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21/12/2013

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Ce qu'il reste d'une flamme a quatre heure du matin...toujours...trop peu ….aime...pas assez...pas assez pour te dire....tous les déséquilibres revécut....et le terme de la phrase...putain.....pas assez.....même....écoute moi bien....ouvre tes oreilles (il faut que celui qui joue avec toi se retrouve)….même quand c'est merveilleux et que tu t'éclate ou quand tu crois que ce que fais l'autre est trop adverse......l'amour musicien....je te joue un truc...un truc perso...un truc qui te colle la langue au scotche noir...au rhum vert......une musique totalitaire?......s'il te plaît...putain laisse toi partir.........si tu te rapportes a moi...si tu m'aimes....un truc vrai....dévergonde ta tenue.....bancale...l'avilissement stylé...avec le genre de pas en découdre du plus difficile...et....du fond du coeur je croirais a ta grâce...mais a Joël diker...faut vraiment que je réflective...juan, je vous embrasse.

Vive dieu, vive vous, vive l'ouverture de l'esprit!


Ps: qu'ils ne comprennent rien....On s'en branle...point!

 

19/12/2013

Note : juste une hypothèse Claro......

« Écrire quoi que ce soit, aussitôt que l’acte d’écrire exige de la réflexion et n’est pas l’inscription machinale et sans arrêts d’une parole intérieure et toute spontanée, est un travail de traduction exactement comparable à celui qui opère la transmutation d’un texte d’une langue dans une autre." Valery

 

Ce que Valéry, veut dire, selon moi, qui ne suis pas un spécialiste du poète, en affirmant qu'écrire c'est traduire, loin de signifier l'existence d'un au-delà de la pensée « totalement insaisissable dans son unicité » qui rend a peu prés incompréhensible un mouvement ou saut de traduction puisqu'il en supprime la matière première, est a mon sens fort simple et fort clair ; was ist nur meine ist meine aimait a répéter Hegel et par la il entendait que la pensée du sens pensé par l'individu qui s'exprimait dans les signifiants communs de sa langue était identique a la connaissance formulée par les signifiants commun ; de sorte qu'au fond dans son système, a l'inverse de ce que veut dire Valéry ici, la formule d'un texte dans la langue héritée décidait du sens contre lequel la pensée personnelle de l'individu ne pouvait rien ; de sorte qu'entre l'individu qui s'efforce de penser le sens de l'être et la langue Hegel avait choisit le rapport immédiat sans traduction ; pour lui c'est la même chose même si bien sur dans son système la pensée impersonnelle l'emporte contre la réalité de l'individu dont Valéry marque au contraire ici que l'écrivain s'en défend lorsqu'il écrit et réfléchit en écrivant pour ne pas réduire l'appropriation, l'intériorisation a un acte nul, et lutte contre ce nivellement, ce diable caché dans sa propre langue, en traduisant sa pensée personnelle, ce qu'il en a quand a lui compris du sens de l'être que la langue offre aussi par ailleurs directement dans les signifiants lorsqu'ils sont insignifiants, c'est a dire impensés et mort nés ; l'écrivain lutte en traduisant sa pensée par le moyen d'une langue qui veut la lui arracher, et cette réduction de sa visée désirante de l'Un dans les signifiants communs, l'écrivain ne le supporte pas, non parce qu'ils sont communs et héritées et qu'il se voudrait original et different, mais parce qu'en eux , l'écrivain sait indubitablement que le réflexe de l'homme du commun est de noyer l'effroi du désir, l'UN et sa visée, dans un prétendu savoir du sens de l'être-vrai que l'écrivain au contraire restitue en écrivant par le moyen des mêmes signifiants, au non-savoir qui est l'irréalité de l'un dans la suspension du sens de la phrase en train de s'écrire en lui jusqu'au point final ou le sens individuellement pensé est conservé plus secrètement par son être-vrai d'écrivain pensant, ainsi édifié dans et par l'essence de la communication, qui sans cette lutte pour la traduction se perd dans les bavardages insignifiants sans suspens de sens, sans avenir, sans vide miroir de l'intériorité.

