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20/05/2014

https://www.youtube.com/watch?v=wKSjqFEBTy8

J'ai la bouche et la langue embarrassées.

Les mots auront ma peau puisqu'ils me touchent d'une main invisible enfouie dans un sac de blé, me prennent a la gorge, se serrent la main en moi comme des sages femme chafouines expulsant les signifiants mort né, liée entre elle comme des sœurs d'esprit siamois ( de le quenouille tirerais-je les cheveux par la beauté?), comme des atomes crochus fantomatiques, qui jettent a l'eau, par dessus bord le feu épidermique des six faces du lait spirituel dans les maux de ventre de l'en soi de la sensibilité, tandis que je roule en boule mon miroir d'haruspice dans son éclipse de poche a la plastique impeccablement aquatique de sirène levé du corps du texte étoilé ramené au silènes de supermarché; royalement, chaque mot vrai chamboule tout le dressing ou je cherche mon costume d’épiphanie ; l'ais-je oublié avec ma tête au pressing ? Lavage a sec recommandé pour les pelotes d’herméneutique emmêlées ; sur le pli, l'ombre sans reflet, casse leur fil, pour qu'autour du vide plus intime que l’intériorité, la césure du verbe complet de l’épiderme voltaïque fusse repassé au grain des lumières. Chaque mot est une injonction du cilice de l'auto-flagellation ou j’assiste en chaire privée a ma immunosuppression sur les feuilles sur-imprimé du néant. La voie glisse sur le mur de la souffrance jusqu’au texte sacré, qui seul marche et se tient debout, sur le seuil profond de mon intolérance a la vérité.

 

19/05/2014

https://www.youtube.com/watch?v=crPAbgMB3W4