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15/06/2014

sans titre (en cours)

Les cotés de l'avenue n’étaient discernable qu'a travers le jeu improbable des enseignes clignotantes qui se rejetaient entre elles, le feu pale et sanglant des lunes insignifiantes a la violence de rue qui l'empruntaient munis de leurs repères pour traverser la nuit de bar en bar; combien ne préfères-tu pas rester dehors au grand air, surtout quand l'oasis n'est plus que le nom d'une boisson trop sucré pour tes entrailles sévères, qui ont le goût de l’éternel fraîcheur du vin soutiré de toute l’épaisse mycose qui pourrie sur ta langue au point de jonction entre les matières nues des notes inqualifiables en groupe du bien qui t'appartient vraiment, Dieu ou crotte se dit la croute l'esprit baillant, ondulante sans grâce danse du ventre et des tords boyaux d'eau de flatulence; l'oasis si loin de la fulgurance du coup de sang de la lumière te navre, te laisse indifférent ;comme le sont aussi, toutes ces voies qui au matin s'effaceront de ta vie en emportant avec elles l'espoir d'avoir été détrompé éternellement par amour un jour d’écrasement sous la pointe du saint-outil; les voitures jaune d’œuf remontaient du sommeil le mot de la fin, la final d'amour vibrant sous l'univers plein de tremblement, le mot de remorque devant t'aider a effacer toute angoisse pour jouir pleinement de la lumière, y discerner ce bien qu'on a tous sur le bout de la langue, et qui picote comme un examen du cancer de la fumée, un examen de cette réalité qui se concentre en elle-même, se nie et se répète dans ses ruine, non a la façon des porcs qui se roulent dans leur fanges, mais a celle des manières qu'il y a de se faire secrète et signe, explosive discernement de l’éveil,  qui ressemble a une visite médicale dans le saint des saints, le chandeliers et la tapisserie, le rouleau et la sangle, recueillis en sa cymbale l'instant d'une baguette magique, nouant le spasme du rapport, du signe au réel, lien qui contient tout, tire tout et rapporte tout a l'organisme parfait répété en lui-même, repéré comme un fleuve invisible coulant entre les jonc, par le canal des muses, coulant comme une vision, couvert d’écailles de lumières réfléchies par les bords de verre brumeux de leur galerie unies vers ce énième coup, trois, quatre, disparue, ressurgi dans une continuité d'espace temps sans lien directe, sans présence réelle autre que celle du vent qui emporte le monde, ou les causes et les effets se font conceptuellement la guerre, nerveusement attisé par le concert du feu transcendant auquel nul action n'est insensible si elle est vivante, vibrante accession au règne de sa lumière. En parfait éclatement de toute présence reposant sur un savoir, la licence herméneutique sans age, gifle l'imaginaire, et de l'autre main, lui met le nez dans son caca; ses doigts sont des serre de gargouilles sur une branche de saturne, son corps masqué d'un bec de lièvre, dandine sur ces lèvres, comme une rumeur, le symptôme d'un rhume tenue dans une série de cellules de verre dont la fin ne se répète pas en elle-même, mais s’éteint éternellement, définitivement la possibilité de se tromper, comme une maladie de la lumière dont la conscience ne gardera aucune trace, quand devenu toute vibrante de malaise, l'amour aura éclot a travers le bardages de pierre qui enserre la bulbe comme un lierre  enchaînant le silence au silence, jusqu'à produire l'impression du mystère qui se concentre en lui-même dans l’écriture, se redouble d'un silence atomique, une effraction dans la nuit, le vol d'un pendule a balanciers la maison pleine de tremblement a travers les murs ; dire ou supposer une seule seconde que le palais d'or n'est pas derrière la contraction du placenta, c'est croire a l'avortement de la lumière qui doit bien éclairer quelque chose d'autre a la fin que nos propres atermoiements...âme faible pardonne moi si je te quitte, mais je ne peux suivre autre chose que cette foi qui décri son calvaire comme une ombre, souvenir ou immédiateté qu'un seul mot de Lui, permet d’éteindre jusqu'à faire de cette souffrance, la décomposition de la coquille larvaire, faisant ses premiers pas en marchant sur cette poussière que et s’avançant dans la lumière, les pieds nus arraché a cette terne boue d'insignifiance pascale ou rien dans la matière n’était ni bon ni mauvais ; le relief du grand protozoaire se détache par achèvement de la licence parvenu a liberté par la foi inscrite sur les portes close des pétales du silence parachevé du saint tout définitivement réel amour cerclé en lequel la tête, il se tenait ; les colonnes du temple lui cachaient l'autel, mais l'office développé, vaquait aux taches ménagères ; comment pouvait il voir le dernier modèle parmi les voitures qui passaient sous son aile ? Il ne savait même pas si le vacarme de la circulation était le produit des voitures qui déchiraient l'espace d'une multitudes de son qu'aurait très pu émettre des grilles frottant contre la sphère des fixes en rotation, comme des disques venue du fond de l'olympe, remontant le temps sur le champs olympique des visions identique que reconnaît le monde comme sienne, celle de l’arène, de la lutte et de la mise a mort, plutôt que la dispute des mots recomposant la science du silence des espoirs aussi violents que les décharges d’énergie sauvage qui témoigne le long des rivières du gâchis provoqué par des saignements de nez a son âne hémophile. Était ce la une chose qu'il était nécessaire de connaître pour savoir ce qui était essentiel dans la vie ? Si cette connaissance ne repose que sur une forme d'inconscience qui doit s’éteindre a la fin ? Brûlons tout ce fourbis interne. L'éternité est un ordre irrévocable des choses menant a un fait irrépressible quoiqu’on veuille faire pour s'en protéger tout en désirant l’imiter pour devenir soi-même irréversiblement formé par son désir, a l'image de notre réalité quand nous serons en Lui; quand le dernier feu de l’inconscience s’éteint, l'absolu paraît, et il règne partout, même quand il semble le plus effacé des signes dans la violence sans nuance de contraste trop parlant, et que l'on gît, a bout de force, contre les portes fermées du signe, quand la nuit est un coup de poing entre autre dérouillée du printemps sous le brouillard épais qui couvre les étoiles d'un œil injecté de sang, et que flotte dans l'air la promiscuité du diable tenant dans sa griffe, déjà la racine des signes qui traversent nos intestins cherchant l'oasis ou devait flotter ce sentiment, dans un parfum de sainteté comme une oriflamme a la simple fortune des vents.

14/06/2014

sans titre (en cours)

Jeudi...ne pas noir sur blanc ta bresence incongrue aimée...je ne te reverrais plus...fait suspendu du mal possible....exposé a ton amour...ma faible derouille de la mort.

13/06/2014

note

L’écriture c'est l'esprit ressuscité malgré la conscience de la tache aveugle d'encre noire qui l'habite concernant l'ignorance du premier principe.