Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/11/2014

(Didascalie) voix lactée.

Il n'y a pas de mémoire de la création; et le récit ou elle projetait d'enfer sa connaissance de l’éternité, était lardés de trou béant par ou passer la lumière immatérielle d'une unité supérieure et différente de soi ; un tout autre rapport a soi-même, était le secret qu’éveillaient en eux la recherche du texte sensé ; entièrement cohérent, qui non seulement les emporterait dans ce qui est la vie de tous les jours, mais transfigurerait chaque instant de cet vie prosaïque en une pure continuité miraculeuse ; le problème était que le secret de la transfiguration était scellé dans les malles du langage d'un tout autre genre de réalité ou la joie n’était pas un absolu de réalité, mais un événement heureux du a la fortune et aux hasard, ou le prosaïsme n'est qu'ennuie, tracas, seulement éclairé par de rares instants de joie qui brûlaient aux PMU et les jours de loterie, comme de lointaines galaxies, dont il aurait aimer qu'elles entrent en conflit avec l'obscurité intersidérale, la dévore entièrement comme pour voir la chose de la joie, d'un peu plus prés ; Hubble pourrait voyager un milliard d'année sans rencontrer dans l'univers la moindre trace de sentiment, cette forme complexe de la sensibilité qui ressemble a l'esprit dans la mesure ou elle se coupe de ce avec quoi elle prend connaissance d'être en rapport ; explorer l'interstice, fut depuis toujours le premier sentiment de cette force, ressentie comme un déséquilibre qui avait fait vacillé en avant cette espèce folle, cet animal dégénéré qu'est l'homme ; on l'avait sondé et parcourue a la barque, dans des drakkars noirs fendant les brumes et les flots, on l'avait nommé comme une ligne de front au pourtour des cartes, on l'avait nouées aux cou des ballons et des filles, comme ce petit signen annaux bracelet, conservant la mémoire de l'irréalité de ce qu'on cherche ; était venu alors le temps heureux ; le signe avait fané autours des bâtons de pluies, et le déluge avait recouvert la terre et emporté le petit fichu ; alors TOUT était devenu signe ; c'est lui qui s’écroulait sur écran géant sans échappatoire, dans les grands drames de douleur ; derrière la croûte des nuages, les grand tremblement de la lumière montant sa propre échelle de grandeur dans l'effondrement de tous les vœux d'un cœur humain ; tout commence par un grand piétinement ; les bottes et les talons qui semblent surgir du vœux que l'on a osé formuler, une légion d'ennemis et de contradictions , d’empêchements, d'interdit, jaillissent de la première formulation du cœur ; en même temps elles sont né, les deux pans de l'alternative, mais dans l'euphorie de la première formulation la somme de la négation de notre vœux, s'il n'est pas des sa racine, correcte dans sa formulation, mit toute une vie a se former ; les premières conséquences peuvent paraître bonnes un certain temps, très longtemps même, mais toujours viens le démentis, non pas partiel, mais complet qui ruine entièrement le monde, dévoile l'être dont la maladie est d'avoir une connaissance irréelle de sa réalité qui s’étend au-delà de lui-même, contamine toute chose, se perd en confusion, et réduit l'expression mondaine du vœux en poussière ; en détruit jusqu'à l’entière possibilité en emportant un fils de chair et de sang; ai-je vraiment formulé le vœux ? Pourquoi l'ai-je aimé ? Pour souffrir éternellement de sa disparition incompréhensible, au moins aussi incompréhensible que l'instant ou je l'ai aimé et que j'en ait eu besoin plus que de moi-même ; et c'est la puissance sémantique du signifié transcendant