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06/02/2015

Descendre l'enfant

 

Et que leurs larmes et leurs cris montent par le vide au aspiration du paradis recevoir les couleurs de la respiration et l’épaisseur de vue de l’éternel transparence des densités a la palpitation du cœur le plus haut et saint qu'ils étaient en eux d’être, et que des hommes ont décidé qu'elles ne seraient pas devant dieu; une extase qui jamais ne saisira aucun de ces barbares qui prétendent la dérober de force... peut-être aussi, sont ils contre l'avortement... mais ce cri, ces larmes ces folles lamentations de ces pauvres êtres jetés au pieds de l'insensé je vais me les injecter directement dans la glande pinéale pour bien faire déglutir la peinture du scorbut que me perfusait le portrait de Dorian gray... et sortir abimé de la représentation, du spectacle de la légèreté avec laquelle le monde civilisé accueille ce qu'il y a de plus extrême dans l'horreur et les délices de la barbarie... d'ailleurs c'est bien simple , ma voisine plus c'est affreux plus elle se baffre... mais elle reconnaît aussi, qu'il n'y a vraiment que les anorexiques qui soient capable de palper toute la densité de l'horreur que nous autres pauvres âmes étriquées aux apparences valeureuses, essayons d'oublier dans de vaines occupations... elle est sympa ma voisine... l'essentiel est ailleurs qu'elle dit quand elle parle de ce monde ou les liens sont défaillant entre les hommes ; il est là ce cri effroyable de l'enfant, brisant comme un diamant, une statuaire maya sans pareil, un égarement lucide dans les confins les plus torturant de la folie et du doute religieux ultime ou le sens dernier de la réalité se retire et nous quitte en nous noyant en lui. Seront ils vendu comme des sacs d'angoisse a coté des sac de farine sur le marché aux esclaves de Mossoul ? Ou bien torturé parce qu'il enfreignent les lois impossible a comprendre pour eux, tant elles sont difficile a suivre même aux plus sage et aux plus vieux du village. Celui la justement dont l'enfant gardera mémoire intacte au fond de son tourment, plus qu'une mémoire même, une présence qui croîtra a mesure que son monde s'effondre irrémédiablement ; les rides de son visage qui le fascinait quand il le voyait prier dans son jardin, après avoir bécher tous le jours pour la beauté de sa femme, (c'est du moins le souvenir que s'en était fait l'enfant) lui reviennent d’au-delà de la mémoire, comme des expression de compassion, de dévouement secret a un mystère, que marquait pour l'enfant, les plis de la suprême bonté de ceux qui attente le meilleur des êtres ; roulé palpé par le temps, son visage de vieil afghan brûlé par la terre mauve des champs, la peau tanné par le désert, lui faisait des joues creuse comme la trace d'un sabot ou le vent des cols respirait encore un air glacé rependant le parfum limpide des montagnes ; ce visage là, ce visage frère ne cachait certes pas une pierre, mais un cœur de chair et des os pour le servir!! Et ce qu'il ne pouvait voir de l’extérieur, maintenant que toutes les apparences avaient disparue, luisait devant ses yeux a l’intérieur de son drame; aussi les bourreaux, qui avaient deviné en lui une relâche d'attention a leur ordre, lui laissaient peu de temps pour s’échapper dans cet ailleurs, et le battaient constamment.

 

