30/10/2014
Sans titre (l'agonie de narcisse)
Il est comptable officiellement, dans une société d'assurance ; il travail au bureau des contentieux ; une table et une chaise dans l'open space isomorphe; mais parfois il se prend pour un écrivain, qui projette en ligne les traces encéphales de ses pas qu'un autre en lui parcours depuis l'avenir pour le rejoindre ; et plus il écrit plus il lui semble que c'est le frémissement de la voix tue qui graphite ses noirs tremblements d'encre comme une onde qui se précise en mots, du frémissement a la formulation de la rencontre, de l’échange si on la laisse faire, et s'indiquer exactement comme la chute de la pierre tombale en lui précise l'orée de la naissance d'une gerbe qui fait lien; au fond rien ne changeras après le bouleversement intérieur si ce n'est justement la concaténation de la pensée qui se libère du sens non pour se vautrer dans l'absurde, mais pour penser le monde comme une création, une œuvre dont le sens est toujours transcendant ; étrange radiation de schiste radio-actif, qui ne manifeste que pour son esprit le grand chambardement des apparences renversées sous l'illusion de l'intacte ; l'impact de l'esprit touchant la terre comme une météorite bouleversant les apparences sans rien dire, se mêle souvent au colonne de chiffre et au tableau analytiques des risques d'accidents qu'il calcul sur la base de références communément admisses internationalement ; des mots fous se détachent des phrases toutes faites ; il lui semble qu'il perd la tête, qu'une forme nouvelle de vie frémit en lui, s’ébroue comme un faune étrange pour lequel il reste sans voix ; il voudrait lui donner un nom, mais au même instant le bête lui ôte tout savoir, ou plutôt son daimon lui dit que savoir c'est comme assister a la naissance d'un dieu, c'est savoir qu'aucun soleil, aucun brin d'herbe n'appartient aux hommes ; que savoir c'est comme naître a l'insouciance, c'est être posséder d'un lien qui rattache et dépossède de toute appartenance aux créatures crées ; écrire c'est comme une envie soudaine et irrépressible d'aimer ; un socle plus solide que les grand fond marin, un tertre fait de vide et de rien comme un espace sans mur flottant dans les poumons d'une grande respiration autour de laquelle tournent en rond les voitures sur le échangeurs de rocades, et tous les bruissements de la rumeur des villes qui chuintent comme des éruptions solaire dans les voiles du grand rebond ; le large, l’élargissement n'est pas une tentation, mais la seule voie possible lui dit le faune, pour fuir loin des connards, des bancs de harengs de gens foutre petit bourgeois dont le plaisir immédiat est la vanité est l'unique raison d'exister ; il sent que sa conscience s’élève dans le dépassement des données, il le sent parce qu'il apprend que la ou elle le mène règne l'absolu et éternelle distinction entre l'irresponsabilité dionysiaque et l'insouciance justifiée de la tache et du devoir pleinement accomplit ; dehors la brume tombe sur la ville comme un filet de pêcheur aux mailles très fines et peu a peu la haine et la colère apprennent de la confusion de la vie, le savoir démêlé sur soi-même, qui manque au secret constitutif de la conscience pour se parfaire en ce repentir d’où éclot la parfaite transparence du devoir accomplie ; il sait ce qu'il fait de bien ; il n'a nul besoin d'en parler a aucun homme ; il sait que le ciment du plaisir n'est qu'un piètre liant qui s'effrite au fur et a mesure qu'il bâtie ; il connaît les milles noms de la légions, fric, volupté, contentement sans frustration, orgueil et vanité, volonté débridée et sans frein de jouissance qui brûle les mains des damnés devenus insensibles au contacte de l’éternité ; l'envie de vomir le prend, il traverse l'open space parsemé d’écrans comme par autant de miroirs sans reflet ornant les murs des manoirs ou dorment les vampires pour l’éternité; il s'enferme dans les toilettes et gerbe en silence ; il n’éprouve nul besoin de compassion, il sait qu'il a raison devant tous les hommes ; il sait que son haut le cœur est un vertige due a l'acclimatation ; c'est un acte clinique d’intériorisation de la condamnation morale de toute l'humanité a laquelle il ne fait pas exception, sauf en gerbant ; enfin, il tire la chasse sur la connotation morale et sa conscience soudain scintille d'une énergie plus pure que l'air des sommets ; il se sent porté et soulevé par l'inexplicable, il se