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20/05/2015

Note

Vu, hier sur canal, fleur pelerin a canne glissant a l'oreille d'un artiste dont elle veut faire la promotion qu'elle affichera l’œuvre sur son mur sachant qu'elle a cent cinquante milles followers... hummm... c'est peu pour un pays de soixante millions d'habitant... mais ça donne une idée du niveau de contrepèterie qu'il faut atteindre au pays de la platitude pour passer pour quelqu'un, c'est a dire devenir un tube a pognons qui fait ses preuve publique en brassant de l'air...

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 Sous les polymères azotés des barques liquides surplombant le fleuve de leurs tranquilles coquilles retournées, les cristallisations possibles de la kinesthésie rêvée des pécheurs s'élancent d’équilibre granuleux en suspension dans la lumière rose des yeux, aux gestes vaseux comme les filets sans fond qu'ils jettent au froid et sombre lit du Cocyte a travers la poudre de leurs souvenirs qui s’éteignent s'ils ne les revivent constamment, hanté par les chants qui leurs filent entre les doigts comme entre des palmes lançant leur anneaux de jaspe en réponse aux soyeuses ondes du vers-ouvert encore indéfini, la bulle des palmier, les premiers cris entendu de la jungle avant de voir la création, font vomir une discontinuité entre leurs geste qui se résignent a être ensevelit par le silence des premiers ajours de chair perçant l'esprit comme un cri d'une fraîcheur édénique revenu de nulle part au jardin, agitant ses lianes d'une ample palpitation plus fluide qu'aucune vie technicisée échouant aux portes de Scée ; les vantaux sont des globes bleutés que la chaleur du sable fait cloquer dans la vision ; au delà de ce seuil, le monde a disparu derrière son horizon, il n'en parvient plus aucun échos d'armes et de luth concertant dans la poussière ovipare d'un soleil poché et se décomposant. Un houle plus profonde s'annonce par une certaine immobilisation des limailles d'or et d'argent en suspension, un trait plus sombre se prépare et c'est une foule en procession qui le transcende.

 

