29/10/2013
sans titre (en cours)
« C'est ça allez dormir puisque vous vous êtes deja coucher sous le banksterisme, la bancoratie pensa Syphil en faisant pivoter le pen de la serrure... « Entre promesse de politique fiction, et mort de dieu réévalué en dette financière vous dormirais bien au chaud dans les raisons de ne rien faire...et ils auront gagnés, et vous serez vaincus...il n'en faut pas plus pour recréer du mythique, mais cette fois dans un but savamment entretenue de maintenir la masse dans l'impossibilité de vivre en dehors de tout règlement de la dette ; que chaque existant devienne coupable des sa naissance qu'on le châtre qu'on l'émascule et qu'on le dirige des ses premiers pas aux anniversaire Mac Do, sur la voie de la rédemption des subprime......la promesse politiquement formulée du meilleur a venir est directement indexé sur la donnée historique fondamental de l'état de dette ; conclusion tu es une pute et tu dois apprendre a vendre ton âme pour devenir un être réel ; la paysannerie crève, mais qu'est ce qu'on a a a foutre, le cultivateur de choux sont des chimères, l'argent tolèrent seulement leur existence, parce que dans un monde ou le réel s'augmente de l'accroissement de la dette, faire pousser quoique ce soit c'est renverser l'illogique croissance de l'irréalité ; du trust capital fantôme des sociétés écrans au banque off shore ; Sypjhil en travaillant sur thème avec sa peinture c'était rendu compte a quel point il était difficile de donner une image de la contradiction actuelle ; il ne voulait pas réduire sa critique a une simple condamnation de l'idolâtrie liée au règne de l'argent ; et il s'apercu qu'il ne pouvait atteindre un seuil critique en épluchant l'oignon thématiquement, mais en évidant le noyau du scandale ; or la logique du mal est toujours la même, celle d'un refoulement ; qu'il s'agisse du corps social ou du corps propre des individu, le désespoir est toujours la satisfaction éprouver dans l'aggravation d'une situation qui s'opacifit jusqu'à la perte complète de conscience qui noie et brouille tout dans la confusion ; en terme politique ce qu'on nomme existentiellement désespoir correspond exactement au vote par le sénat américain des toutes premières lois sur la dérégulation ; une loi qui vote sa propre suppression sans que personne ne moufte c'était pas mal déjà comme absurdité dans l'histoire contemporaine ; ou a t-on jamais vu ça? Nulle part, parce que ces lois sont une pure contradiction, un meurtre social d'ou est né la mondialisation, qui comme chacun sait, s'accompagne toujours de cette pensée « qu'il n'y a plus rien de sérieux » ; les fascisme les plus notoire peuvent même réviser a priori l'histoire pour légitimer leur promesse comme s'il elle sortaient de la bouche de Dieu peint en blond pouffiasse façon marine lepen ; tout est toujours dans l'ordre quand la loi est la transgression de la loi, c'est a dire que plus aucun jugement de valeur n'est justifié puisque l'idéalité des différence qualitative entre le devoir et la liberté a disparu ; ne reste que la force brute ; dérégulée c'était dire que le don infini, la source de toute chose est immanente a la société diviser contre elle-même, univoque dans le sens de la captation des biens, et que tous le reste est pure irréalité ; homme maison, machine, famille, culture, tout est fictif, réel car la seule réalité est l'accaparement des richesses ; un autre façon d'entendre qu'aimer c'est vouloir le bien d'un autre ; et c'est si proche de la langue fondamental du religieux qu'il faudrait des esprits critiques hors du commun pour en discerner la nuance ; mais ceci n'est pas sans conséquence sur l'art, puisqu'il lui ôte son bien propre, lui confère une rage ou il croit qu'en luttant contre la finance il est a son apogée (trompeuse acoustique) . L'absence de loi, n'est pas la transgression d'une loi, l'absence de règle ne définit pas la liberté mais seulement l'angoisse qui bouillonne a la surface du globe au rythme des bulles financières ; le bouillon de la liberté cependant n'est pas sans fond, reste toujours le recours personnel a la transcendance pour vivre sans exister dans un monde sans loi ; cela ne peut bien sur se faire qu'incognito