sent voler comme un Phoenix absurde qui aurait picoré et avalé la croûte de l’œuf qui digérait son solipsisme narcissique aussi épais que la bouillie dialectique qu'on donne aux bébés pour leur apprendre a parler; la pensée qui d'ordinaire le rongeait comme un vers dans le fruit, a admis l'absence d'explication interne ; les mots se disloquent comme des gros blocs de glaces d'une banquise fracassée ; donner de front contre l'inexprimable n'est pas suffisant ; il faut fracasser la jointure des plaisirs, accepter la douleur des mues, réduire en miette le visage de narcisse pour que le nouveau scintillement porte l’âme au-delà de la froide raison calculatrices des hommes enchaînés a leur plaisir immédiat ; l’économie repose sur ce principe ; et qui voudrait sciemment cesser de faire du plaisir la fin de son existence dans ce monde sortirait automatiquement du cercles des enfers économiques ; mais a l'inverse si les ressources s’avèrent insuffisante c'est certainement parce que l'humanité ne connaît plus d'autre fin plus haute que celle du son plaisir immédiat démocratisé; au-delà du plaisir, règne la justification, le besoin d'une explication intégrale de chaque fibre de notre voix tuméfiée par la dialectique du dégoût sporadique ; l'image du monde n'est plus alors le soucis de cette pensée nouvelle dont on tirera argument pour le dire fictive ou borné ; elle n'a de soucis que de la foi qui met le sens hors du monde et fait de chaque instant un atome de l’œuvre qui comme toute œuvre ne contient pas dans sa matière même le sens qu'elle signifie et qui l'organise ; l'image du monde elle s'en fou, parce que ce n'est pas dans cette contemplation qu'elle possède sa justification ; sa cohérence ne repose plus sur l'argument universel du plaisir et du jouir, mais sur la joie ineffable du libre choix accomplit d'aimer tous les hommes, mêmes les plus abjecte ; c’était une vielle intuition en lui, déjà présente très tôt dans son enfance, qu'aucun homme ne pourrait rien pour lui ; c'est elle qui revient et qui se formule dans sa véritable densité de plénitude matérielle recouvrant le monde de sa vacuité phonique ; aucun mal n’atteint celui qui aime contre toute raison ; et s'il se sent seul malgré tout c'est parce qu'il sait l'infini puissance de damnation de ce jugement d'amour qui le rend si redoutable a lui-même comme a ses proches ; l’œuvre qui s’édifie au-delà de l'image ruinée du monde, est uniquement celle de la foi et du scintillement de la lumière ubique et nusquam; vouloir y introduire autre chose est pur malentendu ; ici il n'y a plus ni de poésie ni de contemplation, mais seulement l’œuvre de l'etre-vrai, la justification par la foi de la certitude d’être vainqueur quand l'amour est plus fort qu'aucun tort ; il sait que cet amour est la réalité du désir devenu volonté consciente d'avoir été transmisse du père au fils qui est l'image de l’éternité dans le temps ; l'homme intérieur est alors une colonne de ciel plus solide que le marbre des tombeaux; jour après jour il apprend a se méfier de la satisfaction narcissique qui fait le lien des œuvres de ce monde ; il éprouve un manque si profond que la raison des plaisirs s'affaisse en lui comme un plancher vermoulu, une raison d’être qui comme un mur porteur, une poutre de soutènement se brise, et que son sentiment d’être traverse; déconstruit quand il avance alors a reculons, en s’enfonçant en lui-même, contre lui-même, au plus prés de l'examen attentif de son amour réel qui n'est pourtant qu'une fiction mythique dans les données insalubres de ce monde; il se sent vain inutile au dernier degrés, roulé comme un nautile de mots brassé par la langue du non-sens ; et a cet instant ou les mots se séparent de leur significations habituelles, il sent son être frémir tout entier, sa chair prendre vie et se détacher d’elle-même, en finir avec la plaisir et s’étirer au dimension des demeures de la joie, entrer dans le vide d’avenir emprunté au plein des satisfactions trépassées. Vers midi il reçoit un coup de fil de son ex, remariée a un artiste de pacotille, pauvre et triste merde bourgeoise qui fait fureur au box office des masses parce qu'il est habité des mêmes tares et vices fondamentaux que la foule convoite et couve et chérit comme une poule glousse, ses œufs remplie de vermines et de charognes ; et soudain la corrélation entre le plaisir et l'image du monde lui apparaît ; saisir quelque chose, quoique se