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09/06/2016

A l'arc

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Leon Nikolajewitsch Bakst

 

 

      Une fourrure d'onde, sous le capot, file en campagne ; elle recouvre les trois bulles d'intention vide qui sécrètent des assises au paternel en gravité; le vent poste l’allégement dans le chant des crasses bleues du laminoir qui moussent et dégradent le fond de scène ; derrière le ravinement de tes dettes de rimmel, les écorces liées aux mouvances fluide de tes tenseurs dialogique reprennent vie et s'hérissent de deux mâchoires pélagiques qui clouent le drugstore aux faillite du fiat et lux; des fées d’écriture tombent du soleil, dans les méandre du sommeil grimaçant qui grimpe par les langues d'ombres qui tremblent face contre sol en tâtant la vacuité de l'astre livide qui bat au rythme des semences de feux d'ou on germé les herbes folles et le cerfs qu'encercle un vertige d'onde, un bois courant dans les cavité stériles des fichiers du béton; le diamètre de la vacuité précède la viscosité de la relecture, l'attention magnétique subitement obstrué au cours du siècle dernier a mesure que l'inflation gastrique de la substance désespérée, sans nom, qui se recouvrait d'illusions interne a la moindre cécité; les briques d'air sont aussitôt ridés et recouvert des traces en braille, des nuées de collision entre envers elle dans la cervelle et le transfert cardiaque de l'image sur le papier de verre sulfurisé; tous le jour l'art des visitations grouille des vers repris au théorème de la vicissitude, et des sagesse venues d’un cadavre exemplaire.

     Les livres de casuistique humoristique et de jurice prudence qui décrivent l'odeur de benzène du dissolvant, sont plus insaisissable que l'exigence impossible du livre sacré: leurs pages tournent le regard des feuilles ensevelies sous le vent, et couchent la substance bigote du pognon aux pôles inverses aux variable d'ajustement des contraintes, l'équilibre gracieux qu'offre le prit au rendu, forment des couleurs modèles restées au miroir, comme une saveur sous la langue; un cachet d’athéologie du désir plonge ses branches dans les ligne du fuite de la téléologie désemparées qui écrit et décrit avant tout le baiser; heureux qui a trouver le dénouement du scandale, il soulève la poussière de ses sandales heurtant le grain impalpable de la densité du tain qui trouble le diadème des visibles transparences; du haut Recueil l’écoulement uniforme de la densité, expurge le souffle brûlé; et sous la fontanelle percée, l'angle froid de la lotion de surface trempe ses schiste dans des vases placentaires ; le baptême minéral infuse depuis plusieurs millions d'années, ses acides pétroliers, glissent en rond dans les même méandre d’où ils ont jaillit de l'air, le long d’une mafia dorique qui pénètre jusqu'au secret indicible de l'humidité des songes, qui graphitent des éclats d'orgue de grandeur de la voie éclaircie, raclée, remembrée a la fission.

     L'instant perce l’étau de déformation d'une charge pathétique qui tisse au-delà des sphères, l'anneau de la réduction eidétique; le chas mord et ronronne le long d’une surface tragique infiniment ronde sous l’aphérèse d’une passion indépendante de la données liquide. l'écrit poussé par l’impudeur uniforme de ce camélia peut être obtenu procession à d’hypothèses a reluire selon l’épaisseur de la pousse panique et suractivée de l’abscission constellé qui me porte a croire a la réalité disparue des étoiles ; que sont elles devenues ? Rien... histoire, réalité spirituelle d'un organe qui transcende nos états de grimaceries de vers laissant des traces insensées sur cette noix de terre noire d’écran ; j'aime a renverser le désespoir en élan, comme l'indique la paradoxale législation de l'aura... l'existence est l’œuvre d'un art que seule la contemplation sait voir sous les nuées de la contradiction, les leurs fulgurantes de la parfaite inquisition du cœur ; elle tourne comme le disque pronostique d'un échos englobant la dynastie des cubes et les civilisations; des anneaux perpendiculaires du disque se voile a l'approche d'un nuage de gaz des frontières qui conte aux âmes leur migration proche et lointaine