05/02/2015

Clos-ex

Ainsi je soutins pétrifié l’étincelle des colonnes entre les doigts du péché de la conscience qui prenait racine et vie en toute chose, l'occasion d’être d'abord et avant tout un événement pour moi-même qui explosait comme une bonbonne de gaz ; a voir les mailles qui se rapprochaient de la surface liquide du son, mon karma avait finit par cesser de battre et de se refléter dans l'univers, j’étais si pale en pleine lumière que son visage était celui de mon univers maintenant; un linge mité et perméable a la lumière instable, comme le vent, un ocarina crane de la satiété avide d’elle-même mais posé, oublié sur une roche; après un atterrissage désorienté dans la houle et le sable, sortant de la coquille d'un crabe blanc tombé nu du ventre ciel en plein champs magnétique de dilatation de l'être et de grossesse d'entendement, espace et temps de la transe mission apparurent sur mon écran d'ordinateur sous la forme d'un message du Major Tom call cyber land, and deep space of darkness sound's saoul ; sand's saoul, les sables wirklicht du temps vibrant autour du faune dansant sur les aigle battement sonnant, comme une membrane de peau tambour éclaboussée d'un atome détendu par les chemins du souffle conscient, par les voies de transhumance remontant du caveau des confusions, a la terre des souffrances autour du totem de joie; des traces de danses dans leur yeux, pagne et chasse mouche en crin de soie rouge sang; le feu alors offrait son ballet, ici, le spectacle ne dure qu'un instant, celui de l'oubli de la transe des corps permanents, et puis retour immédiat a la transe des ectoplasmes en sueur recouvert de poussière, qui invoquaient l'esprit des lettres, appelaient la pluie ou le beau temps non-tracé du futur en faisant moult geste qu'aucune pratique ne pouvait intrinsèquement justifier tant ils était nouveaux, comme le déhanché de l’éclaireur sur le bout de piste invisible de l'inconnu ; le geste nouveau, caressait le tatouage des bêtes sur le totem comme un pelage représenté par le carrousel de l’âme détachée c'est a dire reliée a elle-même spirituellement, verbalement, en pensée, et a travers les choses et les événement, sans être écraser ni emmuré en eux, ainsi que le chant qui élève la trame de l'instant au grain du grand soir de la lucidité spirituelle, la pincée pauvre de sel du verbe imparfait, aux armoires étoilées de la langue, les nuits de pleine lune, ou le feu rougeoyait comme une phrase inscrite sur le mur ocre et sombre des longues falaise d'appalaches ; on y dansait ombres contre jambes, des nuits entières, jusqu'à ce que le vert des prairies luxuriantes redescende du ciel, et apparaisse ce qu'il était dans la main du grand Manitou comme un mot au cœur de l’éternité, une danse intérieure avec les étoile sur de noires sentiers; parfois l'esprit venait en comme un lion, parfois comme un aigle rodant très haut sans jamais s'approcher, mais quand nous dansions autour du totem, a chaque fois il venait tendrement soulever mes pieds nu pris au piège dans les mâchoires du péché, de la conception de mon malheur, et m'en arracher, m'emportait dans le vertige si grand qu'il en devenait immobile comme une omni plaine de printemps verdoyante et fleuri; l'esprit venait me prendre et me déposer doucement, la ou tout débute par le mouvement de l'immobile, quand tout en moi se détache et se recompose autrement en donnant sens au malheur; au commencement de la fiction, le papillon et le bison, ont les mêmes ailes invisibles qu'a Lascaux, manifestent le même pouvoir adamique prenant conscience de son vertige et de son achèvement dans la suspension ou la statutaire s’érige en Europe pendant ce temps comme un symbole permanent de ces distorsions qu’Ulysse soutins de son regard pétrifié, jeté sur la chimère, soutins, c'est a dire qu'il conserva écarquillé l'attention sur la flamme de sa vie entre les paupières du péché, et les créatures fantastiques qui s'agglomèrent en légion sous ses vantaux immatériels du béton des peur vampirisant entièrement la vérité de la vie de ceux qui les contemplent sans croire qu'ils se font eux-mêmes une ponction lombaire; la conscience de l'erreur est l'histoire véritable des progrès de la pensée et de la philosophie, mais le point véritable de toute histoire humaine, le commencement, comme l’achèvement, de toute histoire est le miracle, l'Instant paradoxal de la conscience perdue, l'instant totem ou les motifs prennent vie indépendante du solipsisme pourtant conscient de lui-même ; au terme, l'effacement de toute cruauté, la parfaite bonté de la parfaite charité, l’équilibre parfait dans l’échange fait chaire dont l'esprit dégagé de sa gangue était taillée a mesure d'homme comme il était aussi écrit un peu plus loin d'ici, sur les pierres tombales des premiers : l'homme est l'avenir de l’éternité sur terre, quand l'amant du malheur, meurt en sacrifiant toute forme convenu a son bonheur, et que la joie le cueille l'arrache a son irrémédiable abattement, l’extirpe du sang vicié par le chagrin qui fausse a priori toute pensée, mais sans laquelle non plus aucun mot sincère n'aura jamais aucun accent de vérité ; et puis merde, il largue les amarres du calcul qui le retiens dans les filets les plus asséchés de la manne, il quitte les sentier du malheur, qui s'affecte elle-même, se vide comme une boule de ronce que le vent emporte brûler au désert.

 https://www.youtube.com/watch?v=HNuSD49chY8

 

 

Pur contraste de la passion, dans la langue rapportée des lumières ou les lettres sont mise au pied de l'amour picotant son pain dur....

 

https://www.youtube.com/watch?v=15WDBuvovXo

 

03/02/2015

h et cristal

Le roman théologique de l'intuition est un étrange livre qui ensorcelle comme le serpent le premier regard jeté sur la terre qui nous plonge dans la confusion d’où nous devrons extraite une lumière de l'intelligence venu du discernement propre a la culpabilité qui relie dans la douleur la personnalité; la culpabilité précipite a l'action a partir du verbe, cristallise le verbe en action; son mode est celui de la pleine conscience éternelle entièrement refoulé par elle-même, comme si sa transparence réelle devait s'assurer de l'origine immatérielle de l’éthique et de la conscience emmêlée de réflexion et passion entortillés aux branche du temps, avec lesquelles cependant, elle se confondent parfois quand le chant d'un oiseau indiscernable l'appel et fait lever la tête, et le corps se transformer exotiquement en perspective qu'on a devant soi, plaine de pierres et de mousse oranges comme de la paille, ou foret nues de croches détachées de l’éponge ; avant de les voir emmêlés ceux qui les jugent puéril, ennuyeuse ou peu snob, devraient bien mesurer le potentiel d’hystérie que contient un seul flocon de neige murmurant que la concordance des branches dans les plans séquences faisait du bien comme un baume régénérant, une liqueur intacte de l’éternel exquises, surtout quand lui-même sonnait lamentablement, et qu'alors racine et branche ont pour lui ce langage des signes, ou le printemps passe la tête a travers des terre dévastées, le germe entretenue et conservé dans leur racine invisible dont j'ignore le nom mais que j'ai devant moi, la confusion des plans de la réflexion nourrissait la sensation qui émanait d'eux, le fonte du mental transformé en sensation, apportait a chacun brin d'herbe, une manière concrète de ressentir la paix de dieu par la nature, lorsqu’elle résonne comme une unité perdue, dans l'accusation porté contre soi, alors toute la confusion du monde se retourne en nous en grâce qui redonne le sens du lien et de l'unité, en nous faisant grâce de sa compréhension.

 

Une langue qui conçoit l’avenir n'est pas une langue qui fait des projets mais qui perçoit le présent infiniment, le ressent non comme une opacité mais une clairvoyance ; car pour elle l'avenir n'est pas un temps qui n'est pas encore, mais qui sera toujours le pas encore de l’éternité ; l'avenir est la présence même de l’éternité dans le temps.