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22/03/2016

Rune mine

Peter Nicolai Arbo,,.jpg

peter nicolai arbo

 

 

le feu s’est éteint où finit la patience
même les pas sur des chemins imprévus
n’éveillent plus la magie des buts

braises braises
l’amour s’en souvient.

Tzara

 

 

 

      Ne vous préoccupez pas de son origine, de sa race, ou de son ascendance. Il descends de la rouille des familles, et monte par le vent vers le givre radieux ; comme les palefreniers des trous noirs, il foule aux pieds le tergal vipérin d'un sol en sinécure ; l'anguille de pluie file l'inexistence de la pensée qui se fomente ; l’événement s'impose comme un poison soluble a la pensée qui s'ensable a faire trembler la poule dans l'eau; la bête ne mord qu'a l'instant ou l’éther disparaît et qu'au matin la brume est oubliée par la présence de la terre lucide au semelle et cruelle aux pieds; sous la paille une racine de l’imprégnation borroméénne, lance un pavé prométhéen dans la glace du temps, et la brise; c'est une drôle de chose que de vieillir d'un renoncement, pour que le désir rajeunisse d'une éternité ; c'est une drôle de chose de devenir, d’être une réalité continuée dans le temps, qui disparaît quand l'inexistence de l'objet fonde la rencontre espérée avec ce qui revient, ce pourquoi on est mort ; est-ce un dieu terrible qui déteste les hommes ! j'ai connu aussi ce jour taillé dans les pensées qui mènent à la folie ; la couleur du rideau de douche, son timbre mat de plastique froissé collé au carrelage blanc qui étouffe, ne me sont pas étrangers ; j'ai planté mon œil et mes narines dans cette faille pour humer l'autre monde, avant d’être douché et de me rendre compte qu'il était vain de vouloir se représenter ce qu'il y avait au-delà du temps, car il n'y est pas seulement caché par le rideau des instants mais aussi méconnu que la présence in objective d'un dieu écoulant nos sentiments présents; ils sont l'identification première de la chair a la chair, le mixage parfait de la fréquence des tissus embaumé d'os par la langue; aussi n'ai je reconnu que ma perte dans l'invisibilité, dans le risque d'y voir l’être se moirer, j'endossais la responsabilité de disparaître tout entier, emporté avec les régions déportées de la chair d’où revint pourtant le sentiment ; Lazare indépendant comme l'huile bouillante chevauche l'augure des prémisses jusqu'à la dernière conséquence.

    Nécessité en Mars de recuire notre détermination. En marge des écoutes, la fourrure d'un raisonnement sur l’épaule, il se cache dans ses rêves mais ses chuchotements le surprennent plus vrai que nature tourbillonne de perle; c'est cela le fil, la vraie nature du temps, et qui plus est de l’être quand il se dit au plus prés du poien au plus prés de la dynamique subjective et du redoublement interne du désir que la pudeur annonce et refoule, mais que le verbe révèle comme souffle de l'immédiat et instantané présence du très long terme de ma nature créé environnée des pensées les plus lointaines qui ne l'effraierons plus jamais ayant entendue du jugement tomber la sentence, qu'elle avait une âme pour achever la dernière perfection des conséquences de sa réalité.

     Les cameras éclatent l'invisible ; le cœur de la création est balayé par le fond sans trouver la forme ; qui correspond au vent qui fond sous le crane de sa créature imparfaite dont il décolle le squame occuper d'une image de ce qui ne peut pas être représenté ; une image de lui, plus proche de sa chair qui peut disparaître pour laisser l’étendu infinie de l'absolu paraître et avec les doigts pleins de colle y ajuster la pointe d'un regard sur le collage qui détonne. La lévitation golden globe grouillait de mains inconséquentes et qui mentaient.

 

 

21/03/2016

Tacuinum

 

François_de_Nomé_-_The_Flight_into_Egypt_-_Google_Art_Project.jpg

François de Nomé

 

 

 

 

Elle ne s’est trouvée sur mon chemin que pour le sombre couronnement de sacrifice ; mais depuis ce jour, j’écoute ce que mon ombre conte aux orties, et toute pierre, dans le gave solitaire, à mon approche frissonne...

