20/02/2014
sous le révérbére
Sous le réverbère infini,
le poids de vérité,
esprit et décision première
renouvelée parfaitement
en elles-mêmes et entre elles intégralement justifiées
don excellent et parfait
descendu du Père des lumières
en lequel il n'y a ni ombre de variations ni changement
mais passion pour la convenance des êtres
dont il est le secret rapprochement
sous le manteau d'une nuit d'amour bestiale
magnétique et mystique.
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sans titre
Les camions avalent la route comme des vautours se régalant d'une langue de noire charogne sur laquelle ils roulent comme sur un boulevard, une voie aisée et....facilité par l'absence de retenue. Devant, ton visage a le teint de la pudeur, le chrome revenu de l'argentique douleur du diamant sous la lumière des phares. Ils passent chargés de carcasses et de carnes d'éléphants, de vaches sacrées, de vaux de zèbres et d'or a variée, qu'aucune âme ne pourra jamais avaler; la route se forme a mesurent qu'ils avancent mais ils la croient toute tracée...c'est écrit dans chaque publicité cette fatalité; c'est écrit dans la langue de ceux qui renoncent a leur liberté, dans la langue des salauds, des sans âmes, qui ont déjà de l'existence l'idée d'un drame en trois actes, déjoué par leur sagacité mal tracée, mal écrite, mal entendu quand a la réalité de ce qu'ils auront compris, saisit de la realité de l'Etre qui peut tout et pourtant ne peut rien contre l'existence achevée avant même d'avoir commencer par l'eternité, pourri dans sa saisit des choses.....et pourtant, si l'existence doit s'achever, ne vaut il pas mieux pour la santé de l'esprit, qu'elle s'achève exactement la ou elle a commencé? Par une nuit d'amour qui a rempli tout ce que l'oeil avait deviné sans le voir.
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19/02/2014
note
A chaque instant l'ensemble des informations qui nous parviennent du monde, nous disent toute l'instabilité de la matière sur laquelle nous avons tendue nos tentes; le sol est meuble tout au fond de l'avenir et l'histoire nous l'apprend par la mythologie classique de la télévision; mais a l'observation d'une même perspective sémantique projetée sur la grandeur du monde, d'où nous revient un grand tremblement d'effroi, répond exactement, l'observation de l'intime vers ou nous lance la certitude quand sous le sol oeil chrono sensible de la ferme empathie, l'ange dub rastaquouère carcasse des plumes l'oxygène elliptique d'une alternative a la mort en déplaçant l'inconnu jusqu'au avant poste du flux continu de l'avant scène le long du théâtre vide et sans décors ou tombe le rideau de la sensibilité et se découvre l'esprit de l'intention; la liste est longue des disparus tombés les jours de remplacement imprévisible, parce que c'est pas comme a la sortie des usines ou l'intention manifeste sa puissance érotique, libidinale et non sa droiture éternelle, sa franchise. Surtout vue depuis leur ombres gravés aux frontons des monuments, cette mer d'émotion qui nous roule entre ses reins est attiré par la puissance sensuelle. Tout ceux qui ont lu ces listes en ont perdu la connaissance des choses qui les tenaient a l'incertitude; devant la mort il n'y a plus de tentation, l'inquiétude devient propre et authentique. Sobrement pourtant, mais de tout son poids, la réflexion accable la sensibilité d'une charge trop lourde pour elle, qui pèse sur elle, comme une brûlure de cigarette sur la peau; si bien qu'elle ondule comme une louve introduite du feu ardent, qui danse un temps et se cabre enfin au contact de la braise et se consume en râles et geignements ou douleur et plaisir sont mêlés de désir fantastiques moitié réel, moitié inconscient comme une vie non éveillé qui serait prête a recommencer et non a en finir avec les variations de la sensibilité et les alternatives du coeur.
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