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23/02/2015

Argentique

Des racines de la lune tombent des gouttes de collyre enflammé sur la surface de l'œil. Des champs de langues neuves percent entre des geysers d'azotes aux enveloppes diluées de charogne naufragées et avides; entre deux transitions électronique le soma de la membrane solide nous tourne un peu la tête dans les rouleaux interstellaire entre lesquelles Montaigne encore s'enroule, se peint, se déforme et se déforme, se déploie selon la perception plastique que le cœur a de son tendre bien; et tend une peau entre des niveaux d'énergie qui ramène a soi, l’âme offerte aux différentes épingles du liège entomologiste le produisant comme une raie d'émission de lumière frottant les écailles du soleil sur les ailes des papillons; le regard du sage toujours erre plus ou moins, le long des quais ravagés de la collision du transfert ou il s’achète un cœur chez le boucher qui le lui vend dans du papier blanc sulfurisé imprimé rouge et bleue d'un coté seulement, comme s'il avait confondu jusqu'alors, l'avenir et le passé tout collé de foutre et de nébuleuse pondeuse de voie actée; le sage toujours plus ou moins, a chaque instant, offre au temps la possibilité de sa richesse, se fait muet, et se décompose entièrement dans la projection du nouveau qui a tout le moins lui donnera l'impression de passer a travers les apparences d’être plus et autre chose qu'une image socialement régulée et soumise aux lois des montreurs de marionnette ; mais l'image il la cherchera longtemps, en multipliant in vivo et in situ les dissection entre deux corps de son état avancé dans la photocomposition des horaires de provenance sur les cartes du ciel et les debriefing de l'aviation dont il ne reste plus que les tracé dans l'almanach du peyotl qui a germé a l'intérieur du globe oculaire entre la panique et Panurge prit au rets des pinces du scorpion d’Orion ; ça pince toujours un peu le réel quand c'est vrai, il n'y a que l'illusion qui soit au fond en soi la matière propre de l’indifférence décharnée, se dit on en plantant phallus en terre comme un gland extrait du saint prépuce décalotté par le renoncement ; on ne sort pas des apparences, sinon sans rien dire et en silence ; mon cœur est comme de la lumière, un différentiel d’énergie sans matière, une mole dressé comme une vague qui tâte les aspérités de sa propre éclosion dans la coquille des contrastes indiquant la direction.

 

Entre

 

L'année sidérale de Vénus est de 225 jours terrestre, et sa vitesse est de 35 km/s, ce qui ramené a la vitesse de la lumière nous donne un taux de compression assez bien balancé entre la prémisse et la conclusion, pour que l’écart spirituel entre les deux dépressions prenne l'apparence d'une chair, d'abord flou et indéterminé, que l'esprit investira peu a peu, en se trahissant, et qu'il finira par devenir comme oubli de lui-même, a moins que la violence de la mesure de notre ignorance ne vienne a nouveau le frapper et secouer tout son crédit dans la connaissance, et qu'il ne se réveille le bec dans le vase au long col aussi sinueux que l'amazone vision d'un fleuve de méthane parcourant la surface de Pluton, avant de se jeter dans une véritable mer d’hydrocarbures alimentée par d’autres rivières plus petites sisent en contre-bas d'une foret d’hibiscus géants, ou la pierre des temple maya lutte amoureusement contre de large nénuphars blancs.