soit, comme contre mesure de l'angoisse nécessité l'apparition d'un monde ou plaisir et dégoût alternent et surtout ne se confondent pas dans le même objet (sinon c'est la chute, le fumeux lâcher prise des snobs parigots qui parlent de choses qui n'entendent pas); pauvre type qui arrivera manchot dans l’éternité parce qu'il avait les mains baladeuses; image du monde cohérente et possession dépossédée de la dépossession, donc sans esprit, sont corrélatives et unit par la peur de manquer, la peur de la déréliction des sommets ou l'amour vainqueur juge intégralement de la valeur absolu d'un individu qui vaut mieux que tous les passereaux réunis ; mais l'esprit est au contraire le dépassement de tous les jugements de valeurs relatives établit le ciel a la fois comme un sommet et un socle ou la peur apparaît déjà comme une pre-formulation du jugement de l'amour, une défense contre ce jugement qui sera jugée elle aussi ; c'est pour cela que la culpabilité et le repentir sont nécessaire, car sans eux ont ne remonte pas le long de la colonne vertébrale de la peur, sans eux ont ne déconstruit la peur par l’édification de l'amour établissant son règne sur l’écrasement réel de toute angoisse virtuelle; déjà la hache est au pieds du figuier qui ne porte pas de fruit, ainsi en sera t-il a jamais de tous les voluptueux virevoltant pour le plaisir des foules dans les alternances du cœur qui leur manque ; la peur c'est un nœud dans le nautile qui ne veut pas tout perdre pour prendre le risque d'exister et de laisser le yo-yo remonter dans les mains du créateur. Il sait que contrairement a l'essence abjecte des petits Don Juan de basse cours, lui, il n'a jamais voulu ne serait-ce que paraître bon ; son silence et son incognito lui ont coûté la vie dans ce monde ou tout n'est que mensonge, séduction et désœuvrement par le plaisir mesquin qui vu objectivement, dégoûte aussi sûrement qu'il contente narcisse; et il sait que c'est ce silence qui l'a rendue incompréhensible, l'a fendue en deux, ouvert les deux face de la satisfaction orgueilleuse qui meurt dés-lors qu'elle se voit elle-même dans le miroir, ou plutôt qui voit en elle-même qu'elle n'est encore qu'un reflet solipsiste de l’intériorité cherchant le grand air extérieure de la transcendance qui assurément devra lever le couteau, et rompre le pain sur ce flou artistique tant prisé par l’esthétique du nivellement de masse; il sait que c'est ce silence qui doit éclater dans l’âme des pécheurs pour que les traces de désespoir s'estompent définitivement ; il sait le prix et les prises et l’épris de l'angoisse vaincue, et la douloureuse naissance des mains de l'esprit saisissant l'insaisissable quand elles se découvrent dans les gants du plaisir et du dégoût qui manque non de dialectique mais de mort a soi-même pour faire exploser les bornes du jugement, et retirer le boisseau sous lequel brille la lumière de la création; il sait que c'est ce silence qui a pourtant réorganiser sa vie et chaque partie de son existence en fonction d'un sens qu'il ne pouvait exprimer sans trahir le devoir de le vivre entièrement. Il repense alors aux conspirateurs du César de Shakespeare … fait sans prêter serment.
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Sans titre
Ce matin l’épuisement des ressources l'irrite, la pollution de tout milieu naturel lui ronge les sangs et l’essor hyperbolique du consumérisme le fatigue, l’épuise comme un surfer qui briserait sa planche sur sa prothèse prophylactique face aux avancées herculéenne de la dune de sable des marchands de sommeil qui produisent du fric en dormant ; trouver le taulier n'est pas une mince affaire quand les cellules dormantes sont en sommeil ; et il baille rien qu'a l'idée de rédiger une lettre conforme au format type des curriculum vitae indispensable s'il veut, avant même de l'envoyer, l’écrire en ayant l'air d'y croire a moitié ; évacuer l'extra ordinaire de la langue qu'il ressentait vaguement comme un miracle permanent lui semblait l'ablution matinale des carcasses dépourvue de l'esprit de leur redoublement ; aussi, comme chaque matin il allume la radio, machinalement, d'un geste qui devient toujours un peu plus lourd, inanimé et qui finira par n’être plus que relatif a lui-même c'est a dire absolu comme la trois cents millièmes fois qu'il entend walking on the moon en fumant sa énième première cigarette a la fenêtre de son sixième étage trop chauffé et surtaxé ; il