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15/09/2014

Vanité

Vanité, plus riche en matière que dans les mots, se vante de sa substance: indigents sont ceux qui peuvent compter leurs richesses ; mais mon sincère amour est parvenu à un tel excès que je ne saurais évaluer la moitié de mes trésors.

Roméo et juliette acte 2, scéne 6



Aux commencements des temps de l'impersonnalité l'homme perdu était enfouie sous les restes renouvelé de la moitié de son désir et ne faisait aucun pas entier ; du pépin au cep, il y avait tout une armoiries d'image a créer pour que l'imagination tapisse les couloir hanté du château fantôme des cycles du miroir ou le philosophe rejoignait la reine, a travers les brumes froides de l'aube qu'il réduisait en tourbillons de poussière sous ses yeux brûlant de fièvre mystérieuse ; l’âme d'une reine devait être bouleversée d'un tel renversement de son amour pour ses sujets ramené au néant ; peut-être était elle même blessé réellement par la poussière; aussi conçue-t-elle des lois qui furent comme des chants appris des fées, conjurant l'avenir comme un regard jeté droit dans les yeux de la présente face, formant de leur musique les premiers déroulement du tapis de la patrie sous leur pas ; la grappe humaine trembla, mais s'éprit de sa poussière ou lieu de la quitter, de sorte qu'elle semblait moins se balancer a un cep qu'a un faux-pas ; prisonnière d'une enveloppe trop courte elle abîma la combinaison de ses gestes qui la caractérisait et inventa l’être sans subjectivité, l’être dénué de l'influence de sa propre connaissance sur sa réalité ; l'homme sans passion, sans quête infini, sans changement, identique a lui-même de la naissance a la mort, mais qui des lors, aussi, ne sait a quoi employer son sang ; il s’inquiète, obéit sans se rebeller, joue au sérieux sans plaisanterie, gomme chaque jour de son agenda ses rendez-vous avec le plus que Parfait ; la peau des raisin devint épaisse et verdâtre comme ces destinations et pétards que les fêtards allument quand ils veulent fêter le présence d'un être ; la pulpe emmurée fini par pourrir et la vigne entière fut perdue ; les cycles se brisèrent et chaque raisin s’enorgueillit secrètement de pouvoir sauver l’homme de sa réalité; a-t-on jamais vue dans l'histoire pareille vanité ? A t-on jamais lu pareilles histoire de cœur humilié, et enflé de cette sourde blessure rêver du lait de l'amour des hommes? … la gloire qui devait étinceler pour soi seul dans le secret et l'incognito d'un cœur bien réglé, se changeant en célébrité immédiateté, pris la couleur et la teinte du reflet d'un reflet d’éternité prit dans un nasse, une masse isotrope d'homme et de femme en lutte et se détestant mutuellement comme une foret craignant que sa frondaison n’atteigne le soleil ; et l'humanité qui est la recherche du salut, et le besoin de dieu, commença a pourrir par le tronc ; le sentiment d'exister retomba dissolue sur lui-même comme une pluie acide qu'aucun fond de réalité ne pouvait comblé dans son erreur vaniteuse d’interprétation.



