06/03/2016
Soicall network
Natalia Smirnova
Et surtout, puisque tu prétends que tout le monde meurt, il ne faut pas essayer de me faire croire que c’est comme quand on dort. Ceux qui s’amusent n’ont jamais sommeil…
Crevel
Le feu ténébreux de la voix plurale avec coin ; les nuques raides se contournent d'un seizième de coude, a coudre visiblement a un bouquet hors pairs des limites entendu de leur yeux; cela ne fait rien, l’âme modélisera malgré tout son effritement ; elle en parle sans cesse, malgré elle, dans son sommeil a demi vivant, de ce verbe qui serait tout pour elle, le sens complet des huit heure de travail ordinaire et de la joie qui habite le corps travaillé; partout inconsciemment, il n'est question que de ce verbe, qui est elle; elle sait seulement qu'elle en ignore la langue, et c'est souffrance qui rend le désir huilant de clarté les roulement a billes de l’éther qui sont l’écrin et la perle de l'océan; en venir a la réalité sans rien laisser de sa sensibilité, acquierir par la vie la culture complete de la chair, et y venir entier, de tout son être d'un seul et même mouvement, c'est descendre des lunes aborigènes vers les regiuons antipodiques que les zoologiste classent entre la famine des cartes bancaires et les foliacées de l'avenir; a midi, une manche révèle sa texture au grain des catégories de la modalité, et ça y est, ou c'était est advenu, la dérape de la certitude anthropologique, nerf qui se brise pulvérisé en miette d’éternité, éclairé dans le fond de l'intuition multiple selon les rites de la lumière reconstituée; une perspective idealement cadavérique de la texture bifide de l'élixir ambiguë se profile sous la gaze, dont la densité atomique est soudain visible de partout ; elle surgit de la chair brisée, qui s'efface, revient reconstitué la face des os ; la peau de l'instant c'est creusé d'un regard perdu, un œil de moelle qui tombe dans la fosse, et trouve l'ambre de ses prunelles déposé au grilles de l'antre ; absolument détachée, la paupière vide le crépuscule cil après cil ; l'épiderme entièrement dialectique du silence, frissonne sous l'action réciproque de la rencontre avec l'informulé ; l'onde dimensionne le vent en proportion du souffle éteins que chacun dialyse; au vin il puise la mains de l'univers, les reçoit comme l'acier énucléé des vertiges; la foudre qu'un rideau de cuir gante, palpite pelle-bêche comme le choix indécis d'une effroyable précision ; il flashe sa tête au baquet, l'eau diffracte sur les voies du reflets, le terrifiant effacement radicale de tout notion du Bien ; le soucis lutte contre lui-même jusqu'à ce que la science rende l’âme, et que boiteux, l'ange déchu se relève ; les deux pans du fleuve a ciel ouvert se referment alors, et le temple de la Garonne étoilée a nouveau trace la voie unie de l'homme et de dieu.
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28/02/2016
... flo-W-ake ...
Piotr Jablonski
... sustéma ex ouranou kai ges.
Schelling
Le retour au pays est l’apprentissage au cours duquel s’apprend le libre usage de ce que les fils de la Terre ont en propre - et ce qu’ils ont en propre, les habitants du Ciel eux-aussi en ont l’usage.
Heidegger
Sur le plus haut, j’entends me taire.
