Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/11/2015

Vide viande

Saul Leiter,,,.jpg

saul leiter

 


L’étain de ses yeux souffrait du noir complet, du manque de transport dans le scintillement, par les ficelles de platanes lestées de grilles et de pavées mal agencés ; le goudron se laissait plus difficilement traduire en mousse ; il figurait plus aisément, le ciel la profondeur sombre du champs a apriorique du scintillement, la nuit ou l’ouïe naquit aussi, hantée par le silence de la royauté, qui avait rendu fou les explorateurs du Mens précédent; l'impossibilité organique de concevoir le néant, prouvait par toute la robinetterie que la chair abrite une intention qui la transcende ; le pape descend dans les banlieues du monde, pour le rappeler, et l’européen l'accompagne les yeux rivés sur l’assiette, dans l'horizon de la bouteille de vin, envahit par l'idée que sans lui, tous ces peuples différents pourrait l'envahir et le manger; et sa peur échoue dans le songe, ou au terme des premiers millénaires de la langue, la voie avait finie par tracer, puis creuser de son souffle, du souffle de chaque altération dans le néant l'image sans image de la paix admirable et sublime ; le chuchotement immuable avait sculpté le monde ; le souffle de l’articulation sifflait, encore la rengaine conçue de la présence incréée, perçue éternellement renouvelée et accompli a chaque instant ou en esprit nous désirons la paix durable en elle-même; un sentiment d'infinie sécurité se répandrait il encore en nous comme une effervescence noétique qui s’étend par les nerfs jusqu'au ciel des pulsions, si, a ouvrir les vannes de la jouissance a l'ombre des lézards balistiques ne fuyaient devant eux les périodes de l'insouciance parfaite ? Livide elle se retournait, et son corps nu suant, ne parvenait a arracher au ciel que le timbre mort des décolorations propres aux muettes souffrances que charriaient ses veines bleues. Comme un petit animal. Son sang de nuit reprenait vie et couleurs , par les teintes très dynamiques et subjectives de sa douleur broyée ; elle traversait l'arc en ciel du vœux jusqu'à la première sphère habitée, et rencontrait l'intention d'amour, en personne, se renommait après avoir jeûné du baptême pendant trois jours, du nom de la matière la lionne première dont le rugissement reflétait, la présence cachée du lac de la tranquillité, d’où l'observait le créateur et poète concepteur du ciel dur comme la roche d'un rêve qu'elle foulait. Il ne faut pas moins que l'expression débridée de toute conscience, détachée de toute pensée pour que les actes de pure brutalité sadique parviennent a briser un rêve, car chaque homme est la densité de son rêve.

