09/11/2014
Prix: taux de dispersion du bien en zone de destockage.
Il n'existe pas de temps, d'instant ou l'on possède l’être, c'est la définition du devenir autant que celle du désespoir et de l'amour transcendant cette impossibilité sémantique partout a l’œuvre dans le paysage de buissons d'oursin sifflant sous le vent, plantés entre les fossiles des yeux des mouches ayant perdue leur fonction avec la lumière; diamant noir de mille carat, œil de verre du feu éteins reposant exactement a l'endroit de sa cécité, aveugle au « quand », donc, qui n'existe pas ; toutes les autres conclusions sont possible des lors qu’être n'est pas; et c'est un fleuve d'herbe et de plaines sauvage qui se met en mouvement a mesure que le bouleversement de la connaissance se fige autour de la question centrale de l’âme portant sur l'existence, plus importante encore que l’être, du verbe parlant qui le légitimerait a la conscience prenant connaissance de son aveuglement qui trace sa route, se forme en dévoilant ce monde ou elle s’étale toujours davantage en croyant déjouer si simplement la mort, en la corrompant, en lui offrant des proies inconsciemment, fruit d'une religion inversé, d'une diablerie cardiaque aux atours aussi avenant que les fourrées de printemps piaillant a tue tête de puces perchées sur les plumes des pies accrochées aux palmes; une perte progressive de la vue est en cours, qui parfaitement éteinte confond l'esprit avec la présence du monde de son inexistence convaincu; s'il n'y a pas de temps de l’être, le récit de sa non existence remonte d’elle-même au quand de l'Instant ; l'existence de l'amour est l'identité parfaite de la réalité objective de la réalité subjective; la perte objective de soi est aussi la possession caractéristique de l’être éternel ; au plus prés de soi l'horizon transcendant de l'amour advient dans la présence de l'aimé ; s'il est l'absolu alors aussi le chemin, par ou tu es entrée en sa présence est la joie bordé des rives de l'affliction ; s'il est ton semblable sans être ton prochain, et sans l’être, si vous êtes malgré tout, l'absolu l'un pour l'autre, alors il n'est que la justification du rejet de la transcendance et votre amour n'est que son contraire qui s'ignore encore; sa présence est un pli qui enfonce ses pas sur la surface des représentations superficielles ou comme un malade les amants en quête du trauma dispersé et perdu dans l’épaisseur de ses malaises finissent par révéler leur haine l'un de l'autre pour aimer l'infini de la quête et de la requête de l'esprit qui transcende toute représentation possible ; l'impossible est la condition de sa représentation, comme la parfaite opacité du verre fait la qualité du miroir dont témoigne le reflet rendue a la lumière.
Un homme se bat dans le jardin plongé dans la nuit ; il se bat avec l’expérience intime du bouleversement des questions qui en laisse froid plus d'un ; quand le soleil ne sera plus qu'un lointain souvenir ; quand ce que l'on nomme ici-bas expérience, voir même, n’ayons pas peur des mots, vie, se révélera être en vérité une peau morte de la poche placentaire, ou l'attentif au gargouillement d'estomacs est souvent l'objet d'un rite sacré a la hauteur du digne événement métaphysique qui pourrait résulter de ces bouleversements intime, l'apparition d'une écriture, cet invention qui n'est pas encore venue et qui tient le monde en haleine, tout au moins ceux qui ne sont pas pressé d'y voir surgir le prochain luna parc bourré de destock center ; l’écrivain est un insecte plus rare que le scarabée d'or ; ses ventilations infimes ont la puissance d'un acte divin comme ceux d'une punaise se contorsionnant dans son lit quand elle est sur le dos et que l’anxiété, ce refus infime de la pensée, ce grain de lâcheté développe autour d'elle, un monde hostile, ou l'esprit se perd, perd confiance en lui-même, et que les bruit de la pièce vide ou il se trouve résonnent déjà du pas des assassins derrière la porte ; quelque chose en veux a sa vie ; c'est l'esprit lui-même, qui transcende toutes ses représentations; mais les tortionnaires