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18/03/2014

palabra mi amor

http://www.youtube.com/watch?v=MrLWo2QOsH4

note (en cours)

Il n'y a vraiment que le pardon qui soit réellement une idéalité entièrement poreuse a son altérité; or le pardon est le retour de la chair dans le concept, c'est l'intelligence de l'amour en acte qui fait du corps une cathédrale pleine de cierge votifs brodant l'espace et le temps d'une niveau a bulle remonté des enfers; le pardon est la coagulation de la poussière dans la virilité fluide du sang battant pulsation de la vision élargie a l'essentiel, vision rognant les différents écueils relatifs au coeur baillant, pas encore tout a fait dialectiquement ouvert; et ouverte, déchirée la sensibilité n'a plus que l'idée pour se comprendre; malgré tout, je lis ici ou la que le vrai roman, la véritable écriture n'a cure des idées et n'a d'yeux que pour la vérité des affects....on ne peut rien dire de plus stupide; la vie est l'aune de l'art et non l'inverse, or la vie est bien affect poreux a l'idée et inversement; c'est donc dans l'équilibre des deux qu'est le chemin et la vérité et non dans l'hypertrophie d'une sensualité aveugle; car sait on ce que peut un corps? et si la chair est pore et souffle a la fois, vérité des affects et vérité des idées plus l'étincelle de transparence surgis de l'os noirs du silex frappés de gestes incertains et indécis, esquissant silhouettes tungstène prolongeant la comateuse élongation de l'ampoule du hasard supprimé par l'inquiétude du ressort singulier de la destinée surprise d'être terrassé la botte du squelette dans la gueule du dragon bouffeur d'ombre; le ciel verbeux dégorge ses rubans de fleur effervescentes comme un coeur bourdonneux qu'une reine nouvelle coagule en un sang réunit; idée et pathos réunis forment concept de ceux qui se redouble dans l'intelligence suivie de leur feu; l'ombre des confettis du brumeux soleil au fond de la caverne, neige encore vierge onyx d'espace vu d'entre les traumatisés, entre les serres des étés lucides de glaise danse, et poudre les vergers houleux des noeuds de la chaire du concept depuis la lointaine proximité du sang fluide de l'appréhension craintive jusqu'à la répréhensible conjuration du lucide ressouvenir des souffrances traversant l'intelligence bue a la fontaine du verger nu et découvert de l'éternel présent qui nous comprend; pouls de l'univers battant l'éther lumineux des trous moires de la condensation fossile des lumières de l'esprit; mais la confusion règne en maître partout sur la planète, ou la guerre interne au concept trouble les coeurs d'un élan de chair a canon.

