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06/07/2015

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"En toutes les fautes que nous commettons, la science est une circonstance aggravante." Bruscambille

 

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Nicolas Dhervillers

 

Elle marchait sur un chemin parfaitement ordonné aux troubles intérieurs de la magnificence pêle-mêle, du fourré noueux, dont l’écorce ruisselait vers neuf heure du matin de milles ruisseaux de lave, qui ressemblaient a du sang, mais en plus étincelant, porteur d'une couleur orange comme le soleil transparent de fin de charme, qui reniflait de sa narine chaude, l'odeur du sous-bois, qui filtrait sa lumière en un murmure mystérieux porté jusqu'aux oreilles des lustres; branchie, le treillis de la sève, respire de froides et blanches pâleurs qui sans amour, brillent comme un éclats de sol brisé, un deuil de lumière, un vertige contenu dans sa trappe, un seuil a la réalité, concentrée en une masse qui inexorablement dégrade le corps de la chute dans le mystère de la chute des graves ou nous tombons en tentant d'en intérioriser le cachet de fond; au fond du souffle, les rivières de parfums remontent le longs des pins, et se perdent dans celui de l’océan qui repends sa moiteur sur les plages meubles a nos mobiles si peu lucides, suffisant pour un cornet vanille dans le brouillard remplit de sable a la pelle et de ronces entres les grains d'espaces temps. Le vent fait couiner ses planches, secoue les carreaux, et racle les enduits des façades, il empoigne un fragment gros comme la pièce d'un puzzle, de mon magnum au chocolat, et l'emporte dans ses tourbillons.

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Mark Heine

05/07/2015

Matricule des anges: Béatrice Commengé "reprendre possession de l'irréalité."

 

 

 

 

 

 

 

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   Le mensuel de la littérature contemporaine

 

 

Les articles       

L' Homme sans qualités Tome I
de
Robert Musil
Seuil
30.00 €


Article paru dans le N° 059
Janvier 2005

par Béatrice Commengé

*

   L' Homme sans qualités Tome I

Avec la nouvelle édition de " L'Homme sans qualités ", enrichie d'ébauches, d'études, de fragments posthumes, nous est enfin rendue " l'écriture dans tous ses états " d'une oeuvre monumentale qui a pour ambition de " reprendre possession de l'irréalité ".