14/09/2014

Looz

De l’œil il cherche son casier pour ranger son uniforme nazi, l'uniforme des gestionnaires de la mort ; parce que la mort de l'humanité ça s'organise, ça se planifie par une logistique sans faille, aussi il ne comprend pas, reste perplexe de ne pas retrouver son casier entre les bouteilles de sodas et les laitues plastifiées au rayons frais du supermarché, symétrie que sa grand-mère reproduisait dans ses placards a n'en plus finir, ouvert comme des couloir d'une infinie bureaucratie ou les lettres signifiant la vie étaient toutes venue se loger dans les computations officielles de l'ontologie durement répertoriées et classé par fiche de fichiers ; elle sentait bien au fond d'elle, qu'elle n'avait plus elle aussi que la guerre et ses souvenirs a opposer au sourire des alignements, allégé en graisse, a opposer a l’étrange feuillage de l'arbre mort zéro pour-cent, conservateur de guerre au caractère de lutte idéologique et totale certifié sans ogm mais anti-oxydant , qui lui rappelait l'antirouille sur la culasse du snipper 98K désormais compartimenté en conserve et rangé avec les cachets alignant les mesures d'une répétition des mêmes horreurs sans rien pouvoir y opposer ; le souvenir de l'arme dessinant comme un trou dans son crane ou elle ne savait si la lumière rentrée en elle ou si elle s'échappait; si elle avait eut encore de la colère en elle, le scandale aurait plonger son bras dans les casiers sans quartier pour l'ennemi et en aurait retiré autre chose qu'une vieille affiche de propagande du Reich, quelque chose comme elle même, dansant avec Elvis et Marylin le foxtrot du caddy entre les trottoirs tous explorés et sans surprise de la middle class ; un masque aurait surgit de ses doigts sur sa bouche, la langue en serait morte et ses yeux déposé au pieds du fallacieux argument qui pince tous les cœurs tentés, de devoir gagner le droit d’être, et non de justifier l'existence d'un autre, auraient pris une expression contraire a la maladie de l'esprit et auraient détruit la réalité même de son mal visible, elle aurait perdu le sentiment d'appartenir a la classe dominante de l'occident, et de l'humiliation qui objectivement réduit la vie en cendre, elle aurait fait les cellules odorante de la lumière, le noms de chaque photon brûlant ses lueurs dans l'organe de la vision et empêche de vivre intégralement sa vie comme une œuvre que les couvre feu, les tir et les bombardement avait ébranler en les croûtes de l’être révélant son vide qu'elle ne savait plus a quoi rattacher; le frigo est une vraie forteresse pleine a craquer de tout ce qu'elle n'a pas pu mettre dans le congelo ; ses doigts ne se serait pas donné l’illusion d'avoir cessé de trembler en démultipliant la flèche de Zénon, l'esprit ne se serait pas perdue en symétrie si le caractère et la personnalité avait été fondée sur le développement du sentiment d'une mission, qu'ils devaient accomplir sans faiblesses ni sentimentalisme décadent en se repérant entre les rayons et les pièces juxtaposées de la mécanique éventrée de la vision de la félicité transformée en exploitation de la mort qu'elle avait combattue au nom de la Réalité de l’Être comme Personne ; père par caractère ; fondateur du geste de sa bonté légitimant éternellement la liberté de ces créatures sans caractère personnel et individuel, mais grégaire et fascistes apeurés par l'homme et la réalité complexe de dieu, aussi complexe que le caractère des hommes difficile a convaincre, difficile a comprendre, qui jetèrent les œuvres aux crematorium ; leur fumées s’élèvent encore comme des brouillard torturé de l'amour irréel au bras du désespoir, les strictes règles de l'orgueil sont forgé du sang de l'innocence de l’être justifié, et radié des cimetières de la consommation qu'ils ont forgé, qui sont sortie des four comme des balises de fierté répétant la même erreur de l’orgueil devenu visible au homme, au lieu de tendre dans le secret le visage de son souvenir de guerre a dieu ; si loin encore de nos routes en nid de poule sous chaque capsule de plastiques ou se dissimule les cachés, loin de la lumière, la vérité pharmaceutique des laboratoires de la course au néant qui nous divertissent de nos fautes, agrandissent le siphon des biens dans le commerce des yeux tirant leur chasse d'eau sur le mystère; elle se souvient des premiers films vu au ciné juste après la guerre ; rue de Bordeaux, le contre-poids de son cœur accaparé par la simple beauté des piles de conserves, la rendait hagarde pour quelque heures, quand elle sortait de la cambre noire, l'harmonie du ventre redéfinissant son accord et la nature du lien entre la réalité et l'idée ; souvent, si elle n'y parvenait par elle-même, si elle avait le sentiment de se perdre complètement, elle se réconciliait au conflit, a la guerre ouverte avec son mari, mais aurait put tout aussi bien résoudre les fuites d’ipséité a la bouteille ou aux fugues de Bach; son corps fanatisé et la discipline absolue ne pouvait rien contre la flasque étendue des ordre géométriques de l'assurance distendue ou sa fierté martelait la certitude de son pas dans l’éternité vide d'un doute ; comme une geôle de torture, elle se gondolait intérieurement, hésitant entre deux visages, une image renversée de l’intensité du scintillement de l'amour augmentant a l'approche de la rencontre avec l'aimé ; encore une question de caractère pensa t-elle ; le rapport entre les personne est le manquant, c'est pour cela qu'on se tombe tous dessus, griffes et mains en avant ; c'est pour cela que les hommes, au sens générique, peuvent tomber amoureux dans les supermarchés ; ça ce passe tous les jours et pourtant c'est purement insensé, que cohabitent ensemble deux règnes qui s'excluent si intégralement ; la flamme dans la lampe n'est pas un objet, et la vénération du feu n'est pas une idolâtrie parmi d'autre ; le feu c'est la lumière vue...et elle est la sous tes yeux, illumine le fond de la caverne ; alors surgit plus vivant que jamais un souvenir, comme une pointe particulièrement aiguë, une épine enfoncée dans l'esprit, de cet homme tabassé et torturé devant les fours du crematorium, puis jeter au feu vivant pour avoir dit la vérité a un être ; il avait les yeux gris de l’uniforme nazi, et a ses yeux les menaces n’existaient plus.