 

07/06/2016

Para lol

 

  

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Rolf Münzner

 

 

 

      La trompette médicinale soigne les courbatures du pas suzerain rompu au soleil noir su seuil en miroir sous les courbures espace temps, qui embaument le vertige parfumé des cabines de plage prés de l’arc effiloché de la lune, les pieds recouvert d'étoiles de mer filante formaient un scat au dessus de la pierre linguale, qui épelait des palmes d'aube qui peignaient; froid en tête et ciel rond basculent les mains fourrées dans la grâce ; la chaleur se retire ; le corps s’encombre de raideurs, la réflexion sent le joug terrible de la pensée incapable de lutter contre la glace souveraine; une pierre traine le muscle essoré mieux jusqu'aux dernières forces de la pulsion, qui expire loin des timbres dorés, l’œil recouvert de cadavres de lumière, de paillettes et d'ombre sifflants leur silence exultant,  comme des signes secret, des psaumes de chausses trappe qui font des troues de taupe dans la sente lunaire; tout autour de la conclusion, le sol aquatique et perméable de l’improbabilité psychique que jamais forme et matière se confondent, le tissu parcouru de chimère explosives, de lamentation déchirante et d’exhaussements qui se tiennent en cercle autour du grain de feu; en spirales, l'ombre a découpée les pelures du continuum et ses lambeaux flotte au grès de revirement de l'intelligence insoumise a l’Intelligence Suprême de Celui qui me comprend mieux que moi-même ; et sous lequel, remembré, la passion sort l'être des latrines de l'histoire ou son chant d'amour rouillait avec l’hélice d'autres farines dérisoires; pendant que deux studieuses cubaines, arrosaient le suzerain des glandes en profondeur ;et qu'un loup de plate bande, gobait les hurlements acide de l'appel du lit ; d’eaux ont débordé, les geais de l'amer, et tu ne sais plus rien au monde d'impardonnable, quand tu as décidé que c’était en savoir trop sur le mal de ne plus y croire jamais.

 

 

06/06/2016

La culture du cadavre

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juan francisco casas

 

 

 

...  je m'étais embarqué dans une croisade apocalyptique.

Céline

     

 

 

 

