04/10/2014
Des fins.
Depuis, …. elles ont complètement disparues les bulles de l’ancien caoutchouc ; on ne les voit plus que très rarement en soulevant les lettres, et en les cherchant devenue autre, tout en restant les même pour autant ; on dirait de vieilles traces de coutures cicatrisées a la surface du globe oculaire de la synthèse ou je voyais les cellules de mer, prendrent la parole en s’enfonçant dans le ton ; l’âme de Foster était formée de lettres qui recomposaient en permanence pour elle son souvenir, mécaniquement, comme si la trace des souvenirs avaient été mise sous la garde d'un premier ressouvenir de la voie en suspension tout entière dans son propre univers, qui n’était pas le notre, nous autre explorateurs précis des présences réelles entre les deux extrêmes ; la rencontre d'un de ces êtres venus des confins était toujours une joie, le signe d'une heureuse visite ; il semblait attendue par le souvenir même de la voie qui voulait en conserver l’héritage gravé jusque dans la chaire, qu'en elle tremble d’émotion a a l’écoute d'un poème et que les deux âmes du poètes et de son lecteur se rencontre a travers le trou dans la cabine de dépressurisation ; derrière le hublot mon amour, il y a la terre et sa lumière bleue et liquide comme une goutte de dieu tombant dans la nuit ; dieu pleure ? Dis tu ? Il est ton œil et ce que tu vois, et ce qui échappent a ton regard. Il partagea les eaux et le ciel, reste le reflet de la separation, la memoire liquide de l'explosion du sens dans la conscience au carré; le cube divague et apporte le trouble a la mer, elle vague et berce la chair d'un tein eternelle ; c'est pour cela qu'elle est une ame ; la mort d'un texte plus rond que la lune qui se ressouvient, de l'etre ; redonne a luire le mort dans les clartés de la pensée absolue; tu vois ces aubes jaillants des pigments plus rugueux que ceux du hollandais, des crepusculaire mue de la peau du monde, des dorsales montagneuses dure comme des ecailles recouvrant le souffle d'un dragon; l'ordre des desirs s'apaisent quand les machines fument aux usines, parce que tous les conflits ne sont qu'un, qui peut-être trouvera en bout de chaîne la production du réel qu'il attend quand ses bras parlent pour l'esprit consentant ; l'usine produisait a la chaîne des systèmes de directions assistées, huiles, soufflets pistons, molettes, outillage variés reposaient comme des instrument de chirurgie a opérer les rêves au dessus du ventre ouvert par césarienne d'une tombe ou manquait le fléau ; le passage était ouvert, a nous de l'emprunter; de la blessure la fin, a terme délié, relié a sa fin en souvenir du commencement ... cette fin, espérons qu'elle se définisse en nous comme elle nous définira éternellement, jugeant si oui ou non nous l'avons accueillie, vécu des le commencement, avec la force résolue des perceurs de mystères, qui s'introduisent nuitamment chez toutes sortes de gens, forçant par manipulation cérébrale leur direction, loin du sommeil, les arrachant au prime travaux des salaires de l’indifférence existentielle , corps probable de mannequins, dont le salaire lui-même tend a devenir un rêve de top-modèle dans ce monde ou la sensibilité humaine est en train de disparaître alors que fondent tous les ligaments, s’étire les muscles dans la douleur d'une croissance qui tarde a se faire, qui est en route, peut-être, l'espérer ne coûte rien, mais mieux vaut faire, quitte a se planter dans la lecture de sa chair liées a elle-même, froissée comme un vêtement autant que la vérité au yeux d'une âme attachée a elle-même et plongeait dans ce monde, cet univers que a première vue, n'est pas le sien, et ou perdue elle ne reconnaît rien d'autre que les visages de l'unique souffrance partagée; du lit tu sors grandie comme un diamant sous un rouleau de neige ; et sur le pont circule l’émotion, distribuant l’énergie, la force et la faiblesse, la tentation ou son contraire, la blessure astrale, la voie lactée par la fenêtre, indique de sa flèche tournant autour de nous depuis que le monde est monde ; la relativité générale de l'effroi n'est pas une physique de l'astronomie mais une astronomique physique de la sensation, toute troublée intérieurement, mouillant comme un iris, l'eau de la présence a sa mémoire, jamais démentie ; l'autiste reste absorbé par le fil tendue de son attention, et s'il se rend compte de la rupture, si son ex-prit s’aperçoit que le fil est coupé, ou s'il le croit, il tremble comme perdue a tout domaine de compréhension, échappant librement a toute appréhension, dans les confusions de dimensions qui font la force du spectacle, et de la manifestation du noir jet d'encre chevelu comme un poulpes de fables donnant le jour et la date au sentiment ; du point de vue des ombres et de leur longueur sous le parcours de l'astre intérieure qui donneraient sens a la mer ; la mer et le soleil droit devant éclairant notre l'histoire commune de l'unique détachement, arrachement de notre esprit depuis les limbes de cette terre, spectre fleurissant d'une unique souffrance répercutée en elle et peut-être secrète a tous les hommes, autant qu'a celle a laquelle et par laquelle nous sommes tous liés; des diacres alanguis sur des divans de chine, ronflaient des seins pointus de secrétaires médicales, habillées de thuya de psychiatrie ; au mur le cabinet a complètement disparu, le patient l'a dit, au docteur pour qu'il interrompe le transfert, et reçoive réellement l'invitation de se rendre au rendez vous du transfert ; qu'on aurait rongé cru des deux frères socialement, par des graffitis géants parcourant les rues comme de long serpent gros de la cendre des œuvres frappant a l'huis du drame avec leur tête vide.