a dépassé le stade de l’écœurement, et la saturation organisée et voulu a grande échelle de sons, d'images et de parfums synthétiques et de couleurs pixelisées de la plénitude stérilisée qui a balayé les capacités critique de ses cinq sens émoussés et convaincus de toute révolte inutile; il est résigné a l'insignifiance de la répétition quantitative et anonyme qui parfois le menace de manière plus pressente et angoissante pourtant, le soir surtout, fin novembre quand la nuit de dix-huit heure le cueille a peine sortit du bureau ou pour tout travaux des jours, il obéit domestiquement a des chiffres dont la suie le poursuit jusque dans les embouteillages emmitouflant le cercueil roulant qui le transporte le long des racines carré du tombeau vide de son appartement tout confort, rempli de courbes statistiques. Sa libido tourne a vide comme un moteur bien huilé qui ronronne couché sur les sites pornos ; mais l'impression de n'avoir pas vécu ne le quitte jamais, même si l'impression reste sauvage, obscure et informulable encore ; il n'ose espérer la formulation de sa condamnation qui le chasserait de sa torpeur, le jetterait sur les route de l'exil ou de tous les points de l'univers il devra résorber son énigme et concentrer les cendres de son repentir en cette poussière offerte au vent; c'est une pensée sourde a peine audible qui cogne comme un timbre fou dans les étroits couloirs de ses synapses formatés, elle frappe en lui comme les trois coups du destin, les coups du bâtonnier derrière le rideau du grand emménagement ; elle le gène quand il tente de discuter a la machine a café avec ses collègues, elle s'enfuie quand il essai de la mieux discerner tant elle est couverte par la suite de gestes paniques qui rythme sa vie stressée de solitaire qui au mieux rêve d'une pluie de dollars convertissant en une langue inconnue les retards prit sur l’éternité dans le temps ; parfois, a l'occasion de certains heureux hasards, il la sent qui se nourrie d'une autre pensée, qu'une concaténation se forme comme un précipité au fond d'une éprouvette, mais la force qu'elle dégage ne fait qu’accroître sa faim sans la calmer ; et dans ces cas là la présence des autres hommes et femmes qu'ils côtoient a son bureau d’étude, lui est insupportable ; en pleine réunion souvent une tempête invisible se forme qui aspire les visages de ses assistants dans les profondeurs de l'absence comme si leur yeux se refermer a la manière du sexe fendue d'une femme, d'une blessure cicatrisée, d'une plaie capable d’intérioriser la douleur ; et dans ces moment la, ils sont a peu près tous les mêmes ; tous recherchent l'argent comme d'autres avaient avant eux recherché le savoir ou l'intelligence des mystères ; mais c’était en d'autres temps ; ces instant de mitochondrie psychique ou les cellules de sens prisent sur l’événement semble de détacher de tout le reste, il finit presque par les adorer comme les seuls frémissements de sa vie par ailleurs complément insensible ; sans eux, il ne frémirait plus en lui-même en se rendant au sépulcre ; et c'est a peine si le désir lui serait encore sensible tant la souplesse prodigue du monde moderne répond spontanément au frustrations de l'homme intérieur et lui ôtent l'esprit; sans l'or des souffrances, il ne pourrait plus parler d'aucun être, parce qu'il ne ressentirait plus le fer de lance de la fin des douleurs par les détours du vide sous son crane, lui percer le cœur de milles pointes sensibles comme un scintillement intérieur d'un feu qui aurait due consumer sa vie et organiser les lueurs dans la poussière qui pour l'instant n'avait jamais encore eut de lieu quoiqu'en dise les dernières philosophies. Sa vie n’était plus le schéma du terme des souffrances qui manquaient d'espace temps pour orienter sa course a travers l'espace temps décrit comme une grotte avec une pierre placée devant; il se sentait comme un draps pendu a la corde et flottant au vent, trop voluptueux et ample pour une mise en plis permanente ; il a connu l'amour d'une femme ; il sait a quel point la pure vacuité subjective correspond a la présence objective de l'aimée ; mais le monde dans lequel il vit forme une croûte sans faille et sans relief ou les cônes de verre ne peuvent plus s'emplir de tout l'amour qui leur manque, les rapproche et les sépare d'eux-même dans le grand tout qu'ils ont a évaser.
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28/10/2014
Devenir vibrant.
