance de l’éternité dans le temps, mais c'est raccord avec l'intention évidente de l'amour qui se vide de son être pour en communiquer a un autre la substance ; l'important c'est que la manière de dire une telle chose, la manière d'organiser les signifiants et les symboles autour du signifié toujours transcendant, ici, réel en chair, ici et maintenant, c'est de faire paraître a celui qui est créer par amour que la différence ontologique entre lui et le créateur est un paradoxe qui peut se dissoudre dans la foi qui entend le chants sémantique de l'amour a travers la saturations des plans possible de l’égarement. Signifier non pas que ou ça est je dois advenir, mais que d’où ça vient je ne puis le comprendre.Tel est l'ignorance fondamentale, celle qui est aussi la connaissance de dieu, et qui est a disposition a chaque instant dans le système probabiliste du monde qui la maintient en suspend, ouverte et offerte aussi bien a la reprise qu'au refoulement. Il revient a chacun de faire guincher et grincer la différence ontologique entre le créateur incréé et la créature, le monde n'est que le produit de cette différence, il est le flou réel de l'instant insignifiant ou tout est confondu pour que l'appel se fasse entendre dans toute l'immense étendu du néant, la possibilité du signifié s'ajustant des progrès du discernement délabyrinthant jusqu'aux merveilles de la féminité du scintillement, son abandon résistant, sa clôture ouverte et malléable a la pression, qui jette le dévolu de sa fragilité consciente au risque de toutes les déformations. Rilke a raison de dire que la parole vraie vient au monde après cette entière gestation plastique de sa forme informe, la contraction de l'univers a lieu dans le ventre des femmes et c'est pour cela qu'on le croit big bang un instant, parce qu'on redouble cette perception primordiale dans l'instant de l'univers qui par définition ne peut pas nous renvoyer une image éternelle de l’éternité, sinon sous la forme de pub de vacance a la plage; la femme qui parcours toutes ses formes de la détresse des image contenant si peu du reflet éternel, deviennent déesse, qui étoile le désir en se couvrant... étant couverte, l’archétype de tout réalisme, de toute choséité du monde... la femme révèle la manière dont les êtres viennent au monde, elle est révélatrice de la révélation, elle est l'organe médiumnique de la vision de l'acte... son redoublement sans lequel il n'y a pas trace possible de son concept sur terre.... l’être sans lequel nous n'aurions aucune vision de l'Acte créateur, aucune chance de ramener nos problèmes théoriques et éthiques aux secousses de la tellurique différence ontologique qui nous sépare et nous rattache a lui, et au-dessus de laquelle nous ignorerons comment jeter un pont, a jamais investi de ciel par cette ignorance bienheureuse de la vision de l'acte de création, de conception dont la femme est le sujet qui comme tel devient objet de suggestions, séductions, induisant un paralogisme dans la contemplation, un faux infini, autant que dans l'oraison, une tentation qui concatène l’éternité dans le temps en introduisant la possibilité de la continuité de l’évidence s’évidant jusqu'à la mort de sa propre vision, la limite de notre connaissance, de tous les ages de l’être, nous manque absolument en son contenu objectif mais pas idéalement, l’éternelle félicité de l'instant, c'est par la femme qu'elle se repropose a la conscience sous la forme d'un être qui en dispose