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31/05/2016

Somnicientia

 

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José Hernández

 

 

À l'abattoir, aux phosphores, aux grilleries-lamineries-les-tripes, les Droits de l'Homme et la fraternité !

Céline  

De nous, si le mot “merde” subsiste ça sera bien joli.

Céline

     

 

      Souffrons un peu d'avenir, souffrons d’imaginer le paradoxe  de la commune félicité a travers la vie et la mort de la cité a la courroie de transmission flasque, puis coupée tournoyant a tout va dans la nacre perlière, ça garrotte de partout la dedans, ça rabiote les fonds de poches de l'humiliation par le fouet au dos des pauvres, du pain a l'os ça bricole au sangle des solutions a tout va la dedans! la liberté ne se demande pas et pourtant elle commande d’être reconnue inconditionnellement, c'est pour ça que ça bourre au poings ganté l’étoupe d’étincelles qui s’échappe du court-circuit, c'est l'affolement général des troupes dans la chaudière, tous a la dispersion, tous jetés a la baille électrique dans les nappes océanes ou le courant ne passe plus... c'est chahuteur la peur bleue de la mort qui transcende le gouvernement et donne un peu de couleur au rafiot, un peu de mouvement autre qu'aliéné vingt-quatre vingt-quatre a des occupations et des intérêts de puissances étrangères; ils fomentent des harnais tout neufs et splendides pour les nouvelles contentions du corps social débordant du moule de partout, foutre dieu qu'ils sont mauvais ! la peur c'est la mort qui les hante, c'est par elle qu'en cercle, ils se chient dessus des pellicules de chaîne cathodique depuis longtemps épurés de tout blâme pour que le monde ne leur saute pas a la gueule, longtemps ça ne leur été pas arrivés, tout un peuple les encercle de poudre, et l’allumette brille dans tous les yeux, a voir ça, ça vous ôtes jusqu'au tripes d'en jeter plus sur le feu, les harnachés débarquent et plâtrent le quartier, le cordon policier de répression des mœurs libres est un caisson étanche, une dimension suplementaire et differentes de la langue maternelle, une langue administrative qui n'est pas encore tout a fait au point, mais cela ne saurait tarder, en entendant pardonnez leur s'ils ne peuvent pas vous excusez, s'ils ne savent prendre les forces ou elles sont, les pécher autrement que sous la contrainte et l'humiliation, en les fauchant, mauvais jardiniers, c'est qu'ils n'ont pas même idée que nous puissions êtres responsables, ils sont tellement gâter par la corruption des groupes d'ambiance, ils ont tellement l'habitude de vivre sous leur coupe, auprès d'eux, de n’obéir qu'a leurs ordres, qu'ils ne sont plus capable d'imaginer qu'un peuple responsable puisse exister sans dépendre de ces rapports de forces seuls réel pour eux ; alors aussi, quand l'idée les frappe elle les épouvante d'une lumière de pleine mort, et ça les dévore de face a face arrogant, coq du matin, mort le soir, et ils ont beau se fourrer la gueule dans le foulon taré des sondages, ils ne trouve nulle part le science des dynamiques sociales, la science du cœur et de la charité qui est l'arbre duquel ils sont tombés, ils ne savent que ce que croit savoir les étourdis, méditer leur rancœur contre la liberté, ils cafouilleront dans les affinages, et produiront des sulfateuses a nigaud, de nouveau jouets, de nouveau prix, de nouvelle tête de turcs et d’autres souffre douleurs, ils sont partis perdant, rougeaud, pédant comme tout ce train, ce régime inamovible antioxydant ou vont les choses, regarde les ils rient jaune, ils sont tout vert de rage et rouge colère qui vire au violent, a la rebuffade, a l'explosion cathartique, refoulé contenu comme les paroles retenue au seuil de l'oreille de ces poltrons qui ont brisé leur jouet et ne savent même pas rire ; la prochaine fois votez directement pour des enfants, des mineurs, des qui n'ont pas toutes leur raison, des fou auquel manque l'esprit, des mit sous tutelles, des curatifs expectorants cinq cent cordons de flics pour contrôlé l'usage que vous ferez de l'esprit critique des rituels sobre et de la fête, pour percer leur secret, secouer leur trésor, passer outre leur voix de matamore pour accéder aux berges du dévoilement, a la démystification matérielle de la matière, a la révélation de son pouvoir vacant, son inertie fondé sur la chute des graves dans les decors et que soit révélé ce que cache véritablement leur cœur quand, toute la muselière théâtrale tombera avec l’ornière psychique de la mise en scène d'une mite bouffant le logis attaqué par ces platiers du dimanche ces représentant de la camisole sémantique, qui couvent et couvrent des fous furieux aliénistes incapable de comprendre que notre idolâtrie naturelle est le pouvoir premier de la langue, et qu'ils en usent et en abusent peut-être au prix de leur félicité, il faut les voir, quand, tombe les murs en carton pâte de l’opéra de la grande bouffe et du grand soir,  et que l’allumette grillée de leur véritable surface apparait derrière le paravent qui se réduit chaque jour, comme peau de chagrin en éventail, putain que ça doit être long de temps de la démystification quand il est aussi le temps de l'histoire et qu'enfin l'Elyssé se dévoile envahit par la poussière, le champs de mars rongé, défoncé par les obus et qui n'offre plus aucun équilibre a la vue, qui y chercherait en vain, même dans ses souvenirs, le jardin des lumières qui ne sont plus, ils ne peuvent plus se mentir, ils sont acculer, ils ne peuvent se cacher dans l'appareil mis a nu de l’apparat des Colisées que leur soin a terni, entartré, recouvert de vomis qui n'illumine plus que leur face décrépie de mollusques accrochés au pouvoir; deux choses les ont rendus fou, la recherche de Son pouvoir, et l'ignorance de sa forme, le temple s'est éteint a leur venu, les portes se sont close sur celui qui n'a jamais péché, c'est l’assistance aux suicidés, les brancardiers du repentir joyeux qui font le grand plongeon dans le grand bain de la grande dénouée œdipienne, et c'est a la mitrailles qu'en rêve, ses locataires a deux dimension, le tordu et l'assistant boucher, répondent a ceux qui pourraient combler les colères de la grossesse avortée qui les ronges, nerveuse de chaque coté de la bonde, leur bouche d'amibe noir comme la peine incrusté dans les abîmes moraux ils ne sont pas moins grands ni moins profond dans l'opulence comblée en tout, que dans la misère qui ne se satisfait de rien, assiste au spectacle de la décomposition du pouvoir et tu verras dieu, a moins que le dialogue de sourd qui assure le spectacle ne te divertisse du travail minimum de la folie défaisant l’aliénation par la peur d'un pouvoir vacant, belle scène de crime en effet, beau théâtre symboliste, et pour la vie a quotidien, les tensions qui tressaille a travers le tissus social déjà a moitié fondue en bourse.

