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27/12/2014

Cold game

Les voies de la gloire assurée, les vois réglées de la victoire sont chétives, étriquées comme de faméliques séductions pour ton esprit désabusé ; tenter d'y échapper est bien plus tentant.

 

Si tu brises la plate nervosité de la confiance moyenne en toi, et en les autres, électrophotographiée steve ray, style croisière qui fait naufrage sur les cote amibienne de Namibie, tu peux retrouver la vague enroulant et craquante, du son, envoûtant, déchirant, qui fait céder toute résistance au ton des dislocations harmoniques du roulis chaos des radioheads... guitares mouillées des fréquences de base en ligne féline du silence qui tourne les voyelles en mon absence, la langue contre moi, et parfois la vie , l’existence ça fait mal jusqu'à vouloir coupé tous les liens de la langue, et flotter sans ligament au cœurs des ténèbres, écoutant comme a travers un mur, les lointaine pulsations de l'air que les musiciens absorbent comme de la fumée d'artichaut a la structure velouté de choux fleurs fleurissant dans les caves, grinçant comme des articulation du visible et du non-vu, qui retourne le son des mots en d'autre tons que le fantôme a noté du contrepoint arythmique de l'âmoipureson.

 

Laisse toi emporter jusqu'à douter que tu produises de la grâce, c'est son mode d’apparaître ; la disqualification du spectacle, qui fait qu'on bouffe du pâté, du foi gras au sancerre en fin de soirée quand on est inobservés... quelque chose nous a échappé ce soir, quelque chose d'essentiel... est-ce parce qu'on a trop bouffé ? … la fatigue, la pression atmosphériques qui joue sur la matos ? … les cordes au lithium, les cryogénies des structures atomiques des cordes, je ne sais pas... on rapporte ce manque au manque d'entrain(moi j’aurais dis au manque de folie... mais je n'ai pas su me faire entendre... bref c'est comme ça certain soir...), manque de confiance les uns dans les autres, et il faut dire que ce soir, dans les derniers replis du cœur, une pensée me retenait, refusait de disparaître sur l’état de dissolution attestée du groupe qu'aucune musique ne semblait pouvoir recoudre, l'impulsion n'avait plus de perspective idéale , mais un flou commun qu'aucune musique ne parvenait a éclaircie en s’établissant entre nous, dissolue introuvable dans ce qui n’était pas le reflet de la vraie vie de chacun, essentiellement familiale, éthiquement axée, qui ce soir làa je ne sais pas pourquoi, refusait de définir le réel par son seul aspect, retenant de l'audition un plus, ou l’éthique se percevait difforme, quoique le peu de musique qui filtrait suffisait a alourdir l’éther holographique des représentations ; quelque chose dans le fond de l'entendement, ne percevait pas clairement encore, que les nœuds ont des lacets plus profonds entre eux que ce qu'il peut paraître, et la pensée luttait contre les images, en ayant déjà renoncé a trouver une véritable définition de la netteté qui satisfasse autant le théorique que le pratique, même brouillé momentanément ; une morale par procuration, en sol une définition de soi et des autres qui qui te trou le cul et s'observe clairement et distinctement, comme elle peut être, lorsque, tout simplement, humblement, malgré la disproportion du sentiment de soi dont on parle, tête froide cœur bouillant, tu te penses fils du père des pages qui se tournent, c'est a dire se renversent contre l’œil perdu dans la bière et le souffle en clope stériles, ta pensée égoïste se conserve refusant de se sacrifier éthiquement, c'est a dire réellement pour élever l'idée, lui libérer de l'espace insignifiant, pour une autre détermination, qui lorsqu'elle aura posé ses bases s'alimentera elle-même sans même plus y penser vraiment, en défroissant d'autres replis insoupçonnés du cœur, alimentant d'un arrêt cardiaque le surgissement du ton sous le rapport du son rapporté a lui-même, ou le nouveau reste indéfinissable, prépare a l’indéfinissable par ce retournement de l'entendement, qui est brouille d'une image de l'inconnu ou s’était vendu l'ego, maintenant, peut-être se trucidant sur place, sèchement, comme une hécatombe de faisceaux d'angles et de points de vues qui s'effacent eux-même dans la masse renouvelée du tome a paraître, ou revient le refrain du disparu...