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03/10/2014
Note: liberation emotionelle de l'extase et disparition du sublime.(construction du sentiement)
C'est de la réalité de nos intentions dont nous parlons sans cesse, c'est elle, le troisième terme relatif a nos discussions, le centre commun de nos intérêts, le principe uni-vers de l'humaine réalité effective, la pâte, libérée émotionnellement, levain en même temps, a la fois pleine d’érotiques sifflements de colère fondant sur le caractère dramatique de la réalité saccadées, la cause de sa croyance en la réalité effective de l’être aimant et aimé, géométrie du sentiment, puisant ce soucis permanent de l'homme, en elle-même, qui chamboule d'un visage, les lettres dans sa tête, jetè vers lui-même comme dés alphabétiques abolissant le hasard, qui ne s'effacent pas, même une fois devenus inopérant, mais plastiquent la solution de continuité, s’agrègent et se combinent, étiolent ta présence de tendinite avec vue sur la péritonite couverte de névés dues au dessalement de la passion, réchauffement climatique libérée du soucis qui, parfois, au fil de la discussion, s'enquiert du non répertorié en une existentiale analytique, se donne comme intention globale construite comme une sensation emportant la commune mesure de la recherche, l'assentiement extorqué malgres soi, évacuant le "ou" et son savoir qui se redouble par l’effacement de l'ouvert disparaissant objectivement dans l'inaccessible a ce corps couvert de blessures, qui scintille pourtant entre les amplis et danse comme un corps agité par un souffle transcendant, l’émotion bâtie la chair, et les vertiges, rebondissant des sphères invisibles au cendrier, ressortent compatissant a la présence plus ample et agrandie par notre entente, nous libèrent émotionnellement les uns des autres de sortes que chacun peut être en présence dans un autre en sa présence infinie; quand l’émotion circule librement entre nous, entre tous, quand tu es au-delà de toute incertitude, complice léger, hôte de la joie qui enracine les frémissement de la sensation dans le terreau de la nostalgie; c'est la musique qui l'emporte, et qui vaut tout l'or du monde ; l'intelligence spirituelle du mystère vivant maîtrisée par l'art d'une spontanéité éternelle.
Construction dramatique du sentiment autour du vide. Odyssée du nombril.
