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21/02/2015

Rhum joint au mobile.

Vous êtes quatre vingt a avoir lu ma dernière note deux fois, c'est cool c'est bien... parce que ce soir je voudrais vous parler de la l'impression de l'esprit qui engendre la chair en son pli, et des nuances de ligament qui tendent un frisson a la vie, et des différentes nuances qu'elle prends en fonction des différents jargons ou nous communiquons, sur ses bases toujours changeante d'un retrait selon le style du pari, le propre de la masculinité, quand d'un retrait, elle entend rendre apparent ce qui cache sous les apparences, dans un ordre subvertie qui n'est au fond accessible qu'a ceux qui croient que dieu a existé dans le temps.

 

Un signifiant qu'on ne saurait voir sans fermer les yeux sur soi et en quelque sorte prier.

20/02/2015

Des mers de Weed-Hell a Ross.

Quelque chose monte et qui veut pour se dégager, un espace assez neuf lumineusement parlant pour qu'un contre point s'appose au vide d'une scène qui absorbe tout, et indirectement en révèle comme le flux projecteur toujours constant du monde, a moins que l'immonde ne dévore l'ampoule et ne laisse au déficient sur place du reste, qu'un milieu de meute aux abois pour arracher l'écran de la distinction, du discernement, d'un autre bouillon de culture, en proies aux sombres silhouettes carnivores du rapt et de sa culture cannibale colombienne, au financement juteux; fini la séduction naïve du troubadour fleur bleue, éros est rance et gâté, autant qu'agressif et grossier maintenant! il a le goûts amer des acides profondeurs des balafres de la vie sur la conscience quand elles s’achètent payé au prix fort les traits de l'être; une scène de ruine n'est pas encore la ruine de tes facultés qui ne se ressaisiront d’elles-mêmes pas avant de s’être entièrement jetées dans une folie, au point de rupture des forges de surfaces par ou monte a l'aube de l'abime qu'il englouti, l'astre du levant, dans l'acte de pro-jeter qu'on pourrait caractériser aussi comme l'unité rationnelle de l'absurde, scientifiquement trouble du décalque comme la passion d’exister et de penser au temps de sa contemplation, quand il n'y avait rien a chercher d'autre dans le monde que le reflet de soi approprié; l’être et son chant est un contre champs du monde qui use du monde comme un transfert d'impression du rien organisé en image, une rotative de presse ronflant comme l'orbe du ciel fixe; siffle une contre-philosophie de la philosophie, une récidive permanente comme une tentation de vouloir se départir de tout rendre signifiant en rattachant tout a un être... et recevoir de lui notre être espéré, désespérant de illimitation de cette quête, ou parvenant a en ressentir le caractère invisible de la riche et fertile paix de l'immuable, dont le reflet, quand il est coupé de sa source et  imité par l'accord de la pensée et de l’être, reste a jamais insignifiant en soi, riche seulement d’être possédé.

 

Les chiens gueux sont sur la place sombre ou les bannières de l'alcool flottent au mur de la citée princière comme des pierres en banderole, jetées a la face de la paix qui règne entre les frères; c'est con effectivement, le transfert, parce que c'est indirect, c'est supposé, c'est plus riche l'amitié, plus vraie, quand c'est scellé de silence comme la conjuration de Brutus interdisant le serment qui ôte des forces utile a l'action; le cœur n'a pas besoin d'assurance pour vibrer, et il faut le rendre vibrant; ceux qui vivent en paix, dans un rapport serein avec les uns et les autres, ceux qui sont liés par l'esprit n'ont aucun besoin de se connaitre, ils se savent déjà entièrement a priori, quitte a s’être éloigner un peu de la foule, de la puissance de son appel, de la force de toutes ces voix concordantes inconsciemment a diviniser Naomi Campbell, ils retrouve une harmonie préétablie, bien différente de l'idée qu'ils ont de l’égalité sans esprit indirect, d'une notion encore biologique du zoon mimétique de la gémellité qui se transcende en un amour fait de kairos entre les hommes. Laissons circuler le destin... Ulysse faisait le tour du monde pour retrouver la plénitude objective de son amour subjectif... l'homme moderne reste chez lui et sombre dans ces propres incertitudes subjectives pour découvrir que l’être qu'il aime est une présupposition; Platon n'est pas Chomsky... et le rôle de la langue, la dynamique du flux subjectif y a été bouleversé par le christianisme... pour lequel tout savoir de l’être se réduit a une présupposition indirecte de ce que l'on en comprend de son sens...