24/12/2014

L'existence n'est pas un prédicat

L’oliphant si goût terme par l'entraille de son ; qu'il est la graine électrique de l’icône dont l'entente germe dans un monde en guerre, sans holographique reflet de soi ; il entend se décomposer, déchirer difficilement les cordes synaptiques qui relie les navires au quais, les quart de portion du cerveau incomplet, flotte sur la mer fœtale et invisible par absence de lumière ; c'est dans le noir absolu qu'on avance, en sachant qu'il nous faudra bien croire a la transfiguration de la nuit ; au bords du cercles stellaire, il se pencher sur le boa galactique bitumé de diamant terreux qui explose en sombre feux d’artifices de déflagrations ou l'incommensurable puissance de leur chaos, étincelle dans un ciel pur comme un feu sans chaleur, il se penche et écoute la chaire déchirée des êtres, se partager entre le monde et dieu. La vraie situation, celle du sérieux, est celle-là : tu n'avais jamais penser a mourir avant l'instant ou tu apprends que tu vas mourir dans un instant. L'air est saturé de bruit, de soupirs de tristesse, de voies improbables, siliceuses comme des porches creusés dans le vent par des pierres sans age, ou des grincements de chaînes et de lame accompagnent le voyageur solitaire au bras du hibou, qui se souvient des périodes des berceuses que lui chantait sa mère quand il était enfant ; des cris indistincts peuplent le fond organique des abîmes de la voix réfléchie qui est la synthèse de la matière et de l’esprit, l'unité du vide et du plein, l'essentiel atmosphère de l’organique, le mode de la jonction qui cherche le silence de la compréhension par la langue et son pouvoir d'infini et palpable intuition du réel des êtres ; les son s’écoulent comme un fleuve qui mene au tympans des oreilles, a la stéréo extatique du mouvement reperable dans la girosphere constellé par la dilatation du rythme cardiaque qu'il faut suivre; l'ouvert est ce temple de l’ouïe parvenue, développé jusqu’à sa propre écoute par delà le rythme cardiaque, et les vertiges de la connaissance de la naissance ; tout l’indéterminé du battement de la pluie, l’égrènement des nuées qui reproduisent les questions dans le chants, les accompagne et annonce, en sifflant tout raisonnement que la météo aura toujours raison, des falaises de poussière du raisonnement, remontant le cours de l'attraction, jusqu'aux créneaux formant de gigantesques tourbillons de sable qui emportent dans le courant du flux sanguin leur systématique rupture de continuité ressoudant le monde, que l'on reçoit en plein visage comme de la poudre au yeux mise en rapport avec le flux absorbant de réflexion les discontinuités de la caisse de résonance sans laquelle la cloche fêlée ne rend aucun son, comme autant de présage qui accompagnent la venue d'un être se détachant de l'horizon porteur des lucidités; de la cire coule des romans qui suivent le cours d'une renaissance ontologique, en sondant les diverses régions de l’être qui en composent le paysage translucide ou l'aventure réfléchit de la connaissance de la vie éternelle se joue ; la chair est un youyou votif, un système vibratoire qui tisse entre l’épiderme et la moelle des os, les liens permanent des renvoies de la subjectivité a elle-même, de la présupposition a la conclusion qui y revient, y ajouter en quelque sorte cette détermination du réel qui n'est pas une catégorie comme les autres, mais celle des êtres en extase, que le raisonnement imite seulement, (et on peut y puiser tout un tas d'ossement symbolique capable de provoquer l'effroi) puis, tisse, peut-être si on s’appuie sur quelque chose de transcendant, entre les êtres paraissant a travers ce qui n'est encore que leur propre transparence, une aire de respect et de conflit, avant de l'oublier, de s'en défaire, parce qu'il n'y aura plus rien a défendre du bien qui échappe par son cri a la rouille et aux cendre, et de vivre alors passionnément dans une autre transparence donnée et qui poussée a son extrême est l'objectivité de l'absence de signe directe de l'esprit dans le monde qu'on habite comme si on l'avait déjà quitté; le reconnaître c'est commencer par le commencement, apprendre a connaître son péché, pour le distinguer de la transparence de dieu sur laquelle il sur-imprime la finitude de ses vues.

 

23/12/2014

Tractor-loqui : image mouvante de l'eternité

L'infâme ptéranodon des jungle primaires de la dislocation mentale, couvait son or rhizome de son ombre dragonne alors qu'il aurait pu y faire fondre toute ces fausses représentations et enfin prendre chair; mais les usines du sortilége étaient un jours sur deux en gréve, et l'autre moitiés du temps, ne fonctionnaient pas ; par grande nuit d'épiphanique ressort, les flux se rejoignant dans les profondeurs, mais il était devenu impossible aux spectres, pour ne pas se dévorer entre eux, d’occuper leur jours, a autre chose qu'a cela même qu'ils savaient pertinemment leur rendre la vie impossible et insensée aussi insaisissable qu’insupportablement dispersé des qu'on y touche.

