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27/03/2016

note

Ce soir lecture de la metaphysique orientale de guenon ; j'avance tres difficilement, non pas tant a cause de la complexité du texte qu'a causes d'un flux interieur, incessant d'objection qui inonde presque chaque phrase ; un daimon m'empeche de lire sereinement ; ce que guenon dit de leibniz et d'aristote est etrange, comme calibré de justesse et d'erreur pour laisser se dessiner son intention; aussi plus j'avance dans ma lecture et plus je crains la déconvenue ; j'avais hâte de m'initier a cette mystique littérale que professe le coran a la différence de la bible qui n'est selon lui qu'une approximation par oui dire de la parole (approximation historique absolument déterminante en effet pour la realisation de la synthese de l'esprit), mais plus je m'approche de l'essentiel et plus je me rend compte que la reification de l'intellect agent comme finalité derniere de l'existence je ne puis la concevoir autrement qu'a la façon chretienne dont disparaît l'egoisme refoulant le moi, et ne puis croire a la disparition de l'individu fait a l'image de dieu,..."l'individu ne représente en réalité qu'une manifestation transitoire et contingente de l'être véritable;il n'est qu'un état spécial par miune multitude indéfinie d'autres états du même être; et cet être est,en soi, absolument indépendant de toutes ses manifestations... la j'ai juste envie de ne pas lire, de ne pas comprendre... ô kant explique a ce noble professeur de philosophie ce qu'est une fin en soi....a moins que dieu soit fou, un principe incoherent a jamais plein de bruit et de fureur, angoissé et ayant peur de lui-meme.... autres assertions pour le moins etrange dans le cas d'une Repetition... « nous pensons que les curiosités du psychologue doivent être parfaitement étrangères au métaphysicien » Guenon … non le metaphysicien est le parfait psychologue parce que dieu est celui qui sonde les cœurs et les reins mieux que personne et cet organe est un labyrinthe ou il faut se perdre et on l'on se perd par la langue pour que la conscience de la realité presente de l'esprit prenne les dimension atomique mais derniere de la chaire et du corps ressuscité... ou encore... Si la connaissance purement théorique était à elle-même sa propre fin, si la métaphysique devait en rester là, ce serait déjà quelque chose,assurément,mais ce serait tout à fait insuffisant (guenon)... mais enfin qui a en occident a jamais identifier connaissance matnematique et metaphysique !!!... deja chez phytagore, cette mathematique etait une mystique incarnée... et puis dire que la monadologie interdit toute metaphysique c'est quand meme meconnaitre le lien spirituel inexplicable qui l'unie a l'harmonie préétablie... merde a fin … ou encore ceci, que la metaphysique d'aristote ne serait qu'une ontologie, en oubliant que pour les grec toute connaissance de soi est a la base aussi une connaissance de dieu, que cette chose va de soi pour eux (et j'ai bien peur qu'a la fin du texte il veuille me presenter l''orient comme ce qui pourrait m'apporter ce que je possede deja) et on voit ou il veut en venir, a lUnicité cher aux muslmans, l'orient aurait mieux que l'occident conserver la lucidité de l'Un parce que la parole de dieu serait en orient un ecrit a prendre dans le sens le plus litteral possible alors qu'en occident le verbe devenu chair se serait essouflé dans les oui dire... mais la ou l'oreint dit qu'il ne châtie pas ceux qui ne Lui ont rien associé l'occident voit les bienheureux qui lui ont tout rapporté... ça me saoule, j'arrete ma lecture au trois quart, suffit pour ce jour.

 

26/03/2016

Teania

 

Jean-François Millet.jpg

Jean-François Millet

 

Il suffit d'un atome pour troubler l’œil de l'esprit.

Shakespeare

Fendez un atome, vous y trouverez le Soleil.

Cazalis



   La chute vire en compréhension heureuse et le fourmillement du vertige prend sang de clarté a bras ouvert; l'histoire cille, éloigne et rapproche tous les êtres selon la volonté d'un déshérité qu'elle secrète ; l’éthique porte loin les clartés du sentiment mêlé d’idéalité ; les lueurs arithmétiques ont la puissance des veilles accumulées par l'usure des ans et la sensibilité du cerfs a l'ombre qui le chasse ; l'heure resserre dans la clarté les fins du rapt de l'impact immaculé; plus de lieu pour la banalité, tout est gouffres et mystère, projection animée et flux qui absorbe, combien de temps parviendrais-je a me tenir éveillé, demande le psy a l'echo patient de la nurserie, les premiers instant sont décisifs pour que cri le regard dans le silence foudroyant de la lutte contre le sommeil, et si l'habitude de la clarté ne vient pas, c'est que l'homme au loup défèque la tête de Freud ronde comme un poule; un organigramme des dimensions structurelle de la maladie chloroformée apparaît dans l'air, il dit d'un ton d’hologramme : Mes filtres frères, l'implant d'une histoire qui nous transcende ne pouvait se faire qu'en traversant les mers de castration, périple dont les marins les plus aguerri affirment qu'il ne s’atteint qu'une fois porté par les rêves plancher.... l'histoire n'est pas qu'un picotement pénitencier gravé en nous a grand renfort moral, c'est aussi, le rôle joué du scenario inconnu qui se visse... Dans ce souvenir, les bornes du langage sont les mains courantes avec lesquelles nous joignons par le déchirement de l'avenir le mains du concept qui embrasse la mémoire éternelle qu'il veut garder de nous poursuivant ce papillon à rayures jaunes ; ces grandes ailes font des bruits de ballastes sous la pluie, qui se vident en battant l'air d'appendices pointus comme des route de succion. Il se pose sur une terreur qui le prend ; en hurlant il s’enfuit, sombre en lui-même, effondre plus que le fond et découvre, comme un trésor cacher dans un champs, par l’entremise des souffrances, l'or intelligible qui brille sous la langue quand la réflexion perd connaissance de cette chaîne d’événement qui l’enchaînent loin de l'amour plausible, loin de l'impossibilité possible ; l'astre logique éventre alors les cranes angoissés, et en retourne toute la terre de ses rayons de labours qui peuvent symboliser ou représenter, le vêtement galbé d'une femme, moulant son corps comme la perte de son âme, au pardon. Et au matin nous avions racheté tout le logos, toute la raison, l'huile grésillait ses mots de cire coulante comme la suite surnaturelle des associations libres, mais invendus. Libre fut en nous la Parole, un instant, lorsque l'image du papillon s’envola derrière le souvenir écran, et que l'absence d'image avant de coller au transparent, apparu longuement comme un trou, la ténèbres en laquelle âme et cœur ne retrempent dans l'impression qu'un symbole vient de combler leur béance.