 

La réalité a comme les pierres, les arbres, les flocons, et tous ce qui pousse, vibre et vit, une structure atomique instable soutenant la qualité éternelle de l'immuable; un corps de tension organique souple et instable comme un sable mouvant s'adosse au mur spirituel des lamentations, ou pas même un homard ne pourrait nager; pécher au port des piscines nucléaires un bidon de boulons et de ressorts a roulettes a été rendu la veille, au nageur borgne de la seconde traversée, qui cherchait la passe au fond de la javelle, le cap de bonne espérance du chemin de fer a repasser frayant par l'horn et la terre Adélie de l'angoisse, les reste de sir j. Shakelston autopsiés sous les lampes bleues des glaces, ses os de neige lustrant sur une pellicule blanchie par son atomique déraison, le grain de sable de sa folie nodale qui suffit a voiler toute la bobine pour imprimer l'image spirituelle de l’intériorité; la traversée volontaire de l'invivable et le recours a la grâce qu'il requiert, ne bâtirons jamais aucun camps de concentration, aucune usine de mort ne sortira de leur main agiles car leur structure atomique dépose le bilan de la face de dieu, et irradie ça et la ou foule s'agenouille, c'est a dire bouffe des nouilles a longueurs de journée pour un instant de dérisoire bonheur, ne contenant aucune passion de vaincre le temps, de prendre le temps de vivre au rythme de sa vision, aucune volonté de se transcender puisqu'au contraire tout nous y maintient dans une conformité standard qu'on prend pour son salut et le sens de sa vie resté trop entièrement ininterrogé pour devenir conscient... erreur fatale, s'il faut tilter pour rejouer sans prendre la mesure de la pâte et du blé qui pousse dans les étoiles il naitrons difforment comme des monde grêlés a travers lesquelles naissent d'on ne sait où, tout, dans des sachets de plastiques contenant de l'air aseptisé comme la mort, le dernier carat de mouton de la dose des anesthésistes; engendré du vent, comme par de vaste bulles atmosphérique de gaz rare dont on ignore la composition exacte, ce qui a du moins le mérite de nous faire bouillir et parler, chercher et trouver qu'a ce que l'on chair-che ne correspond que ce que l'on sait ne pas pouvoir comprendre tant que nous le cherchons. Mais comment trouver. On a t-on même le droit, celui de s’arrêter un instant, d'oubli les contrainte de l'ailleurs, et de de laisser sa chaire fondre de consentement quand elle dit oui au monde prit dans l'instant.

 

A vingt milles lieux de toute diplomatie est la certitude entière et féconde du lien sans rapport directe entre les etres spirituels, celle qui est grosse d'une réalité différente, différemment ressentie qui ne croit pas plus aux vertu spirituelle de la peau qu'aux langues de chair chargé de sexualité pour dire la réalité de l'esprit; tout est dans le caractère indirecte du rapport entre les êtres, ce qui est pour moi une manière de résumer Heidegger; et le longs des longs couloirs pas très clair, ou s'isole l'individu quand il prend dialectiquement possession de la chair éprouvant la réception du don de l'existence, se forme l'homme intérieur qui n'est pas plus chair que poisson, mais l'esprit, la conscience, le moi de la vérité accomplie; c'est par elle-même que la passion se corrige en risquant tout, et si elle isole ce n'est pas par mépris ou désamour, mais au contraire par respect de la genèse des intentions indirectes qui évident entre les hommes les voies du scandale de la fusion; la chair pâlie alors, et se dispose a recevoir ce par rapport a quoi l’éclair de son existence est plus bref que tout, en dote éternelle; c'est pour moi évident, mais parfois le simple éclat l’effraie, le divertissement devient alors tout, permanent, consensuel, instinctif, il précède et enterrine tout sans jamais trouver dans la chair accomplissant l'idée d'un être dont elle est toujours possédé, autre chose qu'un bon artisan qui rabote et creuse les sabots des gens dans le corps des forets.... a nouveau se transforme l'instant, tout redevient signifiant. Tout dit la paix et la pense, la papillon la porte et la pense et la créée a chaque instant, qu'il passe comme un ange se fraie une voie au fond du trou, de la perspective de puits artésien sur la spirale de l'esprit qui serre au plus prés la danse de Möbius d'une richesse charnue de ventriloque danseuse du sable sur l'or fin des réflexions qui corrigent le geste, l'irréfléchi perce alors son germe de ciel a l'envers de la neige, et a rebours vient d'abord comme la fin d'un premier soleil éclatant dans la caverne, un œil neuf et transparent, sur le présent sommeil éternellement transparent, des hommes éternellement vides et sanguinaires ou bon a lié puisque voués a la contemplation de dieu, et donc du monde aussi en passant, mais en passant comme un clin d’œil, avant de le rouler au cul des filles, il la vision se penser moins sensible, et une fois devenu plus bête du au moins apprendre a imaginer un monde ou de la beauté pouvait luire aussi dans les gestes plus ou moins osée, c’était comme perdre quelque chose et s’élever.