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 Cirta en tête, toute de lin blanc vêtue, comme parée d'une pudeur faite nudité, nomme l'astre d'un coup bref de cymbale qui annonce la venue des hommes sur les lieux de l'emprunt, et aux dieux que les hommes sortent d'eux pour devenir transparents. La foule qui descend des collines jusqu'aux portes de la ville, soulève bruyamment beaucoup de poussière autour de la ville de torchis qui la happe et dont elle ressort en procession, dispersant a tous les chemins les motifs de haine qu'emprunte aussi les sentiers, de la nasse originelle éclaté, évidée, saignant, fuyant quelque terreur répandue hors les murs de la cité qu'ils cherchent depuis qu'ils rêvent de s'éloigner de toutes les peines, et autres lieux naturels ou vivent les bêtes et les dieux ; le tympanum, égraine son solennel ton loufoque de vibrato, dans la poussière qui se change en encens autour de la pierre de l'interrogation qu'il faut changer en tiare ce jour précieux, ou l'apparaître est célébré conserver de tout ce qui s'effrite, éloigné de la lèpre de la possession, et chanté comme ce qui vient en premier rafraîchir son brillant au fleuve ; Moulouya Mouillée soutient la traîne de la servante trahie, qui fuit comme un ruisseau, l’incompressibilité de la peine ; le drap est d'un tissu plus mystérieux encore et transparent que l'aile d'une libellule; entre les joncs une inscription baigne dans l'eau : les araignées peuplent la bouche des morts ; les lettres de l'inscription sont des monument du relief sous marin gravé naturellement par l’écoulement du fleuve dans le temps qu'il se lave; le sol aride et dégueulasse des sensations épuisées se ressource a la vue de la création, car trois jours avant le jour de la célébration le vents de la vision avait parcouru la ville, frappé a toutes les portes, et siffler a la naissance des yeux pour la création, qui donne un but a ceux qui veulent vivre dans la cité loin des bêtes et des dieux, qui sont comme chacun sait, toutes deux des aveugle de naissance ; chacune a leur façon cependant, la bête par ignorance, les dieux par accomplissement ; les pécheurs ont déplacés quelque plaque de méthane dans le fond de mon histoire, ce sont les poissons qu'on charge dans le fourgonnettes garées en plein soleil, les cagettes de glace, les verres et les bières qui se choques et les plumes qui jaillissent des arbres a chaque claquement de tôle ou de portière ; des hoquets de combustion du moteur premier de l'univers, sortent les hommes comme des charbon extirpés nus des ténébreuse flammes, avançant en lente et harmonieuse procession devant dieu, jouant comme de sérieux bouffons, a êtres les personnages de leur tableau, sans oublier de jouer et de sentir, leur concert de casseroles pour les chœurs angélique qui séraphine dans la poudreuse la mixion infinie des contraires du tissu dialectique de la chair et de la passion, au moment ou elle se disperse pour celui qui la suit dans la multiplicité d'un Oiseau; voir la création, au-delà de toute beauté, dans son infini canevas d’incompréhensible splendeurs c'est voir l’émail sporadique des contradiction qui font de l'entendement non plus l'organe de la projection d'une représentation, mais celui d'une transparence intérieure et fractal infiniment ; du genre a l'individu, le sorite semble s’être accouplé au corps d'un silène, dont le silence semble a son tour faire au corps son apparaître, lui fournir l'espace et le la lumière qu'il possède intérieurement sous forme de riches défragmentations, qui font masse dans la densification de l'espace infini ou elle se refoule de peur, nécessaire a l’étendue des chiffre irrationnel nés a cet endroit de la langue, devant le palais, ou le fleuve est une corde, un son souple et suave avec lequel on tranche dans le fruit des pécheurs des sciures par nécessité, écartant d'avance la multiplication des écailles pour se concentrer sur le pain; ils sont trois au moins épars comme des grains de blé, sombre comme des tache solaires penchées dans la pure stabilité de l'air instable ; leur barques a présent se confondent avec les vagues des segment de temps, est-ce folie, ou éternité ? Mais déjà les sistres résistent au silence alors que d'une borne frappé d'un sceau chamanique, du corps d'un animal jaillit la forme emprunte de l’éternité, le corps d'un homme; la langue s'agite en lui comme un serpent désincarnée comme la possibilité du mouvement, la ruine aporétique de sa face rendue indescriptible. Il lit et discerne ce luit qu'il est.

 

Qui a jamais trouvé sur terre le repos de la pensée ?

 

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Inhériolectique d'ainteté

 

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 Sous les polymères azotés des barques liquides surplombant le fleuve de leurs tranquilles coquilles retournées, les cristallisations possibles de la kinesthésie rêvée des pécheurs s'élancent d’équilibre granuleux en suspension dans la lumière rose des yeux, aux gestes vaseux comme les filets sans fond qu'ils jettent au froid et sombre lit du Cocyte a travers la poudre de leurs souvenirs qui s’éteignent s'ils ne les revivent constamment, hanté par les chants qui leurs filent entre les doigts comme entre des palmes lançant leur anneaux de jaspe en réponse aux soyeuses ondes du vers-ouvert encore indéfini, la bulle des palmier, les premiers cris entendu de la jungle avant de voir la création, font vomir une discontinuité entre leurs geste qui se résignent a être ensevelit par le silence des premiers ajours de chair perçant l'esprit comme un cri d'une fraîcheur édénique revenu de nulle part au jardin, agitant ses lianes d'une ample palpitation plus fluide qu'aucune vie technicisée échouant aux portes de Scée ; les vantaux sont des globes bleutés que la chaleur du sable fait cloquer dans la vision ; au delà de ce seuil, le monde a disparu derrière son horizon, il n'en parvient plus aucun échos d'armes et de luth concertant dans la poussière ovipare d'un soleil poché et se décomposant. Un houle plus profonde s'annonce par une certaine immobilisation des limailles d'or et d'argent en suspension, un trait plus sombre se prépare et c'est une foule en procession qui le transcende.