C'est juste "ma" lecture de votre note, bien a vous, jerome


Mille excuses, juste un mot encore qui me viennent en reflechissant et en écrivant ; tout au contraire de ce que vous semblez vouloir dire il faut maintenir que la pensée du sens immanente a la langue commune qui est son outils sans etre son receptacle, ne peut etre qu'un vouloir-dire infini, une intention en terme plus phenomologique, une visée du desir en jargon plus psychanalytique , qui est comme socrate, atopotatos ; et cela en outre serait dans l'ordre si l'essentiel n'est pas de dire la vérité, mais de faire la vérité, et d'être soi-meme un être vrai, vraiment tendu dans l'acquisition du rapport a l'un qu'on n'aura pris soin de ne pas reduire a un quelconque savoir anesthésiant l'éthique.

18/12/2013

sans titre

 

 

Comme dans toutes les salles de marché du monde, en lieu et place de kiosque a musique les tristes financiers ont élevé des sortes de guichets en forme de palmier, de phoenix de plage diodé qui se cintrent en s'élevant a plusieurs mètres de hauteur en forme d'arbuste luminescent, de sapin de Noël permanent qui ce jour là, prit des teintes de flammes jaune et noire comme du goudron avant que la septième image n'apparaisse ; c'est au milieu de ce désastre visuel qu'elle surgit sans que personne ni prenne garde, défiant tout contrôle, jaillissant de nulle par, hésitante, luttant contre les programme installé, elle finit par se surimprimer a tous les écrans, et aussitôt concentra l'espace et le temps en une sphère homogène ou se rassembla toute la lumière diffuses des diodes autant que celle qui filtrait naturellement derrière les baies vitrée et jouait sur le parquet et les bureau d'inox impeccablement rutilant comme des table de boucher ; le ciel se couvrit d'une masse nuageuse si opaque qu'on aurait dit une croûte de lave fossilisée ; une femme portant son enfant dans le bras apparaissait sur tous les écrans, depuis tous les points de vue, il était absolument impossible a quiconque était dans la salle de marché d'échapper a cette image qui semblait surgir aussi entre les écrans ; de toutes les perspectives, de tous les points de vue, elle mobilisait toute la lumière, concentrait tous les rayons, elles s'imposait avec une telle force que quiconque voulait échapper a sa vue était aussitôt effroyablement secouer des tribulations religieuses les plus effroyables ; la pitié qui manquait aux hommes parue dans toute son horreur ; ce n'est pas que l'image fut horrible directement, objectivement, mais son poids subjectif était tel que la réflexion était contrainte de se défaire de toute ses pensées pour la voir en face comme un informulable ; elle était subjectivement horrible, elle vous arracher l'âme par la racine des pleures et vous poussez a paître par la souffrance le champs de votre première naissance comme si pour franchir une impasse il avait fallu se dévorer soi-même ; la surprise était complète ; les traders les plus endurcies qui venaient d'être éprouvé par la chute de l'Ambroïs Bank était cueillit comme des fleurs au seuil de leur insensibilité ; tous avait déjà vu cette image, mais aucun ne l'avait encore sentie comme une perspective, dont la ligne de fuite forme le lien avec l'absolu, avec le coeur, ni ressentie de toute la force de leur être et c'est pour ça qu'en étant vu par elle , surpris ils eurent tous les poils sur la peau qui se dressérent comme la pelure des rats qu'ils étaient dans leur crapaudiére stylée camouflés et puant l'escroquerie bcbg ; les traders courraient dans tous les sens, la salle de marché ressemblait a une mine après un coup de grisou ; la stupeur se lisait sur tous les visages dévastés ; tous les caractères étaient confondu a leur identité suprême, représenté en dieu lorsqu'on les mettait face a face avec l'inconcevable ; les acariâtres, les aigris les coeurs brisés, perdue, en latence, le fourbe aux systoles vertigineuse comme des montagnes russes d'adrénaline, les fleurs bleues de basse tension, les vagues a l'âme, les enfants du siècles, les écorchés