 

En ce seuil se terrant loin de la raison, inaccessible, l'amante prend conseil de la folie ; et la folie il en faut dans la vie n'est ce pas.. pour devenir conscient.... une décision absolue est prise... on ne saura jamais comment ...mais ce n'est qu'une bouderie qui sort de son boudoir... et qui jamais ne criera a sa mère d’aller faire foutre et voir ailleurs, ainsi qu'a son père, jamais ne reniera son lien avec l'humanité pour dire que l'objet de son amour serait encore le même même si tous les hommes le haïssait ; et dans ce dégoût profond de l'homme occidental baigne en permanence comme dans un bain de violence diffuse, de la forme qu'ils véhiculent, et qui prit isolement est aussi pitoyable qu'en couple, et qui engendre dans les temps moderne, que la forme de nihilisme vécu quotidiennement comme une absence de communauté humaine, une absence de compréhension, un manque d'amour et d'esprit, transformer par le caractère informe des intériorité et personnalités qu'elles expriment dévoile et cache en un tremblement, un sourire qui en un instant se crispe, devient une agression permanente, comme si on venait de lui faire perdre son temps, ou de le lui faire bouffer, et qu'il ait encore du mal a l'avaler pour respirer librement l'air nouveau des originalité infondées, de petits bouts de gras sur la perspective de l'aphorisme du siècle disséqué en segment équilatéraux de ballon rincé a discuter sur le coude au comptoir du troqué avant de s'en revenir coller des timbre pour le reste de la journée sur des plastiques transparent que nous refile le chefs, puisque qu'il est plus important de grandir dans l’intérêt de celui qui vous nourrit, que de le croire moins réel dans sa fonction que le bien le bon et le vrai dans l'acte d’être.

 

L'amante peu a peu se décide, elle décompose elle voie l'histoire dans la fulgurance de l'instant ; la possibilité de renaître femme de la cote d'un homme.

 

Mais ce qu'elle ne voit pas, dans l'arrachement de soi dans la passion pour un autre homme, c'est que ses os saillant sur le drap de riz la n'est alors qu'une apparence dans un lit de chair humaine, une fusion sans aucune distanciation, une indifférence encore possible s’étale au mur convenu de la chambre d’hôtel ; confort standard ; elle y prend conscience de devoir briser sa vie, que son instant de folie qu'elle voudrait être l’éternité ou elle s'inscrit comme la femme de cette côtelettes de porc ou plastique et pectoraux de bœuf, valent mieux, en termes de matrice, que de naître de l'esprit, pour séduire... surtout si on n'a qu'une histoire a raconter pour séduire, toujours la même, celle que tous le monde connaît, qu'on n'a pas soi-même produite, et qui n'a jamais était cru dans les lieu ou se poussent des coudes les fortiches... de la séduction tout cela, laisse tomber le miroir dans le fond des trous de mémoires.

 

Folie : fulgurance de l'instant décapité, ébranché du temps, déconnecté de la continuité du temps c'est pas si sur pourtant puisque elle est belle et bien pourtant un phénomène qui peut durer tout une vie.... menace ou sagesse est la folie ?

 

Demander a l'amante, si sa certitude est une folie ou nom? Elle qui joue toute une eternité contre un soir; ces idées sont si simples, si harmonieuses qu'elles semblent lumineuse comme les poignets de portes de l'autel dont elle ne ressent pas le froids, parce qu'elle posent un problème dialectique auquel répond la sensibilité angoissé en mettant des gants, au lieu de tranché dans le vie de l’intériorité, de dégager des voies en se frayant une voie a travers les nuées, qui une fois coupées au couteaux, organisées au cordeau provoquent des émotions tellement intenses qu'on peut dire qu'elle se sont formé en un être de manière absolu, qu'elle sont la forme d'un être se rapportant a un être absolu, qui ne peut que le créer, et non diplomatiquement, ou démocratiquement, en demandant l'avis du coiffeur de la ville de sa naissance, ou celui de la foule gisant au fond de ces 20 000 lueurs de lego hilare

 

https://www.youtube.com/watch?v=SSbBvKaM6sk

19/02/2015

note

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