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19/02/2015

Note

La musique aux oiseaux !!

Les nuits d'hivers finissent par me lasser... me manque les chant d'oiseau les nuits d'été quand la musique habite leur corps de plume et que les sécheresse du vide couvert de neige a laisser s'est engouffre dans les bourrelet des arbres incarnant sa silhouette de signes plus proche de sa présence...

Timbre

 

La porte au fond de la Mastication tremblait du sol au plafond, déployant de salivaires lampes de pieds qui marchaient dans la lumière des gencives prés du canapé macro évolutif vendu avec l'appart Témoin de la fruition des ruines que la nuit agglomérait sur la langue des postillons; que pouvaient être ces heures, ces riches heures d’accueil et de contemplation du vide ? La leçon de ténèbres dans la bouche des cracheurs de feu, étirait la langue a toute la question, le double vitrage de l'interrogation délimitait alors ce sentiment de synthèses entre l'infini et le fini qui éveille la chair d'un frisson capable d'une conscience qui se nourrissait éternellement des flux célestes de l'instant, puissé a la vacuité du temps quand il tourne rond comme les anneaux symboliques de Saturne dans la source et deviennent flou a cause de la distance de temps qui nous séparent de nous même autant que de l'histoire de la conscience de l'atome de Démocrite a Bohr ; l’égalité entre l’être et le néant; et dans la mesure ou la science a était un vecteur incontestable du développement de notre civilisation, la lumière entre les autres peuples en a été obscurci, surtout dans notre esprit de protecteur de la matière hérité des fondements atomistiques de la science ; de ces premiers balbutiements on entre voit le problème : l’égalité de l’être et du néant, détermine la réalité de la vie clairement conçu et consciente d’elle-même en chacun des actes de son intention ; mais dans notre esprit les choses se détachent, s'autonomisent et prennent vie, forment des réseaux qui assécheront la séve sous la contrainte de l'habitus ; aussi avons nous produit des machines qui nous soutiennent dans notre projet, machines de guerres et de paix, matière a notre représentation, a la proximité bienveillante sur nous même de notre pensée, quand se tait la culpabilité et que la pensée s'habite elle-même sans plus se scandaliser de l’incompréhensible ; alors on se promène entre les berges de la Garonne, entre les villes de différents pays, suivant le fil des pensées et des matières qui sont notre réflexion sur la réalité œuvrant dans toutes les sphères du langage le port qui les arrange toutes, de la première saisie a la dernière évoquée, la présence organique de dieu en l'homme sous la forme du chant ; chair et esprit sont différent ; leur rapport est la musique, l'arrachement attachement du néant a l’être spirituel ; ce rapprochement la est incompréhensible autrement dit il ne cesse de hanté l'homme depuis le début ; au commencement était le verbe qui est encore le même maintenant, et qui a été le même avant toute création, identique au rien de représentation il n’était pas un néant, mais une absence de moi avant que dieu veuille que j'existe, cette absence si proche de la culpabilité déchire l'angoisse première d'une pensée fulgurante qui traverse toute la sensibilité d'un effroi sans lequel rien ne s'acquiert définitivement