29/11/2015

Bien étant mue

nicola samorì,.jpg

nicola samorì

  L'acte de civilisation s'effondre avec les tours jumelles quand elles rencontrent le cercle de l'autre, glissent et s'embrassent comme une stèle élevée a maurras ou hussein que la démocratie renverse par son flux mol et lent mais inexorablement destructeur de lui-même, risqué et conscient des fins voulues et des dangers, s'il n'est constamment régénéré par d'autre penseur religieux de la démocratie des origines grecques de la vie sociale de la foi chrétienne de l'individu qui était l'élément manquant, rien ne s'accorde mieux que ces deux formes politique et ontologique incompatibles directement, autant que foi et raison, religion et laïcité, de l’être conscient d'exister capable de se distinguer du plan créateur et de se situer dans un monde plein de sens; le souffle éteint des bras du sculpteur revit dans l'airain auquel il ne se confond pas, a moins de d’anéantir des faculté la consciente, d'effacer toute trace de son suicide spirituel, et d’ébranler le discernement par quelque catastrophique trou noir mêlant entre elles tous les repères, sémantique liée a l’émergence d'une conscience du devenir d'un être, alternant entre moment abstrait, opposition a lui-même et sublimation; il n'y a pas de France mystique, de nationalisme de la rédemption, et tout immixtion des deux ordres n'est qu'une fraude de la raison et de la foi qui nécessite cette opposition ; la réduire revient a jouer un match de foot en supprimant le terrain entre les cages ; c'est faire sauter le gond de l’ambiguïté phénoménale des événements sur lesquelles chacun peut lire a la fois le général et l'individuel sans les confondre forcement ; quelques jours, avant sa mort, Soren distribuait dans les rues de Copenhague des pamphlets très virulent contre l’église d’état ; il n'achevait pas seulement de dilapider en frais d’édition l’héritage paternel, il mettait un point finale a son œuvre en enfonçons la lame de l'intellection dans la faille du discernement ironique par lequel elle avait débute, et sans lequel l'incommensurabilité des ordres de l’intériorité et de l’extériorité n'est plus respecter ; bien sur il n'eut pas le temps de consigner ces événements dans le point de vue sur son œuvre, ou apparaissaient sa collaboration avec la providence ; mais le fait est là, de son premier ouvrage s’était dégager la substance finale du dernier acte de sa vie ; ses reproches visent tous les mariages intempestifs de l’éternel et du temporel ; ils rappellent que l'anthropologie repose sur une métaphysique qui joue l’élucidation du sens de l’être dans les décisions prises par ces contemporains qui voudraient se laisser porter par l’histoire sur une barque des sciences qui n'existe pas puisqu'ils suivent, selon leur cœur et la langue qui le comprend, les pentes de la relecture prochaine du ressouvenir qui n'est pas encore et offre a chaque génération coincée dans les antinomies les affres obscure et sourd de l'angoisse comme matière a subvertir en joie de l’espérance.
Pour un home marié par exemple, et par marié, j’entends autre chose qu'une formalité administrative, mais un scellement du cœur sur un sens, un secret, une essentielle forme qui oriente toute les forces de l’âme inspire la fidélité, un idée de ce qui attire comme le réel et qui peut recouvrir tant de sphères symboliques que tous le champs de la perception semble n’être qu'une masse de virtualité, le posse d'un esse dont la jonction rayonne de symboles formés des mêmes matériaux ; la lecture esthétique du devenir ne voit que l’être, qui se déploie dans l'oubli de la langue du serment d’où il a surgit comme une qualité nouvelle apparaît dans un règne, comme les toutes premières fractions du temps ne sont que des distinctions qualitatives qui élève a l’événement, la possession spirituelle du cœur par la langue qui crée le monde qu'il la cache; l’esthétique n'est que la forme abstraite, architecturale, et non ontologique de la joie, qui précisément, ne tient par pour sérieux l’esprit indifférent a la distinction éthique fondamentale, parce qu'il sait que se scandale et ce sérieux sont des qualité éternelle du scintillement dont se prive l’esthète ; en nommant l'objet de sa félicité le monde devient la matière ambiguë de la transparence, et le secret un panthéisme effondré, tourné vers la révélation coupable de l’intériorité réelle du vide que désigne le monde perçu, comme étant l'espace temps éternellement conçu par mon esprit infiniment fini et creux ou les traces de mon corps cillent a l'emporte pièce de la création, dans la lueur des souffrances; ce que l’éthique apporte c'est le sérieux prit dans le champs symboliquement ambivalent de l'histoire ; puisqu'il n'est pas tout a fait le reflet de la mienne ni tout a fait l'image du monde malgré moi.


Ce n'est pas faute pourtant d’être soumis constamment aux violences qui extorquent a nos facultés des représentations qui l'insupporte ou la ravissent ; l’époque moderne a repoussé extrêmement loin les délices voluptueux de la sensibilité s'enfonçant sans fin en elle-même , tombant infiniment comme dans un drap soyeux sur le pavé froids et dure de la rue et de la paillasse d'hospice ou expira son histoire personnel, qu'il pouvait lire éternellement, dans la mesure ou le décors avait été plus ou moins rationnel ; a l'histoire de graduer la règle du monde sur la focale du plus large facteur d’intégration des êtres a leurs réalité capable d'aimer au-delà d’eux-mêmes ; le diluant des taches rendue au culte de la mort, est déjà mis en fut dans les canons, les boues du pétrole menacent de rétorsions les confins de la sensibilité occidentale prise entre terrorisme et monde marchand ; si j'agis de telle sorte que mes actes terrestres, visent toujours la relecture transparente de la paix, je dois d'abord me défaire de l'idée d'un éternel retour, puisque le retour en soi est vierge captif, seulement discernable qu'en aberration, quand l'histoire intérieur et l'histoire objective se rencontrent ; il est représenté, en possession du fondement transparent de chaque phalange de ses doigts, chaque lustre de la paume pincée au niveau des ongles le suspend a un segment invisible d'espace tel un pantin accroché aux ficelles du vide en expansion ; la poche amniotique syntaxe l’enveloppe, s'accroche a la raison qui a entre aperçu le jardin dans son système nerveux, disparaît dans l'humus ou l'on cultive a merveille le réalisme des lois ; les schizophrènes ramassent dés l'aube, les fruits neutre du Scintillement; leurs sarments flambent dans l'inconscience de ce qu'est le verbe ; l'ignorance de ses mesures infinies, antinomiques, et paradoxales radicalement ; les lois sont la chaire du verbes, elles en donne une impression qui dépasse la raison ; un surcroît d’âme innommable qui angoisse et trouble l'affectivité qui préfère l’effectivité réelle d'une seule chose dite par dieu, au milles contes et merveilles d'une unique chose innommée, oubliée et oubliable ; , qui serait l'objet ultime et transcendent de la physique ; si l'esprit pouvait se relever de ses cendres après la catastrophe il obérait a sa propre phénoménologie, et surmonterait l’étape matérialiste et marchande qui lui sert d'attraction forte et brise son élan au moule disparu, et entendre a sa façon, selon la tâche qu'il croit avoir reçue, la statue de sel qui lui sera livrée au plus tôt avant que dans leur aveuglement, les foules n’immolent le monde irréversiblement ; les cartes sont dessinées dans le quartier général de la lentille, l'ouvert est une focale ajustable selon les bagues géopolitiques que l'on ne maîtrise pas; les colleurs d'affiches de l'armée de l'air reçoivent des chiffres comme les points d'un dessin ; les collines verdoyante redeviennent des altitudes chauves au bas desquels, dans le noir, ils préparent les seaux de colle et de graine du lendemain; demain semble leur appartenir ; ils en parlent, non comme d'une réalité abstraite, mais comme une continuité concrète ; un bout de chemin sortie de nul part, ou qui a toujours été la et que la courbure terrestre cachait sous l'horizon ; le pont aura quelque mètres de plus qui déjà fleuris dans leur têtes et sur les murs des villes couvert d’imprécations politique ; demain la foule sera divisée sur la question ; perdue et prête pour la boucherie comme pour son salut ; demain l'instant sera le même, traverser par le rêve quotidien ; et pour échapper a l'effroi, j'aurais beau fermer les fenêtres, le froids rentrera dans le foyer, l'espace temps symbolique par excellence, sera la dimension réelle de la Parole, et l'usage des facultés éternelles sera monadiquement accordé par l'harmonie préétablie.