vifs, les froissés, les vaniteux qui secrètement en enviant le pouvoir qui leur échappé avaient a leur manière déformé les termes de l'Alliance, et pressentie leur condamnation dans cette comédie ou in interrogés ils se noyaient dans leur malentendu, tous sentaient leur muscle cardiaque se rompre au grommellement originel d'une leur dernière chance de vivre qui éclata en eux comme un coup de semonce ; le rythme cardiaque entre deux pulsation jouait son menuet de la tachycardie alvéolaire, façon absorption du corps et du mental dans l'eau sulfureuse du borborygme immonde de leur vérité flétrie, et de cette flétrissure qui achevait de pourrir leur âme ils sentaient tout autre chose s'élargir des zones les moins interroger de leur être ; une faille dont la noirceur poisseuse comme une ténèbre liquide explosa en cataracte ; l'image était si dense, si parfaitement réverbéré en elle-même qu'elle ne laissait aucune échappatoire a ceux qu'elle regardait ; aucun changement de dimension ne pouvait plus la défaire, elle ne laissait pas d'autre choix que la douleur atroce qui seule circule dans l'âme quand tous les pores de la raison sont bouchés ; une immense clameur se rependit dans la salle, une immense désolation qui semblait sortir de la bouche de la mère assassinée sous les yeux de son enfant ; l'image était si dense qu'elle absorbait la lumière des corps, les chemisiers blancs des agents de change étaient les éclats métalliques du soleil sans lumière, d'hivers sur le canon du fusil ; un immense malaise envahit la salle, les âmes étaient froissées comme des fleurs saisit au moment de leur éclosion ; les corps n'étaient plus que des chiffon sans âme, on eut dit que la mort était plus vivante que la vie qu'avaient connu ces corps sur le point de s'enflammer comme des bûches ; le même scénario se répéta dans toutes les salles de marché du monde, toutes furent prise de la même stupeur sous la lumière savamment travaillé par Siphyl de la pure compassion écrasée par le cruauté inconcevable qui perce toutes les outres d'une douleur incompréhensible ; la lumière de l'image irradia la salle de marché d'un bain révélateur ; la chaire des traders pris soudain la couleur du vomis, les joues poudrées des femmes avaient l'aspect grumeleux des caillots indigeste ; leur âme, ils la portaient sur eux maintenant, elle semblait un égout d'où jaillissait tout le remugle de l'horreur que les hommes avaient entretenu sur terre pendant des siècles ; toute leur chair pris la couleur des étrons canins fumant sur le trottoir ; eux qui avaient passé le plus clair de leur vie a jouer aux pointillés avec la langue était dans la lumière de la vérité pris au dépourvu, démasqué, tant est si bien qu'ils se perdaient de vue pour la première fois de leur vie ; ils se perdaient de vue depuis l'intérieur d'eux-même, d'un espace qui aurait du contenir tout l'amour de dieu s'ils avaient pu se distendre sans se rompre ; mais d'où sans repentir, ils se percevaient malgré eux, sous la forme de déchets, de monstres, d'ordures, sous la forme de tout ce qu'ils avaient toujours haie jusqu'à rejeter de mépris dans l'absolu inexistence de l'indifférence, ils se percevaient tout a coup si loin d'eux même qu'ils devenaient fou, se croyaient disparue sous leur yeux vivant ; si bien qu'ils se mirent a hurler dans tous les coins, dans toutes les langues ; a courir dans tous les sens pour échapper a l'horreur qu'ils s'étaient eux-même savamment et cyniquement inoculé sous la saveur contraire de l'illusion d'avoir dominé quoique se soit en ce monde ; le soldat SS fusillant la mère leur apparu soudain comme une immense idole de bronze, le dieu des poubelles autour de laquelle toutes les ordures gravitaient ; les plus hystériques se griffaient le visage jusqu'à sang, se lacerait les joues et les corps a coup de presse papier ; ils se tordaient d'horreur, de cette horreur qu'ils n'avaient jamais voulu voir en face ; ils faisaient subitement connaissance avec la douleur spirituel, la souffrance qui n'a aucune cause physique ; et