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02/10/2014
Note / de l'insignifiance angoissée a la conscience de l'invisibilité
L'espoir est comme la réflexion déjouant la peur sur son propre terrain, elle tremble comme le blé sous la bourrasque du vent, puis fige les chairs de poule comme un astre poilu tâtant de la peau la plus fine, la plus fragile mue de demain ouvrant l'iris des fleurs a l'élan de la rupture rendue en terme éloquent par leur regard; ce sont des nénuphars qui forment le fond de la réalité devenu apparent quand l’être né au monde en a traversé toutes les dimensions contradictoire, et qu'une lumière plus noire que le soleil éclaire les corolles humaine qui le recueille dans leur suspension ; alluvions flottant entre les mondes comme entre les grains de la lumière ou l'invisible peut s’apparaître ; être cru c’était aussi ce que cherchait tout conteur, en piégeant, peu a peu les formulations historique des événements, ils déconstruisait l’éternel, ramener l'intuition de l’élan a la réalité de l’éternel sans approximation historique définitive ; curiosité de l'amour qui en fit une chose intéressante, intéressante jusqu'à un certain point seulement ; a travers les miettes, seul le désir cherche le contact avec quelque chose d’entièrement cohérent ; ton père et ta mère, ? Ils n’étaient peut-être que des situations t’intéressant partiellement ? Aussi il te faut procéder autrement ; d'abord trouve ta mort car sans elle rien ne t’intéressera infiniment ; sans elle rien pour te sauver, sans elle pas de retour au soubassement, pas d'ephiphanique clarté dans la présence des lettres du testament ; car dieu n'a pas dit en quelle langue il écrivait, pour que chaque peuple de Babel le comprenne; donc mort a toi-même, disparition de toute certitude est élan concentré au bord du gouffre, roulant ses tonnerres de jour effroyable comme une langue cariée lapant la buée des tensions intérieures acides qui lui ruinent le gosier ; puis la physique de l’allégement une clarté symbolique faite chose donnant, au delà du cercle mythique et des retour de cycle dans le temps, une vision claire de l'invisibilité, une claire intuition de l'assomption de l'être dans sa plénitude ; alors chaque fleurs du vergers t'effleure d'un regard compatissant ou te surprends dans les nuances tentatrices de ton cœur ; le monde est ce chemin la, étroit et resserré ou aucun homme ne sauve un autre homme, ou tous ne reçoivent que de dieu leur foi ; on ne se sauve pas politiquement, ni en groupe, chacun passe la tette dans le cou des fleur et reprend possession du regards intérieure qu'il y avait jeté jusqu'à perdre la raison ; leur corolles enkysté de tout la volonté ontologique sont des mots pour se ruiner, pour prendre conscience de la conscience physiquement, pour renaître au corps de leur ciel éclaté, revenir de tous les éparpillement, devenir conscient au second degrés ; est-ce une tache politique ? Par directement. Mais le politique, est l'autre face du point de vue solitaire ; il appui différemment sur la dialectique, sans qu'aucun des points de vues ne soient en soit la résolution du mystère, mais une manière différente de mettre l'accent. Quel rôle chacun joue dans la rédemption de son frère, ce n'est pas moins mystérieux que le parfum divin des fleurs ; mais l'approximation historique qui déjà tente de formuler cet ultime constat jeté sur l'existence, se joue, pour le solitaire comme pour le mondain, sur une perpétuelle mise en abîme des approximations historiques qui tentent de traduire l’élan en certitude et inversement. Car effectivement dans l’éternité nous aurons le temps de tout nous dire.
Duby dit quelque part que l'histoire est une manière d’écrire, et il en va de même pour la politique ; c'est une manière de prendre conscience des contradictions de la nature humaine et de développer ces contradictions en suivant non pas l’éblouissement des progrès techniques qui peuvent faire illusion, mais l'accroissement du doute et de la remise en question des approximation du savoir historique toujours dénué de cet absolue certitude qui est le privilège de la foi.
Le savoir historique n’appréhende que de l'incertitude subjective mêlé a une forte dose de certitude objective ; et souvent l'histoire des historien ne déploie que le coté objectif d'une totalité brisée ; mais le développement de la seconde puissance de la conscience n'est pas non plus semblable a une histoire des idées, car son matériel fondamental est toujours le même : l'angoisse ou la lucidité; l’indétermination subjective fondamentale est en quelque sorte séparée d’elle-même par l'approximation historique ; ainsi qu'une qualité abstraite et universelle l'est par la possibilité ou la réalité d'un être ; de même que le devenir réel d'une même qualité est un renversement de la décision ou le choix fait basculer le non-être dans son contraire pour que l'essentiel devienne vrai; de même encore que c'est la statu éthique d'une parole qui fait la différence entre une conscience de l'insignifiance effondrée dans son angoisse et une conscience au second degrés ; aussi quand le christianisme pose que la félicité éternelle a une condition donnée dans le temps, il ne fait que rétablir les propriétés d'une figure géométrique de l'esprit naturellement prisonnier de sa propre vacuité qui a la fois rend possible et empêche de prendre connaissance de son pouvoir authentique : devenir une conscience de l’invisibilité. A moins de dire que l’approximation historique est l'entre-deux du passage de la certitude de l'insignifiance (déjà signifiante du rien) a l'élan de la foi qui n'est que l'intention déployée d'une future contraction de la certitude de l'invisibilité dans la lecture des approximations de sa mue qui l'ont amené a dépasser l'insignifiance de l'angoisse et a user entièrement de son pouvoir adamique. Sinon pour rigoler vous pouvez vous cogner le dernier besson qui touche très très vaguement et très très grossièrement ce même problème, issue de cette intuition fondamentale de la plénitude promisse par le désir d'un être n'utilisant pas encore toute ces capacités... mais bon, c'est plus long et beaucoup plus hasardeux quand a la forme que vous y trouverait.
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