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20/06/2014

sans titre (en cours)

Le séquençage du clone juridique de l'humanité avait pris plusieurs siècles de composition grammaticale avant que le Golem ne soit fin prêt ; il ne lui manquait que le poids de la conscience a faire peser sur les rouages de l'horloge pour que la friction de l'absurde consomme l’entière vérité des siècles éculés ; la réalité humaine recomposée a partir de l’intérêt fondamental du travail salarié montra un grave défaut de ressource en mains d’œuvre fantôme capable d'augmenter le poids juridique et morale du capital de plaisirs justifiés par l’indifférence spirituelle; plusieurs génération de fraîchement endettés serait nécessaire a l’équilibre des comptes pour les besoins en cocaïne et en pute des bas fond de la civilisation renversée ; comment sortir de nulle part quand le monde balisé est un non-lieu, un échangeur d'autoroute tournant sur lui-même a la vitesse d'un accélérateur de particule ou rien ne bouge ni ne vit hormis les collisions des forces antagonistes des âmes partagées pleine d’hystérie? Quel fable inventer pour éventrer la poche de placenta du cauchemar journalier, réconcilier les faces du diamant et fixer les degrés de la lumière en étalant les pièces a charges du procès de conviction? Que plus aucune analyse du monde ne puisse atteindre la certitude signifie seulement que le monde n'est plus qu'une immense couche de sédimentation de commentaire captant toute parole avant qu'elle en perce la surface, c'est le poids des mots vaincu dans la lutte pour l'appropriation de la lumière ; sous ce cette croûte en court de fossilisation, ou même les sciences dures n’étaient plus que de douteuses approximations, le monde était devenu entièrement absurde comme une flûte enchantée bas de gamme ou les mulets pissant de l'or sont montés par des princesses coiffées de saucisses foulant des champs d’épines burlesques qui ressemblent a des puits de pétrole étincelant de poudre aux yeux et de fausse monnaie ; le directeur de l'usine s’avança sur la scène primordiale porté par la clameur du peuple anonyme et trompé auquel il avait courageusement offert sa voie ; et du fond de son sérieux savamment contre-fait, mais légèrement sur-joué sous son masque de cire, le mépris qu'il éprouvé en vérité pour ses ânes qu'ils plumait a longueur d'année, en se raclant le goitre avec sa plus rugueuse et gutturale voie de ténor, comme un dieu olympien sur le perron mythique, il déclara au micro des radio phlegmatiques du monde entubé, que le projet de l'entreprise n'était rien de moins que de participer a la réparation de l’espace sacré de toute civilisation s’étendant entre les bornes de l'extase du sentiment qui nous relié sans qu'on puisse le nommer ...ici le directeur générale eut comme un pressentiment étrange, l'intuition d'en dire trop ou pas assez sur l'interdit, un mot sur le bout de la langue qu'il ne pu cracher et qui lui fit une mycose que son chirurgien dentiste spécialiste des maladies de palais lui assura le lendemain, n’être pas un signe miraculeux de lèpre mosaïque ; il acheva son discours a la nation salariée, en proclamant solennellement après quelque menus propos sur la teneur performative du corps spirituel de la société, qu'ensemble ils recréeraient la scène primordiale du manque ou chacun renaîtrait d'un lien a l'autre dont il était le secret garant; mais aussi que pour que la compréhension de soi dépasse les avatars de la confusion, le nouveau fondement de la nouvelle société devait répéter la geste primordiale du maillon premier par lequel tous s'inscrit dans sa réalité, il sollicitait de la part de l'assemblée un vote de confiance qui serait comme la première conjugaison du verbe de l'avenir a l'imparfait, qui rend grâce du don par tous espérés pour bien commencer; une armée d'avocats s'agitait derrière les rideaux, trois avocats d'affaires spécialiste du droit international s’étaient même coincés dans la gueule de tôle du souffleur et s’égosillaient en rappelant au président de ne pas manquer de stipuler dans son discours, sous peine de vice de procédure, les noms, tenus secret, des tenants juridique des ayants droits du patronyme imprononçable qui jouirais du fruit testamentaire du travail de leur inconscient ; aussitôt le reflex pavlovien des potiches éclate dans un tonnerre d'applaudissement et de fleurs pré-enregistrés ; la foule se déchaîne, hurlant les bénéfices du cœur exultant le nom ineffable du président suédois, et sur l'intouchable mise en scène deux mannequin siliconées et mineurs italiennes qui venaient de récompenser le maillot léopard des forcenés du tricycle, lui épongent le front d'un immense bouquet de fleur amplement mérité pour tant d'audace et de risque courageux; aussitôt un ingénieux système de corde élastique arrache le président de science des bras des nymphes en intérim, et l'exfiltre en l'expulsant par les airs ou il disparaît, envolé comme un timbre poste par delà les frontières de la légalité, aux îles caïmans, suivant en cela, l'accomplissement de la parole truquée qui définit la domination de classe par contrat intentionnellement consentie entre les parties juridiquement invisible et intouchable de ceux qui ont le monde en légale possession et héritage dûment paraphé par l'assemblée générale des donneurs de sang pour l'abdication humaine de la réalité du temps aux forges testamentaires de la loi pleine de grâce et d'usufruit des sans noms situables ou ce qui revient au même, des insituables sus-nommés; la meute de journalistes au premier rang se précipite comme une conjonction de coordination dans la mélasse d'un texte en braille, mais c'est la chargée de com. et l'attachée de presse-pulpeuse qui se substituent a l'objet des interrogations, et font écran de leur corps de sirène offert en clou du spectacle ; tout l'art du management est la dans ce retournement de situation heideggerien ; plus insaisissable que la lumière de l'aurore dans la clairière de l’être grec le staff de presse pousse en un instant une foret de perche noire et de focale roulant comme des goutte d'eau morte sur les rayons lumineux des hypothétiques ténèbres radio endoscopique du syncrétisme globalisé.

