16/03/2015
Noématique remplissement de la pensée de l’éternelle félicité.
L'Un serrure l'ozone trimestrielle des bestiaires prémisses du monstre sublime diffus dans la factuelle part du virtuel; contempler l'origine, c'est voir en face le monstre noématique remplir les parts physiques de l'intention des naissances ideales de l’éternelle joie consciente de son ressourcement permanent; l'Instant des cataractes de cette source jaillit avec l’extrême folie de la confusion des flux noetico-boématique du discernement qui enchâsse l'allée de peupliers des relecture des roulottes aux pas des chevaux de traits s'enfonçant dans le rêve du promeneur lisant Bohr lisant Kierkegaard a la fenêtre de sa chambre ; le soir se lève comme une aube qui le reçoit et l'attend, l'automne a déjà fleuri les pousses flétries des saisons de la putréfaction naissante, ô étrange beauté ! et ces boutons de roses de citizen kane germent au-delà des apparences, comme les purs scintillements des minerais du ciel, éclatante depuis l'ordre incompréhensible de la chair ou nidifient l'éclosion du ciel de conscience éternelle comme le secret réelle de l’éthique invisible du corps spirituel de dieu liant tout existant au luire de sa joie indescriptible mais réelle; la pensée juste n'est en aucun cas calculante, elle est l’éthique qui corrige toute réflexion brassant l'impensé sous le poids des intentions répétant l'insouciance absolue de l’éternelle félicité discriminé sur le fond de la folie première que le physicien voudrait secrètement maîtriser anéantir de ses calculs qu'il voient comme un privilège de sa langue et de ces dons refusé au reste de l'humanité ; et cette petite fausse modestie est déjà une gigantesque faute éthique qui trouble la pureté du cœur et infléchie l'axe de la réflexion, dévie les racines hors du champs du bien commun, et de la chose au monde la mieux partagée ; comme la rose faussement éternelle, il meurt au moment ou la tige de la plante céleste sort l'intelligence de son trou d'illusion, parce qu'il ne veut pas que la pensée soit le bien commun le plus simplement universel et populaire; ailleurs, le promeneur sur le chemin de la sagesse, est a chaque instant, a la fois un homme bon et le même homme mauvais ; et cependant, il ne devient jamais l'un et l'autre a la fois ; chaque fois qu'il fait un pas, en choisissant, il opère l'indétermination selon la contradiction de l'appareil éthique de toutes déterminations de la realité; omnis determinatio est negatio; en bord de champs, les feuilles mortes de l'impensée éthique des mathématiques restent a soulever comme interrogation ; Bachelard était au bord de cette question, il en a suivit les contours, mais il ne s'est pas jeté dans son cœur plein de lave hurlante ; les chiffres ne sont pas indépendant de l’éthique, ils en pensent la possibilité comme impossibilité première sans laquelle aucune action n'a de réalité, et toute intention n'est plus qu'un rêve qui tourne en rond ; mais a donner sa vie a la contradiction d'un relief ou le bien absolu qu'il choisit, en retour le crée, le penseur avance sous la poussé d'une motion sensée qui n'est pas immanente a la contradiction ; derrière lui les eaux fendues de la mer rouge se referment et l'indescriptible joie prend forme et signifiance vivante sur la sente de la gestation des lumières qui le posent là, a distance entre les ronces et les pierres de l'angoisse qui laminent toute finitude ; ainsi il se tient par avance sur la voie d’où il pourra a la fin, se retourner sur sa vie et en rapporter l'image flottante a l’incréé qui la comprend et l'a fait être ainsi; c'est ainsi et pas autrement qu'il faut penser le logement des lumières dans leurs propre étincellements.
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Quiconque n'est pas choqué par la théorie quantique ne la comprend pas.
