Liberté intégrée.

La première mesure du mystère du cercle de l'amour propre qui pourtant bien ficelé s’échappe a lui-même c'est la lune blafarde dans le rond d'un étang qui brasse la mélancolique sérénité … c'est les deux yeux perdu dans le vague regard du cyclope et déjà l'incarné amour propre qui se mue en ce qu'il faut trouver … c'est la même chose l'amour propre et la vérité mais renversé l'un dans l'autre … le mystère c'est ce qui s'incarne a travers cette mue qui apparait sans disparaitre jamais plus ... c'est l'impression profonde que vont chercher les lettres dans le silence des fonds baptismaux de la sensibilité… et c'est de la cendre du cercle premier de l'incandescence que jaillissent les mots éclot de la souffrance a panser mais pas encore libérés d'elle; c'est eux qui jetterons l'assaut du manque au descellement des silhouettes surgies a la surface de la souffrance dans le dépôt du vertige par lequel la douleur sera renversée en notre présence mutuelle... les mots sont comme les bris du cercle premier des fables tombant en germe de catastrophe, la sensibilité percée par la mort innommable, reviendra a elle nommée en kata-strophe,  kata dunamin sur un nuage de lettre plongeant dans le sol des souffrances sensibles au passage du temps, le concept de la nouveauté, l'inespéré concert capable de fleurir d'aube et de recomposer la terre de la sensibilité riante par les vues de l'astronome en redingote d’intérieure examinant le premier pas des astronautes sur le pistil des fleurs harcelé de lune comme l’épiderme sensible a la mort de leur globe de mercure couvrant leur yeux… c'est là, au désert que l'amour propre, sensible a lui-même, satisfait muet puis déchu mystérieusement, comme frôlé par quelque astre étrange et d'invisible gravité, recompose le cercle neuf de l'esprit renaissant de la sensibilité muette en corps parlant avorté du regard veuf a trouver et a définir par le medium du mystère consolant … cette reculade avancée qui fige le temps l'empoigne car il revient a la souffrance de se chercher, de se définir en l'aimé et de se dépasser en le trouvant … toute vérité de concept possède sa vérité d’atmosphère et dans la foule je ne vois rien qu'ombre et néant du spectacle insignifiant … ils sont chacun au bord de la prodigieuse faille et s’épanchent comme cerfs, renards et sangliers assoiffés l'un de l'autre par ce qui s'est effondré en terme d'eux-même sous leur poils lustrés de faune, le tronc des peupliers les salut et se courbent comme des archers tendues par des mains pleine d’écailles et de feuilles, faisant trembler l'eau de l’étang qui s'enfonce au-delà de ce qu'on peut comprendre et imaginer; le faîte trempant dans l'imagination transparente, la sève perds la boule logique et désespère a fond, jusqu'à maudire et noyer le jour de sa naissance dans l’étang, ce qui est une façon de parler, de dire l’être cher surgissant du secret parlant de la chair a la chair intérieurement … une manière organique de désespérer avant de pouvoir faire confiance sociétalement, une épreuve ou en sombrant l'amour propre prépare le risque, élève le possible a la réalité comme un risque initiatique sans lequel toute communauté n'est que chimère d’êtres volubiles et inconstants, une manière de descendre sous le temps pour en secouer les puces intemporelles qui mitent le motifs et de laisser l'amour renaître dans l'espace symbolique de la terre soudainement dévoilée entre les fougères ou la nymphe éprise de narcisse n’était encore qu'un échos aux yeux sourds de son amant … une autre manière de parler et de dire l’avènement d'un monde qui relie la chair des aimants comme ces lourdes pierres millénaires qui criblent le fond de l’étang d'un épiderme chaotique pourtant plus léger qu'un frisson du lien ardent; les perles logées en ce foyer de chair perdue a elle-même, ou prise de se sentiment comme par un mutique vertige isolant, remonte le chapelet d'herbes et de joncs, d'intuition en sentiment, parlant tous de toi, et de l'huître fermée de ton sourire comme un ultime pli sur le silenne insondable, ridule sur le sable mouvant ou le risque prend pieds dans le mystère de la souffrance révélée … c'est que tu es le secret du cœur échappant a toute expression autre que révélée dogmatiquement.