12/09/2014

Looz

Comme tous les enfants de son age, Looz commença la rude carrière des lettres, la difficile ascension de la verbeuse pente des ablutions de l’être en s'adressant a la télé qu'il appela « maman » toutes images confondues; ce qui bien évidemment a la fois facilita l'ancrage dans la transcendance et la renia pepsi'colaquement ; un gros rot soulagea l'enfant d'avoir a supporter ses parents pour lesquels il n’étaient qu'un devoir … et remplit de joie la voisine de palier qui reçue la nouvelle de ces premiers balbutiements avec l'enthousiasme biologique du zoon dégraissant sans remord la laborieuse mise a sac du fantasme par sa propre réalité ; ternes termes du couple premiers, consonnes et voyelles a jamais distinguées, parlant l'une de l'autre, comme si il était impossible de se dire que l’éphémère ou se noient les chiffres devait devenir réel, s'unir en substituant a l'effroyable révélation de l'absence de savoir éthique la conscience d'un commencement absolu de l’éternité dans le temps ;étrangement, ce fut le jour de la publication d'un article dans tele-ramons sur une soit disant impasse de la langue que des coupures d’électricité hachurèrent l’image de la mère dans le cerveau du jeune enfant, soudainement devenu suspicieux aux logorrhées des barres de chocolats et autres majorettes que le système proposé comme jalons d'une vie cadeau dont la totalité, ne pouvait être donnée par la surface réfléchissante des additions des kilomètres de bouchon comprimant le pli ontologique de la réalisation d'un désir référencé et code barré « mouvement » par la réalité humaine aimant le changement et la variété des lourdeurs terrestres; l'immémorielle question formula donc son suspend dans la juxtaposition des univers sériels ou la flèche et Zénon se décompose en juxtapositions objective : pourquoi quelque chose plutôt que le pur et simple néant, éternellement présent ? Quelle présence, quel sens donner a cette venue de l’être refoulant son éternel écartement ? les plages de pub entre deux sermons abstraits a la télé se dévoraient entre eux comme des langues caïmans, et ramenaient looz a l'effroyable lucidité de toute absence de vérité dans l'univers le concernant ; l'alternance intérieure de l’être refoulant la pensée suivit de près de la pensée prenant ses distances, mesurant l’écart qui la séparait de l’être, se gamelait souvent dans les abîmes sans fond de la pure porosité du cœur pensant sensiblement a son extraction dans la révélation du mystère ; Looz fondit en larmes comme s'il venait de comprendre qu’au-delà de la parole des hommes vaines et impuissante, l'image de sa mère devait trouver une justification autre que celle du biologique pourrissement de la pensée qui toucher a un innommable au-delà du discours publique, lui pinça le ventre si douloureusement qu'il lui sembla que la parole officielle se muait en lui en un sentiment de confession et de prière seule capable d'exprimer en lui ce que être signifié ; la voisine le disait promis au plus bel avenir ; a l'age de trois ans il connaissait des plages de pub entière aussi bien que Mozart ses arpèges et ses gammes disait son père; et il est vrai que Looz n'avait pas seulement la langue bien pendue, ni dans sa poche, mais bien ancré dans la seul source de réalité signifiante qui informait le monde post-moderne ou les vapeur de charbons et les guerres avaient disparues du moins en représentation, jusqu'à ce stade ou le miroir s'oblige a coller a lui-même, et que looz eut le désir violent de fracasser l’écran pour voir ce qu'il y avait dedans ; heureusement sa mère l’arrêta a temps ; son père qui prenait l’éducation de son enfant au sérieux, pris le temps de démonter le dos du téléviseur...et oh stupéfaction suprême tout un cerveau électronique de câbles rouge et vert sauta au yeux ébahis de l'enfant ; et aussitôt l’apesanteur qui souleva l'eau de son crane et mua la vague en gardien