01/06/2013
Ou fou se mire
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31/05/2013
Chêne de Mambré
Tous le monde connaît la célèbre formule einsteinnienne de la relativité de l'énergie et de la matière; et tout le monde connaît le poème du père de la foi, qui leva le couteau sur son propre fils pour que la signification terrestre de la filiation disparaisse au profit du sens divin de la révélation du don. Mais ce qu'on ne remarque pas assez c'est que du premier paradoxe Einstein concluait: ce qui est incompréhensible dans l'univers c'est qu'il soit compréhensible; alors que du second Abraham conclua que ce qui était compréhensible dans l'existence c'est qu'elle était incompréhensible. En un certain sens on peut dire qu'il aura fallu cinq ou six milles ans aux mathématiques pour qu'enfin ils en viennent la ou avait commencée l'humanité: au paradoxe; parce qu'il n'y a pas moins de poids infini sur les épaules d'Abraham a chaque pas qu'il fait dans la poussière vers le lieu du sacrifice de son unique objet d'amour, encore engoncé dans la connaissance de la réciprocité dont il doit se défaire, qu'il doit sacrifié réciproquement avec l'effroi d'Isaac, que sur un engin propulsé a une vitesse infinie et consommant un poids infini d'énergie qui l'empêche justement d'avancer; mais la ou quelque chose se perd c'est lorsque le physicien conclu du paradoxe a la compréhension la ou le père de la foi fondait la compréhension de l'éternité dans l'incompréhensible; est il bien compréhensible que la vitesse infinie soit rendu impossible du fait de la masse infinie de l'énergie consommée? N'y a t-il pas la une illusion d'acoustique propre au paradoxe? Propre peut-être a tout notre modernité qui voudrait tant croître, avancer, et ne fait peut être du surplace que parce que son monde de triangulation psychique des bornes du devenir dans le temps sont faussées?.
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30/05/2013
Pluie
Temps de brume au filament
l'empreinte du vent
defile d'embruns
le relief fondus des éponges de sang
par une galerie de plomb
de boue les corps sans source de lumière
sans odeur d'horizon
que les peupliers balaient
avec la bourre du ciel
sous une pluie de verre
qui constelle la transparence
du stellaire zoo noyé
Qui voyage en mes cotes
les chiméres en moins
une hanche de flûte
aux embouts du parloir?
Quand tombent des parois
l'ampoule des pôles
et des miroirs fendus
le poisson et le crabe
et que gouttent des yeux
comme des traces de l'oeil
sur la joue des mes mains
par ou je crois me voir
pendu au seuil des os
j'ai hâte de la nuit
et de son feu dit vain
16:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le robinet goûte un rêve
tout a jamais fini de se dire
un cher noyer des clôt, son colt pour en être
de la langue du filtre épave
posé sur une branche, une ouïe fleuve moire
chante au-dessus des écueils la mesure des folies qui perdent pieds
dans les flaques les plus larges lueurs d’horizon sans parole
tourne en rond la pensée du disque disjoint au son de l’imparlé.
et retrouve la dent fissure du monde
en fer de lance
mordant au creux les carpes remuées par le doute immobile des ordres en abîme
qui pansent les mains d’asiles récifs certifiés de récits
et jettent des ponts aux vagues impatientes
qui loin des bords du brasier,
en prise aux vagues mer de la substance
tendent les mains aux peuples affamés de compréhension
froides viscére des créatures insensibles
leur coeur retroués
d’offices de bouches oasis dans leur mers de sable sans intelligence
vers le seuil d’eau et de feu
ou claque le vent et le cristal du sel
la méche du fouet invisible
qui éclate d’impermanence la matière
depuis le feu de la réalité éternelle de l’esprit
jusqu’aux domaines des ombres
ou il ne luit plus.
A suivre
en vain le cri
a tout englober
de silence!
Mais du fond bleu azur
l’age sans barreau des anges montant les chevaux blancs du ciel a surgit!
La perception du percevant
pâtit
de la télé
réalité.
L’indirecte gobe tout
des uppercuts successifs
aux hyper cut festif
s’emplit d’évidement
d’horreurs égales.
Tout ventriloque
de vent loquant l’isolée.
derriere sa porte d’énergie rare mais free
engluée veuve
d’un noeud de sueur froide qui noue
le corps de la perception sexuelle
la boue intronisant la mort
a consommer l’immaculant
mur mur en vue
des tremblements de la caverne
habitée de soucis
d’un parterre de pensées
d’une confondante pourriture
qui fleurissent peut-etre
et sevrent l’ardeur de la sève par l’énergie de la pensée
du choeur au coeur
la bulle engloutie
ruinant la ténèbre ou l’amour luit
échange toute réalité.