27/11/2015

Roue-cage

dado 7.jpg

dado


   Je vis dans une nature morte, la meute de chariots blottie contre le murs du supermarché ; ce n'est pourtant pas le mouvement qui lui manque, puisque le parkings est au moins aussi actif qu'il peut l’être dans un embouteillage monstre un vendredi soir de décembre juste avant les fêtes de noël ; non ce n'est pas ça, c'est pas le mouvement qui lui manque, parce que des que le bouchons sera dissous, l'activité sera plus électrique, moins statique et pourtant quelque chose encore manquera pour que le mouvement soit autre chose qu'un chaos polluant et bruyant, une scène qui ne signifie rien, ou si vaguement que pour être vivante ce n'est pas la meute des consommateurs qui se rues vers ses forges, qui pourrait transformer ce tableau en son modèle vivant, engloutir cette mauvaise architecture de science fiction du pôle marchand en un organe cosmique monstrueusement esthétique; le flux radieux palpite loin de ces bornes de glaces, sur le fut desquelles est gravé le nombre imprononçable de milles qui renseignent l’égaré; ce qui les sépare c'est le découragement, cette force ridicule, cette fibre morte qui encombre et qu'on croit vaincre sans en arracher la racine, aussi ridicule en apparence, que sa puissance est plus difficile encore a franchir que les déserts qui figurent au dos des cartes répertoriant les corps d'expéditionnaires crevés au-delà des dernières régions  excentrées de la paix; je vis dans un organisme mort, un espace entièrement reconfiguré pour mettre en vue les gestes marchands de la charogne polymères qui vampirise mes forces, couvre les parkings, et pond mes reins a la lumière tranchante de la galerie marchande qui offre a la crainte le convoitise de pénétrer en secret dans le sanctuaire du diamant ; la fascination éclaire l'insecte sans fond de l'immense dialectique. Serre et Miroir échangent des tons d'oiseaux ; la brasse moléculaire du timbre a travers temps endure l’échange et renvoie la conséquence de la création a la création ; la conception de soi confondu avec l'apparition de l'autre ; les désirs qui s'accordent comme des bouts de ficelles qui peluchent ; la musique en capture les fibres comme si l'absolu n’était jamais autre chose qu'une scène particulière moins issue d'un espace temps indifférencié, que d'un ressouvenir qui descend la scène en ses éléments constitutifs personnels et réfléchis ; la rive de la conception du saut, de la mutation anthropologique que réalise la foi en un homme des scènes issues d'un autre espace temps rend mentalement le ton des temps divergents; après l’échange entre les instruments, surgit d'un déchirement qui semble refondre le monde dans sa matière, l'absorber et le renvoyer au service après vente pour panne et vice caché, le mimétisme de la création, surgit la volonté aveugle de créer le ciel de silence qu'une larve caïman perce au pas des flûtes traversières ; les zones érogènes de l'esprit sont les premières touchées par la grâce et l’acupuncture du règne de la douceur, crée les peuples du livre qui le remarque.