Inter esse Béthléem

La distance entre les événements ( subjective, elle est incommensurable, peut-être qu'un monde détruit a rebâtir ne suffirait pas a chaque instant pour reconstruire de mémoire, la perte de la spontanéité éternelle de la lucidité qui m'apprend que je viens de perdre la raison pour laquelle j'existais, (là c’était là j'vous jure! c'est entré là comme un malheur);  mon organisme et mes tripes synaptiques se sont symbolisés dans cette icône enténébrée qui englobe la brisure en elle-même, fait de la folie une sorte de langue, qui suture la brèche des jours pour reproduire l'illusion d'une transparence en laquelle peut-être on ne croit plus, ou qu'a moitié; la transparence spontanée de l’éternité, a fuit au moment de la nommer, elle s'est évanouit dans les mots qui ont chercher l'appui de la mémoire au lieu de l’élan indécomposable du commencement, par ou, comme par une trappe, me fut donné et repris ce que j'avais de plus cher, ce qui remplissait ma toile de ces couleurs, et qui était lui-même déjà venu, un jour se présenter comme ce qui pouvait me sauver de mon angoisse, de cette vague mélancolie ou j'avais déjà déconstruit la mémoire de l’éternité renoncée en sa frugale transparence au profit du trouble des passions non formulées (ou déjà l'illusion de la possible suppression de soi me tenter); instant qui ne peut donc pas se détruire en se suicidant lui-même, a moins de se mentir, de ne pas confesser qu'en se suicidant on ne se libère pas d'une passion mais qu'on l'étouffe une dernière fois dans les bains de torture qui noient la faim dans le sang des choses impossible a dire, comme si par la même on les refouler dans leur non-realité plutôt que dans la transparence irréalité de leur existence jamais tout a fait formé jamais tout a fait disparue, toujours en cours); les mains et le poignard pour lady macbeth sont des signifiants particulièrement saillants qui restent la mémoire ineffaçable du concept qu'a former sa vie, ses meurtres, de la matière même de son renoncement a la lumière (il s'agit bien d'un pacte, qui est le contraire d'une décision); la dissolution de l'esprit dans l'impossibilité de dire ce qu'on a fait de sa vie, suppose qu'on la mette au service de bien autre chose que des livres, des vies peut-être ; comme si le renoncement a l’apesanteur céleste, s'exprimait par un surcroît volontaire d'indicible et d’incompréhension qui plombe l'existence d'un sentiment tellement paradoxale qu'aucune parole n'est plus possible pour dire la réalité a accuse du drame trop grand de l'impossible représentation interne; le suicide est une indigestion de son image dans le miroir; mais la conscience ne s’échappe pas, elle ne se volatile jamais au point de disparaitre comme si elle n'avait jamais été (alors que cette intuition habite le langage, et c'est quand les mots perdent leur sens qu'on le ressent), a moins de supposer la possibilité d'un mal ou d'un bien absolu ;qui pour la passion a ce point vaste peut aussi être a tout moment, le dernier instant, celui que j'ai croisé par cette rue, il y a un instant ; et puis qui a disparue, me laissant remplir a nouveau mes journées de jouets déjà comble ; un jeu de société m'amuse encore pourtant, c'est de rendre le raisonnement impossible et partager un instant de communion plutôt que d'orgasme, ce sentiment commun qui remonte depuis les débris de l'impossibilité de communiquer entre nous la vérité, en étant conscient de ce qu'il fait comme aucun don juan ne le sera jamais, comme le ressac de la vie lavée de ses avatars) E1 « émission d’un photon » et E2 « réception du photon » a deux représentations (soit): (mais) soit en tant que lien total de partage de sens entre émission et réception (fig2) (le sens de la division a partir de l'un, le sens de la communication), soit en tant que partage de sens entre l’étoile émettrice et le dispositif récepteur sur terre(et c'est le sens de la passion, de la reforme de la sensibilité appréhendant, UN être, Absolu, le tout a partir de sa transcendante origine, le sens de la communion)(il y a rupture qualitative et alternative)

L'ailleurs entre les êtres. La fiction-vraie d'un l’Être. https://www.youtube.com/watch?v=XBLxCMX4D-M&list=PL8GzDEfn3S8B1HX9-MlwjyYqr0XpkEiZB&index=10

 

Si deux espaces de Calibi-yau différents, utilisés en tant que dimension enroulée, conduisent à la même physique, il y a symétrie miroir entre les deux, et sont par conséquent appelés père.

