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20/03/2015

L'intelligence vaut mieux que l'or.

 

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Photo: Camille Philibert-Rossignol

 

« En France, l’unité politique a promu l’unité linguistique alors qu’en Italie, l’unité linguistique a promu l’unité politique »

 

Au cours du XIVe siècle, dans une Italie divisée en plusieurs états et fragmentée par ses multiples dialectes, trois œuvres majeures d'écrivains florentins imposèrent le toscan comme langue littéraire : la Divine Comédie (Dante) le Canzoniere (Pétrarque) et le Décaméron (Boccace).

 

La philosophie a toujours été une science des définitions par laquelle le désordre apparent du monde et les différents niveaux de langue et de réflexions retrouvaient le sens axial de l’intentionnalité amoureuse qui les fonde et les rapportent comme autant de pièces jointes au dossier existentielle de la vérité de l’être pris dans l'expression de son apparente lisibilité... de nos jours les ultra libéraux veulent la fin des états, non pour que règne la libre concurrence des duchets ou ils règnent en divisant les peuples, mais pour qu'a travers leur état a eux, la bourse, ses vrais dirigeants qui sont les pdg des grandes banques mondiales répandent l'idée que l'or vaut plus que la conscience.... a l'inverse certains gauchistes souhaiteraient la naissance d'un état mondialisé supranational qui, il est triste de le constater, existe déjà de fait a wall-street, quoique sous la forme imparfaite du malentendu amoureux aussi mal compris que mal utilisé... car la lutte des classes n'est une nécessité que dans l'esprit de melenchon et de gataz qui ne sont déjà plus que des figures du passé... rien n'interdit de concevoir une politique qui impliquerait tout ceux qui veulent se repentir de leurs fautes passées qui est l'unique moyen humain d’œuvrer pour l'avenir, l'unique herméneutique du devenir sensé, en rejoignant un partie politique virtuel ou le chaos de rébellion informe d'internet qui sert d'asile a tous les désabusés, deviendrait un véritable ordre politique ; le capitalisme jusqu'à présent fondé sur l'exploitation de l'homme par l'homme ne peut progresser spirituellement sans muer et prendre en compte ses erreurs passé, son mode d'accumulation par l'exaction violente sous couverte de loi a déchiré toute possibilité de faire société ; rien n'interdit cependant un grand mouvement spirituel de repentir généralisé aussi bien du coté des possédants inconscient qui ne peuvent plus progresser qu'en s’enfonçant dans les mensonges de plus en plus cyniques, que du coté des ouvriers salariés dont le cœur est pourris a mesure qu'ils ne désirent que prendre la place des dominants et poursuivre leur exaction mondialisée.

L'avenir du capitalisme est tout tracé soit il se reforme en s’amendant, et ainsi progresse spirituellement au même plan que les énergies propres, soit il nous condamne a notre perte a tous, y compris ceux qui s'imaginent pouvoir tirer leur épingles du jeu. Quand Dante écrit la divine comédie, il a aussi dans l'idée d'unifier une nation éclatée dans une myriade de fractions politiques opposées et luttant absurdement entre elles pour des privilèges que la grande angoisse existentielle du poème laminera pour mieux établir la téléologie ferme de l'esprit renaissant de ses vapeurs exaspérées; et c'est de la langue de Dante guidée comme chacun sait pas le poète Virgile, que de Babel naîtra la nation, en redisant l'intention fondamentale de l'esprit d’où surgira l'unité politique de l’Italie renaissante ; notre situation est-elle essentiellement différente ? Pas essentiellement, ce qui a changé ce sont les niveaux de langue et leur ordonnancement autour d'une téléologie première qui est niée refoulée dans chaque savoir particulier... reste qu'au fond on pourrait très bien imaginer qu'internet soit la zone abyssale ou la voie de l’être se recrée et que de ce maelstrom de voies mêlées surgira un vecteur sémantique de cohésion existentielle et une motion idéal établissant l'unique richesse de l'humain valant plus que l'argent trépassé, une intersubjectivité nationale et internationale ou ce qui faisait la fins dernière du capitalisme courant vers l'inconscience démoniaque comme vers son but dernier, serait ravalé au rang de moyens en vue d'un essor de la pensée conquérant ses propre impasse, et transformant ses apories en gain profitant a chacun et a tous. Le capitalisme peut s'amender, les puissances de l'argent peuvent progresser spirituellement en reconnaissant leurs fautes et leurs facilités.... dans tous les cas il restera que la langue de la vérité ne surgira jamais d'ailleurs que du trou virtuel qu'est le puits d'internet ou toutes les désillusions sont brassées, ruminées, confrontées et régurgitées peut-être sous la forme d'une nouvelle intentionnalité, d'un nouvel élan téléologiquement fondé sur la critique radicale des errements du passé.