" Je demande qu'on me lise deux fois, en partie et en totalité " réclamait Robert Musil avec une " prétention " amusée. Il parlait, naturellement, de la lecture de son livre ultime, inachevé et inachevable : L'Homme sans qualités. Devant les mille quarante-sept pages du deuxième tome de la nouvelle édition du livre, j'en viens à penser que son voeu est en passe d'être exaucé. En effet, si les trois premières parties, publiées respectivement en 1930 et 33 avec l'assentiment de l'auteur, nous sont proposées sans changement dans l'admirable traduction de Philippe Jaccottet, les chapitres, ébauches et brouillons de ce qui devait constituer " la fin ", sont livrés pour la première fois " en chantier ", c'est-à-dire dans le respect le plus fidèle de l'état de ce work in progress, grâce à Jean-Pierre Cometti. Et voici l'intérêt tout à coup renouvelé.
" Le fait d'écrire est plus important que l'oeuvre achevée, le fait d'écrire est l'oeuvre " déclarait Adolf Frisé, l'initiateur en 1978 de cette nouvelle édition en Allemagne. Musil voyait son roman comme un arc : " le premier tome s'achève à peu près au sommet ", mais le deuxième " ne possède aucun contrefort. " Une pente douce à laquelle l'auteur a vainement tenté de donner un " butoir ", mais comment mettre fin à une oeuvre qui ne se " contente pas de décrire une réalité ", mais se propose rien de moins que d'" inventer l'homme intérieur " ? Et quand l'auteur nous confie que c'est " dans l'écriture que se décide ce qu'(il) croit ", c'est à nous de nous demander pourquoi un livre qui n'aurait pas de fin n'en serait-il pas moins " livre " ? Vagabonder entre des ébauches et réflexions bien antérieures à la publication et des chapitres considérés comme achevés n'est-ce pas, au contraire, une expérience unique qui nous plonge au coeur même de l'entreprise ? " On ne doit pas confondre l'inachèvement d'un travail avec le scepticisme de son auteur " écrivait Musil en 32, au moment où il décidait de publier la troisième partie du roman sans attendre la fin. " Aujourd'hui, la structure d'une oeuvre est quelque chose de plus important que son déroulement, poursuivait-il, voilà ce qu'il faut que nous parvenions à comprendre, après quoi, on aura des livres. " Ainsi, entre 1933 et ce jour d'avril 1942 où la mort le surprit en plein travail, Musil ne cessa de remodeler cette structure, allant jusqu'à reprendre au dernier moment des chapitres pourtant donnés à l'impression en 1938. Et c'est devant ce matériau vivant que nous nous retrouvons aujourd'hui, avec cette impression de surprendre les atermoiements du créateur submergé par l'ampleur de la tâche. " Je montre mon travail tout en sachant qu'il n'est qu'une partie de la vérité, et je le montrerai même en le sachant faux, parce que certaines erreurs sont des étapes de la vérité. " Tel était son credo. Et voici donc que nous sont offertes ces " étapes " : à nous d'en saisir la progression, de nous faufiler dans les circonvolutions d'un cerveau à l'instar de ce " géologue littéraire " , personnage imaginé par Musil en 1913 et qui se promène entre les creux et bosses des sensations, des sentiments et surtout des " pensées " sans lesquelles il n'est pas d'oeuvre d'art, " en dépit d'un préjugé commode pour les écrivains. "
Était-ce folie que de rêver à la fusion de l'intellect et du sentiment ? Dès 1920, Musil reprenait à son compte cette remarque de Thomas Mann : " Le bonheur de l'écrivain, c'est la pensée qui peut se muer toute en sentiment, ou le sentiment qui peut se muer tout en pensée. "
Dès l'origine, donc, le défi à relever était double : offrir d'un côté une analyse de l'Autriche en cette année 1913, précédant immédiatement la déflagration de la Grande Guerre, et de l'autre, " une conception du monde nouvelle ", par le biais d'une histoire d'amour absolument unique. Dans cet Empire de " Cacanie " où " les footballeurs et les chevaux eux-mêmes avaient du génie ", en cette époque " ruisselante d'énergie ", où l'on ne " voulait voir que des actes et nulle pensée ", il devenait de toute urgence de " créer une idéalité ". L'humour et l'ironie seraient son " mode d'écriture personnelle " pour raconter " ce monde de qualités sans homme ", ce monde " d'expériences vécues sans personne pour les vivre. " Ulrich (qui s'était d'abord appelé Anders l'" autre ", le " différent "), serait ce personnage que Musil placerait " au-dessus de l'auteur ", ce héros ohne Eigenschaften, cet " homme sans qualités " mais néanmoins " fasciné par la suprématie de la pensée scientifique ", qui décide un beau jour de " prendre congé de sa vie " afin de devenir " l'homme du possible ". Désormais les verbes se conjugueraient au conditionnel, seul mode grammatical susceptible de convenir à celui qui a pour ambition de " reprendre possession de l'irréalité " afin d'accéder à cet " autre état ", là où " la surface et la profondeur " seraient enfin en accord.

Un homme sans qualités mais néanmoins " fasciné par la suprématie de la pensée scientifique ".