L'alpha et l’oméga de toute religion d'amour pourrait se résumer dans l'apprentissage de la bonne forme de l'amour de soi ou la géométrie variable de narcisse peut fleurir de la plus haute pensée dialectique qui éponge sa propre buée sur le miroir du divin reflet ; entende ici qui a des oreilles pour entendre car il est aussi difficile de rendre phénoménologiquement la dialectique scintillante de l'unifié que de peindre un lutin avec le chapeau qui le rend invisible. Les sentiments se rongent les ongles, quand ils ne rogne pas sur l'essentiel ; ils sont le pont dont on ôte une a une les planches au fur et a mesure de l'avancement de la sustentation de la grâce ; mais l’intériorité dialectique d'un athénien subit un fort affaissement pathétique au Golgotha ou le gratin du gotha s'arracha les cheveux devant le mystère du moi. Peut être l'envie de te tailler les veines te hante chaque soir … retiens toi … d'abord parce qu'aun homme n'a connu d'autre chemin que celui du desespoir … mais comprends moi bien ensuite, quand tu croit que tout se ferme que l'un s'effondre dans un écaillement de ton ciel ou plus aucune étincelle de sens ne semble pouvoir vibrer et vivre, c'est aussi qu'une cellule plus haute dans la demeure du ciel s'ouvre a toi … alors réfléchis bien avant de te supprimer ; la société peut t'accompagner quelque temps sur cette voie, mais a la fin elle te trahira … toujours puisque tu ne peux que traverser seule l'ombre de ta mort … mais si tu as apprit a parler la langue résurrectionnelle du désir, l'opercule glissera sur toi en un clin d’œil apocalyptique … souviens-toi aussi que la félicité dont on parle les plus grands génies ne l'ont connue et ressentie dans leur chair qu'a de très rare moment de grâce durant souvent une longue existence passer a languir de cette pâte d'infini compréhension de soi … si tu n'es pas pécheur tu ne pourras jamais renverser ton amour propre en amour vrai, traverser jusqu'à l'explication dont tu n'auras nul besoin, et ta chair pourrira dans l’accroissement exponentielle de la relativisation de la relativisation … d’Athènes a Jérusalem la liberté conquiert toute l’épaisseur historique de son redoublement … du dieu inconnu a l'identité du Père, il y a la même différence qu'entre la liberté ironique négative et indéterminé de l'esprit dénué de redoublement historique a celle, mettant a son tour le sentiment en abîme de l'esprit relisant son dévoilement historique, de l’indétermination ou la conscience puise le redoublement de son choix a la précision ultime de la plénitude du temps la ou l'infiniment subjectif, relie dans l'histoire de ses souffrance le risque absolu de l'esprit d'amour faisant sens aussi bien dans l’éternité que dans le temps, la même différence encore qu'entre l’absolu et le relatif quand l'attachement relatif aux réalités relatives constitue la forme du sens et la valeur absolue de l'être-vrai, alors que pour la foi, la déclinaison épistémique de l'arbre de la connaissance érodant d'incertitude le sentiment de l’appartenance a l'aimé, reformule le mystère du moi offert en énigme a l'omniscient qui en détient le secret dont le désespoir reconnu ne laisse contrairement a ce que tu crois tant que tu n'a pas reconnu ton péché, aucune trace parmi l’émiettement de l'arrachement de l'amour propre faisant du même coup, le tour complet de la tragédie sphérique de l'incommensurable ou subjectif et objectif se recouvrent l'un l'autre en une grande parabole de réconciliation et de paix qu'il n'a pas crée … et la est le plus important … le désir entendu freudiennement veut sa propre ruine pour des raisons de jauge pulsionnelle dans les niveaux énergétiques du corps …. mais le christianisme n'a rien a voir avec la pulsion puisqu'il veut te communiquer la forme de l'extase de ceux qui se rapportent a ce qu'ils n'ont pas eux même créer (et psychanalyser la croyance est un pur verbiage fait de contre-sens car c'est bien le réel divin qui est la contradiction qui nous soulage de la notre essentielle au sentiment mal réglé et par la peur amputé de lui-même comme dans la lettre a mon juge ou le démoniaque n'ose descendre dans la folle formulation du mystère qui le sauverait des tribulations et enfers de son amour propre)…. c'est l'essence même du sublime … toucher a l’être en se rétractant … s'attacher en donnant de l’indépendance … tous les existentialisme hormis celui du grand danois ont bousillé le paradoxe … aucun n'a perçu et encore moins conçue et pensé l’extrême conformité du nouveau pathos fondé sur le rapport au sacré qui possède sans posséder, c'est a dire en esprit (puisque c'est bien de cela qu'il s'agit sous couvert de félicité incarnée dans un sentiment dialectique en soi, et non plus d'une simple pensée socratique libérant l’âme et non le moi), rend libre dans l'attachement qui libéré comme il rend grâce en fin de compte au père de pouvoir lui rendre grâce … ainsi on passe de l’indétermination respectueuse de notre ignorance du premier principe exprimer dans le rapport relatif au réalités relatives de ce monde, au risque absolu de la précision ontologique de narcisse mort, de l'amour incarnant son esprit dans la différence absolu du lieu de l’espérance et de la fidélité de la foi en l'aimé ou se redouble le sens éternel historiquement.
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