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02/05/2013

Exod..

Restait plus que la mort comme expérience possible de la liberté ; mais sans raison d'y consentir, autre que celle de la haine du monde, c'était impossible ; il faut pas gâcher sa mort ; et les répétitions d'art spirite aux fonds des cavernes modernes n'offraient qu'une pulsion vite décantée qui cependant s'enflamma au contact des filles ; aussi étrangement belle et distante que les effluves du chaos qui germer dans la nuit, mais repoussante comme autant des chaînes dorées ; les maillons de la mort m'avait déjà tout disloqués tous disjoint de partout, j'aurai pu désespérer de rencontrer cet entité pour laquelle les abîmes de mon néant serait lumière d'amour liant sa poussière ; j'étais cependant disposé a lire presque malgré moi, dans les yeux d'une inconnue, ceux de ma femme voyant plus loin que mon avenir de reprouvé ; c'était une copine a mon meilleur pote ; bien sur il me présenta ; immédiatement on blagua ; mais le coup de foudre vint juste âpres et d'une manière effroyable que j'ai toujours tenu secrète. Comme d'habitude on était au bahut et on glandait. A cent mètre elle sort du foyer, la journée était radieuse, l'air chaud, et dans la poussière d'or d'une fin d'été méridionale, sa présence a aspiré mon âme tout entière qui en un instant l'avait autopsiée ; toutes mes failles trouvèrent leur coins et elle reconstituait ma toute ma lumière ; son squelette déchiré en lambeau sous le préo semblait flottait comme l'étendard de mon amour, elle aspirait toute ma mort et en était glorifiée sublimée d'une céleste beauté. Seul l'habitude du sang froids acquis dans les descentes les plus vertigineuse des trips les plus étrange me permis de conserver un semblant de calme ou j'enfermais pour longtemps mon secret.