Devant une vie de plus en plus " mécanisée " et " impersonnelle ", l'artiste se devait de rendre compte de cette " dissolution " : si Proust et Joyce avaient opté, selon Musil, pour un " style associatif avec des limites floues ", lui-même s'était lancé dans une " tentative qui devrait plutôt être appelée constructive et synthétique. " : " Je ne prends les choses ni de tous les côtés (ce qui est impossible), ni d'un seul côté, mais de plusieurs côtés à la fois, divers et apparentés. " Là était la gageure : donner " forme " au " sensible " avec la précision de la science. Car c'était sur ce point précis que notre infirmité devenait notoire : " lorsqu'on regarde autour de soi, avait observé Musil, l'élément intelligible manifeste précisément le plus grand talent dans l'art de donner forme à une vie d'homme... mais avec le sensible le fiasco est difficile à dissimuler. " Serait-il donc celui qui parviendrait enfin à unir le " personnel et créatif " à " l'objectif et rationnel " ?
" Je ne saurais dire ce qu'est un livre, mais plutôt ce qu'il n'est pas... " notait-il sans autre précision. Rêvait-il d'une forme tout à fait nouvelle, qui refléterait dans sa construction même le jeu subtil entre intuitions et réflexions ? Écrire, c'était s'immerger dans cette " région frontalière du pressentiment, du plurivoque et du singulier que l'on ne peut aborder avec les seuls moyens de l'entendement. " Écrire n'était pas une activité, mais " un état " : et " lire, c'était transmettre cet état. " Transmettre ou donner à sentir ? La précédente édition, en choisissant de créer une illusion de continuité dans la masse des textes " inédits ", nous avait privés de cette " transmission ". Et aujourd'hui nous est enfin rendue " l'écriture dans tous ses états ", pourrait-on dire : restitution des dates, des repentirs, des répétitions, des hésitations. Nous sommes dans la tête de Musil encore plus que dans ses papiers. Et, peut-être serait-il temps de cesser de nous interroger sur ce qu'aurait pu être la " fin " d'un " roman " et de commencer à lire ces ébauches, études et fragments non comme des " variantes ", mais comme des variations variations proprement musicales autour d'un même thème : l'impossibilité d'atteindre " l'autre état ". " Le destin personnel d'Ulrich, écrivait Musil dès 1934, sera à la fin indéterminé, il sera même, pour tout dire, le même que celui de tout le monde : la guerre ". Car " la guerre, c'est la même chose que " l'autre état ", mais mêlée de mal (donc viable). "

Écrire, c'était s'immerger
dans cette " région frontalière du pressentiment, du plurivoque et du singulier que l'on ne peut aborder avec les seuls moyens de l'entendement ".