brandissant le flingue a crosse nacré des parenthèses de la houlette de berger du langage qui forme les bulles de paravent ou le sens peut s’élever, bref looz pris ici conscience qu'il pensait, c'est a dire embrasser le sens; sur l’écran les vagues mordaient a pleine dents les cornichons stratosphériques échappés du sandwichs de nuées entre deux tranches de sable, l'image courait après elle-même , s’étirait a n'en plus finir, comme un chien qui aurait voulu se mordre la queue faite de fils électrique et de composant électronique sans rapport direct avec l'image de l’océan sur l’écran mais offrant ainsi le sentiment toujours renouvelé de la liberté; puis tout a coup l'image s'effaça et la mer qui se retira métamorphosée en un cône qui reproduisait l'image du tube cathodique a l’intérieure même du tube ; et le poste se mis a larsener dangereusement, accumulant sans les restituer plus d'ondes qu'il n'en émettait....looz savait que l’électricité n'aime pas l'humidité, mais ou était la faille ? Dans son cerveau certainement...fallait pas s’étonner qu'il finisse par éprouver quelque eschato-schizophrenique sentiment d'existence duelle, d’hostilité durable envers lui-même, qu'alimentaient directement les surplus cognitif de l'armée en désœuvrement; c'est ainsi que looz devint assez raisonnable pour présupposer qu'une folie lucide pouvait renverser la peinture dans les tubes et les pies, défroisser par le vide l’enveloppe de leur fine pellicules d'aversion s’élevant de la couchette comme une fleur de moisissure dormant a poings fermés. Une alcôve de tant de mètres carré, un deux pièces, cuisine chambre a couché suffisait pour exprimer et nier toute expression possible de la vérité, prendre conscience de l'absurde procès de la réalité vraie révélant le désir éternel de l’être, mangeant chaque jour le pain de la lucide sagesse bordée de qualités aussi insaisissables que l'huile bouillante des poêles a frire remisant l'ontologique échos de la brume marine dans les injonctions un peu courte d'une hystérie glissant sur la dérive des continents de lettres éparpillées sur la table de dissection. Être réveiller par des crissements de pneus passant par la fenêtre devenait un signe en soi ; l'a priori du cri, l’a priori de l'angoisse, l’a priori de la crainte et de l'effroi de l’âme touchant la texture de la mort, la texture même de l’éternel édifice de la transparence refroidissant les laves premières de conscience tapissé de langue entropique qui sans ce fantasme récusé ne conduisent pas au réel ; entrer dans le réel comme dans une création nouvelle ou absolument tout est possible, même le miracle le plus difficilement concevable a nos cœurs pourrissant. Une toile d'araignée de jours, modèles d'incertains plans ; coule du plafond sur la mise. Une roulette balise la cloison. Et puis plus rien, le retour de l'enfant prodigue était pas annoncé, qui pourrait refoulé dans les brancards poussant chacun a la décision de l’éternité: que dis tu qu'elle est ? peut on vivre dans un monde ou le réel est sans personnalité ? ce qui somme toute n'est qu'une reformulation moderne , post moderne de la question pourquoi y a t-il quelque chose plutôt que rien ; pourquoi y-a t-il un éclatement de tout ? Parce qu'il manque Un être; puis je avoir le droit d'exister sans qu'on m'impose l’allégeance forcée au patriotisme tarant de mac do et aux goûts de chiot de mon supermarché ou evian doit me conduire a la félicité; et dire qu'il y en encore qui croient vivre dans un monde d'objet !?! Pas du tout l’ipséité fondamentale de dieu a était remplacé par l'ontologie des marques de reconnaissances qui ciblent tous vos besoins comme si elles étaient dieu en personne façonnant le monde selon le caractère de leur bonté biaisée, recelant dans leur arrières boutiques chinoises tous les dons excellents et parfaits du trafique et des fraudes.

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