seront bannie de la réalité, ils ne ressortiront pas la tête de l'eau qui gicles des racine brisées du souci ; l'assassin premier, celui qui supprime le derniers recours de la foi, est le dernier dont on s'avise de la réalité ; il a depuis longtemps prit de la place dans nos vie ; en bon militaire et bon stratège il a eut tout le temps nécessaire pour disposer ses légions, et ses pièges, ces barrage d'artillerie, ces coupe gorge, élaboré inconsciemment ses plan de mission mystique ; on voit le ciel, on l'a vue ; on la renommé déjà mille fois, ciel d’Espagne ou de Suède ; puis tout a coup, il n'est plus qu'un élastique, un film plastique, une peau morte de la transparence de l'esprit s'attachant par la beauté a la réalité de l'absolu distinct et hors de lui-même, une poche de supermarché acheté dans les super-marchés de la poste sans frontière, un voile jeté sur la respiration de l'univers qui disparaît soudain dans son équilibre transparent, pour laisser place a la vie consciente d’être la réalité d'un être secrètement enfouie au cœur des représentations superficielles qui l'oppressent autant qu'ils désire leurs soutient; derrière elles, l'azur griffé par la bête qu'on ne voit pas, et qui déchire le monde et le consume constamment ; diable qui n'est que diablerie de l'amour propre jouant ses tours a l’âme humaine, pour maintenir le désespoir dans la synthèse des représentations, comme si la réalité ultime de l'intention fondamental qui traverse toute une existence d'homme ne pouvait qu'affirmer a la fin, que ce qui a toujours été sa conviction, que la réalité du néant est la dernière et unique assertion qui puisse faire tenir ensemble ce monde flou ou finalement il n'y a que la boue qui se voit couronner ; il faut cependant laisser un peu de la victoire surnager pour rendre mieux sensible la conviction de la perdition ; et il faut un peu plus que de la conviction pour trembler, il faut le doute ; , qui n'est qu'une ultime première projection de l'ultime premier du concept ou je projette a travers porte et fenêtre ouverte le jardin de ma grand-mère ou gît cependant le caveau ou elle fut inhumé ; inhumé après bien des tumeurs, tuméfié comme une glaise qui s'en retourne a la poussière asséchée, aussi insignifiante que tenace au dire des ménagères: la diablerie doit mourir dans la lutte pour défaire tout renversement dernier, celui du but ultime ou il est fini de muer ; défaire toute tentative d'insurrection ultime de la vie contre elle-même, dernière et victorieuse forme sortie du moule de son propre piège; pour que je puisse devenir un homme disculpé de tout assassinat, a commencer par le mien ; l'invention de l’écriture rendrait possible celle de la lecture sereine de cette conception de l'immaculé conception passant par la production des beautés, la synthèse des contraires qui complète d'une gamme les cordes tendues de Pythagore ; au titre de corde, leur réalité est la même que celle du chanvre d’où elles firent tirées, mais des boyaux de leur fibre, elle n'accouchent du nom de corde qu'a la condition que la qualité entière de leur être, leur essence paraisse l’être, rassérénée répété en elle-même; car lire, c'est en dernier lieu une fonction de l'esprit destiné a la présence du signifié transcendant, c'est un régime des tensions uniquement destiné a édifier cette sorte d'attention, a rendre l'esprit sensible au beau, au vrai, a la bonne inattention ; les apparences sont pleines de ces douleurs sémantique ; les os du jour remuent sous la peau de demain sur laquelle la flasque d’airain renverse d'un crépuscule de boue a l'autre, l'espoir variable de l’élasticité du noumène qui tremble et bouge ses colonnes déjà derrière la limite de vacuité des apparences comme viendra le dieu soleil enfant lançer ses dès sous la tôle ondulée du sommeil foudroyant.
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08/11/2014
https://www.youtube.com/watch?v=e4Ao-iNPPUc
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https://www.youtube.com/watch?v=XOhmiwoRJvc
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