de la conscience ; sans une entière soumission a la volonté de dieu, il n'y a tout simplement pas de dieu pour toi; ainsi serait apprendre a grandir, faire courir ce sentiment d'humilité devant la sphère de l’être ; car sa réalité ne se discerne pas directement comme si le savoir était directement le reflet de l’être en toi, mais indirectement, comme si le savoir était mon reflet devant l’être, ce présent irreprésentable ; voilà l'imagination a nouveau qui largue les amarres, dés qu'elle entend l'appel du large c'est fini, c'est une faculté qui est pire qu'un chien de chasse a l’arrêt quand elle a jeté ses filets au loin, très loin dans l'oubli de soi, ou viennent a proximités des mains, les flancs de la brûlure du passage du temps, grossir le bouillonnement du discernement des beautés alluviales et des proies qui agitent le cœur de la bête qui enferme dans ses poumons le souffle de la vie qui lasse même les reins de l’habitude, et recouds les gestes comme les mots les griffes d'une phrase; et quand l'intuition, que le sentiment est aussi entièrement ta pensée, la représentation de ce que tu veux vraiment, se redouble dans les tubes digestifs métaphysiquement dés-occultés, en une langue qui repose le sentiment et se faufile entre les erreurs de représentations pour retrouver la droiture de l’éternité, l’être et la substance sans être de la substance échappée de tous les êtres, mais la tienne absolument, quand la différence entre le réel et la pensée s'efface, c'est l'histoire qui devient l'organe de la réflexion insufflant la persévérance la lucidité de la droiture dans ta chaire qui est le sentiment de ta conscience éternelle, incarné, apparue dans le pli de la différence ontologique entre toi et dieu (en un sens on peut dire de tout homme qu'il s'est ramassé la gueule devant dieu, ce qui leur fait a tous un point commun), la chaire est la langage de l'esprit qui se nourri d'information constante et dont l’épiderme est la conscience impondérable de cet êtres qu'on nomme un homme, entièrement miné par une entière subjective objectivité lié a l’indéfectible impression d’être ; elle ne dévoile pas un étant scientifiquement mesurable, mais un réel impondérable qui s'enfonce dans le temps comme en lui-même ; d’où, sur une base spirituellement athématique, purgée de toutes représentation s’élève l'arbre symbolique puissé a l'aune de la sensation réfléchie qui se perd , en elle-même, dans ces règles, ces lois, ces mondes possibles, tant qu'elle ne se donne pas pour tache de détermine l'ordre symbolique, de le mettre en ordre d'informer la distinction entre soi et le pécheur en soi, d'informer ainsi le développement des organes par la langue de la transmission de la différence qualitative entre les sphères d'existence de distinguer de la présence en nous de notre mort, celle de dieu, et en ressentir non pas toute la plénitude, mais tout l'effroi celui de soi dans le désespoir dont il faut guérir. La est le ton fondamental, l'estampille de l’ouvrier sur l'anneau d'or, le bruit du poinçon arrachant a indétermination, une forme souveraine, c'est la chair, c'est l'arrachement lui-même, l'entre deux , l'instant ou l'apeiron prend vie et forme, quand par exemple, un malheur survient dans ta vie, dans le roman de ta vie, c'est la coquille dans le textes, la faute d'orthographes de trop qui rend le