Martha Musil, quelques mois après la mort de son mari, avait confié dans une lettre : " Les derniers temps, il se demandait s'il devait terminer le roman, comme il en avait l'intention depuis toujours ou bien l'interrompre à un moment donné et écrire la postface, la conclusion d'Ulrich (de l'Ulrich vieilli qui a vécu la Deuxième Guerre mondiale), puis passer aux aphorismes, pour lesquels il avait fait nombre de travaux préparatoires et grâce auxquels il voulait renouer avec la vie actuelle. " Sentait-il son roman glisser insensiblement vers l'essai ? Jusqu'alors, il avait toujours tenté de faire contrepoids grâce à des " scènes vivantes et un certain fantastique passionnel ", mais les " scènes " le laissaient de plus en plus insatisfait. Pendant plus de vingt ans (les premières ébauches du " Voyage d'Anders et d'Agathe " dataient des années vingt), il avait oscillé entre les représentations d'un improbable paradis, revenant sans cesse sur le motif, cheminant de l'île au jardin, de la lumière méditerranéenne à l'ombre douce des arbres, de l'éblouissement de la mer à la " ronde profondeur d'un jour d'été ", du soleil implacable au " souffle " tiède faisant tomber une neige de fleurs fanées sur la pelouse de la maison, autant de lieux métaphoriques propres à nourrir l'enthousiasme. " L'enthousiasme " était cette quête sur laquelle s'achevait la première partie de ce deuxième volume, l'enthousiasme, c'est-à-dire " l'état où tous les sentiments et toutes les pensées coïncident dans un même esprit. "
Pensait-il parfois à Flaubert (" La bêtise est de vouloir conclure ") ? Pensait-il à Nietzsche ? : en tout cas, en 1939, il relevait pour son " autodéfense " cet aphorisme de Humain, trop Humain : " Tous les Grands ont été de grands travailleurs, infatigables, non seulement dans l'acte de découvrir mais également dans celui de rejeter, trier, transformer. " S'il s'écoutait, il aurait presque envie de tout reprendre. Il parle d'une " véritable bouillie ", allant même jusqu'à regretter la publication du début : " Ah, mais que le livre est-il encore inédit, que ne puis-je resserrer et recouper encore ! " L'ambition est démesurée. Dans un essai consacré à Franz Blei, Musil reconnaissait déjà que " les oeuvres de l'esprit présentent un caractère de l'inachevé, d'un but inaccessible. " Les hommes ont deux destins, expliquait Ulrich : " l'un actif et secondaire, qui s'accomplit, l'autre inactif et essentiel, que l'on ne connaît jamais ". Devant cet inconnu, Ulrich se plaisait à dire qu'il serait bon de vivre comme un personnage de roman " dépouillé de tout l'inessentiel ".
En 1934, au moment de la parution du livre, Thomas Mann avait écrit : Musil " aime l'esprit, l'art et la vie, comme s'ils ne faisaient qu'un, puisqu'il voudrait porter au sein de la vie des hommes les "qualités" de l'art et de l'esprit, c'est-à-dire l'ordre, le sens, la poésie. Voilà une magnifique ambition de rêve en ces temps de désordre sauvage et d'absurdité. " Laissons-lui le dernier mot.

L'Homme sans qualités de Robert Musil
Traduit de l'allemand par Philippe Jaccottet, Jean-Pierre Cometti et Marianne Rocher-Jacquin
Le Seuil Tome 1 : 740 pages, 30 e ; Tome 2 : 1047 pages, 35 e

 

 

 

 

 

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Béatrice Commengé

 

 

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Brett Amory

 