 

29/05/2016

Maze

 

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adrien belgrand




 

  • tu dors.... ?..

  • ... comme je te parle...

  • … tu remplumes......

  • ...ce sont mes récitants qui plaident a l'ébauchoir....

  • … tu médites en ronflant...

  • … je nouais les vœux de ma bouche...

  • … pendant que j'examinais le nœuds de la citadelle ouverte... tu ne manques pas d'air...

  • … un peu.... j'offrais des chicots aux accents circonflexes qui étendaient un texte sur la corde a linge du libre suspensoir …

  • …..

  • …. les rives insensées de la mer Morte gîtent et montent jusqu'au feuilles...

  • .... j'en reviens, coiffé d'un grand coin de houle ….

  • …. ton bonnet, frappé de ciel pan...

  • …. ha ça alors c'est trop fort !! les exilés rêvent tous d'un même lieu ….

  • …. une ombre incolore vous guide au pieds d'un arbre disparu, et là tu t’aperçois que le vent a déjà presque effacé la houle....

  • …. je l'ai trouvée intacte sous les coups de torchon, tous les os de l'imagination figuré au tableau des grands nuages blancs, l'ossuaire était toujours a la frontière des limbes d'ou nous parvenait l'embrun de sel de la dernière fin par ...

  • …. le tamis, l'horizon qui pique les yeux de troués lumineuses délogées entre sable et poussière, des rides intérieures de la noblesse du temps....

  • … tu avais l'air digne et suspendu aux mots... aspiré en eux et absorbé en pensée...

  • … j’étais en cathédrale par la clef de la charité qui ouvre la paix vierge et insensible au profondeur de la connaissance du cœur.... la lumière morale que laisse chaque trainée d'escargot...

  • …. tu as lu la bible un long moment... puis tu as titubé a travers le temps, et tout a coup les douleurs et les grimaces de tes efforts intérieures qui semblaient contrition et naissance d'une joie indescriptible mais consciente dans les douleurs du repentir, se sont effacées... tu souriais presque comme un nouveau né ...quoique tes lèvres fussent flageolantes et pincées par du plomb transcendant, comme l'olive coincé entre l'alpha et l’oméga de la confection intérieure des pièces du temps....

  • …j’ouvrais les portes de l'extase dans l'univers suspendu....

  • … aux mots juste l'eau assoiffée par un chant... une révélation buvait les franges cristallines et crénelées d'un lac....

  • … la biche fuit a l'approche et se réfugie sur les hauteurs calcaires de la Question de Fond....

  • …. comment dire qu'on ne peut dire sans mentir, sans se trahir, s’abjurer et se sentir délivré par ce nœud qui entrave... ?

