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28/03/2014

L'ami aime en tout temps, et dans le malheur il se montre un frère.

L'ami étend et complète la présence dans un voltage particulier de la fréquence de tension qui me relie a moi a lui, ou me ramène de lui a moi; sans lui il me manque un retour sur moi-même et une disparition, un oubli qui se lève en lui d'ailleurs; il m'accorde un temps de folie; un temps d'absence qui brille d'une belle présence tierce et réconfortante, c'est un phare qui témoigne de ma passion quand elle n'est plus que folie pour moi-même, un phare qui sombre sous la mer avec moi; l'ami n'est pas en moi comme l'amant l'est; je le vois pris dans les mêmes tourments, emporté par des ravissements similaires a mes propres absences mais notre inquiétude commune est un morceau, une part du monde deja existant; entre les amants c'est différent; c'est l'absence ou la naissance du monde lui-même qui est en jeu; avec l'ami je suis toujours au mieux mais sans le traits infini de l'inquiétude portée a l'angoisse qui lie les amants, sans ce soucis de perfection que co-nait l'amour entre les amants ou la collision des sens est le point de départ du big band cosmologique de la réponse de la langue au biologique, de l'animal a l'esprit; l'amour est la collusion de deux folies qui se complète idéalement jusqu'à faire croire a l'existence d'une réalité tierce qu'on appellerais « monde » et qui serait la résultante de leur accord, quelque chose ou l'accord dont ils témoignent l'un pour l'autre serait autre que leur désaccord a le définir, désaccord rejeté par les amis qui ont ensemble , la même intelligence ironique de la synthèse difficilement saisissable qui les réunis dans l'amour de la difficulté, aussi indéfinissable que la matière dont est fait l'accord intellectuel et psycho-physiologique entre les amants du déséquilibre de la réponse a la question posée et entretenue, suis-je éternel a tes yeux? L'aimante réponse des corps de sèves silencieuses, dit bien que la langue reformule une unité de synthèse qui transcende le biologique matériel circulant entre eux et l'acropole terrestre de l'unique esprit qu'ils voudraient partager comme pour mieux se sentir en procéder ensemble, épelé reflet après reflet, appelés en ces corps miroirs permanent a être; mais l'ami n'est pas l'amant, lui c'est distinctement qu'il fond l'un sur l'autre, entretenant ce qui les entretient dans le perpétuel dévoilement ironique de leur sensibilité éternelle, en jouant l'écart du dévoilement sur un secteur de la parole plus vaste, plus hétéroclites mais moins intense que l'écart qui oppose les vérités éternelles des sensations archaïque et éphéméres les plus animales,; presque nu socialement, les amis ne se brûlent pas entièrement a la tyrannie d'aimer; aucun n'a la réponse, aucun n'est coupable(tandis que les amants sont la réponse l'un de l'autre, et autre est le lien, autre est leur tourment tourné vers l'innocence), c'est pour cela que ca commence mal avec l'éternité, le développement du lien entre nous, qui transmute la souffrance en permanente création; mais la fois ou l'insaisissable les laissent incertains de leur amitié dans le pétrin, ils s'en ressouviennent comme d'une étape décisive justement, dans le cours de la conscience en flux croissant de grandeur qualitativement déterminé par leur accord en cours; ou puise sa racine? On en sait rien, c'est plus mystérieux qu'un accord de jazz, et l'élucidation de sa signification et de sa valeur vise aussi bien a créer qu'a effacer le monde en le confondant ou en le déliant de la valeur éternelle de leur amitié; de part et d'autre chacun s'assure en Dieu. Ou donc un tel lien a la fois si prégnant et tellement indéfinissable peut il s'établir a demeure sans lui-mime? Détachant reflétant, le temps vide les lieux de mouvements singuliers comme de l'indéfinissable, singulier comme un mystère tiers a l'accord plein de zones inéclairées; le temps n'est que la mise en question du lien, question réelle qui embarquent ensemble la ou leur lien n'existerait pas; un tel lieu existe ou ils sont seuls, séparés sans possibilité de rapport entre eux, ce lieu ou l'on est condamné a la non-manifestation est la souffrance muette, a laquelle je forge empressement, volontairement ton absence quand je laisse la coupure de la faille délivrer l'idéal lumière du ton entrevue dans la souffrance; c'est le fond sur lequel, trouver l'être qui sera plus présent que le monde, devient possible, en une sorte de traduction de la souffrance en joie de création, l'être dont le lien aura en soi une qualité éternelle qui efface la présence du monde, et la rejette dans une indifférence et un oubli; putain comme les hommes seraient loin dans les voies de la perfection s'ils suivaient les chemins de l'oubli du monde, si le but de leur tache était non pas d'embellir ou de transformer le monde mais ne plus le voir tout simplement comme lemporté et ravi par sa beauté naturelle, et comme lorsque l'éternel amour paraît, et qu'il passe près de toi, plus léger que l'air dans sa cage de chaire et d'os, et que d'un sourire il efface les traits de toute pesanteur.

