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17/06/2014

sans titre (en cours)

L'ultime larme de granite coula des tripes vers la panse des profondeurs marine de nos scelles abstraites en un lieu dépourvue de sens; la calme légèreté de la poésie remonta du terme des douleurs, roulé comme une bulle contenant un enfant dans l'estomac du ruminant chaos porté par l'encens liquide de l'acide naissance joindre a la fin des résistances du temps le commencement de la solide parhélie ; l'explosion suspendit toutes les souffrances de l'insipidité d'esprit qui tenait dans le creux de la main, le fruits sans saveur des intentions d'un appétit anthropophage mis au diapason de l'insouciance acquise qui soulève le cœur d'une joie hors d'age; les viscères spirituelles de la joie sont des cordes invisible d'une note cachée par la réflexion, un contact, un effondrement de la raison et c'est le choc de la lyre avec un sol plus ferme qu'aucune terre faite de souci, le pieds de l’âme qui foule le verre sans fond et sans menace, un sol d'air solide comme un vide, qu'il faut tendre par les vrilles des chromes entre les arbres comme une corde a linge, un hamac de bleue cohésion dans les embouteillages par-choc contre par-choc qui s'étend jusqu'au fuselage des Boeing étincelant comme des comètes de passage tirant sur les mécaniques du visible l'épaule des chariots déroutés de leur peste bubonique, c'est un murmure inaudible de l'arrachement, une éclosion de force impuissante qui capture le soucis, l'amputation spirituelle de l'incroyance qui ne parvient pas au terme de la phrase, c'est le mot de la fin, l'amen qui englobe tout en une puissance qui t'habite sans force, qui t'habite en te désarmant de douceur, c'est le feu de la jonction, le goût du rapport qui toujours surprend le cœur qu'il emplit de substantielle moelle, c'est un rapt de toutes les cellules nerveuses au crépuscule de la rage irradiant la surimpression du schizophrène moellon ; un temple élevé a la vitesse d'un champignon qui a germer de la semence du vide plein de ciel descendu sur la terre, en une conjonction impensée de la réflexion qui donne corps a un nouvel organe de verre abattant les murs des meurtrières du cachot de la digestion ; c'est la démultiplication de l'amour dans chacun de ses scintillement sans ordre de dimension autre que les cendre relevées de chaque éclipse de réflexion, la genèse de l’appétit d'éternité détourné de l'attraction du mystère, c'est la confiance absolue qui circule dans le sang comme un opium plus léger que l'air, une expansion de l’âme qui se dilate bien au-delà de la terre sans s'effrayer des obscures reflux des ombres de la mort qui jettent leur dernieres feux ; c'est l'absence de pensée qui sait tout, comprend tout, devance tout, rassemble et receuille la série confondante des mailles flottantes de l'attention a la définition ondulatoire du réel justifié ; c'est le bandeau intérieure de la momie qui se déroule dans les rituels de l'embaument de la source, c'est la torche vacillante des sens qui se tend par un appel au vide et se souvient du murmure de ses lèvres de fontaine remontant impuissante, ses cascades sibyllines jusqu'aux pendeloques de grappe grelottant du suc de l'automne déjà couverte de sable, les fruits décharnés pendus au cou de l'horizon, le plat d'argent en autel au terme du souvenir mité, l'horror de l’âme aux doigts de rose, transit d'effroi par le fantôme des revenantes, saisissant l'astre incarné des stations abstraites du mutisme naturel, l'alphabet du vide que l’horreur apprenant a parler, c'est son complément, son comble évanouissement dans le réel justifié; c'est la chute du souvenir dans l'incarnation du jour sans fin des signes qui ordonne mystérieusement les muqueuses au goût des célestes vendanges d'ambroisie ; c'est l'angle irrationnel du centre de la sphère qui se détache du point creux du rapport de la coquille de l’œil pour faire du corps tout entier le véhicule translucide de la vision; c'est l'atome de l’éternité prenant corps au-delà des classiques tableau panoptique de geôle dans l’herbier des classification et d'exposition séditieuse et sédatives des sens déliés les un des autres; c'est la joie de la mort des frontières intérieure qui s'abaisse et laisse l’océan de dieu ravir ceux auquel il veut donner sa joie ; c'est l'eau pascal des joints de la transparence relevant de leur lutte contre le flot boueux de leur partition, les ligaments unit de la fibre du corps glorieux, encore absent et vide.