 

Le corps n'a au fond de rythme que quand il devient un organe c'est a dire chair sensible, ou encore, plus finement perçue, une pensée... pas forcement phallique (toute présence n'est pas d'imposition ou de fusion, l'essentiel ici comme ailleurs est entre les deux, une mer de variantes aux infinies possibilités), ce peut aussi être entièrement vibrant en soi, chair identique a la parole, et encore être présent sans rien lâcher ni de l’être ni de sa vérité. Toute l'histoire du savoir est incapable de prouver l'existence d'aucun être... nous l'avons oublié, peut-être, mis au rebus avec la question de l’être qui nous décrit pourtant cette situation vibratoire de la vérité de la chair prise ou non dans les onde d'outillages... mais dans nos fables et dans nos contes vibrent encore son energie, ainsi que son espace et ses limites, propre a l'imagination infinie qui tremble sans rien pouvoir rien dire de la réalité de l’être par lequel elle chante... la peau est peut-être ce qu'il y a de plus profond en l'homme, si on veut bien dire aussi et entendre ce que cela comporte comme effondrement du savoir, que l'esprit est la source de toute chaire... l'esprit de l'ironie était déjà l'entre deux que l'atopotatique crucifié évidera de toute son effective richesse et réalité, du corps comme chair et parole, expression vraie de l’attachement de dieu a la vérité, solide comme la chair qui seul peut l'exprimer. Des peintres ont ils exprimer cela ? Je ne sais pas ? Peut-être que toute l'histoire de la peinture n'est aussi qu'un oubli du point de départ métaphysique de la chair comme expression de ce qui est vrai pour Dieu.

Mais le seuil entre Vénus et Pluton, ne suffit pas pour sortir de la passe; il faut franchir le seuil de toutes les planetes ensemble, le jour ou ton ciel astrologique se brise et que les planetes fondent sur la terre, s'ecrase dans ton jardin, retourne ta piscine qui te submerge et te noie ... l'extreme douleur ou tu demande a dieu de pouvoir un instant, sur une racine quelconque de ta conscience sentir un apaisement, non moins que cela, une toute petite indifférence, un confettis d’insensibilité qui te donnerais un bref instant de repos, et pourquoi pas un coin d’appuis pour le sommeil... il faut bien se rendre compte de quoi on parle... l'esprit c'est mobie dick c'est la pieuvre géante et invisible qui git sous la peau et qui parfois transparait a travers les apparences univoquement opaques et thématisées pour rendre possible de contrôler et de diriger les flux de consciences vers des énergies moins puissantes... l'esprit créant la chair est l'acte absolu, le point final de la création, la ou se rejoignent tous les fils de lumières passant a travers le trou de la serrures pour découvrir le secret du Père gravé au dos de son alliance.

Les choses, les choses du mondes, sont une objectivation des amas confus qui se promènent dans le sang de la vision. Mais ce champs de la vision il faut l'acheter au prix d'une destruction interne de l'indicible en nous qui seul peut faire que dieu s’incarne en rendant l'esprit vivant ,agité comme une pieuvre, un monstre de religiosité capable ouvrant les abimes d’où il surgit intérieurement pour tout absorber, tout engloutir, livrer a un être infiniment plus fort que nous, dont le pouvoir de créer est inconcevable malgré toute nos connaissances techniques... cet être la est déjà la chair de tout homme... au mieux l'art en redonne t-il une impression.

 