texte insupportable a notre sentiment apaisé de confiance dans un savoir auquel on a peut-être, trop tôt vendu son âme, et qui éclate comme un furoncle en plein cœur de la joie, la sape intérieurement, jusqu'à ce que plus rien n'en rechape, et qu'alors il n'y ait plus qu'a entendre le vent s'enfuir entre les barraquements de la fin; comme le faisait ces banqueteur des rues qui la nuit sur les ponts vivent entre les poubelles des mégapoles, leur seul repére dans la vie, et tout ce qui va avec, a écoutait souvent chanter le souffles barbare des rues qui s'echappe de la cité ; la delestant de toute une mer de giration dans les profondeur de ces concepts en concert, fourré les trou de matiere, la matiere d'ombre ou encore un peu de lumiere brille encore, et en tater le pouls, et puis, et puis putain, penche ta tete d'un coup hors du trou, comme pour renaitre, et pencher la tete par le hublot et prendre un peu l'air du verre soufllé en aspirant profondement, pendant qu'on s'eleve

oliquement je ne represente comme ma mort

c'est une vraie confrerie de tapissier de verre qui deroule alors leur double visage prisonnier de mouches, au vitrage empoissonné de crottes de d'abeilles qui persillent la vue de la presence amigue sur elle-meme, a travers la realité de la souffrance, j'atteinds la presence de ce que symbmorts comme rencontre avec le mur, et de la vie dont la racine est l'espoir qui perce les murs d'un paysage symbolique ouvrant suffisement sur l'exterieur pour quy'on puisse d'un coup toute notre exitence de la presence de la mort que tout, alors represente ; au fleuve tous les reproches a la vie furent jeté, et on s'en debarrassait s'en en eprouver de remord, autre que celui de ne l'avoir pas fait avant ; avec cette rue, ce souvenir, partout un reproche tombe et disqualifie le sens de la realité, pour ne pas le percevoir ; insupportablement delavé, dillué, sans teinte, toujours dans le flanel, ut-etre inquietante ou horrible, insupportable, comme ce regard de colere jeté sur tout ce qui nous entoure et le bris battement premier de la conflagration spirituel de tout commencement dans l'existence ; apprendre a y pousser comme une plante en pleine jungle, deployer son ecussons d'aciers jusqu'au dalle du temple de encore l'atre inobservé, et qui git derriere les cheveux blond de tous ces feux follet, tel ce jeune homme, par exemple, avec ses longs cheveux châtains et sa mine impertinente de poeme conscient de n'etre pas poéte.

CQFD

Les distances sont relatives a la richesse de notre réflexion relative a l'etre auquel nous nous rapportaons et distinguons ; richesse variable selon le contenue attacher a l'enrgie propre a évider tout le noyau du rien au bout de l'intuition qui tate du bicepts de la chair fraîche de vide pour donner forme au devellopement de son propre vide interieur, qui se deploient dans le sens de la vie, et du bonheur de ses boucles longues comme la pharse preferée d'un auteur savourant pour nous toute la situation distribuant lidentité de la joie a travers les symboles d'arbre de pierre de feuille, persillant de signifiants l'intuition de la langue, melant l'expreesion personnelle et objective, selon des degres variant entre la lame des ciseau, le caillassage des bijoux par les chevaux.

La societe du symbole meurt des qu'elle n'a plus de Dieu ou nourrir sa representation, elle tourne en rond dans les ennoncés vide de toute pensée eternelle.

 

L'imagination n'est pas une faculkté qui alimente les officine publicitaire, mais la dimension de toutes les autres facultés de l'homme, la faculté premiere de la representation, son premier et instinctif mode de fonctionnement pour dicserner ce qui est réel de ce qui est ajouté par les limites de nos representation ; le monde inconnu n'est pas mort avec la fin des terre incognita inscrits sur les planisphere, mais s'acheve avec Christophe Colomb comme un moment dans la vie passionné de l'imagination ; l’efficacité est alors devenu en soi un critère et un signe de réalité vraie ; mais par ce mystère nous n'avons forgés que des usines a plagier, des villes concentrationnaire ou chacun s'enferme et vit seul avec sa honte, en compagnie de sa mort, du pécheur indistinct qu'il est encore a lui-même ; c’était presque comme un déluge de pénitence qu'avait apporté le nivellement et la mondialisation. La maitrise est la mort de l'imagination, la mort du réel ou toujours quelque chose vibre auquel nous n'avions pas penser... la mort de la vie n'est pas une abstraction, c'est une realité physique et pshique qui peut etre eprouver comme un non-etre qui est, qui est devenu physique ; comment il en est arrivé là ? Personne ne le sait et aucun homme ne peut le dire ; voilà les bornes réelle du langage, les bornes de la distinction du bien et du mal quand elle ne reposent encore sur aucun savoir et laisse les piliers du temples reposer au neant de l'indifference mentale qui s'engendre, ou veut s'engendrer comme une realité eternelle de l'esprit.

 

Les ordi sont en train de devenir des soutiens sensible a nos maigres forces, qui vont s'épuisant, leur performance sont devenues tellement puissante qu'on oubli en les utilisant combien leur contrainte depasse nos simple forces, et les formes a elle-meme cependant sans les denaturées ou nous reduire a la simple marque de leur joug. En tout cas je sais que la puissance de calcul de mon ordinateur depasse l'acte de sa perception complete possible, et fait de l'ordinaiteur un instument sensible, qui œuvre comme un outil complex capable de l'informé lui-meme , donc d'accomplir quelque chose qui ressemble a un acte de langage pour nous, et ainsi en fait un outil qui sort de la categroei des outils simple prolongement du corps, sans l'elever au rang de personne, alors qu'il possede une certaine autonomie.