Hölderlin
L'ombre du code barre projetait des loups pré homériques sur le jardin silencieux du tertre mère; les mains arabesques du temple étiraient la peau diaphane d'un glorieux sanctuaire, qui brillait en guingois dans ses souffrances olympiennes a travers les mots de son abaissement; une corde sylvestre, couvrait de sa mèche la lampe des steppes que le vent glacé radiographiait d'un œil de lynx serrée dans la mâchoire du Gerlach; la lumière brisée révélait la forme pure du surgissement du monde qui la faisait vibrer; c’était le piédestal d'un timbre, un pli aiguë du ton réellement tenu par la matière, tendu étendue, entendue et rendue par un prurit d'horizon a l’étincelle de granit tombé du verre qui languissait aux pieds des marches du degrés de la cristallisation; le souffle tournait autour du tétraèdre de schiste qui recouvre de charbon la face première de la parfaite harmonie; la mémoire des restes de l’éclosion brouillera longtemps encore la lucidité sécrète ; l'histoire charriera les souillures de la poétique kénose qui apprehende la création, et se rejoue dans tous les cranes de pinsons messagers a la sensibilité secrètement intelligible, quand elle présente au monde autre chose qu'a elle-même, et que dans le secret elle atteste de la grandeur absolue, originelle et première de l'ergonomie géométrique sur laquelle est dessiné le plans du destin et de sa confession que l'esprit brouille de ses chiffres saturés de minerais de fer, et de limaille de langue chargée de malentendus et d’incompréhensions; depuis que la tempête crève l'aube a ses flancs expirée, la montagne graphite hors mémoire, un lustre qui sublime le long de ces pentes l'existence réelle du Beau; depuis toujours éclairé, les orgues du vent pourrissent dans la pièce d'un crible qui tombent a travers la terre, en une tiare indescriptible de poussière dévisageant les mots exposés a la lumière... décrire le rire de ce grand silence qui crible l’océan…. sa langue échappe aux mortels car sa sensation s’étend d'une réflexion infinie jusqu'au percée du cerveau hors tension, jusqu'au puits des lueurs occultes ou l'inconcevable crée de jeunes mondes … vers le lieu mental du poème, ou l’être est tout entier l'esprit naissant du cœur, il y était très difficile de s'informer d'une chose simple et capitale quand dans le temps elle est au commencement identique a sa finalité; la simplicité parfaite est un élan supérieurement déployé dans son propre cœur limpide comme un chef d’œuvre Balzacien; l'inconnue intelligible carde une pelote d’adn qui vient a la portée du lecteur bienveillant; les mots blessent les pieds de l'histoire ou se trame une science des laines et des chaînes, une in science du beau, une liberté qui n'existait pas avant d'être tenu a l’éveil, extrait et dessalé des eaux noires du Styx; l'impression s’étend de tout coté dans l'espace comme dans le temps, se diffracte dans la possible dilution de l'extase doué de reflexion; l'esprit rayonne la chair du miroir; la structure moléculaire des sentiments bouillonnant a l'Est du chaudron diluvien forge les douces collines du pieds mont; la belle pièce de plaine immenses s'affaisse lentement entre les pics; ce tapis est une merveille fractal au front des dimensions humaines.
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24/02/2016
Made of nô
boris koller
L’art nouveau c’est l’évocation, c’est de traire le silence et d’accoucher l’abstrait
Paul Roux
Certaines synthèses sont plus que poétiques, mais vivante de telle façon que si on voulait les exprimer, l’esthétique n'y suffirait pas ; la carte repliée de l'aurore se tourne vers pas de mot ; la moelle blanchie des écluses vide le matin sur les bois hirsute ; ils sont brun, cramoisi, de la couleur de nuit des profondes racines du verbe ; la langue des cyprès, lèche les points cardinaux d'un Orient désorienté; l'intention se lève dans la chair des vaches qui frissonnent ; leur cuir est constellé des taches du multivers ; l’étang se pose comme une feuille d'argent entre les pendeloques ocre d'une gerbe d'os; c'est l’heure ou la nature se concerte et s’éveille, l'heure ou la langue dispose d’elle-même autrement, l'heure ou la conscience s’éveille, sort du grand silence de tapis blanc; la flûte du rossignol ne pipe mot au forceps, mais les fourrures se surveillent, s'épie de poils a bec, bientôt piaf corbeaux animeront le morceau ; et la biche, craintive observera, la tête passée entre les ligne de la portée, par les trouées de chlore, la plus abstraite formulation de l'Unité, la chapelle de ronces et de rameaux qui trouve dans son plein pieds, abrite sous ses sabots, le loir sabir parti manger des coquelicots ; il expire par ses naseaux fumants, la plus parfaite plénitude concrète; jamais l'art ne créera cette contemplation, si tu ne la cherches comme un assoiffé son vin, la trouve, comme le musicien trouve la musique quand il laisse la technique de coté ; ou étions nous avant que la parole nous touches ? De quelle tourbe monstrueuse, de quelle glaise d'astre froid et mort ai-je été extrait ? les symboles tournent autour de l'horizon, le souvenir saigne la dernière pensée sur la rive, c'est le verbe racine du souffle de la joie qui agonise de perfection, aussi indicible que secrète; sur chaque rameaux s'allume et s’éteignent des solitude de lampe ; un tympan de chèvrefeuille orne le parvis de l’inouïe? Les trois fentes de l’âme pense les arbres plein de voix; un souffle informatique interroge les plaines du beat box ; l'humain est-il encore habité en ces contrées ? Qui sillonne ces étranges cotes vert de gris? Qui des rigoles gravite le long d'un squelette magnétique ? celui qui cueille les baies vermoulues, vitre a vitre le mystère du parkings; containers les tauliers de la planète barbelée immédiatement repoussés par le dévers les fonds de plans communautaire et impersonnel ; je pose mes doigts sur ta lumière, au moment ou cessent tous les raisonnements.
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