 

Falling into grace: https://www.youtube.com/watchv=LNxkOlmFoLI&list=PL8GzEfn3S8B1HX9-MlwjyYqr0XpkEiZB&index=11

Remarque : c'est ce sur quoi s'assoit l’épicurien, la possibilité d'une double lecture de la même chose en supprimant du discours la pensée des dieux. L'histoire des feux croisés.

 

 Transcending .:X:.

https://www.youtube.com/watch?v=oAzWyuSeTEA

 

https://www.youtube.com/watch?v=j0e-r_E8JG0&spfreload=10

Faire entrer de la matière dans l'idée d'une matière qui y est réfractaires, c'est l'essence de la muse, l'analogon de la mathesis; la chair qui est verbe depuis l’évaporation de la présence dans ses vapeurs, jusqu'à sa venue quand elle les soulève et les perce, quand elle vient par ce en quoi elle avait disparue, et qu'elle se concentre dramatiquement en elle-même, s'isole et se suspend comme si on la foutait affamée devant la gamelle d'une chienne ration de paradoxes, des plus aporétiques pour soulager son estomacs et ses mots dedans.

Découverte d'un nouvel élément atomique: le nu tronc

Le tout Nu tronc de lalangue

 

La théorie des cordes décrit la gravité quantique, l'unification de la mécanique quantique et de la relativité générale.

 

L’atmosphère sur Quantique était essentiellement composé des deux éléments de la mécanique du flux, qu'une pompe a proton inspirait par les deux canaux théoriques de la question relative au physique d'une théorie, a l'apparence de la vérité qui ne serait pas, l’être.

 

Y soutenir une parole de l'unité de la nature disjonctive de l'esprit y était une entreprise peut-être pas digne de finir en roman, mais digne d'une aventure propre a tenter un poète.

 

La manière dont je me dis les chose détermine les particularités du rapport transparent aux êtres a travers les choses incomplète qui tourne dans cet atmosphère permanente de casino.

 

Qu'elle allure a la vérité ?

 

Les rêveries du dictionnaire en ballade, évaporaient leur promenade jusqu'aux hauteurs élevées ou l'ambre fossile des nuées se retire en son germe, qu'on ne sait qui ou quoi, avait jeté là en terre comme une graine contenant l'arbre, le concept des nuées obscurcissant peut-être la transparence des racines du ciel au fond des pierres de leur apparente dissolution quand elles sont maîtrisées, tenues en laisse de la seule façon qui soit, gommées du savoir et redevenues a-réelles en étant intérieurement supprimées du rapport a soi-même, du cours de dissolution du réel dans l’irréel qui coule a travers toutes la contrées de l’être.

Ce qu'il importe de voir et de montrer vraiment, c'est l’être rendu a son ignorance, qui s'apparaît fugace mais absolue impression de l'apparaître de l'effacement ; formation pathétique du concept.

 

La brutalité des hommes envers les animaux, m’intéresse bien moins évidement que celle qu'il exerce sur ces congénères parce qu'il y a toujours urgence a qui veut vivre parmi et avec des hommes, a déceler cette nature, a l’appâter jusqu'à la faire sortir du bois et lui donner les moyens de se supprimer elle-même puisque la est la seule vertu qu’on puisse enseigner jusqu'à un certain point ; celui qui pensait qu'il n'y avait d’éducation du genre humain qu'a travers le destin, était assis sur un banc et pensait qu'il pourrait bien tuer vraiment le premier éducateur du genre humain qu'il rencontrerait en cours de faim, quand la bête sort du bois et lape son reflet dans l’étrange bois des parfums du pourrissement ; affamée elle se voit s'effraie de son reflet, le souffle comme il résous la terreur en une nouvelle solution dont les mathématiques n'approcherons jamais de la définition, tant la résolution du grain est autrement plus conséquente quand c'est la vie qui mêle ses lettres a celle de leur alphabet, dont Épicure voulait être la sentence atomique spirituel et avec lequel il nous faut bien écrire le visage de l’être si on ne veut pas finir éternellement noyer dans la marre aux narcisses.

 

Le monde est incomplet, il s'efface comme un tas de sable qui se disperse sous le vent, une météorite qui s'effrite et disparaît, ne laisse que la mémoire du mouvement qui organise l’épaisseur du feuilleté pneumatique ou comme monde, l'urgence contradictoire de la nature première se manifeste anarchiquement, désorganiser, comme la coque d'un navire grevé de trous, que le penseur ravaude en les enfermant dans leur reflet, cri, déchirement, naissance de la langue, accouchement de la conscience qui dit son être, sa réalité, que sa langue n'est qu'un manque qui jamais ne donnera ce dont il est seulement la forme anticipé … la parfaite félicité.