 

Les écrivains s’entourent d'animaux domestique ou fantastique, qui tournent en rond la dépollution des fixités encore pourvue en l’atmosphère, l'animal laisse s’échapper des graisses de l’économie de l'intention, le goût naturel du projet ; l’être au naturel est effrayant ; le voir en terme de plan quinquennal marxiste, faire encore des boucles sur les valises, empaqueter le soucis dans son système c'est ne pas faire confiance ; en terme de graisses la brûlure de la mèche dont s’éclaire la lampe dure plus que cette vie, comme elle peut s'en apercevoir par elle-même, quand la visite est guidé par jésus-christ Super-Star ; s'il voulaient brouiller un peu plus les cartes, pour mettre de la distance eternelle de soi ce qui est crée, il avait créait l'ours l'hyppocppamte et les etoiles, avant de les abatre sur le clavier, de la touche sensible a son eternité, quand donc l'homme fut crée, il eté disposé dans l’ordre de leur avoir ete qui complete leur disparition, d'une pensée réfugiée auprès de leur être, comme ce chien qui tourne en rond au pieds de son maitre, n'est pas moins un de ses tourbillon cartesiens que les ameriques ont red.. un œil dans le bouillon, qui fait monter dans la transpiration des sueur froide ou les salles d'acclimatation cinématiques sont a la fois déchiré et sans faille, imbriqués en elles-mêmes, selon la durée des salles de muscu des membres de la trajectoire tragique des artefacts aux chiottes de la coloc et qui se redresse en confrérie sortant des eaux du témoignage comme aphrodite étiquetée canard WC, paupiettes vertes siliconée et produits par nos soins de la merde en nous qu'on trimbale comme de la viande avarié dans les cales du vaisseau en permanence chahuté par la tentation de renoncer a la contemplation du ciel, a ne voir que la terre de malheur, ou de beauté. Pas le quatre temps seulement, le binaire, le ternaire, mais la cadence idoine au tour d’écrou dans le verre troublé a tout instant : la mesure d'un être c'est sa voix.

 

18/02/2015

Haka

Son corps mâché par la langue dissimule l'usage infini de moyens finis de le savoir ; cette chair en tiraillement hanté par la rotation et le grincements des ressorts, forme une donnée non assimilable par l'organe qui la perçoit sous forme de notion dont on aura trop vite tendance a préjuger faussement de l'inanité, alors que la raison pour laquelle le fait d’être nous échappe, n'est pas un manque ontologique quelconque, mais une richesse débordante qui nous attend, et dont nous ne saurions percevoir en entier et d'un seul coup le vaste champs, tant l’élasticité irréductible du fibrome existentiel se tend comme un vieux string aux balloches des cieux en pentagramme de plume indienne entre les branches d'un totem ouvert comme un diaphragme a l'entrée d'une notion première, originale sensation, de la définition d'un être présent, composé d'amour c'est a dire d'une grammaire musicale innée; une source coule auprès de laquelle toutes les bêtes accourent pour faire exister dans leur poils roux sentant le fumet et les plumes d’écorce fleurant la terre, l'oubli des termes liquéfiés de l'existence; naissance et mort disparaissent auprès de son chant; ce fleuve limpide comme une ampoule qui roule sur elle-même, s'effondre et se recompose dans ces ombres même en quelque chose de milles fois plus merveilleux, un être sauvagement naturel l'habite comme de la musique, qui accepte les conclusions prodigieuses de la langue donnant le fait d’être a percevoir.

 

Trois îles au loin portées par une langue d'eau et sous le ciel, la projection astrale de nos fibres de bois entre lesquelles poussent des rangées de signes, et d’alcôves de marbre retenant la mer, grise et presque disparue, mangée par la lune qui pleure des buis en pyramides sans poids flottant sur un tapis de velours herbeux comme la plus dense concentrations des énergiques domesticité de la douceur.