dans la limite de notre ignorance ; aimons nous pour toujours, marions nous a notre ignorance pour la vie et que l'objet mystique, se révèle a travers son vêtement que la mathématique ne pourra jamais tricoter, même en cigogne dérivative l'unité vivante de la créature au créateur, comme le transcende l’éthique, bravant l'inconscient spirituelle de la carence esthétique des physiciens qui veulent égaler solipsistement la sensation de l’être a l'univers de son absence ou il se disent entre eux que tous est relatif au sens du continuum espace temps ou se convertie les sidérurgiques vallées de la Ruhr en automobiles flambants neuves sortant des discontinuités sémantiques convertissant la matière en usine d'engrais, (l’énergie que suppose la durée de l'exploration d'un seul grain de poussière, englobe toute la durée de l'existence de l'humanité sur terre, elle est aussi vieille que la conscience et que le temps et la curiosité, c'est l’énergie éthique, l'amour, qui est le refoulé et l'impensé de la constante convertibilité de l'énergie en matière de plans pour se caser), et que s'il reste quelque éternel signifiant a échanger, ils ne seront pas théologique, mais forcement imbéciles si la vérité pure n'est que pour dieu seul, et la confession usant de la révélation de ses reflet, retrace la route de l'uni-vers de la dissolution de la différence ontologique, ou tournent dans les fantasmes de mondes parallèles des films sur la production courante d’énergie pour les nouveaux explorateurs de monde supra céleste, dehors sémantique, qui efface notre présence au moment ou le piège se referme cajolant sur l’éternel tourment... O réveille toi mon frère ! Socrate se détourna résolument de l’étude de la physique, pour se consacrer a l’éthique qui disait mieux la réalité du monde aux êtres renversés par une de leur vraie parole que la laborieuse et douteuse conscience scientifique de l'impossibilité d'aucune représentation qui ramène comme l'ethique pourtant, bord a bord l'ignorance et la connaissance parfaite de l’être détrompé, sachant qu'il y a justement absolument rien d'essentiel a apprendre sur l’être que la physique puisse nous apprendre.... ça ça serait de l'ironie digne de communiquer éternellement par le secret, mais qu'elle se mêle a tous le cinéma et le désir de prolonger infiniment la perception en créant un monde de la sensation continuée par le renouvellement physique des apparences et l'intention en ressort lessivée et excitée, lucide a peu de frais, dans un monde étriqué et d'une autre matière que soulager du vide de l'existence par le signifiant l'origine verbale et spirituelle de sa réalité non verbal, certitude roulée dans le corps psychique de mauvais acteurs ignorant en quel sens la pièce inconnue qu'ils jouent progresse spirituellement et, en quel sens, c'est la chair qui se révèle souffle et mesure du savoir qui se soulage de lui-même éternellement. Sans l’éthique la physique n'est plus qu'une ontologie fantasmée. Mais par l'ethique l'existence du monde est le reflet de l'image de dieu. La physique ne peut pas tenir compte de cette amputation première, celle de l'image invisible de dieu, dans son silence incarné, elle débute au-delà de cette abolition subjective et se prétend objective et sans présupposée. Le sens de ce qu'elle découvre n'en a aucun, puisque elle se fonde sur le rejet de la subjectivité, du reflet de l'image de dieu qu'est pourtant le monde ou elle entend discerner toutes les voies.