 

18/03/2015

Absinthes ordonnées du cor

 

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Photo : Camille Philibert-Rossignol

Le Comité a noté avec satisfaction la décision prise récemment par les mécanismes variant de financement compensatoire de libéraliser les administrateurs des échanges a valeur absolument inconstante ; cette décision habilite le Fonds à fournir un cadre au mécanisme informel en nommant a la tête du chef de projet l’après sous main au poste de secrétaire vacataire des poste vacant de la pensée prévoyant avant congés, l'apparition précoce d'une moins-value spirituelle autorisant les administrateurs a ne pas tenir compte des injonctions de leur conscience étant donné qu'ils en provisionnent sur la charges des administrés, la disparition a court terme. Enfin au terme de leur vacances les administrateurs pourront récolté l’usufruit de l'emprunte massive de l'extérieur a des taux indexés sur la confiance mise dans le vol, des lors que l'utilisation des réserves de crédits épuisé, ils recourront au supplice de la dette pour faire entrer dans la forge la tête déjà érodées ces dernières années de leur soutiens de base politique, que l'inflation du sentiment de la perte garde en vie, par d'importants déficits en compte courant s'annonçant encore pour cette année, au moins aussi poissonneux en troubles sociaux suicides, banqueroute faillite et autres diverses haines et transhumants incendies dans les zones inhabitées de l'esprit concentrées autour de l'attention au fond mondial du flux fiduciaire de la richesse entre aperçue en terme terrestre et convenue au terme de l'accord sur l'autorisation des fraudes dont l'administration tatillonne comme on le sait suivant l'humeur et le fumets des prisons, reste un indice sur de la valeur des coups bas en terme d'apparition de la richesse en ce bas monde consolidé en sentiment de puissance confiant en sa propre indignité ; par ailleurs, il a été convenu que les dispositions nécessaires devaient être prises pour créer sans délai le Fluide fiduciaire manquant et qu'en conséquence les usines d'armement de l'esprit seraient dotées des moyens et services de pointe nécessaire au remaillage du tissus cardiaque mité du grand événement de la parousie en vue duquel selon les directives mussilliennes le comité c'est conformé ; en conséquence, le comité peu des a présent établir le thème de sa prochaine séance plénière : l’étude chimique de l'illusion qui ronge l'apparition financière du fond de la richesse noétique chez les pauvres en esprit égarés de par le monde, et dans la lecture négative de théologie apophantique du chapitre trois du dernier livre de Maïmonide.

 

17/03/2015

Boum... moubboum... boum...


