22/06/2014
sans titre (en cours)
Pie rejoignit la ville qui ressemblait a un immense cimetière aux stèles mortuaires gigantesques ; une nation anonyme s'y priver volontairement de sa culture non pour renaître de ses cendres, mais pour se fortifier dans l’idéal d'insensibilité qui seul permet de survivre dans ce milieu hostile de la culture du nivellement ou l'impression de soi se prive volontairement de tout moyens d'expression et laisse ses racines pendre au bout de ses doigts perdus dans les ductiles échantillonnage de produits de masse tous équidistant de la même densité de plomb qui sature l'orbite martienne de l’intériorité stérile et désertée ; dénuée de respiration intérieure l'individu de masse vit dans l'illusion désespérée de trouver dans la culture nivelée du prêts a porter, un instrument de mesure de la douteuse valeur de son existence dont le sublime ne peut s'exprimer sans l’immixtion d'un rapport a une réelle transcendance, et encore moins en versifiant la langue objectale qui renvoie les mode d'emplois des bibelots entre eux formant une ceinture d’astéroïde dans la constellation du scorpion prêt a mordre ; cette culture a pour finalité non de dissoudre le sens dans le sang et d'en fluidifier l’écoulement dans l'élan révélateur de l'extase buttant sur le seuil de la transcendance, mais au contraire, de glisser sur la peau exsangue des lymphatiques et chétives créatures dont les plus abouties croulent sous des empires qu'elles n'ont pas voulu, pas bâtie, qui les ennuie et dont elle ne savent que faire parce que le ressort dernier de la culture du nivellement, son concept clé de voûte sur lequel repose tout ce qu'elle construit, est chance, hasard comme fondement d'empire entièrement contrôlé, totalitaire ou ne règne aucun homme puisqu'ontologiquement l'extase humaine est tout le contraire d'une soumission a l'arbitraire impersonnel, mais quête et absolue besoin de justification.
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sans titre (en cours)
Dans un parc Pie s’assit sur la racine d'une montagne et reposa sa vue en regardant les chèvres manger le fronton des nuées en s'arquent boutant sur leur ombres qui semblaient presque humaine, l'arc de la parole en bandoulière semblait avoir criblé de flèches un cœur sous la mécanique de l'intuition géostatistique des tensions prise aux astrolabes de la dense apesanteur du concept prenant la taille de toute l'attention, entre la verge et la lentille des orbites, la foret et les fontaines du parc vibraient comme des offrandes en céramiques polychromées sur le cadran du sismographe extatique ; un instant il se souvint d'avoir perdu le sens des mots « il y a » ; il faisait chaud a crever et le soleil s’était posé au fait de l'arbre sous lequel Pie somnolait bercé par le crépitement de la lave qui ruisselait de branche en branche et écoulait son airain sur la ramure d'automne ou les émissaires les rejoignirent en rêve sous la forme d'un buffle et d'un hippopotame traversant lentement les marécage hérissés de jonc que les autochtones prenaient encore pour des lampadaires du réseau public d’électricité ; leur rapport secret fut des plus simple : tout ce qui tient a cœur interrompt la discontinuité des connexions possibles de l'extase se signifiant dans une langue étrangère a celle du créateur qui disparaît quand on parle de lui correctement. Pie remua l’océan sous ses paupières closes de la pensée que tout est dans l'ordre, redoublé quand Dieu disparait, et en signe d’acquiescement, la lymphe des trompe l’œil s’échappa de sa vision comme une sangsue monstrueuse au corps de géhenne. L'histoire du scolopendre en soi serait intéressante, mais on ne peut la raconter parce qu'elle est sans fin, elle est celle du corps, et de la genèse de l'organe qui erre toujours dans son impossible composition privée de mort, sa couleur est plus noire que la ténèbre extérieure des damnés, son encre plus sombre que le plomb possède d’étranges propriétés scripturaires comme celle idoine de supprimer le point final d'une histoire avant même de la commencer ; c'est l'amibe sans squelette de la mort errante au corps luisant de glaire et de bile fielleuse de jalousie et d'orgueil de sécrétion qui ne veut pas comprendre que les apparences sont un reflet d'un terme encore voilé. La larve hideuse du scandale