et a la manière d'un art de vivre qui traverse l'écueil de l'époque en la trompant, en la laissant pour ce qu'elle est, même si lorsqu'elle s'éloigne on se sent un peu seul ; mais Siphyl aimait la solitude autant que l'amitié ; il aimait l'air confiné de son atelier enfouie sous la ville qui ronflait comme un grand lézard endormi ; il aimait toucher les poils des pinceaux, l'odeur de la térébenthine, toucher la matière des couleurs a l'huile impalpable, qui renfermait tous les possibles et les libérait au lieu de les contraindre au néant de l'accumulation ; la finance c'était un peu comme si une force apparaissait qui interdiraient aux hommes de créer en prenant possession de tous les moyens d'expressions ; cette force avait l'air de tout créer et de tout détenir ; elle avait l'apparence d'un créateur et était l'exacte contraire ; une rétention du possible qui appauvrissait le monde de toutes ses qualités, en exploitait toutes les richesses, une a une, patiemment comme une vache qui broute son herbe, une perte d'effectivité ; bientôt le non menuisier sera l'égal du charpentier ; le monde ramené a l'absence de qualité réelle, est celui qu'offre aux êtres, la finance ; au même titre que toutes choses, la finance a sa phénoménologie ; et une ontologie paradoxale particulière ou l'être est dit réel quand il voit tout autre chose que lui-même dans le miroir ; la finance ne mène pas vers le monde, mais vers l'être ; est-elle cette part de folie qui doit être conserver dans le monde pour qu'il ne soit pas totalitaire? Non autant déléguer sa dérégulation au domaine de l'art ? Doit on interdire aux entrepreneurs de se dire créateurs de richesse? Ou bien le sont ils vraiment? On ne pouvait pas attribuer a la finance toute l'angoisse du monde, en faire un bouc émissaire, vouloir la supprimer comme si avec elle disparaissaient toutes nos angoisses ; mais on ne pouvait pas s'aveugler devant le schisme qu'elle créait en séparant de la terre ses habitants ; et ce qui la rendait tellement importante ce n'était pas son pouvoir monétaire, mais qu'on avait a faire a une entité qui résistait a l'anthropomorphisation ; et en tant que telle résistance, elle est éprouvée partout sur terre, avec l'angoisse qui accompagne tout homme dans les rencontres importante de leur vie ; devant elle, plus rien n'a de sens (c'est la condition du numérique), elle pouvait fasciner comme l'or de la sierra névada, ou effrayer comme un huissier ; elle était présente en toutes fonctions sociale, dans tous les échanges entre les hommes ; et comme un dieu, elle était sourde a la prière des miséreux ; c'était quand même bien autre que hiroshima et Nagasakie, cette bombe la de la finance, le vrai logos reliant toute chose en un lien sensé, qui détenait en ses coffres a Wall street l'idée même de société qui sans elle n'avait aucune réalité ( le plus comique serait que ce soit nous-meme qui lui aillons conféré ce pouvoir en nous délestant du notre); et elle ne voulait absolument rien savoir, ni rien entendre de cette catastrophe spirituelle qu'elle semait autour d'elle ; en contre partie elle vous fichez un tableau de statistiques sous le nez et vous prouver que le bien fondé de la dérégulation se constatait par l'accroissement démographique des êtres et de leur bien être matériels, statistiquement évaluées lui aussi, sans aucune prise en considération de la réalité de ces êtres qui en tant qu'esprit souffraient sous son joug de n'avoir a ces yeux pas plus de réalité et d'être si peu aimer ; la foule finira bien par douter de l'amour des banquiers ; qui la condamne a la misère spirituel en le contraignant, au nom de son confort et de son bien être, a l'asservissement salariées dans des boites de cons ; et a la misère de son explication aussi, de sa raison d'être, si elle( la finance) prétend apporter les preuves par le mouvement d'un état de fait qu'elle suppose fixe comme l'intouchable dogme de la suppression des lois en ce qui concerne la phusis de sa croissance (s'il n'y a pas de loi d'ailleurs, on se demande ce qu'il y aurait a observer, rien certainement, passez-muscade), mais ça la finance vous le dit accueillit par des hôtesses pleine de grâce, et petits fours a la clefs.