qui s'ajoute a son propre dire, qui retombe comme un érosion de sens qui liquéfie jusqu'à la réalité l'organe et les pulsations qui on formulé cette conscience désormais inoubliable; l'organe meurt de ne pouvoir intégrer sa propre formulation ; mais toute graine meurt n'est ce pas ? N'est ce pas ce qu'on vous a enseigné ? N'est ce pas non plus ce que l'on observe, ce qui fait qu'une chose est intéressante, c'est précisément ce saut ; la longueurs des branches n'a d’intérêt que pour le savant au sentiment abstrait, la vivant lui cherche la rupture, la ou les liens deviennent spirituelle hors de toutes apparences, invisibles; ce vœux on le formule une première fois, a propos de tout et de n'importe quoi quand c'est la passion qui parle ; ce vœux est happé par sa propre formulation, il entre dans son propre destin, et si la négation survient, pour son bien, c'est pour prendre conscience qu'il ne choit pas hors du monde mais qu'il y a toujours était tandis qu'il se tramait dans l'illusion d'avoir prononcé quelque chose d'essentiel a l’égard de l’être qui serait en tous aussi malléable que son cœur trop tendre et en formation ; si bien qu'on avait cru le monde, la réalité d'un vœux accomplit ou s'accomplissant ; mais quand tout viens a le démentir c'est la sémantique qui tremble noétiquement et la sensibilité doit rompre avec ses propre tremblement pour devenir artiste en quelques sorte et se voir sans la trace de sa discontinuité qu'elle laisse luire sur la culpabilité d’être sans pouvoir dire son nom ; culpabilité jamais vaincu par la joie première qui ignore tout de ce combat ; ou n'en aperçoit le concept mais que de loin comme une étoile, une comète frôlant l'enthousiasme naissant, le flétrissant a peine sur son passage, alors que la lumière en extension en rejoindra a nouveau l'ellipse qui donneras lieu, la seconde fois, a une tout autre collision ayant une puissance et une importance autrement décisive dans la transfiguration de la nature immatérielle de la réelle éternité déjà présente dans le temps comme un îlots coupé, une île aux confins étroits et escarpées; ce premier monstre de la lumière, premier monde de la première joie qui ignore encore son pouvoir surnaturel et ne le reconnaîtra qu'a travers sa ruine, existe et vit dans un monde qui passera en un clin d’œil ; peut importe le cadre politique de cette mutation, elle n'a d'importance que si vraiment un régime politique était capable d'engendrer un homme qui n'aurait jamais formuler aucun vœux ? La politique dirait un stoïcien, n'a pas ce pouvoir d’empêcher un homme de formuler un vœux ; sauf si elle devient démocratique et festive dans le contentement sans concession, pour tous les sentiments instables, si elle cultive la confusion et les sensations réflexes ; monde informe mais captivant, qui passa en un clin d’œil, pour laisser la Face de la Providence, tirer ses traits des points d'effacement d'un instant de joie ou l'on a cru faussement le vœux accomplit, monde qui passe par la présence sans s'y tenir jamais ; formulation plénière du cœur évidé, et qui enclenche le destin de l'effacement de toute signification qu'on avait soi-même projeté pour ce monde, et qui sera impitoyablement rédimé pour que le cœur découvre sa vraie nature supérieure et une autre façon d'accomplir son vœux, en levant le couteau sur le fait de l'avoir formuler sans aussi le concevoir en dieu, et pour que sa véritable identité sensible d’être crée sorte enfin de l'illusion solipsiste ou il ne s’éprouve pas en tant qu'esprit, absolument sensible a l'absolu, mais se noie dans l'entre-deux mer avec d'autres êtres tout aussi ego-centrés.