21/02/2015

Al localisation

Une cascade de granit roux tombe sur des êtres éteins qui manipulent des forces nucléaire dans leur smart-phone capable d'engendrées des sensations brouillonnes; leur perception d'eux même est brouillonne, diffuse dans la masse média et les familles rompues, ils ont le sentiment de vivre a-socialement, c'est a dire sans les autres et contre eux, c'est a dire sans règles, livrés a l'information sapée de l'angoisse qui les assaillent et les menace sans arrêt de la ruine du sens et de l’éternel assomption de la confusion, ce flux qui tend a se substituer au monde et a eux ; étrange créature du lac noir, étrange typhon d'angoisse, pieuvre métastasée pour le coup que cette masse media, ce réseau permanent d'information ou le sens de l’être a le même poids d'un rhizome a l'autre, et qu'un nageur doit remonter avec d'autre informations que les leur s'il ne veut pas se perdre dans leur source spéculaire et gnostique mondaine et angoissé ; toutes les cinq secondes il photographie l'endroit ou il se trouve, et le publie sur internet comme une donné qui doit circuler dans le maelstrom de la fontaine ou les amants jetés des pièces de leur vœux ; capter, se prendre en photo est un peu comme le geste du singe essayant d'imiter la conscience ; capter c'est éradiquer l'univers, sa présence physique, la devant moi, réduite en un instant a un ensemble de données circulant dans un flux d'information; les pieds dans la pensée remontera jusqu'au cœur; on dirait qu'elle voyage a travers les nuages de poussière de la dernière résistance du sacré devenu inconsistance moderne ; ils ont a chaque instant de leur vie aucune lecture paradoxale de leur extase, et même s'ils se contorsionnent dans tous les sens, ils n'ont au mieux d’eux-mêmes que l'image d'un être ayant du mal a joindre les deux bout de la vérité, pensée et être en un dernier paradoxe qui rendrait les douleur et les joies signifiantes ; desormais on s'eclaire au smart-phone, on se donne l'impression de la surpuissance de l'eternité en realisant des qu'on le veut, la combinaison eitenienne de la conversion de l'or en argent, en tranformant un flux d'information en rayon lumineux ; ce n'est au fond que le rêves, ou la prémonition de l'humanité fleurissant autour des comics américaïn des années soixante ; le voyageur intersidéré use du micro qui le relie a sa base, peut-être plus joignable, comme d'une lampe pour éclairer quelques ombres menaçantes au fond d'un astéroïde ou il est tombé ; puis , l'instant d’après, comme si tout était perdu, oubli tout la situation, et se fait un selfee ; tous sur ces portraits ont des airs d'hygiéniste du sentiment cachés derrière les planètes les plus proches de leur systèmes métriques d'enjambée des concepts les ramenant de leurs pensées perdues a leur être présent; faut dire qu'il n'y a plus d'institutions pour les protéger de la foule ; par ou ils doivent passer, pour former leur propre densité atmosphérique face a l’énorme gravité de la densité moyenne de la conscience de demain qui jongle du bout des doigts avec des fils des réseau; finit les bâtisseurs d'horloge aux cadre impeccable, leur bois a pourrie au fond du lac d'information ingérable qui ont déferlait sur le monde comme un déluge au balanciers géant capable d'effondrer la limite des gaz, et de faire du brouillon une forme de clarté et de lucidité adapté a la nouvelle composition du gaz existentiel en permanence hypersaturé d'information, de sensationnel, fini donc, d’élever les hommes dans des arches de pierre et de marbre sculpté, finit, les escaliers labyrinthiques qui montent jusqu'au front des vagues, et descendent dans les écumes vers les coquilles de mer, et se rejoignent, en d'impossible bouche ne pouvant formuler l’œuvre de dieu et de sa transfiguration des nuées en un univers cohérent ; faut dire qu'au fond du trou y'a le chat de Schrödinger, le dernier né des mort éclats du paradoxe découvert en creusant a même la cet que ce n'est pas rien d'avoir donner physiquement une telle représentation de l'angoisse ; finit Mercure et son message fendant l'air plus rapidement que la pensée, finit cupidon et ses flèches ensanglantées, le palais des cieux n'est plus qu'un orage qui raisonne ; le temps est chacun de leur univers est un tourbillon d'image qu'il transporte physiquement collé a l'oreille ; leur extases prennent des formes inusité, tellement originales qu'elle en défit toutes les descriptions même les plus baroque de l'anthropologie; leur réalité est sans arrêt sur la brèche, tordue, contorsionné, a chaque instant prise dans un mouvement qu'on ne dirait appartenir a aucun geste identifiable et sensé ; toujours en crise, plus ou moins proche de l’hystérie ; ils sont enrobés de couleurs comme des smarties fondant ; ont ils enfoui dans leur I_Phone leur secret ? Ils n'enfouissent rien, ne cherchent pas non plus, le trésors dans le pré, chacun de leur geste n'exprime déjà plus qu'une intention a laquelle ils ont renoncé des le commencement.