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24/11/2014

15H46

Mal au yeux de méthylène ; le sud tombe en poussière dans le cadran des temps morts ; l'instant ressuscité chasse la pièce d'eau comme un élément étranger au gosier des gaz rares ; quand tout est dit, il semble qu'on parle de rien, pour ne rien dire, qu'on crie dans le désert pendant que les couches d’atmosphère écrasent l'uniforme des champs de tourbillons; le parsecs indéfini des mers d'hydrocarbures, ouvre le miracle au vis a vis des insectes dénuées de réflexion, et dans l'herbier des satellites pousse la botanique du ciel la rengaine d'une combinaison carbonée de souffre et de lardons orphelins compilés dans les livres sans cuisine que la faim a déniché ; relié l'ouvrage l’était de toute un flou atmosphérique qui permettait de le voir objectivement briller ; mais une fois ouvert le livre qui mentionnait lui-même sa perte au bureau des objets trouvé, était requalifié tout autrement, de telle sorte notamment que la satiété succédant a la faim rendait le souvenir de son enfouissement plus secret et insensé qu'un grimoire manuscrit dans un codex jamais déchiffré ; plus lourds et opaque la paupière du lecteur somnolant, que l’atmosphère reconstituée mentalement, des mêmes éléments biochimiques de la famille du cristallin sérigraphié; le Paradoxe au multiple carats devait être ciselé, connaître son ignorance était l'idée, mais il faut le reconnaître cette voie nous faisait peu avancer d'un point a l'autre sur le même plan, mais seulement naviguer d'une chute a l'autre, par un bond sur place ou la parole manquante de l’écriture était chassée de son silence, par la présence de l'esprit qui ne se reconnaissait pas dans les lettres du livre trouvé; l'esprit du livre situé était insituable, devenait livre saint, semblait murmurer et frémir comme une voix enfermée dans l'eau de son silence, « Venez ! je vous montrerais le nœud ou la parole a commencée ; entre eux deux, le monde s’était déchiré, dédoublé, puis redoublé paradoxalement, effacé et réunit, brisé et reprisé par l'apparition de la qualité nouvelle que tout signifiait perdue d'angoisse auparavant ; et le schisme résonnait comme une fêlure spirituelle ou le parlant avait apprit d'un autre a dire l’innommable.

Une note époustouflante sur Susan Sontag.

ici : https://brumes.wordpress.com/

extrait du blog : Brumes, blog d'un lecteur.

Magnifique.

(Didascalie) voix lactée.