 

Note

L'anthropologie est le secret de la théologie, ce qui dans l'ordre de la révélation peut se lire en sens inverse sans se contredire en rien, aussi on ne peut certainement pas dire que la théodicée soit une question périphérique puisqu'au contraire la réciprocité de l’anthropologique et de la théodicée est le cœur, le centre du maelstrom, l’œil du cyclone ou règne la paix du croyant ; car l'homme est l'organe de ce double sens de la révélation (de dieu par soi et inversement) sans laquelle l'horreur nazi pourrait n’être ni scandaleuse absolument ni injustifiable éternellement. Cette réciprocité du lien corrélant l'humain et le divin butte sur l’égoïsme des derniers temps et la non-vérité de nos représentations a dépasser ; elle est si peu une question périphérique que les peuples musulman buttent eux aussi sur ce paradoxe retranscrit a l’échelle politique du rapport de l'individu au général ou l'expression de l'amour mutuel qu'ils veulent instaurer semble obstruée en sa source soit par l'absolutisme de la lecture littérale du texte saint non-modulé dans les conditions historiques de la chair, soit par le sensualisme de la performativité devenue trop lâche en chaque individu pour reformuler intérieurement l'injonction divine d'aimer pour devenir l'image du père. Dans un cas comme dans l'autre, ce qui manque a la répétition de l'intention transcendante dans l'organe téléologique de chaque individu c'est la croyance que les événements historique contiennent quelque chose de plus haut et de plus grand que le temps, mais que de cette réalité nous n'avons que l'esprit, comme au fond il convient assez logiquement a un être en train de naître a la réalité. Du culte dionysiaque et phallique au cloaque abjecte du Reich il y a le projet millénaire de la conscience développée jusqu’à son effondrement dans sa propre richesse devenu chaos sans principe régulateur (idéal au sens kantien), dont la réciprocité de l'anthropologique et du théologique est la forme indépassable, mais recouverte désormais par les poussières et les suies abominables du non respect de la respiration fondamentale des cercles borroméens de la réciprocité la plus intime et constituante de l'anthropologie et de la théologie fondant l'ipsum proprement humain tel que le révèle par ailleurs aussi l'histoire de l'incarnation. Souviens toi ! … le baptiste est emprisonné dans les geôles d’Hérode il cherche a savoir si jésus est le christ ; les disciples font la navette et jean reçoit pour toute réponse : « heureux qui ne se scandalise pas de moi ! » ; tu as la le contre-témoignage d'une vérité circulant incognito dans un monde ou entre deux suffrages de spécialistes élisant miss univers et ou chacun vote pour le menteur le plus convainquant, c'est a dire le plus cher, le fait de se voir dans un miroir est rétablit dans son scandale, dans sa disproportion qui autrement que devenue consciente aux prix des pires tribulations spirituelle personnelles écartant les buées du ciel de la félicité, sera subi et dont nous serons les jouets de la soldatesque uniformité grégaire du musulman enrôlé, parce qu'il rappel que se voir ou se connaître équivaut au scandale de la réciprocité axiale de l'anthropo-théologie que les muftis auront toujours quelque difficultés a laisser complètement descendre sur terre pensant peut-être avec raison qu'elle n'est plus habitée que par des hommes davantage scandalisés par cette dualité de leur nature qui blesse leur égoïsme au plus vif de l'amour propre et qui préfèrent rester indifférent aux massacres des innocents plutôt que d'affronter leur propre nature scandaleuse.