 

16/06/2014

sans titre (en cours)

Après les événements de la docte campagne la vision du pays fut couverte d'une herse qui s’abattit comme une peur de voir se perdre l'image du fruit descendue des régions du cœur se pendre aux branches de l'arbre, couvert de feuille, comme une contrée aux milles reflets, proche du scintillement, une contrée ni trop étroite ni trop lâche, qui put contenir son souci dont il se protégea en s'en faisant un toit de terre cuite en attendant ; il cessa d'habiter la terre et se fit maison de son ombre puis devint habitant de l'ombre de sa maison, et en ce temps, sombre il était devenu moins qu'un chien; c'est dans l'ombre du fruit qu'il passa ses meilleurs jours ; il ajoura la maçonnerie de menuiserie qu'il décora sur les deux faces, d'autant de symboles qu'il voulait par ce seuil délimiter d'espaces différents dans les modulations de son désir par son souci qui en fait le contour, une silhouette qui se tient a la porte, qui vient ou s’éloigne du cadre du temple dans la poussière d'un chemin ; pour vaincre il se terra dans la sève quand elle est encore chaude et fluide, avant qu'au contact de l'air, elle ne gomme d'un grand éclat d’opéra le miracle de son dépassement, et que le monde a nouveau ne plonge la tête dans le vide au-delà de l'horreur qui l'habite de son inconcevable néant, son propre avenir inconcevable sans dépassement ; l'instant du passage quand a lui ne varie jamais, il s’éprit d'autre menace, définissant plus subjectivement l'insaisissable présent, et pris femme ; le foyer redevint ardent ; la nouveauté de la menace plus intérieure rendait l’intérieur plus érotique encore, au point qu'il conçu qu'il était réellement celui sur lequel pesait la menace de se tromper éternellement si une folie entièrement objective au sens le plus banal du terme le désempara des étirements mythique et il se réfugia dans la liberté d’alcôve du devoir absolu de la foi, payant de sa personne éternelle un sacrifice de tribu beaucoup plus intransigeant en somme; et il cessa de vivre dans les nuées cosmologiques, en transformant le soucis de la scène primitive du fruit en une reconnaissance du verre intérieur qui éloigne la menace parce qu'il la croit présente réellement dans l'effigie du vainqueur ruiné, éloigné de la lumière diffuse, rendant se traits plus miséreux encore, multiples comme le nombre de plaies qui couvrent le lépreux; il menace de damnation le mort sauf la foi du secret ordre de la pensée se représentant son accomplissement comme une victoire; leur premier enfant appela Morija l'un des seins de sa mère, ou il lisait dans les caractères de son age les ombres de son ignorance mêle a celle de l'avenir pétrir son vide, par des mains pleines de menaces mystérieuses tant que ses oreilles n'aurait pas perçu le chant; du bien il pouvait dire qu'il est invariable sous tous les changements, qu'il traverse toutes les matières ou la pensée se désespère de son propre savoir, luire une transparence du cœur, jusque dans l'avenir du sentiment, de sa chair qu'il ignorait encore être mortelle et indéfinissable; luire jusqu'au confins illimité d'elle-meme la chose sans substance, dans les lois de la physique mentale du sentiment, qui n'est qu'un point de départ chimique dans l'univers du commencement de la foi qui sublime cette opaque sensation en un instant éternel de la lumière filtrée par les