 

19/06/2014

sans titre (en cours)

Soixante soi par minute, cinq écrans par heure, douze mois salariés par seconde le comble c'est le nombre clinicien du va et vient, le quotient ubique du camping sur les flots bleus de la plage rapporté au travail des serpillières épongeant les remugles des vingt-quatre images seconde, la sueur effroyable de l'absurde en moins, plus de migration hors de l’hystérie collective mais des outils adapté a sa croissance et a son développement, les merguez et la bibine retranchées de leur coût de production psychique, importés en bouche trou du fond dont ne sait quel déracinement avec les congés payés par la prod. imaginaire des besoins du salaire liée au travail inexistant ; entre les seins du cercle vicieux l'imagination tangue comme les bouées d’embarcadères, n'oublie pas ta bouée mon chéri, la plage n'est plus très sur quand elle est désertée, pourrais te noyer, il n'y a aucun sol sous tes pieds, aucune clameur quand vibre le vide, et son atome battant de ton conflit intérieur que tu ne remarque pas, tant te sollicite tout ce en quoi tu ne devrais même pas avoir le gout de fourrer ton nez ; faire un pas est risqué, c'est comme marcher sur l’océan suivre la crête des failles, la saillit ondulatoire du corpuscule insituable et remonter jusqu'au cime des névés toucher des yeux le cœur du ciel noir et pur comme une huile de vidange, pardon c'est vrai tu n'y touche pas, de nuit ? Ha non c'est vrai le poésie t'emmerde, toi t'as les pieds sur terre, tu veux du concret, de l'or en barre noire pour djellaba pissant petro-billet, alors la, oui, voilà qui impose le respect, te clou le bec, l’âme des safari en quatre-quatre sous les turbines géantes pompant l'eau salée des inculture du cactus asséchant toute vie spontanée ; ils déferlent sur le monde, vitesse grand v, plan de carrière assuré, grande école de gangstérisme, charisme de rotary club éculé, manque absolu d'imagination, mais comme chacun sait il faut être le plus plat des êtres pour réussir dans le monde ; la recette ? Hyper-simple, récite toute ta vie les prémisses d'une leçon que tu n'a jamais eut le courage d’approfondir et tu sera a la mesure commune de toute la hochante veulerie humaine ; abjecte rejeton d'une mitochondrie de parole désincarnée, conscience informe, revenue, non pas d'entre sa mort, mais escompté en kilo fric au trésors du nasdac bon public garantie banque a effet de serre du braquemart sphérique de la central quille de gouvernance certifié sans pilote au terme du contrat stipulé inconsciemment de l'abandon de ta réalité par ton psy rémunéré aux même orifice du rêve nauséabond; puis tatoue sur ton biceps tout un code barre de diplôme en police libre de hiéroglyphes que tu laisses entrevoir sous ton sweat de flanelle sport estampillé commerce équitable et le tour est joué sexe et pognon sont relié a travers ta chair ton esprit est pris au maille du mensonge collectif tu ressent la proximité de tes pairs comme la justification qu'il te manque intérieurement, je t'assure t'es presque sauvé..., car immanquablement tu retrouvera, selon ce que ton cœur d'amibe bifide de docteur es crocs, est capable au mieux de concevoir dans l'ordre du bien, le délicieux assentiment de tes quatre ans, quand tes maîtresses déguisées en écolières nipponnes te sucerons la pine structuraliste des orgasmes de chèvres dilués dans un cosmos que tu pilles sans contrepartie, et qu’après ton plaisir tu les trouve tous juste bonnes a tondre et insupportable a braire leur ignominie féministe sur les valeurs traditionnelles qu’elles charrient partout au grand dame de ton manque de taille, que dis-je ton émasculation spirituelle principielle qui fait de toi un sac a foutre une viande a variée piquée de mouches ayant tout juste assez d'imagination pour mettre en rapport sexe et pognon, pute et combine, meurtre et succès ; dix ans plus tard la tronche refaite façon sac plastique remarié vingt fois tu prendra plus encore de plaisir a la volupté, tu éprouveras une juste colère tautologique de ventriloque sourd et muet, envers les coincés du cul qui prônent les vertus focales de la fidélité grossissante sur les voies d’éloignement et de proximité, car le parachèvement de ta vie atteindra son acmé c'est a dire son crépuscule abyssal dans l’idolâtrie du plaisir absolu, valeur sur en soi- et pour soi, lorsqu'elle est déliée de tout, assumée dis-tu sans te comprendre, (ce qui est l'inverse de la honte, l’orgueil des fat) alors que règne en toi, comme un astre lugubre dans un éther noétique d’indifférence absolue et d'acide dissolution dans l'irréalité. Alors ta vie s’éteindra dans une explosion de bizarreries sans élan, mais plombant d’abîme la légèreté et la douceur d'élévation de la compréhension, tu verseras dans la consommation éternelle de la racine du néant que tu n'auras pas voulu coupé durant ta vie ; tes richesses, tes honneurs, l'acclamation du public se changeront en ce qu'ils ont toujours été en terme de terrorisme de l’âme, et de culture de la peur, et du coït noétique final des trois-huit de léproserie au profit dégagé sur la nuque, jaillira le structuralisme infernal de la dislocation éternelle de ta vue dans le verre soudainement brisé du rythme alternatif des grésillements du machin, l’écrou au centre de la vénération était a toi tôt destiné depuis le matin café crème ou tes jours coulaient dans le courant, les trains, la pointeuse, le stress des grossesses nerveuses, l'imitation simiesque de la pression de millions d’être exercé en même temps sur la vide adoration du néant.