Les habitants de Sky discutaient de la météo des rêves avec une passion toute rimbaldienne pour les trompes l’œil, les cache nez et les double mire qui souvent les faisaient dévier dans la bouillie conceptuelle du placenta mal entendu; l’immatérialité demeurait la révélation tragique du sublime malgré eux, et cela suffisait pour convaincre les esprits, que l’immatériel mobilier de la demeure était fait d’immobile matière demeurant du mind flottant, l'esquisse fuitant se cacher, se terrer dans son parking renversé et complet nocturne. Ce que demande les migrants, aux esprits chavirés, eux-mêmes glissant, mal assuré, c'est la reconnaissance, la pulsion la plus fondamentale de l'esprit fini qui n'est rien, n'est tout simplement pas des lors qu'ils n'est pas reconnue existant sur cette terre ; ils frappent a ta porte pour te signaler sa présence en eux; bien sur il attend de l'aide parce que de la ou il vient régnait la mort, la reconnaissance inversée d'un monde fou, ou lui, qui est une part de dieu tout comme toi, n'a aucune place sur cette terre, soit que certains l'on ainsi décidé, soit que les autres s'en foutent ; c'est l'esprit de dieu qui frappe aux porte de la charité de l’Europe ; l'esprit n'est ni l'argent ni l'effort que cela peut te coûter de répondre a cet appel brûlant de l'esprit, mais le dépassement d'une insupportable déréliction qu'au fond seuls les saints supportent gaiement ; mais au parlement, la réalité est tout autre et il est très rare que les discussions dépasse le corps étroits des préoccupations d'argent... comment l'esprit pourrait il s'installer dans d'aussi étroites frontières et résoudre le problème des migrants qui est un signe de la tache de notre époque en ce monde qui se porte d'autant plus mal que le principe de reconnaissance s'effondre alors qu'il est posé et discuté en de tout autre termes ? La réalité est un trompe l’œil, et il faut apprendre a lire en elle les vecteurs d'une extension réelle du domaine du cœur qui est la plénitude immatérielle de l'esprit reconnaissant, comme la figure de Socrate l’était pour qui recomposait, fasciné, la beauté de ses traits sous ses formes monstrueuses, comme s'il avait été le père d'une filiation qui disait qu'elle ne lui appartenait pas, et qui ainsi, artiste suprême, modifiait la sensibilité par l'intelligence, forcé le paysage a coup de suggestions et d'une certaine matière nouvelle de la compréhension éternelle, qui n'avait encore jamais exister, une qualité que les hommes ne pouvaient revendiquer par la force, un état subjectif de matière amoureuse « culturée », conscient d'être naturellement « cultivé », « porteuse de fruit », une réalité autre de la culture, une image du père de la nature sténographiée de la culture de l'esprit, une co-naissance qui a sa pointe de pyramide renversée dans la crainte de dieu, la pointe de l'information sur ce que tu as a cœur de protéger, car on ne se renseigne que de ce qu'on aime, et les terreurs et les tremblements portés a l'effectivité d'une conscience en paix devant dieu, être rendu dialectique a la plénitude du temps donné pour chaque être sur cette terre d'être reconnu ; sous les problème alimentaire, financiers, idéologique du monde, sous chaque conflit explose et pourri l’impossibilité d'une reconnaissance qui si on veut dire les choses jusqu'au bout, n'est réelle qu'en dieu, mais qui possède autour de la planète une épaisseur variable comme varie l'estime du créanciers dans l'esprit du voleur selon qu'il lui rend son du ou pas. Sous chaque migrants vit un dépossédé de la reconnaissance spirituelle qui lui est due, et c'est elle qui le pousse, et la guerre qui le nie. IL ne veut pas prendre ta place, du moins pas encore, il ne le voudra qu'au moment ou il se sera trompé tout comme toi tu t 'es trompé quand tu as prit le chemin du monde en oubliant étourdissement éternelle de la fin en dieu. Mais ce qu'il veut c'est que tu le reconnaissances, que tu reconnaissances son existence, et pas seulement pour l'exploiter, même s'il y consent pour t'agréer et susciter en toi les premiers élans d'amour après l'effroi de sa révélation soudaine sur les baies de l'étang nostrum. La reconnaissance est l'extension réelle du domaine du cœur, toujours en lutte avec sa propre image fantasmée ; c'est le contraire de l'excitation sans fin, de l'exploitation de l'homme par l'homme, la personnalité opposée au pigment sadien d'une hystérique saillie, la personne d'un état de paix profonde comme la confiance absolue, et l’obéissance au devoir inconditionné d'aimer par lequel on ressent la plénitude de l’être, bien autrement qu'en interrogeant en huissiers analytiques les propos de chambres des gaziers physiciens.... la plénitude ressentie malgré les imperfections patentes de nos conditions de vies, s'acquiert a chaque instant, s'offre a l'exercice réciproque des questions et des réponses sans fins, qui révèlent des pass sublime entre des obstacles infranchissables, vers des porches de bienveillance qui jettent leur feu sous tes paupières marines de vieux bourlingueurs fatigué. Frotté comme un croûtons a l'ail de tous les siphons bleu diurne, l'aube à la main ; la colline – en fond de course renverse un phare, au revers de son rêve mis a sac un bref instant de lucidité totale, court moment de la lueur du phare léchant l’écueil luisant qu'il faut a l'imagination pour construire l'image de sa perte, cuire pénétré par l'impact des rythmes a plier la lumière grandeur nature. Une passerelle à des mouvements de créativité à partir des herbes de clavicules fraîche et la lèvre canicule la terre lointaine d'un bord de ciel basculant de la falaise.

 

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Brett Amory