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28/10/2013
Bacance le mage par ignorance observait l'enfant
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sans titre(en cours)
Mais Siphyl savait que la forme première de son désir de peindre, exprimé dans ce pèlerinage d'ombre en ombre, qui le ramenait chez lui, était comme un état nécessaire mais encore insuffisant pour peindre ; trop systématique, l'expression de son être finirais par se briser et se perdre dans la construction de l'image ; il savait, d'expérience, qu'un deuxième état plus subjectif encore était nécessaire pour libérer ses gestes et qu'ils ne se libéreraient qu'en imitant le geste de la réception ; geste par rapport auquel même la plus libre des associations n'était rien si elle n'était elle-même la force de sa reproduction dans l'oeil qui la perçoit comme oeuvre capable de devenir un devoir ; une alternance dans les pôles de l'ideal et du réel, une maniere de passer de l'esse au posse et inversement, qui faisait de toute decision un choix qui etait aussi un don ; mais la langue des hommes, la langue de la tribu etait trop univoque, denuée de dialectique pour embrasser une telle realité paradoxal ; aussi Siphyl abandonnait il son espoir a l'art en lequel pensait il il pourrait parvenir a la formulation complete du paradoxe du desir ;qu'il avait deja reconnu comme l'interet supreme de la metaphysique sur lequel justement la metaphysique echoue parce qu'elle ne parle pas la langue de la repetition mais celle de l'angoisse qui était toujours au bout du chemin de la libre association l'impasse qui laisse dans l'incomprehensible le fait que le coeur aimant capable de tout donner etait dans le meme geste capable de tout recevoir comme un don excellent et parfait ; qui ainsi repetait l'intention transcendance de Dieu qu'un homme ainsi eclairé pouvait aussi bien nommer Père ; mais tant que l'intention du desir ne s'effaçait pas en elle même, ne s'effondrait pas, par elle-même, d'elle-même, pour devenir une contrainte a laquelle on répond par un devoir, aucune presence réelle de la realité desiré ne serait portée a l'effectivité ; car Syphil savait qu'il cherchait a peindre ce qu'il voulait comprendre comme n'etant pas produit par ses representations, mais comme devoilé sous les limbes de la reflexion, qui devait d'abord s'affolait d'angoisse, se perdre d'effroi, et se corriger en transparence avant de se comprendre comme repetition ; qui n'etait pas la repetition d'un passé, mais de l'eternel contemporain du don qu'on n'a pas soi-meme posé ; c'etait alors, devant cette présence presque plus que réel, surréelle, de ce qui nous scandalise, nous mortifie, ou nous emporte de joie, que répondant a une exigence supérieure, a soi-meme un néant inclu dans le devenir réel de l'etre qu'on est lorsqu'on ne s'invente pas soi-meme, mais se laisse créer par dieu, un neant de chaque instant qui etait aussi un appel, le desir spontané etait brisé et retravaillé de l'interieur par l'acte de peindre qu'il n'appartennait plus au peintre de restreindre ; bien sur, ces rares moments d'inspirations avaient quelques choses d'absolu et de sacré pour Siphyl ; mais cet effacement marquait encore trop Siphyl pour que la grace en lui fut complète ; et que sa toile tisse le motifs qui sépare et joint deux coeurs inconnus ; le retournement du mouvement spontané du désir, de l'elan a la contrainte, n'etait pas seulement le moment réel de la part ideélle de l'homme coincé dans son angoisse entre l'attraction et la repulsion, mais veritablement ce qui créait l'instant, introduisait du temps dans la conscience, qui le rejettait aussi et voulait le voir disparaître tout en le conservant, disparaitre comme mouvement d'incertitude apparaitre comme liberté, et qui face a ce noeud de contradiction, demande l'impossible a dieu.... l'amour immédiat, ignore comment il a dépassé l'angoisse une première fois ; et l'oeil du spectateur, un instant glisse de la toile au monde et voit qu'il se voit dedans, scrutant les repentirs du peintre sur la toile ; quand l'amour devenait un devoir dans le coeur du spectateur, un devoir de déchiffrer la peinture jusqu'au bout, alors siphyl savait qu'il peignait ; mais pour que toute l'image édifie elle supposait la présence d'un coeur, ennemi, mais suffisamment bon envers lui-même, pour