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19/04/2015

boabenne

Il y a un point de vue, celui de Cues, d’où l'on ne voit plus qu'un chemin immense et sans fin, on voit tous les chemins et on n'en voit qu'un qui les emporte tous a chaque soulèvement de sa houle en roule libre, et ce chemin est tellement immense qu'on peut dire qu'il n'a put germer que de la mort, qui était le seul savoir qu'on avait de lui avant, avant qu'on déluit, plongé hors de tout passé, dans le bain de jouvence, ...voila c'est ça... penser a nager une fois dans le bain de jouvence...

Aux origines de l'ontologie un discours sur les apparences, et puis une ontologie de la précision qui brouille tout sentiment, trouble les données mythologiques de la conscience, la déracine de l'axe, mais rend aussi sa lumière plus fine, au prix d'une chair pas moins risquée que chez Homère mais tout aussi suave et taquine qu'elle a acquis le repos du guerrier par la mise a prix la plus haute de sa chaire risquée.

 

La grece dit dans notre histoire, que pour devenir homme il faut apprendre la métaphysique comme notre langue maternelle commune... et qu'en cette langue se formule cette pensée qui fait contact avec tout, partout, tout le temps, elle nous précède dans le temps, et c'est nous-même qui nous y attendons, assis sur un banc, la langue des merveilles allumé dans la poche, comptant entre trois et cinquante le trépas de la marelle dans la fosse, maternelle vient de langue, c'est l’être qui le dit, lui aussi, Il apprend a nous connaitre, comme un esprit sortie du néant mais qui lui témoigne son amour, indiscernable éligible qui peut tout.

L'absolong way my vine

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Image: Jerome Ruffin

Une conception de l'Absolu ne préserve ni le divin, ni sa fonction dans l’expérience, quand elle ôte au divin tout ce qu'il comporte qui implique pour la conscience la possibilité, sinon d'en cerner complètement les contours, ou d'en épuiser la signification, du moins de s'approprier les impératifs nous invitant a une rénovation continue et effective des rapports entre les consciences, de chaque conscience avec soi et avec la nature. C'est trahir le divin et sa fonction, c'est récuser ou ignorer les témoins qui témoignent pour lui que d'en faire le prédicat d'un Absolu supra-rationnel ou, ce qui revient au même, d'un Absolu enveloppant et dominant a la fois toutes les relations. Au lieu d'être(ce qu'il peut cesser d’être sans perdre toute efficacité) l'élément agissant d'une reprise incessante de la liberté sur la nature, et d'un dépassement des différents ordres institués par la conscience, en vue d'une conciliation toujours relative de ses aspirations et des fatalités du monde, le divin, considéré comme une des caractéristiques de l'Absolu identifié a Dieu, devient étranger a l'ambition humaine qui ne peut plus s'en proposer même la plus lointaine imitation.

J.Nabert l'Absolu et le Divin", le désir de Dieu, Audiard MOntaigne, 1-6 juin de mille... selon les along déambulant en pleine objectivité, sous le préoool albuée judeté aux friches par frais marins de niches fichiers sur les ampoulies données tenir par frisons les voile ouvert pour demenager, pour qu'on puisse la marquer au fer rouge, ou le cœur s’élargit comme une compresse, alors tu sens le monde, tu a sfinis d’être impartial, et par ton choix tu dis que la vérité c'est d’être, d’être comme dans un rêve, un être a travers lui et sa détresse, le monde se met a raisonner de données peu ordinaires, compactées dans les  impactes et les dépôts de rupture et de rouilles qui se forme entre les articulation fluide de la conscience lucide, dépréciant les fougères déroulante lorriiitt'eil de leur pieds pris dans la langue pressées informatisées, retouchées, au bouton, le donné brut.... c'est un peu comme si on disait, que dans le cours de son histoire, le conte cours après l'auteur de la métaphysique comme s'il s’était évanouit en ballon, avec un personnage de bande dessiné courant l'auteur, la signature ontologique du vrai pour l’être auquel elle pense dépend aussi d'une tonalité affective de la limailles qui s'enflamme au contact d’elle-même, quand elle se rejoint sans médiation réflexive, quand la sensation s’épouse elle-même au-delà de toute conception, quand elle est la sensibilité sainte qui conçoit l’éternel point de perspective de l'entendement, l'horizon du schématisme ouvert comme une dimension interne de la sensibilité identique en dieu part d'individu.