Les lois qui exclus toute conversion possibles pose le cadres de la plus grandes sensibilité a la perte sans laquelle la mémoire du rapport absolu a l'absolu n'est pas conservé par le risque même qui en ébranle l'avenir de sa mémoire possible, encore et toujours possible, encore et toujours risqué, « encore et toujours » risqués.

 

22/11/2014

03H36

03H15 Méthylène ne tiens pas compte du bleues état larvaire du son, c'est pas mal finalement, la sève pousse en déflagration, nourrie depuis un bon moment par son absence de scène, son mystère, sa frustration, bombe et tombe le torse, hors de toute atmosphère, et disparait dans l'oubli comme cette somme d'événement, criant "Champignonniste!" a ceux que nous étions presque définit!!!.... les regrets de l’événement interminable le pourchassée sans répits comme des chien de chasse formulé par le cours du récit, la main de leur maitre relaté dans les poils des plus grands savants, qui en le prouveront, avec la plus entière certitude que nous ayons vue depuis longtemps dans le cirque ... la disparition de la plénitude de grâce ... resurgit du peu d’intérêt pour l'existence du système qui ne peut produire ce sentiment d'appartenance a dieu,  a moins qu’au self ils ne reçoivent les tripes en sauces comme un don excellent et parfait ... dos sombres d'autres spectres croupissant la lumière, l'herbeuse vacuité d'ondes éclairées par l’aléatoire nébuleuse du chien jusqu'en son nom qui laisse imaginer sa fin dans l’explosion permanente de ton clavier aux déflagrations sans conséquence définitive sans échos pour te le rappelé ... ce qui s’oublie le plus facilement comme un serment formulé .... et reprisée par  l’atmosphère  sous les néons de ma propre identité dont la présence me fait flipper ... la viscérale vue apparente de l'autre, appréhende le spectre qu'elle projette comme une présence vraie conséquente ... qu'on ne peut effacer... all-skin unique, trustée hallucinantes lampées, les fièvres de la descente ! avale sobrement !! Pilule amer peut-être six: meurt sur facebook ! crame y définitivement, tes bisexs bandent encore les drapeaux d'une fièvre qui court les nuits de fière allure vanté inexistant par les cimetières enchantés des êtres crevé de faim … tout au foooonnnnnndddddd de l'humanité … le beau monde parfaitement ciselé ?? …. la galerie ? Palais ? Pierre défoncé ? Trace d'autre chose … qui ne serait pas différent, de cette vie, mais entièrement requalifié, renommé autrement, autrement réfléchie, éprouvé autrement, et vécu et aimé selon le sens dune éternelle relecture possible des trous de mémoire … y apparaissent des qualités que l'on prend souvent d'abord pour des gestes involontaires, alors qu'ils sont notre véritable pensée …

21/11/2014

L'Individu.