Il n'y a pas de mémoire de la création; et le récit ou elle projetait d'enfer sa connaissance de l’éternité, était lardés de trou béant par ou passer la lumière immatérielle d'une unité supérieure et différente de soi ; un tout autre rapport a soi-même, était le secret qu’éveillaient en eux la recherche du texte sensé ; entièrement cohérent, qui non seulement les emporterait dans ce qui est la vie de tous les jours, mais transfigurerait chaque instant de cet vie prosaïque en une pure continuité miraculeuse ; le problème était que le secret de la transfiguration était scellé dans les malles du langage d'un tout autre genre de réalité ou la joie n’était pas un absolu de réalité, mais un événement heureux du a la fortune et aux hasard, ou le prosaïsme n'est qu'ennuie, tracas, seulement éclairé par de rares instants de joie qui brûlaient aux PMU et les jours de loterie, comme de lointaines galaxies, dont il aurait aimer qu'elles entrent en conflit avec l'obscurité intersidérale, la dévore entièrement comme pour voir la chose de la joie, d'un peu plus prés ; Hubble pourrait voyager un milliard d'année sans rencontrer dans l'univers la moindre trace de sentiment, cette forme complexe de la sensibilité qui ressemble a l'esprit dans la mesure ou elle se coupe de ce avec quoi elle prend connaissance d'être en rapport ; explorer l'interstice, fut depuis toujours le premier sentiment de cette force, ressentie comme un déséquilibre qui avait fait vacillé en avant cette espèce folle, cet animal dégénéré qu'est l'homme ; on l'avait sondé et parcourue a la barque, dans des drakkars noirs fendant les brumes et les flots, on l'avait nommé comme une ligne de front au pourtour des cartes, on l'avait nouées aux cou des ballons et des filles, comme ce petit signen annaux bracelet, conservant la mémoire de l'irréalité de ce qu'on cherche ; était venu alors le temps heureux ; le signe avait fané autours des bâtons de pluies, et le déluge avait recouvert la terre et emporté le petit fichu ; alors TOUT était devenu signe ; c'est lui qui s’écroulait sur écran géant sans échappatoire, dans les grands drames de douleur ; derrière la croûte des nuages, les grand tremblement de la lumière montant sa propre échelle de grandeur dans l'effondrement de tous les vœux d'un cœur humain ; tout commence par un grand piétinement ; les bottes et les talons qui semblent surgir du vœux que l'on a osé formuler, une légion d'ennemis et de contradictions , d’empêchements, d'interdit, jaillissent de la première formulation du cœur ; en même temps elles sont né, les deux pans de l'alternative, mais dans l'euphorie de la première formulation la somme de la négation de notre vœux, s'il n'est pas des sa racine, correcte dans sa formulation, mit toute une vie a se former ; les premières conséquences peuvent paraître bonnes un certain temps, très longtemps même, mais toujours viens le démentis, non pas partiel, mais complet qui ruine entièrement le monde, dévoile l'être dont la maladie est d'avoir une connaissance irréelle de sa réalité qui s’étend au-delà de lui-même, contamine toute chose, se perd en confusion, et réduit l'expression mondaine du vœux en poussière ; en détruit jusqu'à l’entière possibilité en emportant un fils de chair et de sang; ai-je vraiment formulé le vœux ? Pourquoi l'ai-je aimé ? Pour souffrir éternellement de sa disparition incompréhensible, au moins aussi incompréhensible que l'instant ou je l'ai aimé et que j'en ait eu besoin plus que de moi-même ; et c'est la puissance sémantique du signifié transcendant qui s'ajoute a son propre dire, qui retombe comme un érosion de sens qui liquéfie jusqu'à la réalité l'organe et les pulsations qui on formulé cette conscience désormais inoubliable; l'organe meurt de ne pouvoir intégrer sa propre formulation ; mais toute graine meurt n'est ce pas ? N'est ce pas ce qu'on vous a enseigné ? N'est ce pas non plus ce que l'on observe, ce qui fait qu'une chose est intéressante, c'est précisément ce saut ; la longueurs des branches n'a d’intérêt que pour le savant au sentiment abstrait, la vivant lui cherche la rupture, la ou les liens deviennent spirituelle hors de toutes apparences, invisibles; ce vœux on le formule une première fois, a propos de tout et de n'importe quoi quand c'est la passion qui parle ; ce vœux est happé par sa propre formulation, il entre dans son propre destin, et si la négation survient, pour son bien, c'est pour prendre conscience qu'il ne choit pas hors du monde mais qu'il y a toujours était tandis qu'il se tramait dans l'illusion d'avoir prononcé quelque chose d'essentiel a l’égard de l’être qui serait en tous aussi malléable que son cœur trop tendre et en formation ; si bien qu'on avait cru le monde, la réalité d'un vœux accomplit ou s'accomplissant ; mais quand tout viens a le démentir c'est la sémantique qui tremble noétiquement et la sensibilité doit rompre avec ses propre tremblement pour devenir artiste en quelques sorte et se voir sans la trace de sa discontinuité qu'elle laisse luire sur la culpabilité d’être sans pouvoir dire son nom ; culpabilité jamais vaincu par la joie première qui ignore tout de ce combat ; ou n'en aperçoit le concept mais que de loin comme une étoile, une comète frôlant l'enthousiasme naissant, le flétrissant a peine sur son passage, alors que la lumière en extension en rejoindra a nouveau l'ellipse qui donneras lieu, la seconde fois, a une tout autre collision ayant une puissance et une importance autrement décisive dans la transfiguration de la nature immatérielle de la réelle éternité déjà présente dans le temps comme un îlots coupé, une île aux confins étroits et escarpées; ce premier monstre de la lumière, premier monde de la première joie qui ignore encore son pouvoir surnaturel et ne le reconnaîtra qu'a travers sa ruine, existe et vit dans un monde qui passera en un clin d’œil ; peut importe le cadre politique de cette mutation, elle n'a d'importance que si vraiment un régime politique était capable d'engendrer un homme qui n'aurait jamais formuler aucun vœux ? La politique dirait un stoïcien, n'a pas ce pouvoir d’empêcher un homme de formuler un vœux ; sauf si elle devient démocratique et festive dans le contentement sans concession, pour tous les sentiments instables, si elle cultive la confusion et les sensations réflexes ; monde informe mais captivant, qui passa en un clin d’œil, pour laisser la Face de la Providence, tirer ses traits des points d'effacement d'un instant de joie ou l'on a cru faussement le vœux accomplit, monde qui passe par la présence sans s'y tenir jamais ; formulation plénière du cœur évidé, et qui enclenche le destin de l'effacement de toute signification qu'on avait soi-même projeté pour ce monde, et qui sera impitoyablement rédimé pour que le cœur découvre sa vraie nature supérieure et une autre façon d'accomplir son vœux, en levant le couteau sur le fait de l'avoir formuler sans aussi le concevoir en dieu, et pour que sa véritable identité sensible d’être crée sorte enfin de l'illusion solipsiste ou il ne s’éprouve pas en tant qu'esprit, absolument sensible a l'absolu, mais se noie dans l'entre-deux mer avec d'autres êtres tout aussi ego-centrés.

Les lois qui exclus toute conversion possibles pose le cadres de la plus grandes sensibilité a la perte sans laquelle la mémoire du rapport absolu a l'absolu n'est pas conservé par le risque même qui en ébranle l'avenir de sa mémoire possible, encore et toujours possible, encore et toujours risqué, « encore et toujours » risqués.