 

18/04/2015

Rototom

 

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Paysonge t-il votre passiflore dans ses célestes éclos? Chercroche t-il les croutes sous leur feuilles de grêle encadrées de vegétable grilles ostensoirs de mots croisé dans le charie varie automobile, cerclant la débusquée glaise des aromates glairant la javel des glaïeuls soutirés au vain d'os de nos cranes spongieux et bossué de morte vagues frêles, habité d'insecte de toutes irisation poussées hors champs d’écran, a contempler l'acné boréale, éventrer l’abcès ubique et brûlée de neige carboune ex-cendré avant l'aplosion de la joie d'être en une fanulation d'astrée d'efflorescences morte fleurissant l'amour de constellassomption perdue et de poudre magique derrière lesquelles se cache des formanulations ombellisphériques des saut de barrique roulonalitées au systamie terme des raison nerveuse de croire a la realité bifide de ce qu'on a sous les yeux, le vers translucide du ventre de la danseuse de vanitrud'ex scintillement avant que la mort ne vienne emporter l'instant, il étangeait le giblœil de potence aux adieu, la beauté de la mort emportant le sort grandant des heures entre chaque os du crane comble et du lard inxsondié dézingueur des traces, boursoufleur, qui par art et rite, savait effacer de la vie toute trace, la rendre vierge a nouveau de la vie, dans l’atmosphère lettreux qu'Aphrodite évierge, des gaz bueen multipliant a l'infini les traces du palimpseste en suspension dans la solution buccale a prendre a l’écumoire d'ivoire empruntée des sabots d'éléphants aux yeux asmanjins, jinuqu'au cime tière, couvert d'issement et de feste bali frit a ravenne des os-sibilités axillité de conscier, de friander la matiere implacable du destin, d'heller le nommer dieu haletant pour couper court au paradoxe gênant, essuyer l'image tranchée des flores altos des cretes ou l'alpin puise le sublime contraste dans les reflets unis au croulant court du jour de la fin de la sensibilité, la zététique irriadation nouaitique du baron être radarmoréen, sent les rugueux canoyon du desir comme s'il n'etait plus qu'une sublime ecaille dans l'eternel reflet de la soi du monde, libere ton ame et ton esprit, ton imagination si proche du feu, qu' a la barre des heurts, transpirent des bleues des heures si profonde qu'on dirait le ciel descendu cancer de peau, proche du trou par flou remous, le brou noir de lettre jeté chaque soir aux anonyme cultivé, homme qui ne peuvent plus communiquer directement a travers les signifiants commun, et qui de loin en loin, se definissent, les temoin d'un énoncé paradoxal oublié du vagin mystempon gnons et vent comme ceux que seules les femmes savent vous mettre et les pales retrojecteur du sous-marin jaune qui s'enfonce dans l'abime de ton corps entre les quadrilatères des empruntes double face du scotch les trompette de falloppe, mugissent comme des cornes d'abondance, des mannes de la membrane cérébrale celeste recouvre tes cheveux comme d'une mantille sur les montages d'une pellicule de nuit amateur, filmant l’abatage du crame craverne, qui surveillait ses bidons d'essence et les reniflé quand il ne sentait plus venir la collision, quand la précision des sens s'émousse sous le forma standard et qu'il s'eteinds a son tour, en etant renié comme facteur de trouble, le monde, au lieu d’être infiniment aiguisé et tenu en éveil par l’imminence de l'ultime choc, la dernière dissémination qui ouvre le champs clos de la mépoire de la note suspendu, a jamais ébréché par le chapitre d'une autre réalité, d'une qualité nouvelle de l'existence, sentiment aiguiser tenu en alerte par l’inquiétude qui exprime l'idée et précède le sentiment, pure vacuité parfaite de la joie par la destruction technique de la matière des lois, procéder a l'illusion totale précédant la collision des états d’âmes, et puis quand la noiretiére qui précède l’exercice dialectique de la sensation sera chauffé a blanc, aneantissez l'une contre l'autre les particule de lumiere pour vous découvrir saturniens confins du désert roi, un saurien non ne sait ou, mais ça tourne exactement, autour de là du marais approchant le secret de la langue, l'etre et l'impression qu'on peu en avoir, la phalange aux trésors planque dans l'oubli anticyclonique son ciel d'azur au échos écrasés comme d'anciens pas entre les champs de brique, qui perdent de leur force intérieur, et que les ponts intérieur, des soupir entier de colonnes de livre, passe de splendir de la naissance des grappes, des touffes et des bouquets d'yeugard emplanté au hagard pour pieux discerner l'entier, l'édenbosquets des clarculs se retractant visiblement par les fenêtres environnemangraal.

 

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