Pas facile de rentrer a bon port, d’évaluer le sens des vents et des courants, de prévoir, les reflux, les ressacs et le grain qui chamboule tout ; pas facile vraiment ; surtout quand on a plus de boussole, quand on frôle les pôles et qu'elle s’affole, tourne dans tous les sens, et qu'on sait que ce qui reste de vérité ne tient qu'a se qu'on se raconte ; les confrontations, les points de vues divergeant entament les perspectives, compliquent les vues de l'esprit et les entortillent sur elles-mêmes comme les sarments de vigne se cabrent en s'enflammant en autant de ruelles revenant sur leurs pas, établissant le contraire de leur propre présupposition qui font l'esprit semblable aux labyrinthe des grandes villes ; alors on s'y enfonce, on tente tant bien que mal d'adopter le point du vue des autres, pour voir si par hasard l’événement de la violence, le phénomène du non-sens, possède malgré tout une histoire ou si c'est foutu d'avance, si l'esprit ne serait pas cette chimère qui s’évide de ses propres certitudes et nous abandonne tout ensanglanté et meurtri entre deux rues, a moins que l'on ne devienne un autre ; et si c'est du beurre et s'il n'y a rien a faire contre le divorce des connexions synaptiques, si les segments ne se recoupent peut-être est-ce justement parce qu'on touche au scellés du mystère devant lequel on se déchausse tout simplement ; ils sont rares ceux qui ont le courage de reconnaître leur contradiction, ils sont nu a genoux dans la neige posé sur l'autel des souffrances ou brûle les offrande offerte de l'amour ; ils sont rares ceux que la contradiction a sécher sur place, immobilisé, et qui forme comme des pierres d'achoppement autour desquelles la foule brise son courant ; ils sont la clôture de la raison pour une conscience qui boute le signifié transcendant hors de la concaténation symbolique qui la relie a la réalité dont il n'y a pas de science immanente, dans un monde ou rien ne la reflète plus, et qui ressemble au tangage permanent d'un navire ou la foule se presse en fonction des bords et du poids relatifs des raisons partielles du plus fort, changeant aussi souvent de directions que les saisons; ils ont perdu la raison et ils touchent a l'Amour ; on les traite de tous les noms, on les abominent, les couvrent de crachats parce qu'ils sont ce qu'on n'est pas, l'Extra-ordinaire, ce qu'on voudrait a tout prix subsumer sous une catégorie plus haute qui ne serait pas transcendante mais politique (comme s'il s'agissait de sauver tel ou tel nation, et non de rétablir les nations dans leur fonction politique de moyen et matière au service de la formation contradictoire de la conscience), ils sont l'Individu dont la raison d’être, l'essence est le secret transcendant dont seul Dieu a connaissance; voilà l'unique catégorie essentielle du christianisme qui ne procède ni d'un refus du monde comme tel, ni d'un ressentiment envers la vie, mais bel et bien d'une catégorie positive, d'un infini du désir cherchant sa plénitude, qu'il s'agit de faire paraître en caractère dans sa vie, en exposant son être au risque absolu de tous les malentendu d'une Répétition de l'Intention aimante de Dieu qui forme une plénitude de vie bien plus riche, consistante et solide, que tous les épicurismes réunis sans être pour autant ni voluptueuse ni bêtement aride, puisqu'elle est la grâce donnée a chacun de se connaître participant de l'Oeuvre du Créateur; sans ce risque, tout ce qu'on dira de la vérité ne sera qu'un rêve, une propagande interne a laquelle on se sera lâchement soumis ; l'Individu est celui qui ose croire que son désir est l'image de l'Intention d'amour qui traverse la création ; il n'y a qu'en essayant de se remettre dans les pas de cette Intention que l'existant a chance d'apercevoir la Face du transcendant ; cela ne signifie pas que l'individu appartienne encore a une catégorie supérieure qui le subsume ; bien au contraire, son essence dernière est le secret de son être en Dieu et ce n'est qu'en resserrant le goulot des contradiction jusqu'à l'asphyxie de la mort a soi-même qu'il a chance de faire coïncider catégorie dernière et ultime forme existentielle de sa vie; lui-même l'ignore mais il a confiance, et surtout il en prend conscience en reformulant la contradiction qui le libère des catégories ou ils ne peut écrire pour le relire éternellement dans son ressouvenir, le désir infini d'aimer et d’être aimé qui l'habite ontologiquement; toutes les catégories politiques sont des catégories inférieures a celle de l'Individu, le désir qui est l'esprit en devenir, n'y prend jamais une complète conscience de lui-même, et il reste essentiellement scandalisé ; l'Individu n'appartient qu'a Dieu et cela ne signifie pas qu'en retour il doive obligatoirement devenir l'instrument d'une politique qui prétendrait établir le royaume de dieu sur terre, non plus que de former autre chose qu'un monde ou la contradiction serait le moteur de l’élan vers la catégorie dernière, puisqu'au contraire l'essentielle contradiction du politique est pour lui le ressort d'une ironie et d'un humour qui le détache des contradictions de l'immanence et fait de sa vie sur terre un moment, un passage et une lutte pleine de grâce ou se forme la conscience éternelle de la transcendance et de la valeur absolue de son secret qui aura douloureusement transcendés tous les écueils de la monstruosité inhumaine des fausses réconciliations qui n'expriment rien de l’Alliance et laisse l'humanité choir éperdument dans le vide sans fin de son inconscience.