nœuds de l'ignorance au porte de la vision sensible de l'univers dans le bouillonnement de la moelle des os ou se concentre et se prépare la vision, qui deviendra transparente édification du précipité chimique au fond du vase d'expansion ; il maçonna le foyer bâtit sur l'avenir, le vide laissé par l'indetermination d'une promesse dans son train d'evenement ou la suite de l'intention providentiel ne devient lisible comme un présent, qu'a ceux qui fonde le silence en eux sur une folie capable de tout irradier, de faire luire et de tout bruler, un silence capable d'organiser un monde en gestation dans le vide qui est aussi le commencement de la menace de dissolution, d'explosion interne qui pèse comme une négation a travers ces même termes ou la pensée de l’éternel luit; au foyer naturelle de la femme il reproduit intérieurement, le rapport de la tension a elle-même entre les couches d'horizons, les sédiments du ciel ecrasé comme une douleur au endroits sensibles, du lieu perdu dans le passage du temps; il coucha avec son ombre invisible qui avec lui devinait au blé couché sous le vent, les turbulentes altérations de la lumière explosant le néant qui borne la voie de l'amour ; sous l'axe solaire la prière englobe les instruments et les signes, et retranscrit cette continuité du sentiment, en pensant qu'un souffle habite la chair, qu'il est un vide qui relie les deux instants suivant, que la chair est comprimé alors que le sentiement l'est si peu naturellement, et rend au temps son foyer de dilemme avec femme et enfant, tierce suspensive du temps qui équilibre et sous tend de crainte l'horror de la promiscuité éternelle a soi-même, cadre la langue a une source d'amour, et rattache chaque instant du renouvellement a lui-même, dans le cercle de la famille qui retranscrit en scènes primitive de la vie intime et sexuelles des sauvages paysages de la vision de l'innocence qui rend coupable, l'orbe des fixes, la portée de notre ignorance sondant l'empire réel de la conscience touchant aux limites du vide comme a un une parois de granit et de nuit ornée de milliers de diamants, comme un royaume que le monde encore vierge de toute parole connaissait intimement; bien avant la raison, quand la sensation était pure et fraîche et verte comme le sentiment qu'elle provoque dans l'ordre des tensions, et que la famille humaine s'entait alors sur la parole d'une descendance, qui dirait vouloir l'impossible, et que l’échec est la sensation du vide qui nous sépare du tout autre, inquiétante beauté lourde de menaces et de craintes rendant au vide de notre chute dans le temps un reflet conceptuel qui habite la sensation comme un axe, une intention vide une pensée déjà un reflet du monde comme lumière et vision ; la chute de l’âme trouva dans le foyer, le retranchement du monde reproductible en chaque homme par un même sentiment de fraternité ; mais le ventre inattentif de la consommation du temps broya ce refuge de la transfiguration, ce cocon de la mitochondrique synthèse, ou la larve du redoublement toute de transparence vêtue, joue a s’effeuiller devant éternel mari, et se met a nu réellement devant Lui, pour s'approprier en conscience ce fiat ultime et premier de la création, en redoublant sur la base d'un savoir du lien qui nous relie au vide, les limites de la raison doublée par celles de la sensation reconstruite. Édification.