26/03/2014

L'autruche abandonne ses oeufs à la terre, et les fait chauffer sur la poussière.

Époque a perruque invisible des fausses pudeurs du refoulement mystifié par la pub body-buldée; politique écran plat de projection protégée sans sujet attitré reconnaissable uniquement a la boue infamante de la glaise glaireuse sur la carrosserie des gestations tuning du gastéropode de la venue du pneuma enlisé aux confins du visible consciencieusement versatile, attifé du pudibond conflit des contentions non vidé avec soi-même qui ont en horreur l'origine familliale et scabreuse de leur pulsions propre au genre honnie, autant que les lourdeurs de coeurs habituelles et impropre a la consommation, et si varié qu'un dieu parlant toute les langues ne pourrait les déchiffrer; ils enfouissent leurs failles dans la droite ligne du parti pris arbitrairement des semblants relié aux bijoux de familles pas même remise a l'atelier de circoncision pour l'édification éternelle du sertissage des lueurs d'écueil aux arrêtes des carats; leurs cerveau d'étoupes ignifugé, les assignent aux gestes intégralement fantoche, élevage en batterie du jeu de massacre des chaises musicales retenue aux abattoirs d'adresse de singe masqué sous les jeu de scène sans poursuite, de lave-cervelle pas dans leur assiette et d'éclairage permanent dans la pisse de chat qui donne soif comme une mauvaise bière, qui laissent dans l'ombre la tâche impartie a chaque hommes, de rendre immaculée ce qu'il perçoit dans l'horreur scabreuse de ses entrailles de néant; qu'y a t-il d'autre a voir en pleine lumière? Défaut d'aveu, zéro défaut, l'insignifiance de la culpabilité totale ouvre la large voie, loin des horreurs de la confession, plus proche du rejet absolu de la vérité cruelle, chômage de l'amour immaculant; mundus vult decipi, accoucheur hors perd d'être insignifiants et mort nés, lustré des la naissance de leur niaiserie a boire l'iniquité comme de l'eau bien tempéré; fausse conscience des adaptés pervers de la normalisation artificieuse, de la nef des fous sous tutelle biaisée n'ayant de coeur que l'absence de perspective; courant les point de fuite marchand, jusqu'à la cours des miracles pitoyable, jusqu'au cloaque du vernissage des vices polis, rendu brillant par la distance réduite du désamour qui conserve les conflits de la haine en soi encadré par le sous-verre securit de l'ivraie inconsciente; absence de monde, présence reversé au vase communicant des glands virtuels du bit pixel ; air du timbre désolé, tambour percé, je ne danse pas facilement; remaniement labiale du vice clitoridien en fausse vertu sans travail, ether sans matiere sublimant leur orgasme de verbe tourné contre eux-même et deja les jugeant; être ridicule grossisant comme un point sur la route des enfers qui ne conduit a rien; personne ne les attends, ils ne quitte rien, sont eux-meme le desert qui engloutie le monde par un creux de la langue; règne absolu de la quantité des unions, des réseaux dilatant l'orgueil vain de la peur d'exister dissipant l'extase dissolue dans le non-commencement ramenant immédiatement la non-fin des aliments du contentement chiffré du ventriloque état comateux de la pensée et de la réflexion incapable de tout risquer pour tamiser le dire du bien éternel au synapse du coeur tremblant temporairement pour son éternité; surtout surtout ne jamais parler d'un quelconque Bien absolu, de cette unique chose nécessaire a toute une vie pour qu'elle s'ordonne selon un sens éternel de lecture et de relecture des significations traversées; monde inversé, il périra pour toujours comme son ordure, passera en un clin d'oeil, et ceux qui le voyaient diront: Où il est? valorisation de l'inachèvement, du pain de paresse paraissant fervent sans ferment; azyme pourrissant, levain des herbes amères de l'indifférence stérile, péché absolue contre l'Esprit, mort spirituelle dans les langes des jugements fantômes inconséquents; âme vénale des êtres sans autorité serviteurs de l'argent; il y aura des grincements de dents pares le pourrissement de la confession loft-story, des oeuvres de la parole qualifiant l'amour invisible devenu conscient, l'energique expiation seule, dit devant dieu le rien humain qui nous damne et nous possède considéré tout autrement; partout le règne intégral du péché, la haine de l'humain double face, sous les termes les plus enjôleurs du tapis des salons de beauté fleurissant aux angles de rues parkinsoniennes des maisons close de retraite de la damnation a taux variable mais chouchouté; moi je sorts mon fouet, je ceins mon cilice et je me flagelle le coeur par une radeur d'esprit redoutable, invisible et sauvage, comme un dormeur que la honte seule peut éveiller profondément, et sentir les premiers rayons de la grace me saisir coupable en entier parce que je ne sais pas en parler; Zénon faisait de même avec des lentilles pour briser la fausse sécurité des certitudes vite accouplées vite engendrées; pour les autres, la fatuité est l'unique perspective de la manifestation des ressources du dégoût de soi qu'ils doivent tenir caché et craché sur leur frére; homme nain engoncé dans des mots plus grands qu'eux sans trembler; heureux l'homme qui est continuellement dans la crainte! Mais celui qui endurcit son coeur tombe dans le malheur.