 

18/06/2014

sans titre (en cours)

L'arbre grelottait de copeaux de vent, comme une tête secouée des milles grelots d'une impossible vision, les flagelles du cauchemars griffaient la cendre des protozoaires lumignons de la nuit, les fines bandes de lin de la menace horrible, sourde a l'existence des arrières monde, entendement amputé, avaient trouée par l'acide des mites, la semence d'effroi qui en germaient silencieusement comme une légion de cloaque toujours plus pétrifiant de brûlures encore fumante de braises de révélation de ténèbres sans fin, de crépuscules milles fois réitérant l’éloignement de la lumière et le rapprochement de la sources des lésions qui , a la fin, s'engendrent elles-mêmes, produisant leur propres comble de maléfices et de rumeurs horrible que font les innombrables colonies de cafards en s'accouplant au désert d'organe, rongeant les tripes de tungstènes qui auraient du s'illuminer et ne découvraient plus qu'une cage d'os assemblés dans un ordre déroutant qui semblait les lettres du tangage ou une âme effilochée avait basculer pour l’éternité hors d’elle-même, du fond de son exil insensé, blottie comme une molaire contre le pôle en sang de la muqueuse des ténèbres qui n'en finirait jamais de la digérer, la revêtait de confusion, de l'incisif ensevelissement d’illisibilité, la queue des rats jaillissant de la racine pourrie et le nerf putride de l'attention brisée flottant a tout vent, comme les mandibules désarticulées d'une mygale devenue folle agrippant dans l'air les vapeurs d’éther qu'un cerveau formolé en manque de tension cardiaque ne pouvait respirer comme l'air du néant d’où il émerge en concevant la langue qui marche sur le roulis des ténèbres.