Espace et temps quittèrent le train fantôme lardé de coup de bec de la lumière de coton sur le tissu mité des sièges recouvrant un espace de temps, si bien corrélé qu'il en perdait toute importance et se détaché; les orgues des rails, le cillement des soufflet, les différences de tensions entre les rame, ne se libérait que très rarement de son insouciance ; les vitres maculées de raies, formant des lettres a peine ébauchées ou noyées entre elles, ne parvenaient pas a diminuer mon angoisse en me communicant de manière déterminée un message de paix spirituelle autour du grand feu ardent qui plongeait la seine son œil comme un gouffre attirant le train fantôme, relier a une antécédente origine inconcevable limite de mes propres capacités de projection finissant noyées dans le fleuve de feu de mon esprit butant sur sa propre matière, qui représente son enfer ou sa libération des angles morts de la volonté tapis entre les murs aveugles de la représentation d'une vérité; dans le miroir de la vitre donnant sur la voie, le pont métallique et ses ressort de pierre posée dans le fleuve, le néant porteur autour de mon nez dessine entre les yeux et la ligne du front, les câbles d'acier du pont métallique devant lequel nous passions, me surprends la scéne d'un meurtre symbolique, que je ne vois pas pourtant réellement, sinon comme la forme invisible composé de milles choses, d'un monde ou je suis autre que moi-même, absolument différent, et toujours le même, tantôt poussant a la roue, tantôt couchant sur la banquette arrière de la calèche, me surprend la scène, d'un homme tuant un homme, en ce lieu aux confins de tout, la limite de la pensée éthique sensibilisée a l'ardeur isotropique du rayonnement de la vérité quand elle est entièrement sensible et qu'en quelque sorte la pensée danse comme un faune habitant ce pays ou de moi a moi je voudrais aller, et devenir glorieux en me voyant m'enfoncer dans les misères de ma faute que j’opère et soigne du mieux que je peux en lui donnant l'apparence géométrique des bâties que le grand souffle recuira toujours en poussière ; ce qu'est la sphère au lamelles des persienne, c'est l’écart de l'effondrement a l'unité, les gongs des traverses le sont quand elles épluchent le raisonnement en autant de tronçons qu'il y a de perception intime et infime pour la distraction et son effondrement, son saut de l'ange au terme du tremplin, quand la ruine s'annonce et que l'invisible ligament de l’attraction gravitait autour de la perception, quand il devint possible que je le vois un jour sortir du rien du temps immatériel et sans dimension spatiale, une première et dernière fois, l'unique roue du train isolée comme un chien aimant se faire cajoler le cou aux bornes du destin jaillissant de rien ; ce qu'on se dit devant l'image de la contradiction qui nous a surpris en plein dialogue avec la vitre et le pont, qu'on ne peut l'investir dans aucune autre histoire que celle de la naissance et de la mort, c'est que puisqu'il faut bien parler de quelque chose quand même, d'un être supposé, paradoxalement nous le rencontrerons vraiment puisqu'il est évoqué au-delà du projetable et appréhendé comme Il nous fait être en Lui, et que donc l'histoire de cette énigme que nous avons traversé, nous restera mémoire vivante a jamais, présence luisante d'un feu brûlant mais invisible, dont le monde ne brille que parce qu'il n'en possède pas le secret... le cachet de vernis faisant foi... boiseuse acquisition des lentilles de contacts... ou cône de vers que les cosmologues rendront mythique dans les calculs démesurés de l’atmosphérique pneu manie... modifions les tensions du torre géopolitique, la bobine mettant l'image du cep en rapport avec la maîtrise du vertige, maîtrise de l’électricité technique d'embobinés, maîtrise de la vélocité de sa puissance et relâchement des rapports aimants la naissance du flux invisible d’électricité qui relie tous les hommes, a la trame mére des lucidités prise de vertige d'interruption permanente, de sollicitation constantes qui n'autorisent que peu le rythme cardiaque d'un développement origiel, blanc et complet de la conscience a partir de l'a signifiance de ce qu'elle croit être son intérêt, qui n'est que de se recouper demains dans ces flux entre deux embarquadére qui s'allongent sous les tunnels sans fin ; le contrôleur passe il me dit qu'il ne connaît pas la fin du voyage, et qu'elle n'est pas prêt d'advenir puisqu’il n'a pas de fin, et que qu'une fois placé l’œil entre les planète la vue des cieux semble de l'herbe grasse et lucide, a consommer dans le wagons fumeur inuquement juste avant la case cancer de la dessillusion, naissance douloureuse du langage de la patience eternelle qui precede la foi, l'attente troublé au commencement du meurtre, par son image renié, une fenetre que la tempête ouvre dans l'auberge des confin maculé de sons et de rumeurs de bières dans un galimatias auréolés de la bannière d'un lièvre étouffé par un serpent ; je m’arrête a la station converse, interromps la rue en pleine périagogé, et m'enferme loin du tumulte du gouffre fantôme et insatiable du spectre électrifié... la ville est un fantôme qui te bouffera les tripes, on les vendra au mercier avec une aide de la croix rouge; de l'ordre de votre part je me réveillerais en cas de fluctuations du vide, j'aurais ma nourriture sous vide emballé dans l'estomac transparent des usines a pas grand chose. Que les gens disent gagner ensemble le ciel du compartiment n'assure en rien que tous soient sauvé, là est le gouffre absolu d'effroi basé sur l'influence diffuse de l'espace gagné dispersé. Tout a coup de wagon résonne comme s'il passait a travers un nuage de limaille de fer, et l’énergie cinétique des mouvement inapparent me donnent le vertige comme si les rails allez chanter se mettre a faire de la musique a siffler comme des xylophone converti à l'énergie de la chair de la vérité coulant dans les tunnel entre les quais de métro, écoulement de liquide parfum au sublime miné de matière fécales et des lourdeurs de vidanges et d'huile qui qui empeste la densité dont le types change rapidement a chaque instant ou presque. Défauts dans les perforations du tickets de caisse, et la géométrie des quais qui flottent a portée de main, c'est le trou vivant du volcan, le vagin du subway que l'on ressent dans la dégénérescence des sujets. J'espère juste que, parce que j'ai essayer de simplifier cette explication, il n'est toujours pas hors de contexte de planter le décors dans le puits... chacun y puise en somme, comme dans un paquet de pop corn avalé a top-down sous effet d'un tranquillisant contre la peur des anxiolytiques, vendu a ceux qui ont le fric pour se le payer, donner gratuitement au autre qui souffrent des vertige de la géométrie métaphysique rapport le volume des pyramides au corps sain de l'esprit ondulant sur le sable entre Gizeh et gaya, le bas levé vers le haut, voici qu'existe instantanément le temps long du commencement entre la base et la pointe du cône, la limite uniforme de l’éternité projetée. La pyramide du cinéma. Merci a elles de nous avoir légué la possibilité de les représenter par un courant continu d'images fixes, traversant la lumière devant une lentille qu'Osiris transportait en barque sous marine aussi bien que moi ma mère embarquée au gouffre de padillac pour ramer emporté par le sourire suspendu du psychopompe.