ne pas juger trop hâtivement de l'oeuvre et courir le risque de se tromper définitivement ; étrangement le premier geste de l'amour est de nous laisser le temps ; c'était aussi cette racine subjective que les nazis attaquaient inconsciemment : le juif était l'homme de l'absolu qui n'est pas de ce monde (donc inexistant dans le devenir réel du Reich-royaume), le nazi est le païen absolu, un Gorgias qui ne connaît ce monde que comme totalité pas même rattachée a quelque chose qui le dépasse, (être incapable de penser, façonnant le monde des êtres sans destins) donc fait pour des hommes vivants dans un monde sans inclusion en autre chose, dans une impasse quoi, et qui prétendent que l'on devrait en éprouver ou y rattacher notre plus grande joie et ainsi définir l'homme par l'orientation des bâtiments administratifs pointant sur le Reich tag éternel ; ce qui est de toute évidence le fruit le plus propre a cette arbre de l'inculture qui se veut réaliste et comme pris dans une mystique immédiate qui refuse pourtant de reconnaître dans le temps un au-delà du temps qui oblitérerait la foi qu'il porte en l'avenu du royaume, qui marque l'homme nouveau, et cela a aucun instant par le refus de la culture autre que nazi, la nourriture nazi etc... Cette différence absolue qui est l'héritage que le peuple juif apporte au monde constitue donc le témoin qui doit disparaître ; car tant qu'il existera des croyant le royaume païen ne sera pas effectif ; la réalité du monde rabaissé par le juif sera haussé a son effectivité idéale, reconcilié, lorsque le juif aura complètement disparu ; mais après le meurtre d'un homme c'est l'assassin qui devient un être fantastique s'il est sans remord, et la reconciliation de l'ideal et du réel n'est plus qu'un jeu de mot si le répentir ne renverse l'élan de l'amour en son devoir qui certes le frustres et le blesse infiniement en son élan contrecarré, mais sans lequel l'ideal et le réel ne se refleteront jamais en l'homme brisé ; et puisqu'il n'existe , dans son nouveau monde, aucun être capable de lui rappeler son crime, il peut aussi bien tuer tout le monde tous le temps et laisser ses empruntes jusque sur les jeux vidéo ou effectivement, sa descendance soulage sa conscience de n'avoir affaire avec aucun être croyant et se donne l'illusion de la reconciliation dans un monde entierement immanent, ou la transcendance n'est qu'une chimere que guerrie, par la chambre a gaz, un système totalitaire sécularisé, un foetus totalement sécurisé, panthéiste et nationaliste au micro-bit tera octet prêt....putain...assasin'creed quoi ! et puisque l'advenue de ce royaume terrestre dépend de la disparition des juifs...il n'y avaient plus qu'a les tuer pour que le royaume soit. La question qui taraudait Siphyl et qui jusqu'à présent était restée sans réponse, c'était de savoir si le projet nazi ainsi définit comme ce qui détermine la part humaine dans l'advenue du royaume pouvait être assimilé a une transvaluation des valeurs? Ou si Nietzsche n'était pas le dernier naufragé métaphysique achoppé aux rives mouvantes du flux (qui emporte tout quand la société ne sait plus s'y retenir, mais crée des isolés factices, des sociaux pathe (oeuvre de la rétention cupide) qui se suicident, ou tuent les autres réellement ; libérant un poids d'inconscience, un irréductible auquel il faut pas penser pour être socialement admis dans n'importe quel groupe, puisque ce qui compte alors et avant tout pour le nazi c'est la franche camaraderie, et non le recueillement juif devant dieu de sa vie donné a lire, sous un ciel de limbe tournoyant autour de chaque être humain sur terre comme un essaims de spectres l'accusant d'exister) ou prend relief, forme, apparaît l'être définit par l'éternité, le juif tout autre ; il n'a aucun lieu aucun monde ; son territoire c'est l'errance depuis six milles ans dans les conflits de la rationalité les chimères de l'imagination et les paralogisme qui ouvrent des voies spéculatives ou l'on entend, mieux qu'au paradis, plus aucun rires ni aucun pleur qui ne soient factice ; ce sont donc des chimères qu'on peut tuer impunément, des errants, rattachée a un père fantastique qui certainement ne viendra rien réclamer de leur mort ; « Nos enfants boirons plus encore que nous certainement.... »
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