 

La définition du monde en lequel on se projette doit y être un secret bien gardé au fond de la lumière qui éclaire ma réelle misère et ma pauvreté, (te cacheras-tu comme Adam dans la foret?) non refoulée dans la pellicule sans vie des ombres arrachées au néant nées coupable, coupées de la lumière organisatrice de leur abats vendues en vrac a la boucherie new-style; et la vie une aventure d'une sérieuse insouciance qui par tous ses aspects se relie au mystère, ou chaque battement de coeur, chaque émotion est un signe ressentie dans les lignes comptables du divin scripte liant passé et avenir en un éternel présent visité de déterminations réciproques et dialectiques formant tableau intérieure de l'histoire des souffrances traversées et renversées par la victoire; mais l'avocat d'affaires était marié pour la cinquième fois et croyait dur comme fer être dans le ton premier des pierres et du lin que sa dernière épouse voulait en tapisserie de son salon couleur rock comme une douce expression de l'intégralité de son être, a fleur de peau, si sensible au fond qu'elle surnager dans son être comme dans un océan qu'elle s'effrayait de vraiment connaître; l'amour est la confession de l'esprit comme le sexe entre époux est l'innocence retrouvé transmués des gravats du désir affolé de possession charnelle par l'obsessionnelle destiné, qui unit par une autre volonté impérissable et imprescriptible le je mutuel dans la pulpe gémie.

 

25/03/2014

Toute chair verra le salut de Dieu. (en cours)

Nous nous connurent par l'érection de la grande focale révélatrice des signes intérieures de l'abandon; au prisme du sexe tendu comme un iris poreux a l'extrême de la sensibilité, la lisibilité décacheté des prémisses de la joie pure de l'abandon ; toute chair verra le salut de Dieu; la chair remuée de l'intérieure par le souffle vide de l'explosion levant les scellés psychique de l'orgasme, c'était bien la connaissance comprimé de mon amour qui devenait réellement la sensibilité interne d'un être retournée, extatique et délocalisé hors du monde, en lui-même; ici chaque mot prononcé a un sens éternel; sans la sexualité il n'y aurait pas de signe; bander c'est écarquiller les yeux pour mieux te voir mon amour de l'intérieure inscrite dans une totalité de pure cohérence qui est l'envers du monde a la sensibilité éclatée ; c'est le ton primaire de la joie apocalyptique, quand tu n'es plus qu'une flamme liquide courant sur la surface de mon oeil évaporé dans la vision, et que le coeur reste seul décacheté de chair par la proximité du secret a toi seul révélé; je te perçois plus chaste alors immaculée même, et soulagée des souillures que les eunuques présupposent ; les sexes entés l'un a l'autre sont cavités vide d'orbite pénétrée de l'effet de leur propre vision; l'arbre érectile sous la puissance du vide sanguin du secret ou je me projette sans définition, discerne et défige dans la naissance de l'orgasme le secret incommunicable de ton sexe abandonné a l'ermite hermeneute; puis le dénouement intérieurement ta chair, te rapproche du ravissement de la mort et tu deviens, un instant, esprit du liant de chair dénouée par le fond vide du tout révélé de l'intérieur de ton spectre de pure beauté irradiante.