 

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 Cirta en tête, toute de lin blanc vêtu, comme d'une pudeur faite nudité, nomme l'astre d'un coup bref de cymbale qui annonce la venue des hommes sur les lieux de l'emprunt, et aux dieux que les hommes sortent d'eux. La foule qui descends des collines jusqu'aux portes de la ville, ou elle disparaît et ressort en procession, se dispersent a tous les chemins et les sentiers, semble l'humanité évidée, fuyant quelque terreur répandue hors les murs de la cité qu'ils cherchent comme s'ils avaient couru après depuis le fond de leur rêve et qui éloigne les lieux naturels ou vivent les bêtes et les dieux ; le tympanum, égraine son solennel ton loufoque de vibrato, dans la poussière qui se change en encens autour de la pierre de l'interrogation qu'il faut changer en tiare ce jour précieux, ou l'apparaître est célébré conserver de tout ce qui s'effrite, éloigné de la lèpre de la possession, et chanté comme ce qui vient en premier rafraîchir son brillant au fleuve ; Moulouya Mouillée soutient la traîne de la servante trahie, qui fuit comme un ruisseau, l’incompressibilité de la peine ; le drap est d'un tissu plus mystérieux encore et transparent que l'aile d'une libellule; entre les joncs une inscription baigne dans l'eau : les araignées peuplent la bouche des morts ; les lettres de l'inscription sont des monument du relief sous marin gravé naturellement par l’écoulement du fleuve dans le temps qu'il se lave; le sol aride et dégueulasse des sensations épuisées se ressource a la vue de la création, car trois jours avant le jour de la célébration le vents de la vision avait parcouru la ville, frappé a toutes les portes, et siffler a la naissance des yeux pour la création, qui donne un but a ceux qui veulent vivre dans la cité loin des bêtes et des dieux, qui sont comme chacun sait, toutes deux des aveugle de naissance ; chacune a leur façon cependant, la bête par ignorance, les dieux par accomplissement ; les pécheurs ont déplacés quelque plaque de méthane dans le fond de mon histoire, ce sont les poissons qu'on charge dans le fourgonnettes garées en plein soleil, les cagettes de glace, les verres et les bières qui se choques et les plumes qui jaillissent des arbres a chaque claquement de tôle ou de portière ; des hoquets de combustion du moteur premier de l'univers, sortent les hommes comme des charbon extirpés nus des ténébreuse flammes, avançant en lente et harmonieuse procession devant dieu, jouant comme de sérieux bouffons, a êtres les personnages de leur tableau, sans oublier de jouer et de sentir, leur concert de casseroles pour les chœurs angélique qui séraphine dans la poudreuse la mixion infinie des contraires du tissu dialectique de la chair et de la passion, au moment ou elle se disperse pour celui qui la suit dans la multiplicité d'un Oiseau; voir la création, au-delà de toute beauté, dans son infini canevas d’incompréhensible splendeurs c'est voir l’émail sporadique des contradiction qui font de l'entendement non plus l'organe de la projection d'une représentation, mais celui d'une transparence intérieure et fractal infiniment ; du genre a l'individu, le sorite semble s’être accouplé au corps d'un silène, dont le silence semble a son tour faire au corps son apparaître, lui fournir l'espace et le la lumière qu'il possède intérieurement sous forme de riches défragmentations, qui font masse dans la densification de l'espace infini ou elle se refoule de peur, nécessaire a l’étendue des chiffre irrationnel nés a cet endroit de la langue, devant le palais, ou le fleuve est une corde, un son souple et suave avec lequel on tranche dans le fruit des pécheurs des sciures par nécessité, écartant d'avance la multiplication des écailles pour se concentrer sur le pain; ils sont trois au moins épars comme des grains de blé, sombre comme des tache solaires penchées dans la pure stabilité de l'air instable ; leur barques a présent se confondent avec les vagues des segment de temps, est-ce folie, ou éternité ? Mais déjà les sistres résistent au silence alors que d'une borne frappé d'un sceau chamanique, du corps d'un animal jaillit la forme emprunte de l’éternité, le corps d'un homme; la langue s'agite en lui comme un serpent désincarnée comme la possibilité du mouvement, la ruine aporétique de sa face rendue indescriptible. Il lit et discerne ce luit qu'il est.

 

Qui a jamais trouvé sur terre le repos de la pensée ?

 

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