17/03/2014

note

Les voici venir, les gobes oculaires du speed coït canin, format avide de satisfactions clientèles du room service déchargé d'un tel qu'ils sont aimés en vérité; l'étoupe écobuée de l'ubique cohérence brûle a demi sel aux narguilé incantatoires et virtuels de la sagesse vibro-moussante des masses semant la terreur transparente du pixel noeud d'amitié liked-killed supprimé; l'allégement d'être mortel flotte comme une odeur de rance dans la tombe du coeur qui sert de cage thoracique a la roue des hamsters affolés de flamme autour de l'extrême ponction synaptique d'exister hysteriquement; les voici venir, surcharger d'eux-même, de foule couche par légion et noria de grande gueule a petit naufrage vite enterré, souffrance masquée d'entregents souple d'échine au pourléché du pour parler vain de la navigation a vue, a distance d'une langue d'Oedipe mort, au roule patin de la babine déicide du badinage rancoeur soixante dix-sept fois retournés sous l''herpès crevé de leur bouche éboulée cardiaque, au saint battement des saint de la sensibilité pas même émue par le cadavre de l'amour puant charogne et point d'orgue de charnier, sans brûlure d'estomacs remontées d'outre onde gastrique des réseaux sociaux de substitution universelle; le choix abolit, il leur faudra vivre désormais sans discerner la sente sur la morsure du con déchiré ; l'obturateur des images seconde du trauma réglé sur l'aveugle reflet de l'hymen magique de la pomme d'adam vérolée ici-bas, qui est vivre sans l'impression photovoltaique de progresser par le néant, l'échec et la solitude des damnés pris au piege de la morsure absolu du serre temps qui les crée aussi parfait que le Pére; entêtés d'équivalence leur coeur a cesser de fonctionner, de flairer thanatos sur la proie bise de l'homme de paille pisté donnant l'imago mundi du maître rutilant loin des gouffres tenus en laisse, les crocs de faïences de son sourire de chien apprivoisé a cran d'arrêt sur la cible, en réalité insensible a la disparition de la biche a l'éternel fourré, aux tentes de Kédar, insensible au glissando du van sur le fléau charnel du tissu roulis de l'esprit enroulé dans le temps; les décoctions de l'implosion sensible du mal de mer poilée stressé ayant l'air d'herisser l'effort vainqueur en costard trois pièces cathartique; telle est la situation émotionnelle du contemporain dans la sphère sémantique du nivellement, la variété interchangeable de l'idéal et du réel confondu sans dimension prise a la caverne du coeur pour mesurer l'espace-temps d'un devenir des êtres en difficultés; aucune impression du cercle ne ravie plus le devenir esprit de la matière tempérée, aucun accord sensible ne marque plus l'éclosion assomptive du rien dans l'abdication des sens d'ou s'élève de la tombe, derrière le rideau de la flamme obscure, l'étincelle divine de tes yeux parfaitement voyant; longitude et latitude de l'amour embrassant le ressuscité auréolé des cercles des enfers descendus comme un ressort sustentatoir de pression atmosphérique; et qu'enfin naisse le regard détendeur, précipité dans l'autre moitié sensible contre ton propre fond!; au contraire l'époque est saturée de trompe oeil, de fosses perspectives sans visées brisées, de continue lecture sans rebours qui ne plonge que tres rarement les sens dans l'exceptionnel fontaine des souffrances, ou le trouble de l'amour recoud l'hémorragie sémantique de la chair en difficiles naissances de sa propre transparence a l'éternité; ils se connaîtront comme ils sont connus; et pourtant, suivant d'autres voies, ils croient allez de l'avant, progresser en contournant le néant alors qu'ils sont sans lumière, pleine matière et non creux silenne et ame vitrail échangeant ténèbre contre ténèbre sans bâtir aucune émotion éternelle dans les linéaments de la chair qu'ils ne supportent plus de sacrifier au combustible sémantique de la liberté éternelle; pauvre époque, pauvre moeurs libertaires du présent sans accroche, son coeur est sans passion absolue, sans pression de la mort qui lustre la lampe aux merveilles, et donne de l'air aux respirations de la lumière qui dédouble les corps des amants; l'organe sec et momifié, plus fondamental encore que l'imagination, reine des facultés, n'est plus qu'un agenda du presse-papier au rouleau d'imprimerie des impression formatées du passe-temps au profit d'un opérateur numérique qui saucissonne la matière de la une en une épreuve qui n'a jamais ressentie a travers la mort le sens de sa réelle présence en dieu; la plasticité de la chair s'étend de la perte a la révélation du donné; la construction d'une émotion pleinement consciente d'elle-même est sabordé des que les limite de l'orgueil sont mise en péril, des que l'humiliation de la souillure produite par la société et la mise en commun de ce qui vient du coeur de l'homme le souille, sans l'écoeurer de ses excréments dont il se couvre comme autant de sédimentation cuirassé contre l'inacceptable; etre homme c'est toujours d'abord être transpercer de cette douleur de l'amour qui prend chair dans l'angoisse et se forme comme un sujet parlant de son unique attrait tellement diffus dans le monde qu'il semble ne pas y exister selon son omnipotence; l'homme par l'homme, exploite son orgueil qui le fonde et voile la sensibilité d'une fausse couche de sédiment avorté refoulé comme de la poudre aux cieux; le chemin s'efface et change de direction a chaque pas, le choix se renouvelle entièrement a chaque instant sans que jamais la continuité ne s'instaure sur la foi d'une révélation par le parcours inverse a celui de la chute dans l'inespéré; aussi des que j'imagine un homme n'ayant que des finalités terrestres dans tous les mouvements conscient de sa vie, sans jamais a aucun moment prendre conscience d'un en soi transcendant du désir, d'un en soi de la sensibilité formé de ces tissus les plus fin, je me représente un insensé, qui ne conçoit pas qu'il est dieu et homme a la fois, vie et mort, createur et destruction, et que ce qu'il veut ainsi c'est pécher contre l'esprit, donner a son être le monde entier, l'univers tout brinquebalant d'huile noire pour enfouir la lampe de son angoisse dans les mécanismes insensées de la matière dénuée du sens de sa vie; nulle part en toi il n'y a de vérité sur toi-même, la est l'ailleurs transcendant, le secret sans lequelk tu cesse de respirer le nivellement a l'oeuvre sous la forme de la mondialisation qui préjuge de l'équivalence de toutes les valeurs, arrache a l'angoisse sémantique fondamentale de l'insensé son denier espoir de formuler une phrase dont le sens ne se retourne pas contre elle-même a la moindre contrariété d'orgueil, mais permet d'exister selon un sens que le temps ne prend jamais en défaut.

 

Il faut renverser la sensibilité atrophiée de l'orgueil marchand qui bouche d'une callosité vénale la porosité du souffle et clos la bouche spectrale d'une sociabilité qui se nie et renvoie tout le monde au renoncement et a l'apathie du désespoir accepté comme révélateur dialectique de la condition indépassable de l'existence ramené a l'universelle sémantique de la connaissance première des prémisses de la créature conditionnée. Toute créature commence par la; connaissance de soi et de Dieu. Et sans le pardon l'amour n'est rien qui s'imprègne de toi.