23/02/2016
Note sur la Question juive de Marx
natalia smirnova
L'horizon marchand engendre le juif, comme l’égoïsme provoque la dissolution du tout grégaire premier ; de ce cercle décentré tombe la lumière du travail cristallisé, sur le calcul axiologique, remontant jusqu'a l’étalon des marchés glaucomeux de la queue de comète ou s’opère le transfert des valeurs essentielles a l'industrie fictive d'aimer ; la toile financière de l'espace temps fait suite au rejet cartésien de toutes les qualités du continuum hormis l’étendue et le mouvement; gagner au change quand le réel perd en profondeur et n'est plus qu'apparence, est la loi du fétiche comme du commerce bien avant que les prophètes marxistes ne les attribuent au récif de l’État; la langue du crédit égoïste qui sclérose les premières failles de la fraternité frotté des nécessité de retard sur le principe de plaisir, n'ont effectivement pas d'autorité ante-prédicative d’où puisse surgir la conscience réfléchie de l'infraction ; aussi n'y a t-il aucune nécessite méta historique qui contraindrait l'humanité a subir jusqu'à son terme la fonte de l'hubris capitaliste, le donner a penser revient a faire croire que la fraternité c'est pour après demain, et renforce l'inconscience des langues morte a vivre joyeusement de leur impuissance politique et esthétique comme un témoignage de la transcendance de l’être par elles impossiblement signifié; il n'y a a cela aucune nécessité, et pourtant dans ce monde stochastique, il suffit que je passe ma souris sur le mot « commander », pour que par la magie fascinante de la tautologie et de l'identité, l’écran se fige, le script arrête de tourner, et une perspective alphabétise mon souhait ; immanquablement on tombe dans cette faille, aussi minime que soit la perspective sémantique, c'est toujours pour l'affairé un trou d'air, une bulle d’oxygène ou il pourra le temps d'une hystérie croire que le monde est la réalisation de son souhait ; le temps du partage est remis a demain, quand l'exploitation des exploitant aura déterminé le classement de la valeur de chacun est donc le salaire ; Marx a besoin de poser la question juive précisément parce que la question de l’économie radicale s'inaugure par la chute de la langue sacré dans l'immanence qu'effectivement on doit aux juifs parqués alors en Allemagne; exploiter l'exploitant pour faire comme lui de l'argent, j'ai appris a déconsidérer mes actes tout seul, et a situer bien au-delà du moule économique mes cernes et mes restes contraignants et émancipateurs, la position de réalité de mon être que je ne saurais retenir de disparaître complètement dans le néant des catégories économiques incapable de dire la gratuité de l'effort absolu, la réalité du don excellent et parfait d'une éthique paradoxale; le marxisme est lui-même tributaire d'une pensée lustrale du don avant qu'il ne s'écrase dans la bouillie dialectique des quatre coins de l'horizon, capital, dette, intérêt, qu'en deconsiderant les produit libre de la pensée, pour en faire des concept capable de percer le mystère de dieu, d'arracher a son mystère l'absolution encore plus prégnante qui en lieu et place des nécessités de la dialectique matérialiste, lie la langue au cœur et libère la grâce que le capital certes maintient dans l'ignorance mais que le marxisme ne libère pas puisqu'il n'est que spectateur d'une contradiction, a moins qu'ils ne sache rendre sensée une contradiction, qu’il lise dans les pensées de dieu et qu'il ne provoque une catastrophe plus grande encore en refoulant le mystère avec les derniers restes de l'esprit et de l'humanité.... dois-je attendre sans rien faire, la fin du processus de dissolution de l'hubris par lui-même, puisque toute tentative de correction ou de réorientation de la dialectique matérialiste induite par le captal est vaine, ou bien vais je choisir une autre condition en subvertissant la fausse nécessité marxiste en un devoir d'aimer, et la dialectique matérialiste en une collaboration avec le créateur puisque nous n'avons pas reçu un esprit qui fait de nous des esclaves et nous ramène à la peur ; mais un Esprit qui fait de nous des fils.