leur corps si fin si esthétiquement raffiné se tordaient comme une cep que la tempête essor ; leur nuit était totale et pourtant ils semblaient frétiller dans un brasier ; l'image de l'innocence souffrante est le plus grand poids qu'aucune âme humaine ne pourra jamais ni concevoir ni soulever et pourtant l'image était la sous leur yeux, tout autant que le monde qu'ils n'avaient pas su voir et qui était tisser jusqu'au moindre pixel par le jeu indifférent de leur boursicotage ; chacun d'eux se sentit transpercé par les milliards de pics des fourches dont ils avaient retourner la mort des vivants ; et le flux financier d'ordinaire si impalpable, se dévida de leur bouche en un cloaque plus fielleux que la bile d'un cancer ; la pupille et l'iris de leur yeux avaient disparue, il n'avaient plus dans les orbite qu'un orbe blanc que parcourait des reflets d'horribles sceptres ; ceux qui tentaient de fermer les yeux pour ne pas voir, étaient énucléés par le dernier battement de leur paupière coupant comme un rasoir, et a travers le trou béant on devinait qu'ils n'étaient pas des hommes mais des circuits , des tubes gastriques vides, des boyaux de roches sans minerais précieux, des conduit de fumée plein de suie qui jamais n'avaient vu la lumière ; déjà les premiers corps monstrueusement difformes s'effondraient et jonchaient la salle ; mais l'image persistait sonnait et frappait sur les âmes sans aucune pitié ; Gabriel aussi, malgré son nom angélique fut frappé de stupeur ; il chancela en buttant sur le corps d'O'Mary qui s'était ouvert le ventre a la manière japonaise ; et s'effondra dans le cloaque de tripes dénué d'odeur de sainteté ; c'est ainsi que la véritable dimension surnaturelle de l'amour, apparu a leurs âmes reprouvées ; le corps rendu a la poussière, étripés et noyé dans la bouillie de leur propre chaire, écrasée sous la presse immense de l'imprimatur, leurs âmes distordues, discordantes, déchirées, illettrées, explosaient dans leur absence de pitié ; tout recouvert des lambeaux les plus exécrables de leurs illégitimes existences, quelque chose se mit a bouger en eux, une purulente plaie, une orfraie d'onyx, une bouche de rubis noire et sinuante lèvres qui pour la première fois formula le silence de l'espoir d'une rédemption inaudible a leurs oreilles ; les effacés reprirent des couleurs, les malins livide et confondus revinrent a eux-même ; on aurait dit que tous venaient de prendre un mur en pleine face et que pas une seule pensée indigne de l'amour n'était restée cachée au fond de leur coeur qui ébranlé, renversé, s'était, évidé de toute bassesse avant de se redoubler a une hauteur d'intelligence et de vue qui les effrayait ; l'indescriptible pogrome s'effaça lentement ; aucun ordre social n'avait plus aucun sens, sinon comme un creux au fond du ressouvenir qui intimait l'ordre inversement proportionnel a ce qu'avait été l'ordre hiérarchique de soumission ; les chefs de services, le visage déjà griffé, lacéré et défiguré, se fracassaient le crane contre le béton en psalmodiant des vers incompréhensibles ; certains encore pris de délire se jetaient aux cous des morts et leurs chuchotaient des promesses éternelles qu'ils ne pouvaient pas entendre ; d'autres s'ouvraient les veines et arrosaient de leur sang les pieds de ceux dont ils gardaient le souvenir terrestres de les avoir traiter ne serait-ce qu'une fois en subalterne et imploraient leur pitié ; mais l'arbre étaient souvent lui-même gros de palabres qui s'effondraient abattue comme une goutte de sang dans la coupe du saint Graal ; les grands, les petits, les puissants, les courtisans, les odieux, les flagorneurs, les bouffons, les moralistes, les pervers, les grincheux, les violents, les cruels, les brutes sauvages déguisé par hugo boss, jonchaient le sol, et pourtant pas un ne manquait, tous étaient présent a l'appel, tous n'étaient plus que vain dans le goulot du grand cri de l'enfant assassiné prés de sa mère.

                                                                                           FIN