Mais, reflet de l'image de dieu, présence de l'esprit dans le monde, ne signifie pas reflet de l’éternité dans le monde, mais possibilité éthique du vide cosmologique rendant possible la présence de l'image a elle-même devant dieu, l'accord en soi, et c'est plutôt a cette hypothèse que devrait travailler la science si elle comprenait un peu mieux en quel sens progrès spirituel et dévoilement du transfert réel des quantités dans les échanges de matière représente la qualité d'un être moins présent qu'en devenir chevauchant ses opérations sacrificielles de signifiance au prix de sa vie, la présence impalpable d'un corps descendu du verbe.



26/04/2015

Rapointer

 

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Entre l’heure d'embauche des étamines de fin de crin ; le déchirement du crucifié sur les cordes a piano qui cèdent a l’encart des choses, le temps, l’écrin du devenir au clou pendu dans l’être et le mouvement de son bois autour, le souffle élimé que la souffrance étouffe et qui rode et grogne a la proie qui patauge dans la rupture gazeuse du rythme fantasmée salée du don d’être supprimé pour etre dit avoir été, qui filochent l'exposition noétique de l'affirmation ontologique que porte la langue de soi dans l’éternel reflet des pétales ahuris et des vergers fleuris aux yeux violents et ronds d'herbe luisant comme une masse d'origine sérieuse puisant au quark de l'inconnu sans fond la chouette et le hibou qui habitent toute sensibilité du ventriculaire pince sans rire sémantique; un peu de sérieux entre les choses vues de la semaine qui s'effritent et se dissolvent sans déflorer l'image de leurs secrets toujours ruisselant; la pointe du désir est une impression océanique et brouillée d'exister, la brouille avec soi-même c'est l'accord absolu la guerre n’ayant fait que nommer ce qui couvent en tout homme, idem l’éternel tourment d'entendre parler en soi de la définition d'un être en général, mais unique et éternel; la rupture se complète, la démolition phusique de la raison fait de l’infinie précision des plaies, la cruel impression première que la lumière est la maison d'un être capable de se dire en vérité et avec l'absolu certitude de l’éternité que l’être est conçu par la sensibilité comme l'entière indétermination de sa liberté; on ne trouvera jamais rien de plus dans l'univers que ce par quoi nous sommes habité, nous pauvre ingénu candide de mes deux , évidemment que l'on sait tout cela, que chacun le comprend instinctivement, qu'il n'y a qu'une langue incarné, celle de l’être témoignant de sa propre réalité en parcourant et créant toutes les voies cosmiques et fantasmé de son propre déchirement, ou il se cerné précisément par l'absolu insignifiance; qui mieux que le type né dans une créché au milieu de nulle part en pleine jungle ou sur la mer, ressent cette oppression de la vérité paradoxale... l'absolu précision de l’indétermination.... l’être quoi et sa langue qui le lave de toute réification, en communique l'esprit, un être en ses traits jaillissant de l'amer l'impression dans une langue paradoxale qui demande au temps la définition de son mouvement; ce secret qui encourage aussi, de pas s'en laisser conter trop ficellement, quand ce qui compte ce sont les failles et les oublis noirs de l'esprit qui remontent de la langue comme des geyser grondant , qu'on décrit précisément comme mouvement dont on ignore les bouts noyés moyeu tournoyant dans un marécage nébuleux ou baigne Orion le nénuphar scintillant, ondulant comme une mer qui bafouille éternellement avec la même précision ses gammes de psaume cristallisant le ton de ta conscience sonnant encore le creux des cavernes.

On prit de l'avance sur le doigté tue mouche qui dissidendait du plafond comme un tissum de miel chargé d'astre quand est-ce qu'ils tombent ? Gluant... parle moi plutôt du volcan au centre du voyage, la langue vagiemment de la souffle matière du soufre des dourganique lueurs, une pesée de songes ventrus s'affestin montre la sphère qui ramène a l’évaporation des trous mathématière noire, l'aspiration a la source, continuellement des dernières informations du premier instant de l'amour toujours renouvelé, immuable derrières les ombres du changement.

La modernité du christianisme tient entièrement a cette skepsis plus profonde de la raison qui porte la conscience au discernement incarnée. En ce sens les grecs conservaient encore, une part de substantialité spirituelle non transformé en souffle intérieurement ; pour eux l'amour est un transport, pas encore le saut sur place du souffle de la déflagration interne qui resplendit dans l'univers conscient... l'image du Dieu vivant.

 

"Vils pasteurs, opprobre des campagnes, vous qui ne vivez que pour l'intempérance, nous savons inventer beaucoup de mensonges semblables à la vérité ; mais nous savons aussi dire ce qui est vrai, quand tel est notre désir."
Ainsi parlèrent les éloquentes filles du grand Jupiter, et elles me remirent pour sceptre un rameau de vert laurier superbe à cueillir ; puis, m'inspirant un divin langage pour me faire chanter le passé et l'avenir, elles m'ordonnèrent de célébrer l'origine des bienheureux Immortels et de les choisir toujours elles-mêmes pour objet de mes premiers et de mes derniers chants.