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22/02/2016
X
Sans le poème la sensation est trop grande pour exister, tenir la langue du chemin a la cognée, car le poème crochète au clou la lampe et le vêtement, la sensation d'exister, l’irréflexion pas encore sainte de l’Éden sanctifié, sur le clavier balbutiant des certitudes bien désordonnées; un brouillard se forme depuis tous les autour de l'esprit et lustre dans le boyau de merde, les confins ouvert a chaque extrémités des chutes enneigées; les morts éclaboussent au pixel les écrans ricoché et sur-tactile; double peau sur la grosse caisse, double épiderme et au-delà.... au-delà de ses plots, le cœur du son, la pure proximité avec la musique inverse du visible qui habite la réalité augmentée; il n'y a pas jusqu'au chauffeur de bus passionné par ce qu'il fait, qui ne considère sa compagnie comme un mythe dont il connaît toutes les péripéties immergées ou saillantes de la filiation sur châssis neuf; tes lettres mon amour, je les garde a l'obscur de tout ; elles nourrirons de leur sèves les herbes syntaxiques de l’éternel arôme ; elles seront ce qu'elles doivent être, un en sang secret qui est la clef de la vue rendue aux aveugles; l’après midi vers 1@h 30 il rend visite a son ami peintre qui définit la lumière fourre tout en un clin d’œil ; ensemble ils parlerons un moment de la pierre insaisissable de la teinte des lèpres, qu'ils compareront a un deuil, puisqu'elle en est la descendance, comme l'est toute lumière apportant l’objection lucide du projeté depuis l'aube de l'esprit; en se penchant sur le gouffre étincelante de flammèches, il lui parlera de cet astre au loin, qui n'est qu'un point dans le fresca ; leurs regards perdus dans le grand cercle blanc de leurs cheveux cascadant sur la toile, poursuivra la lueur fugitive de l'astre éteints qui seul, fige clairement aux chenilles, les mousses bleuté et les lichens minéraux; le cri angoissé du cristal de nuit dissémine et rassemble partout la même impression d'exister non pas dans un monde, mais comme un verbe qui sait depuis toujours, qui sait au-delà de l'oubli ce qu'est sa vie; le silence du serpent parle aussi cette langue ; attention au pieds ; les verre sont fragiles aux éclats de blanches lorsqu'elles touchent le sol du jardin, l'incolore cœur des roses y pointe l'aspic densité du ciel ; entre les deux le toucher ; le proche du cœur que la pensée enlève vers les hauteurs abstraites et décharné, ou Icare se brûle les ailes qui l’éloignent du toucher ; la chair est la naissance obsessionnelle du langage c'est a dire de l'un qui se signifie... les arbres bruissent... lui reprochent trop de philosophie.... le bois qui jouxte le domaine hue de ténébreuses antiennes en des langue inconnues qui capturent la pensée, charme l'attention et détache l’âme des limbes qui la rongent plus que le mystère d'aimer.... ils perdent branche, s'émondent d'un craquement qui dis soudain : crois tu a l'existence d'une langue ? A la réalité dont elle parle ? Et accessoirement au joueur de flûte sans lequel il n'y aurait rien ?
Lars Elling
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21/02/2016
Heureux les Biensolés
Stuart Amos
… et parfois en ouvrant une porte
sur un escalier sans issue
un air nous envahit, délicieux, absurde,
qui n'est certes de nulle part.
Fondane
Puis je encore extorquer un bits d'ordinateurs ?.... pour dire que si Euripide cours le rat parole a travers la dégaine laconique du monde asymétrique de l’électricité son fleuve énigmatique, c'est que la fin qui répond de lui, file le régime généreux de sa main rongé d'heure au touchant de son vibre lieu renaissant de la voix; il en surgit outre la mémoire du point mort, le ciel, a poindre d'une chimie mentale propre au ressouvenir des mots croisés caressant le béant ; quelle pensée grince dans les nappes marécageuses de la poignée, quel verrou de l’âme lui interdit de dévorer les lagunes griffues des source spirituelle en béton; des stances hiératiques bombent du canal d'hier la manne a l'Encre quand nous repassons le vers ; de telle yeux sont inchangés, depuis toujours ils ont la même résolution de lucidité, la même émotion suspendue en leur fond de verre de dissolution subtile ; ont les dirait cousue du fil d'algue des trou noir, fait pour suivre du regard les traits aimés de subtilité en subtilité ; l’hébraïque strate de l'iris décèle l’invisible temple des nuées, sur son sourcil les lianes alphabétiques grimpent en silence ; du pont, on entend le mortier de la ville craquer a quai ; c’était un jour d'attente dans une guerre civile, un instant de répit pour la passion idolâtre, un havre pour tous les contraires dans l'attraction parfaite de ses lectures suspensives; qui arrachaient a la terre cette tension qui chemin les bus et les platanes du port saint martin ; elle vit le bruit de ses yeux, touchant du vœux la trace effacée du lendemain qui la crée et laisse deviner sa main.
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