15/06/2014

sans titre (en cours)

Les cotés de l'avenue n’étaient discernable qu'a travers le jeu improbable des enseignes clignotantes qui se rejetaient entre elles, le feu pale et sanglant des lunes insignifiantes a la violence de rue qui l'empruntaient munis de leurs repères pour traverser la nuit de bar en bar; combien ne préfères-tu pas rester dehors au grand air, surtout quand l'oasis n'est plus que le nom d'une boisson trop sucré pour tes entrailles sévères, qui ont le goût de l’éternel fraîcheur du vin soutiré de toute l’épaisse mycose qui pourrie sur ta langue au point de jonction entre les matières nues des notes inqualifiables en groupe du bien qui t'appartient vraiment, Dieu ou crotte se dit la croute l'esprit baillant, ondulante sans grâce danse du ventre et des tords boyaux d'eau de flatulence; l'oasis si loin de la fulgurance du coup de sang de la lumière te navre, te laisse indifférent ;comme le sont aussi, toutes ces voies qui au matin s'effaceront de ta vie en emportant avec elles l'espoir d'avoir été détrompé éternellement par amour un jour d’écrasement sous la pointe du saint-outil; les voitures jaune d’œuf remontaient du sommeil le mot de la fin, la final d'amour vibrant sous l'univers plein de tremblement, le mot de remorque devant t'aider a effacer toute angoisse pour jouir pleinement de la lumière, y discerner ce bien qu'on a tous sur le bout de la langue, et qui picote comme un examen du cancer de la fumée, un examen de cette réalité qui se concentre en elle-même, se nie et se répète dans ses ruine, non a la façon des porcs qui se roulent dans leur fanges, mais a celle des manières qu'il y a de se faire secrète et signe, explosive discernement de l’éveil,  qui ressemble a une visite médicale dans le saint des saints, le chandeliers et la tapisserie, le rouleau et la sangle, recueillis en sa cymbale l'instant d'une baguette magique, nouant le spasme du rapport, du signe au réel, lien qui contient tout, tire tout et rapporte tout a l'organisme parfait répété en lui-même, repéré comme un fleuve invisible coulant entre les jonc, par le canal des muses, coulant comme une vision, couvert d’écailles de lumières réfléchies par les bords de verre brumeux de leur galerie unies vers ce énième coup, trois, quatre, disparue, ressurgi dans une continuité d'espace temps sans lien directe, sans présence réelle autre que celle du vent qui emporte le monde, ou les causes et les effets se font conceptuellement la guerre, nerveusement attisé par le concert du feu transcendant auquel nul action n'est insensible si elle est vivante, vibrante accession au règne de sa lumière. En parfait éclatement de toute présence reposant sur un savoir, la licence herméneutique sans age, gifle l'imaginaire, et de l'autre main, lui met le nez dans son caca; ses doigts sont des serre de gargouilles sur une branche de saturne, son corps masqué d'un bec de lièvre, dandine sur ces lèvres, comme une rumeur, le symptôme d'un rhume tenue dans une série de cellules de verre dont la fin ne se répète pas en elle-même, mais s’éteint éternellement, définitivement la possibilité de se tromper, comme une maladie de la lumière dont la conscience ne gardera aucune trace, quand devenu toute vibrante de malaise, l'amour aura éclot a travers le bardages de pierre qui enserre la bulbe comme un lierre  enchaînant le silence au silence, jusqu'à produire l'impression du mystère qui se concentre en lui-même dans l’écriture, se redouble d'un silence atomique, une effraction dans la nuit, le vol d'un pendule a balanciers la maison pleine de tremblement a travers les murs ; dire ou supposer une seule seconde que le palais d'or n'est pas derrière la contraction du placenta, c'est croire a l'avortement de la lumière qui doit bien éclairer quelque chose d'autre a la fin que nos propres atermoiements...âme faible pardonne moi si je te quitte, mais je ne peux suivre autre chose que cette foi qui décri son calvaire comme une ombre, souvenir ou immédiateté qu'un seul mot de Lui, permet d’éteindre jusqu'à faire de cette souffrance, la décomposition de la coquille larvaire, faisant ses premiers pas en marchant sur cette poussière que et s’avançant dans la lumière, les pieds nus arraché a cette terne boue d'insignifiance pascale ou rien dans la matière n’était ni bon ni mauvais ; le relief du grand protozoaire se détache par achèvement de la licence parvenu a liberté par la foi inscrite sur les portes close des pétales du silence parachevé du saint tout définitivement réel amour cerclé en lequel la tête, il se tenait ; les colonnes du temple lui cachaient l'autel, mais l'office développé, vaquait aux taches ménagères ; comment pouvait il voir le dernier modèle parmi les voitures qui passaient sous son aile ? Il ne savait même pas si le vacarme de la circulation était le produit des voitures qui déchiraient l'espace d'une multitudes de son qu'aurait très pu émettre des grilles frottant contre la sphère des fixes en rotation, comme des disques venue du fond de l'olympe, remontant le temps sur le champs olympique des visions identique que reconnaît le monde comme sienne, celle de l’arène, de la lutte et de la mise a mort, plutôt que la dispute des mots recomposant la science du silence des espoirs aussi violents que les décharges d’énergie sauvage qui témoigne le long des rivières du gâchis provoqué par des saignements de nez a son âne hémophile. Était ce la une chose qu'il était nécessaire de connaître pour savoir ce qui était essentiel dans la vie ? Si cette connaissance ne repose que sur une forme d'inconscience qui doit s’éteindre a la fin ? Brûlons tout ce fourbis interne. L'éternité est un ordre irrévocable des choses menant a un fait irrépressible quoiqu’on veuille faire pour s'en protéger tout en désirant l’imiter pour devenir soi-même irréversiblement formé par son désir, a l'image de notre réalité quand nous serons en Lui; quand le dernier feu de l’inconscience s’éteint, l'absolu paraît, et il règne partout, même quand il semble le plus effacé des signes dans la violence sans nuance de contraste trop parlant, et que l'on gît, a bout de force, contre les portes fermées du signe, quand la nuit est un coup de poing entre autre dérouillée du printemps sous le brouillard épais qui couvre les étoiles d'un œil injecté de sang, et que flotte dans l'air la promiscuité du diable tenant dans sa griffe, déjà la racine des signes qui traversent nos intestins cherchant l'oasis ou devait flotter ce sentiment, dans un parfum de sainteté comme une oriflamme a la simple fortune des vents.