Note

Entre le moi et l'ensemble de l'humanité, il y a nombres d'instances formelles du désir élargissant la sensibilité et approfondissant la réflexion d'une même intentionnalité enracinée dans le paradoxe de l'amour et de sa révélation promise: le couple, la famille, l'entreprise, la société, les sociétés, les nations, sont autant d'instances dialectiques intermédiaire qui élargissent l'orbe du désir lui confèrent une plus grande ampleur d'expression, et potentiellement une plus grande clarté, si elles sont vue comme des incises détaillant la matière brute de l’intentionnalité première (a la manière de la matière se redoublant dans ses propriétés devenant elles-mêmes de nouvelles parties d'autres systèmes de lois encore plus cachées); elles ne peuvent être pensé qu'en fonction du pouvoir ontopoeitique de la langue maternelle qui leur donne vie et qu'en retour elles enrichisse d'une formes qui n'est pas une réalité illégitime quoique semblant provenir d'un artifice humain, si ces formes et institutions, comme le mariage par exemple, induise un niveau superieur de la conscience de l'eternité en jeu dans le temps et reposant sur un choix et une décision. La travail par exemple, qui consiste a produire les conditions nécessaire a sa subsistance, peut ainsi se ramener a l'expression supérieure de l'amour quand son symbolisme n'est plus une sphères autonomes et indépendante de celle vitale qui cherche en tout homme sous la forme du désir une expression capable de rendre sensée la souffrance corrélative, quand son ordre est ramenée, ancrée dans la transfusion des sphères symboliques ou l'individu veut et peut vivre dans une réalité pleine de sens si l'amour de dieu est a la racine ou au centre des cercles concentriques qui se déploie sur l'onde de la pensée a travers les tremblement extatique ; la traduction de l'amour irréel tant qu'il n'est qu’immédiat, ne devient réel que par le travail, qui traduit le sentiment immédiat de l'Un censé et signifiant entre vu au premier instant de l'amour, dans les terme de la nécessité physique qu'implique nos conditions de vies matérielles et n'efface que la réalité immédiate de l'amour ou plutôt reconduit a une seconde immédiateté du sentiment transfiguré vainqueur de sa propre irréalité et indétermination. Mais peut on faire la même chose pour l'Europe, l'ontopoiétique est elle un modèle politique ? Pourquoi pas si l’âme est le reflet des ordres de la cité.

Saut

Les perspectives idéales sommeillaient au fond des yeux, sous l’épiderme et la cornet, a une profondeur de concept dans l'épaisseur des dernières couches de paupiette de veau; dernières station de l’épiderme avant révélation, dernier pli avant ouverture des scellés libérant le primo choc de la suspension glorieuse de la mandorle sensible tournant entre les naines blanches et les trou noirs comme un disque rayé sur le gramophone des orchidées bêlant la syntaxe des tours de sillon qui resserraient les fibres du faisceau poche contre poche d'étouffement, foulant grain par grain, l’inéluctable grappa du jugement que des traînées de foutre avait biffé en singeant la voie lactée au cœur des habitation aussi précaires que l'animal en carton pâte qui les habités, issu des laboratoires de frime ou l'on avait décomposé le sublime dans ses tubes d’éprouvettes en bouffant des étrons ; le résultat des analyses était déconcertant : ce qu'on prenait pour le territoire de l'amour ou s’était formé les sens dans leurs frontières d'entendement filtrant les matières dans la lueurs des réflexion sporadique du grand corps divin encore en putréfaction noétique, n’était plus qu'une ombre parmi d'autres, délimitant le flancs d'un vallon sylvestre ou l'ancienne réalité était venue mourir, noyée dans la surface d'une autre terre couverte de chemins de traverses, dont les premiers éléments nous avaient tout d'abord effrayé par leurs grandeurs surnaturelles, mais qui a la fin, rétablissaient l'appréhension idéale des phénomènes de l'oppression angoissée, rétablissait la pression du sublime dans les jauges effroyable du céleste aérostat de la sensibilité pressurisée, en une expansion sans fin de sensibilité enté a l'unique terre d'amour ou poussait sans repousser plus loin les limites du ciel infini de la compassion translucide, entre les racines de l'arbre de la vie, comme une fougères d'outre tombe dans la lumière morte des ombres élucidées ; un scintillement de poussière fleurissait les branche comme un cote de mailles, reformant a partir du squelette idéale de la poussière de ciel, le corps qui s’était vu réduire en cendre dans le boyau des ténèbres de l'idée; sa renaissance parmi les photosynthèses sidérale, consommerait la mort qui se recyclait dans le rien transcendant du désir enfin réellement signifié ; la longue phrase de la création se refermerait alors sur sa propre vision éternelle, dans le retour des perceptions ou avait chue les étaies de la vieille enveloppe du vertige absorbée par la gravitation comme a travers un livre aux lignes aussi tendues qu'un fils a plomb, qui ne livrerait son sens qu'a la toute dernière fin du crible superposable infiniment a lui-même du continuum espace-temps.

Note

Le christianisme même, qui est la religion du salut éternel, est embourbé dans cette boue, dans la boue des mauvaises mœurs économiques, industrielles ; [...] il n’y a point de lieu de perdition mieux fait, mieux aménagé, mieux outillé pour ainsi dire, il n’y a point d’outil de perdition mieux adapté que l’atelier moderne. [...] Tout le monde est malheureux dans le monde moderne.

Péguy "Notre jeunesse"