Lubicz-Milosz

 

 

      La première fois que je le vis il ressemblait déjà a sa dernière image, il avait ôté la pierre, et le jour en lui tombait comme une somme vivante de mouvements stabilisés par d'insondables transparences, mi-fétichiste de la langue, mi-assembleur de corde a vide, son reflet se conserva durant bien des années en moi, et les quelque palpitations invisible de mon cœur, a peine capable de suspecter dans le secret éventé des algues intelligibles, lui doivent de voir la terre a travers l'épiphanie du symptôme de la misère monadique de cette vie; c'est tout ce que je peux vous dire.... ainsi que ce que mon souvenir m'a laisser de sa langue ; elle est l'image de lui ; et se forme au cœur comme un éclatement cristallisant, une équinoxe d'air et d'apesanteur au cœur du lourd et incompréhensible sentiment, avec lequel je ne saurais débattre et vaincre sans lui... si j'avais su ce que j'allais connaître de lui, je n’aurais pu le découvrir, et je ne l'aurais pas suivi si loin dans la nuit du temps et du sens pour rendre aux mages de son feu l’extrême louange de l'onction des épidermes insensés... le monde ressource des techniques, masque qu'il est l'expression de la conscience naturelle qui n'existe pas détachée, distinguée d'eux comme du monde... si je l'avais su avant, j'aurais reculé d'effroi sans commencer, et j'aurais renoncer a son souvenir et sa connaissance des cette vie ... j'aurais renoncer a faire du sentiment entier et instantané de ma vie, la frisson de la langue qui suture le saint axe... alors Priam, prit de vin se serait levé pour philosopher : dieu fit du Jour, le Choix qui n'est qu'un instant pour l'homme, au dimension de l’éternité.... il fit la table sur laquelle se brise le sens quand elle est éclairé... et aucun êtres ne peut ignorer cela, les animaux le savent, et ils le savent si bien que dieu leur a interdit d'en parler, il vivent l'instant comme l’éternité, leurs souvenirs persistent au-delà de la mort. Priam sortit sur la terrasse, le soir le regardait, il vit le ciel s'incurver, froncer légèrement ces tourbillons nacrés, et étirer sourcil de flammes de nuées sous un vide galactique ; il s’appuie contre la balustrade moucheté d’étoiles, touche des yeux le point le plus vaste du creux stellaire ; et il voit l’utérus s'ouvrir a la bonne page, et assiste a la naissance du diaphragme crépusculaire des mots désignant les êtres et la vie, parlant a l'invisible; au prochain trou revoir Pierre, par crépité assis sur un degrés de la couche qu'offre le rayonnement de schiste, au renoncement des fougères arrêtées le long de ces fléaux d'ardoise ; la piste de sa joue, parcours la foret d'un œil humide, le flair du cerfs couronne les taillis, bien avant qu'on arrive en longeant la vague rocheuse de ses bois, sur le retard prit, qui disparaissait, et s’étalait au sec plat de couteau a travers l’opéra magnétique de la scène hanté par des idées; a coté de lui, le sens, encore enfant, a ses traits d'acceptation, noyé dans la contemplation démentes des chatoiements de dieu ; le visage éclairé des narcisses! Le jour de la naissance d'un ange, c'est la lumière tamisé de l'orage qui souri! illumine la lumière d'un paysage, d'une présence de l’être, quand trace visible et cœur s'entendent ! les roulements de tambour disparus, vous serez mangés par les fourmillement de l'étoile de magnitude 8 qui s’échelonne loin de la position calculée. Le couple de jours suivant, ils ont pu mesurer le mouvement propre de l'objet céleste (4 secondes d'arc) et de cues a dit, ensuite que la position monadique de l'extension de la lumière laisser supposer l'exposition de l’épiderme a quelque feu nucléaire hyper radiant, extension incalculable de la contradiction qui infinitésimale, en donne une idée, un aperçu de conscience éternelle a travers la matière et comment une intention souveraine prise dans son aura, avait été réduite en poussière illuminée.