 

En ce nouvel age de fer, ou l'on ne savait plus faire autrement la faculté cherchant a recréer sa propre spontanéité, courait avec les plan de son statu brisé dans les courant d'air de l’éternelle cité glauque après les derniers cercles de la banlieue, a la périphérie de toute présence protectrice de la communauté humaine, aux antipode de la confiance, la ou son fleuve se déverse en vain dans le vide sans échos tapis d'un éternel cri ; sur les bords extrême du monde, passé la frontière des parenthèses divertissantes, n'emportant rien de l'aparté récréative de la réflexion, le skater gagne le sérieux en perdant la raison ; ce qui avait toujours été un exercices codés, un rituel de passage, ou s’éprouvait la solide fécondité d'un choix, distingué dans toute société d'humain, mais que le cours des siècles et la masse accumulée de savoir débordant leur contenu, avait brisée comme une mécanique folle qui ne tenait plus la route sous les semelles dorées des sandales de dieu, avait rendue indiscernable leurs lacets dans le va et vient incessant du doute fondé par le savoir autorisé plus que légitime. Et quand elle lui prenait le pouls elle écouter son cour a l'envers, la foulée du renversant qui comptabilise tout par lui-même. C’était l'animisme du pochtron qui avait surtout des chose a dire a la bière de chrysanthème blanche, c’était ses préférés, les ou-ou céleste de la nasse incubatoire des alternatives dans l'unité, qui parfois frétillait de poissons frais et plus savoureux que le tunnel de la route qui va du rêve a l'éveillé.

 

Selon la sagesse zombie, tu dois chercher ce qu'ils cherchent, leur propre légitimité a l'existence.

 

Quel terme fabuleux que celui de légitime, c'est vraiment une qualité a part le légitime, ce qui nous revient vraiment, ce qui tombe des bras de la justice, et qui fait aussi bien notre malheur que notre bonheur, si c'est légitime, le malheur reçoit sa correction, son amendement, et le bonheur s’accroît au delà de toute mesure sans rien changer a ce qu'il est dans ses déterminations finies.

 

Décomposition du mouvement a la galerie fix sur le thème de la garde de ce dont l'artiste était censé nous éclairer, pour autant que voir les choses de travers c’était pas non plus tomber a coté de la plaque.

 

Le premier, un tel oubli d'elle-même que l'âme semble vraiment n'être plus, comme je l'ai dit ; elle est dans un état où elle ne se connaît plus, elle ne se souvient plus qu'il doive y avoir pour elle ni ciel, ni vie, ni honneur, tout entière occupée de l'honneur de Dieu ; les paroles de Sa Majesté semblent avoir eu force d'acte lorsqu'elle lui a dit de s'inquiéter de Ses affaires, et qu'Elle s'inquiéterait des siennes.

 

Quand une femme lui plaisait, il sortait une cigarette tout en se mettant au défit : si je ne lui demande pas du feu, que je sois muet ! Ce qui était une manière de tourner ses pas dans la direction contraire a celle de sa pensée, affleurer du bout des doigts le derme externe de la dilatation, rire peut-être jusqu’à se contorsionner, du Paradoxe. Jusqu'aux grincement de dents.

 

Le second de ces effets est un grand désir de souffrir, mais il n'est plus capable de l'inquiéter, comme naguère ; son désir de voir la volonté de Dieu s'accomplir en elle est si absolu que tout ce que fait Sa Majesté lui semble bon ; s'il veut qu'elle souffre, à la bonne heure ; si non, ce refus ne la tue point, comme avant.

 

C'est de présupposer qui est intéressant, c'est comme parier aux courses de la pensée sur les intuitions insondable du cœur ; parier l'enjeu d'une langue supérieure qui ne dirait que le légitime ; et vivre en ce monde, c’était un peu comme s'interroger devant un tableau noir surchargées de formules abstraites, de signes incompréhensibles transpirant l'effort et la graisse, d'une langue qui lirait certainement entre eux et qu'on voulait capable de nous fonder, de nous porter a travers l'espace et le temps, comme un instrument a porté de voie de Dieu. Il pensait pouvoir ainsi, reformuler la langue entière de la passion, celle des êtres qui ont une si haute idée d’eux-mêmes qu'ils sont contraint de sortir l'esprit des gonds de la langue commune pour retrouver la phrase entière de la réalité vraie et légitimement enracinée par delà les profondeurs troubles du cœur, dans les actes incompréhensiblement transparent du désir.

 

C'est ce que cherche plus qu'aucun autre l'artiste ; non la perfection formelle, pas d'avantage la virtuosité, mais le légitime qui a rendu le possible nécessaire.

 

https://www.youtube.com/watch?v=XOhmiwoRJvc

 

 

Fiction : Prométhée rend son feu a dieu pour que les hommes ne confondent pas leur conscience avec la lucidité qu'ils n'ont pas créer et qui précède, achève et comprend tout.