           Un signe rougeâtre déchire la borgne borne étincellée, qui délogée du dégèle des lies de vin acariens, marche a méditons sur les mains recouvertes d'essence bleue pailletée de loin en brun ; son regard rencontre le regard apaisée de la chienne du méridien de Madère couchée sous l'Atlantique Sport, dans un silence imperturbé depuis cent milles ans ; le voile de chair oubliée, grince, et la coulée de lumière qui se jette du balcon dans le ruban perméable de la piscine au millième prés reste inchangée de la couleur du sang; l'onde se rince les dents au soleil de la surrection des sciences du conscient réduite en poudre de souvenir; ressuscitée l'atomisation des tournesols bordent le périmètre du bain intériorisé ; l'histoire barbille l'absurde intelligence de la joie dont on n'a aucune raison de croire la réalité ; les flots de plancton étendent l'électromagnétisme du foudroiement au chant de prose lyrique qui pince, hors de tout, et au fer brûlant, l'encolure d'un cratère fumant les stèles et les bouches d'anneau lunaire qui tournent autour des pierres du dissolvant; l'odeur du thym écrase les géométries du sommeil, l'odeur remonte les coteaux du vide, le gravas pneumatique se contracte sous un ciel d'astres purs ou repose l'espoir du souvenir, l'ordre de la Respiration, le désir; le jardin inspire aux pins tachetés de schiste l'ombre des clairières jonchées de spins tressautant qui s'enroulent autour des courants d'air ; des pelotes d'aigrefins concassent les ruines, ou rodent les sphinges qui méningite et cogitent en secouant dans leur mains des terrains de foot arboricole… dans d'autres pièces du jardin, les désorientés, lisent Maïmonide, et de son livre sort le souffle de l'éviscération du texte, l’herméneutique parfaite des étripers, qui renverse les autres pièces du service ; par les persiennes du monde, les brisées de couleur propre lessivent da et sein dans le même chaudron, touille le même anneau par les deux bouts indéfinis de la durée wo es war; le monde, sur le point de se rompre nous effrayait, et par ce grand brasier de l'imagination un instant, laisse entrevoir, que le monde était alors, le jardin angoissé des limbes pré-logique, l'impasse poreuse des substances de l'insaisissable essence de la Joie qui de sexe en sexe, devint a son tour attentive aux coutures du prétexte en point de départ éternel posé dans le temps d'une relecture qui transcende le temps ; l'explication avait sombré a l'instant de l'amour et la science chue avait mué le déboussolement en victoire crue plus légère que les abîmes; la réalité effective de l'amour illuminait la salle du trésor perdu alors que nous devions en préfigurer la trace pendant que sa réalité était encore effective, et la préfigurer en esprit, autant dire, intentionnellement, désiré comme la réalité suprême saisit au cœur, être seulement ce que dieu veut que l'on soit ; dieu parle a chacun a travers son monde et tous sont artiste a défaut d’être créateur de leur vocation ; en jouant il évoluait parmi les chants qui s’élevaient de la plaine, et imprégnaient un rythme aux herbes soyeuses, comme la pulsation du sang passant a travers son bain, lavé de tous soupçon, connaissant son objet, le voyant supporter le poids du monde par la vision de la racine absente qui conserve la croyance invaincue; de toute façon le temps du deuil était venu, mais la disparition de l’Éden n’était pas aussi triste qu'il y semblait, puisque sa certaine réapparition était la seule explication logique, l'unique conclusion littérale des intuitions mathématiques.... les rudesses du sablier rendirent l'esprit perçant, pour vivre au désert comme sur la fontaine du cœur.

 

    Le laboratoire d'observation divine du concret ouvrit les portes de sa cité un matin de mai suspendu a juin, jamais, l’être complet, l’être total, l’être global, la substance sans lien mais entièrement imprégnée d’elle-même, l'acte pur redoublé en lui-même n'avait été le sujet d'un tel dispositif d'analyses mêlant a tant de phénoménologique attention les plus scrupuleux protocoles d’expérimentation ; pour chaque nerfs, un frisson parcours les observateurs qui s'accordaient a dire que lors du scratch second, on verrait l'intelligence et le cœur entrer en fission ; avec la pluralité des mondes, les bornes régionales de nos rives fusionnaient entre elles, et la matière noire devenait l'absence de position de réalité, le point de vue le plus abstrait possible de la maison en fusion; nuit et jour les mains les plus humbles pianotaient et injectaient des ordres aux logiciel d'effacement ; et peu a peu les reflets grossiers disparurent, les caractères sains de l'intelligence et du cœur se nettoyaient entre eux ; et peu a peu les premières sous-souche de la réalité entièrement réduite a l’eidétique apparurent vainement; au sujet du sens de l’expérimentation, le comité scientifique se divisa en deux courants ; celui des philosophes qui supposait la réalité de l'inconscient plus prégnante et estimait que l'effacement des images ouvrait la vue a d'autre horizon, et celui des voyants qui croyaient tout simplement ce qu'ils voyaient autrement; d'aparté le comité avait fait venir un réflecteur sémantique a lamelle quantique, qui décomposait si bien la lumière, qu'a travers lui, plus aucune trace d'image n'existait, et la lumière « étincelait » étrangement, comme si elle avait éclairé d'absence le présent, l'objet insaisissable du chasseur cueilleur décomposé dans la solution objective de discontinuité qui du libre arbitre, fait le suite de l'arbre de vérité ; repousse qui rendait incompréhensible les objet, transparent le sujet insaisissable du sensible; on pronostiquait que le traducteur chinois du tricot de Möbius accoucheraient dans les râles du vertige des nouveau né.