 

23/03/2016

Note

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Carravage- christ outragé

 

 

Si j’ai assez de foi, si je suis vraiment digne d’Abraham, le père de la foi, oui, je puis épouser Régine; je puis renoncer à elle, et, par un miracle incompréhensible, Dieu me la rendra; ce mariage me sera possible, comme il fut possible à Abraham de retrouver son fils auquel il avait renoncé. Et le temps même sera changé; de telle sorte que je serai au-dessus du temps ordinaire, dans un temps mûri, mais où rien ne passe, et où la jeune fille restera présente dans la femme. Mais suis-je Abraham ? Kierkegaard

Plus que jamais l'actualité sanglante nous impose d'en revenir aux questionnement existentiel; la sanctification par le meurtre est elle une position religieusement tenable? oui si on se prend soi-même pour dieu sans filiation, c'est a dire si on se damne; non, si on s'enracine dans la tradition juive du père de la Foi que fut pour toute les religions du livre: Abraham: mais que nous apprend ce Pere de la foi exactement? ceci , qu'une suspension de l’éthique est nécessaire au dépassement de la sphère éthique est essentiel au plein développement de l'existentielle réalité; suspension  sans laquelle il n'y a pas de transcendance, pas de reconnaissance du péché et pas de connaissance du Bien absolu par les souffrances inexorablement liés au desir ni non plus plus de seconde éthique paradoxale, ou choisir est recevoir sont identique et les souffrances le signes de la gloire;  mais ceux qui disent hâtons nous de crucifier parce qu'il est saint de tuer , de torturer et de massacrer sont forcement en deçà de la sphère existentielle paradoxale pris dans les limbes fascinante du savoir ne reposant sur aucun doute infini; si Abraham n'avait pas été porté par une incertitude objective absolue il n'aurait pu s’élancer vers morija, et s'il avait effectivement tué Isaac, l'histoire n'aurait retenu son nom qu'associé a la folie et au meurtre; mais s'il n’avait jamais lever le couteau sur son fils celui ci ne lui serait jamais apparu comme un don excellent et parfait parce que la filiation terrestre aurait étouffée la céleste que seule le trouble opérer par cette subversion symbolique révélé; c'est la réalité intentionnelle de l'objet du désir qui est en question ici et le statu paradoxale de la subjectivité qui a la fois le pose et se dépasse, se représente par le vertige, le fond de ses propres moyens immanent perdu en quelques désert aride qu'elle n'a pas elle-même posé; en ce sens la religiosité est la forme la plus extrême de l'humanisme véritable et les malentendu ne peuvent que fleurir dans l'ivraie qui environne cette très subtil dialectique de la distinction entre soi et l'autre qui est l'exercice propre de toute philosophie authentique; ( claudel en son art- poétique ne fera que rappeler cette origine socratique du souci de co-naitre); or il est une chose évidente a qui veut bien méditer ces questions, c'est que si le meurtre est réellement accomplie l'immanence a vaincue et la transcendante signification du fils comme don n'apparait pas; de mème que si par manque d’intériorité le croyant refuse de lever le couteau sur l'objet de son désir; entre les deux la marge de manœuvre est si délicate qu'on peut bien ici parler du chas pour ou les riches ne passent pas mieux qu'un chameau; mais si le saut est accomplit en esprit et en vérité alors il ouvre la seconde éthique ou l'unité des contraire oriente la voie du dépassement infini de la culpabilité d'une âme libère par une parole et son jugement;   la transgression nécessaire de la première éthique qui vit de la connaissance du bien et du mal est une transgression dans l'ordre d'un amour qu'on porte plus loin envers les hommes, et non d'une extension supplémentaire de haine qui desespere de s’ébrécher pour ne plus rendre compte de rien, la voie  du désespoir de l’âme partagée, indécise et voluptueuse ou apeuré par l’indétermination absolue ou se fomente l'empathie d'une âme pour la reconnaissance du Bien comme don excellent et parfait qui descend du père des lumières identifiée avec la forme subjective qui le reçoit; le tout souffrant de l'amour, sans objet.