  • ... bouche ouverte, la caverne ne dit rien.... mais tu dormais si profondément … tu avais l'air studieux du novice qui apprend a ne penser a rien, a se représenter la paix vierge d 'images

  • … j'y ai penser effectivement puisque cette science est le rêve... le rêve d'avant les équarrisseurs de divan....

  • ….c'est peu après d'ailleurs, que l'élan s’essouffla, que l'imagination devint livide et le monde sanglant, je me souviens de ce rouleau d'horreurs qui heurta notre train de plein fouet, et nous obligea a descendre de l'impasse matérielle ou nous avions creusé...

  • … et c'est alors que nous nous échouame sur le rift sans repère de la date limite de péremption...

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25/05/2016

Chemin des revenants

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Gil Bruvel

 

      Les puits de la fontanelle sont forés,  selon les pointillés sémitiques de la pensée éternelle, reproduisant la structure moléculaire des senteurs monadique sur des cylindres systémique et éreintés; a terre le vent joue avec la police d'une feuille de choux: l’église cherche la communauté invisible des romances de foi au carré ; et voici qu'a l'appel s'extraient des limbes et du néant, le carrousel des déglingués, la légions des cul de jatte broyés et vomis par le temps, les temples d'os et de barbelés couronnés de guingois, les cœurs décapités, les moignons aveugle et frétillants des schizoïdes, les ténébreux du cacheton, les autistes a manivelles, les guenilles cancéreuse de la crasse puante du péché... voici ta compagnie... tous sont ton prochain, ton semblable, ton miroir et tes yeux, tu es pareil a ces myriades de gênes roussis qui s'amoncellent comme le sable sous l’hélice d'adn; et pas une bourre de pluie a l'horizon, aucune corne d’abondance, mais l'aridité des souffrances qui monte en graine au milieu de l’amphithéâtre des nuées de semence et des nuages de sperme; apprend a désirer avant de recevoir crient les apologies qui brûlent comme des feu de foret gigantesques dans les bibliothèques du derniers degrés du cafard dont on extrait l'huile vierge ; les murs de la parentèle étaient collés, et les voilà tout a coup qui laissent apparaître le chrome radiant des criques au fifre de miel scintillant comme l’azur ; il se rappelle la joie, du pare choc tombé hors les tables des catégories ; il ne peut pas se rappeler la joie indescriptible de l'innocence, il devra reformuler l'insouciance et mêler au présent toute la brûlure d'un souvenir qui poudroie le prochain pas ; cela fait déjà cinq romans qu'il s'est enfermé dans les cinq milles plages de référencement idoine de l’évaporation des satellites de saturne; des mains sémantique grattent des couches de papiers a la recherche d'un corps ; elles tâtonnent entre les ombres atomiques et les palmes aquatiques qui battent contre les abîmes les cimes du trauma blanc.

Il boit un chasse l’œil délirant extrait d'un piano forte charnellement tautologique, et lui pousse des jambes schizophrène a la pensée; l'élixir réflexif bouillonne dans un bain de corde homogène aux barges traits; le front rouge, un gros scarabée saccage les associations interne du soleil; l'iris décomposé tombe en limaille immatérielle qui laisse une trace de souffle dans l'idée montée en fleur ; d'un vide pierre, sortent les paperasses de graine, le faux crayon d'identité des tiges, et les rouleaux de la loi sur la nervure verbatim des nébuleuses ; de la mine cassée d'un tire-bâillon, la joie moire et recouvre, pour l'instant, encore, une tête d'un oisillon, piaffant l'argot des abîmes plus précisément que le précipité sulfureux du buis; les corolles sifflent près des moignon de tronc en gestation semi oraculaire; au centre du pasteur, la pensée suit le cours d'une rivière qui revient en bouche; a tel angle de pierre, elle range le haut en bas dans le bocal de la résurrection ; et en cuir caïman, il attend le reptilien transport des clochettes a fées; il sent alors qu'une immense vallée s'ouvre entre ces cotes, qu'il est monade sauvage, qu'il ne peut plus pensée a revenir au monde comme il l'habitait avant il sent qu'il ne peut plus allez de l'avant sans présupposer qu'il a déjà quitter ce monde, sans présupposer que tous les repères dialectique se sont recouverts, confondus, et que la fin qu'il connaît sent le brûlé et l'encens.

Plus tard, les heures refermées du livre, en parentes de son art de collusion, art des crises et du collapse, renverrons clé et serrure a l'ouvert; par son chas, la langue échappe une vibration, et l’arcane diffuse les traces de sa quantique oscillation de place, la sente des revenants. ; le serpent qui mordit la langue a disparu ; et de la pomme tombée dans le ventre du miroir il ne reste que des heures nouvelles.