glissa le long de la joue de Pie, puis remonta le long de l'arbre jusqu'au soleil qu'elle engloutie en un clin d’œil ; aussitôt toute la contrée ne fut plus que l'ombre d’elle-même, les femmes en ceintes avortèrent des chercheurs de conceptions, sous l'effet d'un vent froid venu des ténèbres inférieures qui transpira la spectrale impression de l’Éden mité dans les vapeurs volatiles de l'acide des bombes ou l'humanité faisait ses ablutions de gueule en dynamitant le cercle du point final, comme un fou désirant effacer de son image, son visage en plongeant le cercle de ses yeux dans un bain de vitriol. Les émissaires qui s’étaient fait une tente du corps de Pie, reprirent forme humaine et trouvère dans un pli du revers de sa bure une sente houleuse malmenée par le vent ; ils en suivirent la géographie négative de pellicule tombée de la cinémathèque effroyable jusqu'au moment de retrouver la piste des teintes qui avaient disparues dans l'oubli qui s'enroulait comme les fumerolles d'un volcan formant un cygne noir de symbole impuissant a percer la croûte de son propre cauchemars; la cénesthésique progression de l'impression de ne pas progresser au sein de l'absolu foudroya l'arbre sur lequel se tenait l'horrible sangsue et du tronc de la nuit abattue ils tirèrent deux solives dont ils firent une croix qu'ils jetèrent comme une bouée dans la sonde du puits sans fond de la souffrance ou s’éteint toute voie clouée au scandale; l'effroi le plus grand fit suite a cette chute, et souffla la possibilité de parler; impossibilité d’où fut conçu, Pie, disposé ainsi, a une appréhension complète d'un être, parlant de la source éternelle du jaillissement comme de son modèle; et son corps visité par l'esprit connu la nouvelle impression de la réception versée dans les lettres du chemin qui se perdait dans d’innommables confins d'intuitions entremêlées de l'origine aveugle de l’hystérie en traversant l’écoulement mystérieux du sang que le concept remontait nerveusement contre son corps par un frisson, l'impression conceptuellement définie du vide ou se reflète l'image a travers laquelle le cours du temps et ces multiples ramifications s'était éternellement suspendu au rendu de l'impression de soi recevant le don solaire de la peau neuve de l'amour d'un être réellement transcendant.
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21/06/2014
03:44
La liberté sauve, toute translations noueuses de nos gestes établis aux connexions légitime du rapport de la différence par elle-même a l'autre, qui tisse la transparence de notre effacement, absolue peut-être, et forme une identité....forcement transcendante...une conclusion de la vie qui dépasse la mort terrestre, c'est ce qu'apprend la traco-diction...que la conscience est cette impression personnelle de se traduire ou d’être lu dans une autre langue que la sienne, cette impression que l'existence est traduction de soi dans l’éternité mais qu'on doit faire avec la signification terrestre pour la signifier... et signifier l'eternité, le suspend du temps, la valeur eternelle d'une parole, bien que vivant dans le temps, ou aucune réalité immuable, ne peut-etre prise a torts pour une normalité arbtitraire de schémas sans tensions, sans correspondance ouverte a toutes les finitions de l'impensé désir intégré a lui-même. Écrire redevient aussi insignifiant qu'une tache d'encre. Quand le portrait devient affreux et que le besoin né d'une autre image qui n'existe pas mais qui constitue la prémisse de l’œil capte toute ton attention et lui donne sa taille réelle. L’œil du plexus entre les épaules de l'horizon, déplace le journalier rejet de la source de lumière, et le converti en électrique position géostationnaire de la tension qu'on ne perçoit pas, et qui ne peut qu’être conçue mentalement comme cause transcendante de cette lumière nécessaire a l'exposition des dons du sort....c'est ce que Pierre enseigne en épistémologiste, une chaire retournée vers la lumière, qu'elle mésestime constamment et tremble de ne pouvoir se concevoir sauvée....a cela répond le fiat...dogmatiquement représentée comme une parole qui n'a pas jaillit du cœur de l'homme et qu'on doit chacun formuler comme un accomplissement de la fracture de la raison qui est naissance de la transcendance.
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