 

 

16/03/2016

Gramina

Johfra Bosschart.jpg

Johfra Bosschart

 

 

Alors tu comprendras la justice, l'équité, la droiture, toutes les routes qui mènent au bien. Car la sagesse viendra dans ton cœur, Et la connaissance fera les délices de ton âme. Prov. 2:10

Je détruirai la sagesse des sages,
je rejetterai le savoir des gens intelligents. És 29.14

On ne s’imagine Platon et Aristote qu’avec de grandes robes de pédants. C’étaient des gens honnêtes et comme les autres, riants avec leur amis. Et quand ils se sont divertis à faire leur Lois et leur Politiques, ils l’ont fait en se jouant. C’était la partie la moins philosophe et la moins sérieuse de leur vie, la plus philosophe était de vivre simplement et tranquillement. S’ils ont écrit de politique, c’était comme pour régler un hôpital de fous. Et s’ils ont fait semblant d’en parler comme d’une grande chose, c’est qu’ils savaient que les fous à qui ils parlaient pensent être rois et empereurs. Pascal

 

 

 

         L'antiquité païenne a souligné que l’effort de numérisation devrait être important pour que la bulle se détache du bois sculpté, et que toutes les nervures se rejoignent au sommet de la fibre abstraite et spéculaire; chargée du tain, solaire de sa tension, l'horizon déracine le fifre indocile qui se prête au veuf ; Neuf Preuses en châles poussiéreux se figent au son des flûtes du feu; la certitude trace de grands signes mystérieux sur l'asile, et paisible comme l'éloignement, des herbes brûlent grandies ; or pièges en secret l'animal suicidaire; le mystère active la question de l’être, la chasse a la maison de proie ou luire s'apprend sur les icône visible de l'apparaitre; la chair cisaillé comme un blinis frit dans un sens non plus immédiatement et exclusivement physique, mais sémantique; au son des flûtes le sens des propositions se renverse, l’œil tourne sur lui-même, et la curiosité se change en admiration pour le maitre d'œuvre ; c'est tous le sens esthétique de la physique; tous les énoncés positif des âme chiennes se retournent et abandonnent la source de leur certitude éteinte, la langue pendante, ils reniflent sous l’hystérie une admiration sans borne qui précède logiquement, la contemplation ; newton disait : c'est ici! ceci dit maintenant le contraire : Qui, quel est Celui qui a inventé cette physique ou la dimension noétique éclot comme une voile trop lourde échappe des haubans et tombe sur la base d'une logique entièrement contenue dans la supposition de soi ; l'affirmation est sacrificielle, et la réalité morale du non-être va de soi, de soi a soi par négation, l'affirmation de l'esprit par la chair passe de sa propre inexistence a la certitude de son trou dans l'infini prémisse du tout vivant ; un nœud vente d'une génése la double correlation des heureux de la substance des scholies ; qui peut dire ou cela a commencé, ou cela a fini ; qui peut dire les causes dernières et la première, sinon le redoublement de dieu qu'est la liberté, palimpseste effacé, presque invisible, livide, morbide et décharnée sur ces visages bornés, techniquement parfait mais sans âme coincés dans ses traits a demeure qu'ils empruntent aux deux sources d'une logique éternelle, la kénose et le métro d'une descente d'organe a orly sur le quai de la danse avachie des planches vides d'opération ; j'aime cette ambiance de fin de monde, ou les lampions politiques crachent leur dernier jet d’étincelles impuissante dans les amphores du torument, j'aime l'instant ou l'animal est sur le point de comprendre, mais qu'une derniere hesitation le retiend d'aimer, et n'ose encore se détacher du monde, lever la lame sur la pate dialectique et se formuler la chose intérieurement, l'instant avant de s'étouffer dans les convulsions violentes du verbe méprisé par leur cœur expurgé des nues ; mais la couleur de ces orages m'effraie qui éclaire la charogne recouvrant la belle endormie: qui fonda le Latium? Évidement.