Un jour viendra ou l’épistémè ne trahira plus le mensonge des reflets, un jour viendra ou la vérité aura sa matière et alors la passe du silence lucide et aveugle glissera entre les faits incohérents des souffrances du désir; du puits de transparente vérité, historique et immuable, émergera la forme corporelle de l’âme sensuelle, ou pour l'instant, passoire que nous sommes, nous jetons corps et âme les possibilités dans l'appareil de la confiance du jour; nous reviendra l'esprit de la matière animée par l’éternel puissance du silence et de la paix avec dieu bâti des briques même de chaque instant notre existence ; en ceps nouveau plein de détours nous surgirons de notre abysse nouménal en pleine radiation phénoménale, déchargé du poids des particules fantômes, de la duplicité fondamentale des myope d'origine qui sont ce qui n'est pas en eux d’être ; miaule un chat entre la vie et la mort, les paradoxes de la physique en germes dans notre discernement encore larvaire et létal, les limbes de la lumière noétique trouble l'angoisse de l'innocence, l'albumine boue du mystère ontologique d'un chant primordial que la crémière, a la louche sculpte de décision est de choix exclusifs, poisseux comme l'horizon zénithal du nietzschéen glissant sur le placenta au moment de sortir du ventre des rêves qui le rumine depuis plus longtemps que le premier instant du temps, par delà le bien et le mal abstrait, coule la chaire lisse et transparente, comme une décision qui a donner vie au reflet du bien astral irradié des milles feux des glorieuses souffrances de la naissance du rejet. Au lieu dit de l'expulsion, le choix était la langue maternelle incarnée et non quelque poétique saloperie nietzschéenne d’œuf pourri et faisandé refermé sur son absence de détermination complète aussi longue qu'une main courante au fichier de l'adn hélio-centré. Le premier état de l'homme est un mélange prés œdipien et antéléatique d’être et de néant, le ventre conceptuel d'une grossesse de rêve d’où jaillit la matière amputée du créé historique et vivant, le devenu claudiquant de l'accouchement spectral du relief, l'organe de verre parcouru d’œils nébuleux cherchant le soleil intra utérin, comme une pieuvre la bouche de pierre cachée sous une myriade de nerfs dialoguant tout azimut avec la voie lactée de l’être tenue dans les murmures des contes pour enfants ; l’ombilical récit des particules supposées boucle les valises de la présupposition, allège l'esprit de la matière, parachève en elle-même l’incompréhension, dématérialise l'idée, fonde l’éthique sur l'impossible premier et décompose le donné de l’appréhension effroyablement salutaire dans la renaissance des gestes a intérioriser, bouche les trous de réflexion et poussent les courants d'air vers les échanges sanguin entre les limbes et les nuées de la photosynthèse des signifiants de la langue de lin dont se revêt le sage respirant l'air qu'a aussi respiré le serpent, mort, maillé dans le motif comme le chat, maintenant.
Plus on regarde loin dans le cosmos et plus on regarde loin dans le passé ; mais plus on regarde de prés la matière du présent et plus on regarde de prés l’incompréhensible miracle de la réalité, le fond ontologique de la possibilité d’exister, dont les confins sont l’incompréhensibilité des états juxtaposés a la clairvoyance de la lucidité relisant le maelstrom discriminé et rédimé, la pluralité des mondes n’était encore qu'une impression de grandeur dont le physicien sur le bûcher cria qu'elle induisait la connaissance de la cause, nous disons la même chose, plus confusément pour plus de clarté, que l’être est le néant au commencement de toute chose avant qu’advienne la mort de notre vérité entièrement élucidée.
« Il n'y a qu'un ciel, une immense région éthérée où les magnifiques foyers lumineux conservent les distances qui les séparent au profit de la vie perpétuelle et de sa répartition. Ces corps enflammés sont les ambassadeurs de l'excellence de Dieu, les hérauts de sa gloire et de sa majesté. Ainsi sommes-nous conduits à découvrir l'effet infini [le monde] de la cause infinie [Dieu] ; et à professer que ce n'est pas hors de nous qu'il faut chercher la divinité, puisqu'elle est à nos côtés, ou plutôt en notre for intérieur, plus intimement en nous que nous ne sommes en nous-mêmes. » (Giordano Bruno, Le Banquet des cendres)
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13/03/2015
Sans haine ni violence
Photo: Camille Philibert-Rossignol
Ce qui me révolte dans l'idée d'une révolution violente peut-être nécessaire pour que le peuple reconquiert son pouvoir, c'est qu'au niveau structurel notre société possède une architecture efficace qu'il me chagrine de déconstruire, d'autant plus que ce qui lui manque n'est pas structurel, mais téléologique, l'absence de fin humaine digne de ce nom.
Pourquoi notre génération semble inerte comme le disait la chanson des enfoirés ? Peut-être parce que nous venons après l'effondrement des grandes idéologie, et qu'a main nues nous faisons face a une forteresse de langue venimeuse et fourchue comme celles des baveux qui détient le pouvoir au fond de ses coffres qu'on ne peut percer par aucune violence, mais en luttant a arme égal avec le détournement des lois qui permettent le rapt mondialisé des richesses et qu'il faut rendre a leur intelligence avant que leur accumulation exponentielle n'assèche tout vie sur terre ; Marx a raison dans beaucoup de ses analyses autant qu’Adam Smith, mais la déstructuration du capital et sa reconstitution dans le legs entre génération devrait se faire naturellement, et sans violence, comme une dialectique matérialiste de la vacuité et de la plénitude du temps, avec l’élégance aristocratique de ceux qui n'ont pas plus peur de céder ce qu'ils ont acquis, que d'avoir risquer ce dont ils avaient hérité... contrairement a nos aînés qui en soixante huit rêvaient de refaire le monde, nous on en rêvé même plus tellement l'idée même d'un changement nous semble comique... mais c'est aussi que ce a quoi on s'affronte ne se déconstruit pas par quelques manifs même générale et armée... les îles caïmans sont hors de portées et bougent au grès des vents, comme change la nature dématérialisée des richesses dont le visage atopique a radicalement changé la donne... on ne peut plus agir, révolutionner le monde autrement qu'en subvertissant les réseaux de l’intérieur a la manière des maîtres voleur... Socrate n'a jamais agit autrement qu'en s'insinuant dans la pensée de ses adversaires.
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