Peut-être alors aussi verrons enfin un jour naître autre chose en terme d’économie politique que les savant calculs marxiste qui ont limités la matière du sujet même qu'ils abordaient pour la première fois de manière scientifique ; la définition de l'ipsum qui passe par la reconnaissance de l'anthropo-théologie pourrait alors inclure une définition de l’égoïsme des derniers temps, comme système de pensée masquant mal son scandale, son refus, son péché et son refoulement de l'amour mutuel sous l’écheveau d'une complexité aussi artificielle qu'inutile comme le sourire de façade sur le visage d'une fausse humanité de classe ou le souci classé selon l'ordre parallèle a l'amour mutuel ne se formule pas éthiquement dans le caractère d'un homme mais dans une langue de bois faisant barrage a son règne, figeant la sensibilité et la réflexion dans un désespoir sans fin qui a terme explosera qu'on le veuille ou non. Comment peut-on vivre en paix et dans la joie dans une société dont tout montre a l’évidence qu'elle ne prend pas les bonnes décisions. Ainsi le pdg de Renault, parfait contre exemple d'humanité proposant en guise d’éternité dans le temps la réalisation d'une tache, la voiture électrique, dont l'enjeu sémantique est fort douteux puisque l’œuvre n'est ni viable ni assurément moins polluante que la technologie précédente. Vivement l'air de la combustion et du moteur a compression d'air … on ira moins loin moins vite … assurément un pas sera fait dans l'ordre de la sémantique plus important que celui du premier homme sur la lune ou la bête humaine le visage enduit de charbon pourra panser ses plaies narcissique a coup d’éthique herméneutiquement bien bandée dans le sens apocalyptique de l'histoire menant a la révélation de cette réciprocité.

Summer & Castor.

Flou sablier d'anagramme, miroir hurlant les heures et laissant planer un soupçon de lumière sur le tir bouchon des babouches d'Aladin ; la foi de Shéhérazade frise le vertige des baguettes a l’afflux du timbre quand elle raconte avec feu l'histoire roulant consonne dans les airs comme pour transfigurer le vertige en voix, cristalliser le vide en tension contraire, et stupéfiante histoire de cet homme qui cru que le néant n’était pas ce qu'on le disait être, le dernier soir de sa vie, lorsqu'il fut convié par les Festin et Famine a assouvir leur curiosité la plus secrète pour le mystère des convives, a satisfaire leur inquiétude métaphysique, par une ration de mots qui ordonnaient clairement l'injonction d'aimer comme un devoir encore confus de chair contusionné d'idées ; laronnerie jaillie du suçon du vers comme une toile d'araignée pendue aux chimères, mais une aile pourtant, une poussée de plumes eidétiques, un nuages de position incertaines dans le temps dialectiquement taillée par le biseau des flammes du miroir, confectionnant sur pieds et en pièce frères tisserands, l'aveugle sur mesure dans son costume de mendiant, muet voyant, témoin d'une anti-sèche, d'un anti-corps poisseux circulant des pieds a la tête, qu'un trop peureux soucis du sol déséquilibre sans cesse comme un grelots plein, encore, d'idées qui ne germeront plus dans la chair frémissante du néant dépassé, comme on dit d'un traumatisé que la médecine l'a plongé ou le maintient en coma dépassé, ou il renoue avec le procès de la vie accusé de matière par la lumière; sourd un sol plus ferme que la terre frémissante sous tes pas, et qui prend racine directement dans le mystère du cœur ou l’épave du Scheddar sombre après avoir virée longuement a travers les trous de gravité du gruyère ; corps et bien au delà de l’atmosphère, la ou l'olympe ressemble a l'hippodrome des fins tournoyante sans fin dans l’organisation de la mandorle de tête, inattendu comme la fatigue des concerts épiques qui s’enchaînent entre deux répétitions hors champs ou jamais je ne te vois venir sans la grâce élimée de ceux qui ont l'exactitude des flottants.